Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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[article]
Titre : |
Mon enfant est enrhumé : qu’est-ce que je fais ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Noël Evain ; Mariel Cartal |
Année de publication : |
2025 |
Article en page(s) : |
p. 136-143 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.anrea.2025.01.001 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Anesthésie pédiatrique Enfant Infection respiratoire Complication respiratoire péri-anesthésique |
Résumé : |
Les infections des voies aériennes supérieures, y compris par le SARS-COV-2, sont communes chez l’enfant et augmentent le risque de complications respiratoires péri-anesthésiques. La question de maintenir ou de reporter une intervention programmée chez un enfant enrhumé se pose fréquemment en pratique anesthésique courante. Le risque de complication doit être précisé en tenant compte de l’intensité de l’épisode infectieux et des autres facteurs de risque de complications respiratoires, liés à l’enfant, à l’anesthésie et à la chirurgie. Ce risque doit être mis en balance avec les inconvénients et les conséquences potentielles du report. Des outils d’aide à la décision peuvent être utilisés, mais la décision finale devra aussi tenir compte de l’expérience de l’équipe en charge. Des efforts d’organisation et de prévention doivent être faits pour limiter le plus possible les annulations de dernière minute, qui perturbent toutes les parties et entraînent une utilisation sous-optimale des ressources humaines et matérielles du bloc opératoire. En cas de report, le geste doit être reprogrammé au moins deux semaines après la fin des symptômes, en raison de la persistance d’une hyperréactivité résiduelle des voies aériennes. En cas d’intervention urgente ou de maintien d’une intervention élective, des mesures préopératoires et une adaptation de l’anesthésie viseront à réduire le risque de complications respiratoires. Avec une équipe expérimentée et une prise en charge optimisée, la plupart des enfants souffrant d’une infection modérée des voies aériennes supérieures peuvent bénéficier en toute sécurité d’une chirurgie programmée non majeure. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93838 |
in anesthésie & réanimation > Vol. 11, n° 2 (Avril 2025) . - p. 136-143
[article] Mon enfant est enrhumé : qu’est-ce que je fais ? [texte imprimé] / Jean-Noël Evain ; Mariel Cartal . - 2025 . - p. 136-143. Doi : 10.1016/j.anrea.2025.01.001 Langues : Français ( fre) in anesthésie & réanimation > Vol. 11, n° 2 (Avril 2025) . - p. 136-143
Mots-clés : |
Anesthésie pédiatrique Enfant Infection respiratoire Complication respiratoire péri-anesthésique |
Résumé : |
Les infections des voies aériennes supérieures, y compris par le SARS-COV-2, sont communes chez l’enfant et augmentent le risque de complications respiratoires péri-anesthésiques. La question de maintenir ou de reporter une intervention programmée chez un enfant enrhumé se pose fréquemment en pratique anesthésique courante. Le risque de complication doit être précisé en tenant compte de l’intensité de l’épisode infectieux et des autres facteurs de risque de complications respiratoires, liés à l’enfant, à l’anesthésie et à la chirurgie. Ce risque doit être mis en balance avec les inconvénients et les conséquences potentielles du report. Des outils d’aide à la décision peuvent être utilisés, mais la décision finale devra aussi tenir compte de l’expérience de l’équipe en charge. Des efforts d’organisation et de prévention doivent être faits pour limiter le plus possible les annulations de dernière minute, qui perturbent toutes les parties et entraînent une utilisation sous-optimale des ressources humaines et matérielles du bloc opératoire. En cas de report, le geste doit être reprogrammé au moins deux semaines après la fin des symptômes, en raison de la persistance d’une hyperréactivité résiduelle des voies aériennes. En cas d’intervention urgente ou de maintien d’une intervention élective, des mesures préopératoires et une adaptation de l’anesthésie viseront à réduire le risque de complications respiratoires. Avec une équipe expérimentée et une prise en charge optimisée, la plupart des enfants souffrant d’une infection modérée des voies aériennes supérieures peuvent bénéficier en toute sécurité d’une chirurgie programmée non majeure. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=93838 |
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