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Revue médicale suisse . 561Médecine des voyagesMention de date : Mai 2017 Paru le : 03/05/2017 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierTests diagnostiques de laboratoire : hyper-sensibles veut-il toujours dire hyper-utiles ? / Valérie D'Acremont in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Tests diagnostiques de laboratoire : hyper-sensibles veut-il toujours dire hyper-utiles ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Valérie D'Acremont ; François Chappuis Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 931-932 Langues : Français (fre) Résumé : Au cœur de la consultation se trouve le diagnostic… Ceci est aussi vrai pour la ou le médecin dont la tâche principale est d’identifier de quelle maladie souffre son patient, que pour ce dernier qui veut « savoir ce qu’elle ou il a ». Pendant longtemps, l’outil déterminant utilisé était la clinique, dont la fiabilité n’est pas aussi bonne qu’on l’espérait, en tout cas pour les syndromes avec un diagnostic différentiel très large, comme la fièvre par exemple.
En parallèle, avec l’explosion de la technologie, les tests de laboratoire ont proliféré avec un rendu de résultat de plus en plus rapide. Ceci permet de prendre une décision au moment même de la consultation, mais laisse peu d’espace de réflexion pour s’assurer que le résultat du test soit vraiment utile, et surtout supprime le bénéfice du recul de quelques jours laissant souvent le temps au patient de guérir spontanément. Lors d’une pathologie aiguë nécessitant une prise en charge le jour même, cette rapidité est par contre un avantage indéniable.
Ces recommandations, quand elles existent, sont souvent émises avec plusieurs années de décalagePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53697
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 931-932[article] Tests diagnostiques de laboratoire : hyper-sensibles veut-il toujours dire hyper-utiles ? [texte imprimé] / Valérie D'Acremont ; François Chappuis . - 2017 . - p. 931-932.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 931-932
Résumé : Au cœur de la consultation se trouve le diagnostic… Ceci est aussi vrai pour la ou le médecin dont la tâche principale est d’identifier de quelle maladie souffre son patient, que pour ce dernier qui veut « savoir ce qu’elle ou il a ». Pendant longtemps, l’outil déterminant utilisé était la clinique, dont la fiabilité n’est pas aussi bonne qu’on l’espérait, en tout cas pour les syndromes avec un diagnostic différentiel très large, comme la fièvre par exemple.
En parallèle, avec l’explosion de la technologie, les tests de laboratoire ont proliféré avec un rendu de résultat de plus en plus rapide. Ceci permet de prendre une décision au moment même de la consultation, mais laisse peu d’espace de réflexion pour s’assurer que le résultat du test soit vraiment utile, et surtout supprime le bénéfice du recul de quelques jours laissant souvent le temps au patient de guérir spontanément. Lors d’une pathologie aiguë nécessitant une prise en charge le jour même, cette rapidité est par contre un avantage indéniable.
Ces recommandations, quand elles existent, sont souvent émises avec plusieurs années de décalagePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53697 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prévenir et gérer les problèmes médicaux en navigation / Blaise Genton in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Prévenir et gérer les problèmes médicaux en navigation Type de document : texte imprimé Auteurs : Blaise Genton ; Valérie D'Acremont Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 934-937 Langues : Français (fre) Résumé : La qualité de la vie étant un objectif de développement personnel et durable, les voyages au long cours se généralisent. Les périples à la voile sont un exemple de cette évolution. Les clés pour un périple réussi sont une préparation rigoureuse et le respect de quelques règles de prévention. Les urgences médicales sont rares et peuvent être souvent maîtrisées par un contact médical à distance. Les nouveaux moyens de communication tels que téléphones satellite permettent de demander des conseils médicaux à des professionnels, voire même aux navigateurs de se traiter eux-mêmes après une très courte formation préalable, pour autant que le matériel et les médicaments nécessaires aient été embarqués avant de partir. Les progrès technologiques ont changé la sécurité et la vie des navigateurs et explorateurs aux confins reculés de la planète.
IntroductionLa société évolue et la recherche d’une conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle pousse de nombreux femmes et hommes à faire des pauses voyage ou expédition aux confins de la planète. Chacun veut obtenir un équilibre entre travail et activités extra-professionnelles afin d’optimiser ces différents moments et augmenter le bien-être personnel et aussi familial, avec un bénéfice probable pour la collectivité toute entière.Dans ce contexte, les voyages en bateau représentent une expérience de plus en plus prisée, même parmi les novices en navigation. Cet article donne un aperçu des impératifs de préparation avant le départ, des problèmes médicaux qui peuvent se présenter durant un tel périple et des moyens d’y remédier.« Failing to plan is planning to fail »Une préparation approfondie pour un voyage en bateau au long cours est absolument essentielle pour diminuer les risques et l’ensemble des problèmes qui pourraient se poser dans des endroits où les possi...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53698
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 934-937[article] Prévenir et gérer les problèmes médicaux en navigation [texte imprimé] / Blaise Genton ; Valérie D'Acremont . - 2017 . - p. 934-937.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 934-937
Résumé : La qualité de la vie étant un objectif de développement personnel et durable, les voyages au long cours se généralisent. Les périples à la voile sont un exemple de cette évolution. Les clés pour un périple réussi sont une préparation rigoureuse et le respect de quelques règles de prévention. Les urgences médicales sont rares et peuvent être souvent maîtrisées par un contact médical à distance. Les nouveaux moyens de communication tels que téléphones satellite permettent de demander des conseils médicaux à des professionnels, voire même aux navigateurs de se traiter eux-mêmes après une très courte formation préalable, pour autant que le matériel et les médicaments nécessaires aient été embarqués avant de partir. Les progrès technologiques ont changé la sécurité et la vie des navigateurs et explorateurs aux confins reculés de la planète.
IntroductionLa société évolue et la recherche d’une conciliation entre vie professionnelle et vie personnelle pousse de nombreux femmes et hommes à faire des pauses voyage ou expédition aux confins de la planète. Chacun veut obtenir un équilibre entre travail et activités extra-professionnelles afin d’optimiser ces différents moments et augmenter le bien-être personnel et aussi familial, avec un bénéfice probable pour la collectivité toute entière.Dans ce contexte, les voyages en bateau représentent une expérience de plus en plus prisée, même parmi les novices en navigation. Cet article donne un aperçu des impératifs de préparation avant le départ, des problèmes médicaux qui peuvent se présenter durant un tel périple et des moyens d’y remédier.« Failing to plan is planning to fail »Une préparation approfondie pour un voyage en bateau au long cours est absolument essentielle pour diminuer les risques et l’ensemble des problèmes qui pourraient se poser dans des endroits où les possi...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53698 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Virus Zika : recommandations pratiques / Gilles Éperon in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Virus Zika : recommandations pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Gilles Éperon ; Manuel Schibler ; Noémie Wagner Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 938-943 Langues : Français (fre) Résumé : Le virus Zika a émergé brusquement en 2015‑2016 en Amérique latine. Lors de cette épidémie, des complications fœtales ont pu être observées avec des conséquences majeures sur la santé publique de ces pays, en particulier au Brésil. De plus, une transmission par voie sexuelle du virus a été bien documentée. Il a ainsi été nécessaire de développer des stratégies de prévention et des recommandations pour les voyageurs visitant des pays à risque. Ces documents sont évolutifs en fonction des connaissances scientifiques, de l’épidémiologie de la maladie et des recommandations nationales et internationales. Par l’intermédiaire de cas illustratifs, nous présentons les recommandations utilisées aux Hôpitaux universitaires de Genève.
IntroductionDans le monde médical, 2016 est synonyme de virus Zika. Ce flavivirus, peu connu jusqu’alors, s’est fait sa place dans l’imaginaire populaire. Les connaissances initiales étant faibles, de nombreuses recommandations occasionnellement contradictoires n’ont pas tardé à fleurir rendant le travail de conseil difficile pour les médecins. Aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), il est apparu nécessaire d’élaborer des recommandations adaptées à la population locale et à notre structure de santé, tout en étant en accord avec les recommandations des sociétés expertes nationales et internationales. Les services d’obstétrique, des maladies infectieuses, de pédiatrie et de médecine tropicale et humanitaire se sont réunis début février 2016. De cette réunion, des recommandations pratiques ont été élaborées, puis mises à jour régulièrement selon l’évolution des connaissances, de l’épidémiologie et des différentes recommandations nationales ou internationales. Nous présentons ce...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53699
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 938-943[article] Virus Zika : recommandations pratiques [texte imprimé] / Gilles Éperon ; Manuel Schibler ; Noémie Wagner . - 2017 . - p. 938-943.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 938-943
Résumé : Le virus Zika a émergé brusquement en 2015‑2016 en Amérique latine. Lors de cette épidémie, des complications fœtales ont pu être observées avec des conséquences majeures sur la santé publique de ces pays, en particulier au Brésil. De plus, une transmission par voie sexuelle du virus a été bien documentée. Il a ainsi été nécessaire de développer des stratégies de prévention et des recommandations pour les voyageurs visitant des pays à risque. Ces documents sont évolutifs en fonction des connaissances scientifiques, de l’épidémiologie de la maladie et des recommandations nationales et internationales. Par l’intermédiaire de cas illustratifs, nous présentons les recommandations utilisées aux Hôpitaux universitaires de Genève.
IntroductionDans le monde médical, 2016 est synonyme de virus Zika. Ce flavivirus, peu connu jusqu’alors, s’est fait sa place dans l’imaginaire populaire. Les connaissances initiales étant faibles, de nombreuses recommandations occasionnellement contradictoires n’ont pas tardé à fleurir rendant le travail de conseil difficile pour les médecins. Aux Hôpitaux universitaires de Genève (HUG), il est apparu nécessaire d’élaborer des recommandations adaptées à la population locale et à notre structure de santé, tout en étant en accord avec les recommandations des sociétés expertes nationales et internationales. Les services d’obstétrique, des maladies infectieuses, de pédiatrie et de médecine tropicale et humanitaire se sont réunis début février 2016. De cette réunion, des recommandations pratiques ont été élaborées, puis mises à jour régulièrement selon l’évolution des connaissances, de l’épidémiologie et des différentes recommandations nationales ou internationales. Nous présentons ce...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53699 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Bactéries multirésistantes et voyage / Serge De Vallière in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Bactéries multirésistantes et voyage Type de document : texte imprimé Auteurs : Serge De Vallière Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 944-947 Langues : Français (fre) Résumé : La résistance aux antibiotiques est un problème global qui touche aussi les pays tropicaux. Les voyageurs dans ces régions s’exposent donc au risque d’être colonisés et infectés avec des germes multirésistants. La région visitée, la survenue de diarrhées et la prise d’antibiotiques sont les facteurs de risque principaux pour une colonisation digestive avec des entérobactéries multirésistantes qui peut aller jusqu’à 80 %. Les colonisations par les staphylocoques dorés résistant à la méticilline et les entérocoques résistant à la vancomycine sont souvent dues à un contact avec les services médicaux dans les pays visités. Pour le praticien, il est important de tenir compte du risque d’infections avec des bactéries multirésistantes chez les patients au retour d’un voyage. Un dépistage de ces germes dans les selles ou par des frottis mucocutanés peut être discuté dans certaines situations.
IntroductionL’émergence de bactéries multirésistantes est un problème global qui ne touche pas seulement les pays occidentaux, mais également les pays tropicaux. Le problème est même dans certains pays tropicaux plus grave qu’en Suisse ou en Europe.La multirésistance est alimentée par la pression sélective exercée par les antibiotiques. Même si la consommation d’antibiotiques est plus élevée dans les pays occidentaux, beaucoup de pays en voie de développement ont une consommation très significative d’antibiotiques, en raison du manque de moyens diagnostiques et une culture médicale qui a toujours eu recours à la prescription large d’antibiotiques.Les infections à germes multirésistants sont associées à un risque d’échec thérapeutique plus élevé. La multirésistance engendre aussi des coûts de santé plus importants en raison d’hospitalisations plus longues, d’investigations supplémentaires et le recours à des antibiotiques plus chers.Le voyageur peut d’une part être le véhicule resp...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53700
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 944-947[article] Bactéries multirésistantes et voyage [texte imprimé] / Serge De Vallière . - 2017 . - p. 944-947.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 944-947
Résumé : La résistance aux antibiotiques est un problème global qui touche aussi les pays tropicaux. Les voyageurs dans ces régions s’exposent donc au risque d’être colonisés et infectés avec des germes multirésistants. La région visitée, la survenue de diarrhées et la prise d’antibiotiques sont les facteurs de risque principaux pour une colonisation digestive avec des entérobactéries multirésistantes qui peut aller jusqu’à 80 %. Les colonisations par les staphylocoques dorés résistant à la méticilline et les entérocoques résistant à la vancomycine sont souvent dues à un contact avec les services médicaux dans les pays visités. Pour le praticien, il est important de tenir compte du risque d’infections avec des bactéries multirésistantes chez les patients au retour d’un voyage. Un dépistage de ces germes dans les selles ou par des frottis mucocutanés peut être discuté dans certaines situations.
IntroductionL’émergence de bactéries multirésistantes est un problème global qui ne touche pas seulement les pays occidentaux, mais également les pays tropicaux. Le problème est même dans certains pays tropicaux plus grave qu’en Suisse ou en Europe.La multirésistance est alimentée par la pression sélective exercée par les antibiotiques. Même si la consommation d’antibiotiques est plus élevée dans les pays occidentaux, beaucoup de pays en voie de développement ont une consommation très significative d’antibiotiques, en raison du manque de moyens diagnostiques et une culture médicale qui a toujours eu recours à la prescription large d’antibiotiques.Les infections à germes multirésistants sont associées à un risque d’échec thérapeutique plus élevé. La multirésistance engendre aussi des coûts de santé plus importants en raison d’hospitalisations plus longues, d’investigations supplémentaires et le recours à des antibiotiques plus chers.Le voyageur peut d’une part être le véhicule resp...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53700 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Facteurs d’émergence épidémique : étude du cas de l’épidémie de Chikungunya dans l’océan Indien en 2004-2007 / Antoine Flahault in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Facteurs d’émergence épidémique : étude du cas de l’épidémie de Chikungunya dans l’océan Indien en 2004-2007 Type de document : texte imprimé Auteurs : Antoine Flahault Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 948-953 Langues : Français (fre) Résumé : L’émergence d’une épidémie d’arbovirose est le plus souvent liée à la convergence d’un ensemble de facteurs physiques et environnementaux, génétiques et biologiques, écologiques, sociaux, politiques et économiques, favorisant chacun l’adaptation du virus au vecteur et à l’hôte et le démarrage d’un processus épidémique. Cet article évalue le rôle de treize de ces facteurs cités comme contribuant à l’émergence d’épidémies de maladies infectieuses, à travers l’étude de l’épidémie de Chikungunya, un alphavirus transmis par Aedes aegypti et Aedes albopictus, survenue dans l’océan Indien en 2004-2007.
IntroductionLe risque d’émergence d’arboviroses, ces maladies virales transmises par des arthropodes (par exemple : moustiques, tiques), a été analysé par Jones KE et coll.1 Il apparaît que si aucune zone de la planète n’est totalement à l’abri de tels risques, en revanche, certaines régions du monde constituent clairement des points plus « chauds », en particulier la zone intertropicale (figure 1). Smolinski et coll. ont formalisé le concept d’un « modèle de convergence » des facteurs d’émergence épidémique.2 L’émergence épidémique ne serait le plus souvent pas causée par un seul déterminant, mais plutôt par la convergence de multiples facteurs : physiques et environnementaux, génétiques et biologiques, écologiques, sociaux, politiques et économiques. Ces facteurs agissent, bien sûr, sur l’homme et l’agent microbien. Dans leur sagesse et leur prudence, les concepteurs du modèle de convergence ont prévu de laisser une zone d’ombre, représentant les facteurs non expliqués en l’état...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53701
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 948-953[article] Facteurs d’émergence épidémique : étude du cas de l’épidémie de Chikungunya dans l’océan Indien en 2004-2007 [texte imprimé] / Antoine Flahault . - 2017 . - p. 948-953.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 948-953
Résumé : L’émergence d’une épidémie d’arbovirose est le plus souvent liée à la convergence d’un ensemble de facteurs physiques et environnementaux, génétiques et biologiques, écologiques, sociaux, politiques et économiques, favorisant chacun l’adaptation du virus au vecteur et à l’hôte et le démarrage d’un processus épidémique. Cet article évalue le rôle de treize de ces facteurs cités comme contribuant à l’émergence d’épidémies de maladies infectieuses, à travers l’étude de l’épidémie de Chikungunya, un alphavirus transmis par Aedes aegypti et Aedes albopictus, survenue dans l’océan Indien en 2004-2007.
IntroductionLe risque d’émergence d’arboviroses, ces maladies virales transmises par des arthropodes (par exemple : moustiques, tiques), a été analysé par Jones KE et coll.1 Il apparaît que si aucune zone de la planète n’est totalement à l’abri de tels risques, en revanche, certaines régions du monde constituent clairement des points plus « chauds », en particulier la zone intertropicale (figure 1). Smolinski et coll. ont formalisé le concept d’un « modèle de convergence » des facteurs d’émergence épidémique.2 L’émergence épidémique ne serait le plus souvent pas causée par un seul déterminant, mais plutôt par la convergence de multiples facteurs : physiques et environnementaux, génétiques et biologiques, écologiques, sociaux, politiques et économiques. Ces facteurs agissent, bien sûr, sur l’homme et l’agent microbien. Dans leur sagesse et leur prudence, les concepteurs du modèle de convergence ont prévu de laisser une zone d’ombre, représentant les facteurs non expliqués en l’état...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53701 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Morsures de serpents suisses et tropicaux : prise en charge / Laurence Rochat in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Morsures de serpents suisses et tropicaux : prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Rochat ; Gabriel Alcoba Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 954-962 Langues : Français (fre) Résumé : Avec l’augmentation des voyages dans les zones tropicales, de même que du nombre de détenteurs de serpents venimeux à domicile, la fréquence des morsures de serpents risque d’augmenter. Même si dans 50 % des cas les morsures ne conduisent pas à une envenimation clinique, une prise en charge rapide et ciblée améliore les chances de succès thérapeutique. Ceci suppose un approvisionnement avec l’antivenin polyvalent ou spécifique et la reconnaissance des signes et des symptômes justifiant son administration. Nous traiterons ici essentiellement des envenimations par des serpents locaux ou tropicaux que le praticien suisse pourrait rencontrer au cabinet ou aux urgences en nous basant sur quelques vignettes et en proposant des scénarios en fonction des syndromes.
IntroductionLes morsures de serpents sont souvent perçues comme des urgences vitales. En réalité, leur gravité varie en fonction de l’espèce, de l’âge de la personne mordue,1 des comorbidités, et surtout de l’accès rapide à un antivenin. En Suisse, les morsures surviennent surtout en été lors de randonnées en montagne dans les Alpes ou dans le Jura, ou lors d’accidents de manipulation par des professionnels de zoos et de vivariums ou par des amateurs de serpents exotiques venimeux, parfois inconscients du danger.Dans le monde, les envenimations par morsure de serpent représentent un problème majeur de santé publique affectant environ 1 million (421 000-1 841 000)2 de victimes dont environ la moitié présenterait des séquelles permanentes, sous forme de handicap physique suite à des lésions ou des amputations3–7 ou de traumatismes psychologiques.8 Les complications immédiates, la mortalité, et les séquelles à long terme représentent également une perte économique importante pour les...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53702
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 954-962[article] Morsures de serpents suisses et tropicaux : prise en charge [texte imprimé] / Laurence Rochat ; Gabriel Alcoba . - 2017 . - p. 954-962.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 954-962
Résumé : Avec l’augmentation des voyages dans les zones tropicales, de même que du nombre de détenteurs de serpents venimeux à domicile, la fréquence des morsures de serpents risque d’augmenter. Même si dans 50 % des cas les morsures ne conduisent pas à une envenimation clinique, une prise en charge rapide et ciblée améliore les chances de succès thérapeutique. Ceci suppose un approvisionnement avec l’antivenin polyvalent ou spécifique et la reconnaissance des signes et des symptômes justifiant son administration. Nous traiterons ici essentiellement des envenimations par des serpents locaux ou tropicaux que le praticien suisse pourrait rencontrer au cabinet ou aux urgences en nous basant sur quelques vignettes et en proposant des scénarios en fonction des syndromes.
IntroductionLes morsures de serpents sont souvent perçues comme des urgences vitales. En réalité, leur gravité varie en fonction de l’espèce, de l’âge de la personne mordue,1 des comorbidités, et surtout de l’accès rapide à un antivenin. En Suisse, les morsures surviennent surtout en été lors de randonnées en montagne dans les Alpes ou dans le Jura, ou lors d’accidents de manipulation par des professionnels de zoos et de vivariums ou par des amateurs de serpents exotiques venimeux, parfois inconscients du danger.Dans le monde, les envenimations par morsure de serpent représentent un problème majeur de santé publique affectant environ 1 million (421 000-1 841 000)2 de victimes dont environ la moitié présenterait des séquelles permanentes, sous forme de handicap physique suite à des lésions ou des amputations3–7 ou de traumatismes psychologiques.8 Les complications immédiates, la mortalité, et les séquelles à long terme représentent également une perte économique importante pour les...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53702 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Panels gastro-intestinaux par PCR multiplex pour la prise en chargedes diarrhées du voyageur : performants et utiles ? / Laurence Rochat in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Panels gastro-intestinaux par PCR multiplex pour la prise en chargedes diarrhées du voyageur : performants et utiles ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Rochat ; Antony Croxatto ; Serge De Vallière ; et al. Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 963-967 Langues : Français (fre) Résumé : Jusqu’à présent, la recherche d’entéropathogènes à l’origine de diarrhées au retour de voyage se basait essentiellement sur la culture bactérienne de selles (Campylobacter spp., Salmonella spp. et Shigella spp.), la microscopie directe sans(Giardia lamblia, Entamoeba histolytica) ou avec coloration spéciale (Cryptosporidium spp.) et la recherche d’antigènes spécifiques (Giardia lamblia, Entamoeba histolytica). Désormais, les analyses moléculaires tendent à supplanter les techniques traditionnelles mais l’utilité clinique de la PCR par rapport aux examens conventionnels doit être mieux définie. Cet article cherche à décrire les avantages et les limitations de ces nouvelles méthodes moléculaires et à illustrer des situations dans lesquelles leur utilisation pourrait être indiquée à la lumière de cas cliniques fréquemment rencontrés dans la pratique de la médecine des voyages.
IntroductionLa diarrhée du voyageur représente la maladie infectieuse la plus fréquente lors d’un voyage en pays tropical.1 L’incidence de la diarrhée du voyageur pour un séjour de deux semaines se situe entre 20 et 60 % ;2 elle est en relation avec la saison du voyage et les conditions sanitaires de la région visitée. En règle générale, les symptômes de la diarrhée du voyageur apparaissent pendant les deux premières semaines de voyage et s’estompent après trois à cinq jours sans traitement spécifique. L’étiologie bactérienne est la plus courante, suivie d’une infection virale, puis parasitaire (tableau 1).3 Les diarrhées persistent au-delà d’une dizaine de jours chez 5 % des voyageurs. Les étiologies les plus fréquentes sont alors les protozoaires, suivis des bactéries4 (tableau 2). Les helminthes sont par contre rarement associés à la diarrhée du voyageur. Nouvelles méthodes rapides d’analyses moléculairesActuellement, le diagnostic des diarrhées vit une révolution technologiqu...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53703
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 963-967[article] Panels gastro-intestinaux par PCR multiplex pour la prise en chargedes diarrhées du voyageur : performants et utiles ? [texte imprimé] / Laurence Rochat ; Antony Croxatto ; Serge De Vallière ; et al. . - 2017 . - p. 963-967.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 963-967
Résumé : Jusqu’à présent, la recherche d’entéropathogènes à l’origine de diarrhées au retour de voyage se basait essentiellement sur la culture bactérienne de selles (Campylobacter spp., Salmonella spp. et Shigella spp.), la microscopie directe sans(Giardia lamblia, Entamoeba histolytica) ou avec coloration spéciale (Cryptosporidium spp.) et la recherche d’antigènes spécifiques (Giardia lamblia, Entamoeba histolytica). Désormais, les analyses moléculaires tendent à supplanter les techniques traditionnelles mais l’utilité clinique de la PCR par rapport aux examens conventionnels doit être mieux définie. Cet article cherche à décrire les avantages et les limitations de ces nouvelles méthodes moléculaires et à illustrer des situations dans lesquelles leur utilisation pourrait être indiquée à la lumière de cas cliniques fréquemment rencontrés dans la pratique de la médecine des voyages.
IntroductionLa diarrhée du voyageur représente la maladie infectieuse la plus fréquente lors d’un voyage en pays tropical.1 L’incidence de la diarrhée du voyageur pour un séjour de deux semaines se situe entre 20 et 60 % ;2 elle est en relation avec la saison du voyage et les conditions sanitaires de la région visitée. En règle générale, les symptômes de la diarrhée du voyageur apparaissent pendant les deux premières semaines de voyage et s’estompent après trois à cinq jours sans traitement spécifique. L’étiologie bactérienne est la plus courante, suivie d’une infection virale, puis parasitaire (tableau 1).3 Les diarrhées persistent au-delà d’une dizaine de jours chez 5 % des voyageurs. Les étiologies les plus fréquentes sont alors les protozoaires, suivis des bactéries4 (tableau 2). Les helminthes sont par contre rarement associés à la diarrhée du voyageur. Nouvelles méthodes rapides d’analyses moléculairesActuellement, le diagnostic des diarrhées vit une révolution technologiqu...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53703 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Exigeons une médecine technologique et humaine / Jean Gabriel Jeannot in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : Exigeons une médecine technologique et humaine Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Gabriel Jeannot Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 969 Langues : Français (fre) Résumé : À propos de l’article : abella a. médeci ne hypertec hnolo gique, médeci ne humaineJ’ai lu avec beaucoup d’intérêt l’article « Médecine hypertechnologique, médecine humaine ? »1 publié récemment dans la Revue Médicale Suisse. Il s’agit d’un sujet d’importance, merci à l’auteur d’y avoir consacré un article.Même si je partage avec elle certaines inquiétudes quant à la digitalisation de notre profession, je ne partage pas son analyse.Elle présente le cas d’un jeune médecin qui doit voir huit patients en 2 h 30 et qui en plus est appelé pour une situation d’urgence. Il se retrouve face à une patiente qu’il n’a pas le temps d’écouter, « les yeux rivés sur son ordinateur ».Le problème que pose cette vignette clinique est à mon sens plus celui du manque de temps que celui du dossier médical informatisé. Si l’on manque de temps pour soigner un patient, la partie est perdue d’avance, que l’on utilise le papier ou l’informatique. Pour ce qui est du médecin « les yeux rivés à son ordinateur... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53704
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 969[article] Exigeons une médecine technologique et humaine [texte imprimé] / Jean Gabriel Jeannot . - 2017 . - p. 969.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 969
Résumé : À propos de l’article : abella a. médeci ne hypertec hnolo gique, médeci ne humaineJ’ai lu avec beaucoup d’intérêt l’article « Médecine hypertechnologique, médecine humaine ? »1 publié récemment dans la Revue Médicale Suisse. Il s’agit d’un sujet d’importance, merci à l’auteur d’y avoir consacré un article.Même si je partage avec elle certaines inquiétudes quant à la digitalisation de notre profession, je ne partage pas son analyse.Elle présente le cas d’un jeune médecin qui doit voir huit patients en 2 h 30 et qui en plus est appelé pour une situation d’urgence. Il se retrouve face à une patiente qu’il n’a pas le temps d’écouter, « les yeux rivés sur son ordinateur ».Le problème que pose cette vignette clinique est à mon sens plus celui du manque de temps que celui du dossier médical informatisé. Si l’on manque de temps pour soigner un patient, la partie est perdue d’avance, que l’on utilise le papier ou l’informatique. Pour ce qui est du médecin « les yeux rivés à son ordinateur... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53704 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt De la « médicalisation » des mutilations génitales féminines / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
[article]
Titre : De la « médicalisation » des mutilations génitales féminines Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 970-971 Langues : Français (fre) Résumé : C’est une bien dérangeante question qu’abordent, avec les mutilations génitales féminines, les deux auteures du dernier numéro de Population & Sociétés,1 publication de l’Institut national français d’études démographiques (INED). Question dérangeante en ce qu’elle met en lumière l’existence d’une « médicalisation » de pratiques définies, à l’échelon international, comme constituant une violation des droits humains. Question difficile, également, qui impose de se pencher sur un dossier d’une particulière complexité.Les mutilations génitales féminines réunissent « toutes les interventions aboutissant à une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme et / ou toute autre lésion des organes génitaux féminins pratiquée à des fins non thérapeutiques ». Il s’agit ici d’ablation partielle ou totale du clitoris (clitoridectomie) plus ou moins associée à celle des petites lèvres, avec ou sans excision des grandes lèvres. Il peut s’agir aussi du rétrécissement d... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53705
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 970-971[article] De la « médicalisation » des mutilations génitales féminines [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2017 . - p. 970-971.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 970-971
Résumé : C’est une bien dérangeante question qu’abordent, avec les mutilations génitales féminines, les deux auteures du dernier numéro de Population & Sociétés,1 publication de l’Institut national français d’études démographiques (INED). Question dérangeante en ce qu’elle met en lumière l’existence d’une « médicalisation » de pratiques définies, à l’échelon international, comme constituant une violation des droits humains. Question difficile, également, qui impose de se pencher sur un dossier d’une particulière complexité.Les mutilations génitales féminines réunissent « toutes les interventions aboutissant à une ablation partielle ou totale des organes génitaux externes de la femme et / ou toute autre lésion des organes génitaux féminins pratiquée à des fins non thérapeutiques ». Il s’agit ici d’ablation partielle ou totale du clitoris (clitoridectomie) plus ou moins associée à celle des petites lèvres, avec ou sans excision des grandes lèvres. Il peut s’agir aussi du rétrécissement d... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53705 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Que penser du tabac chauffé « à moindre nocivité » ? / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 561 (Mai 2017)
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Titre : Que penser du tabac chauffé « à moindre nocivité » ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 972-973 Langues : Français (fre) Résumé : On sait que la réduction du risque peut, à sa manière, constituer une forme d’avancée thérapeutique. De ce point de vue, les initiatives actuelles des géants de l’industrie du tabac pour commercialiser de nouveaux dispositifs de « tabac chauffé » viennent soulever de nouvelles questions sanitaires. Des questions nées des allégations des fabricants laissant entendre que cette nouvelle forme de consommation du tabac serait associée à une « moindre nocivité ».C’est aujourd’hui le cas en France où, après une vingtaine d’autres pays, Philip Morris International (PMI) annonce le lancement d’une méthode de ce type. A la différence du tabac « brûlé », la technique du tabac « chauffé » n’a pas recours à la combustion, source de production d’une multitude d’agents toxiques pour l’organisme. Parmi les milliers de substances contenues dans la fumée de tabac, on compte ainsi plusieurs dizaines de cancérogènes avérés, faisant du tabagisme la première cause de mortalité prématurée au monde (et l... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53706
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 972-973[article] Que penser du tabac chauffé « à moindre nocivité » ? [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2017 . - p. 972-973.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 561 (Mai 2017) . - p. 972-973
Résumé : On sait que la réduction du risque peut, à sa manière, constituer une forme d’avancée thérapeutique. De ce point de vue, les initiatives actuelles des géants de l’industrie du tabac pour commercialiser de nouveaux dispositifs de « tabac chauffé » viennent soulever de nouvelles questions sanitaires. Des questions nées des allégations des fabricants laissant entendre que cette nouvelle forme de consommation du tabac serait associée à une « moindre nocivité ».C’est aujourd’hui le cas en France où, après une vingtaine d’autres pays, Philip Morris International (PMI) annonce le lancement d’une méthode de ce type. A la différence du tabac « brûlé », la technique du tabac « chauffé » n’a pas recours à la combustion, source de production d’une multitude d’agents toxiques pour l’organisme. Parmi les milliers de substances contenues dans la fumée de tabac, on compte ainsi plusieurs dizaines de cancérogènes avérés, faisant du tabagisme la première cause de mortalité prématurée au monde (et l... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=53706 Exemplaires (1)
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