Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
La bibliothèque sera ouverte le lundi 2 juin de 10.30 à 17.45
La bibliothèque sera fermée les mardi 10 et lundi 23 juin. Les locaux 140 et 240 seront, comme habituellement, ouverts pour vous y accueillir pour étudier.
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
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[article]
[article] Dépistage organisé du cancer pulmonaire. A quand une recommandation en France ? [texte imprimé] / Gérard Zalcman ; Bernard Milleron ; Solenn Brosseau ; Antoine Khalil ; Valérie Gounant . - 2024 . - p. 403-410. Le cancer bronchopulmonaire est un bon candidat pour un dépistage dans une population à risque (fumeurs et anciens fumeurs). En effet, il s’agit d’une maladie fréquente, et grave si elle est découverte tardivement. Inversement, elle est curable dans les stades précoces. Ainsi, deux larges études randomisées, NLST et NELSON, ont démontré, respectivement chez 53 439 et 13 195 grands fumeurs ou anciens grands fumeurs, que le dépistage annuel par scanner thoracique faiblement dosé diminue significativement la mortalité spécifique par cancer bronchopulmonaire. L’étude NLST a également démontré une diminution de la mortalité globale, reflétant la contribution du cancer pulmonaire dans cette mortalité globale. Néanmoins, plusieurs inconvénients potentiels de ce dépistage par scanner sont régulièrement mis en avant : le risque de faux positifs et leur hétérogénéité d’investigation, l’irradiation liée aux scanners, le risque de surdiagnostic, l’influence sur le tabagisme, le risque d’altération de la qualité de vie et le coût. Ces inconvénients restent parfaitement contrôlables et modérés, et les publications récentes concluent à un rapport bénéfice/risque favorable du dépistage par scanner. De nombreuses sociétés savantes internationales le recommandent actuellement, et de nombreux pays ont initié un programme national organisé de dépistage. Un groupe d’experts français a publié en 2012 et 2021 des recommandations fermes en faveur de ce dépistage. La Haute Autorité de santé (HAS) a ouvert la porte à des « expérimentations » régionales, pour en vérifier l’implémentation en France et les modalités d’organisation. Un dépistage individuel, « opportuniste » chez un sujet fumeur ou ex-fumeur à risque, doit respecter les critères d’éligibilité et les modalités de surveillance ultérieure, définis dans les essais internationaux, sur la taille et l’évolution volumétrique d’un nodule dépisté sur deux scanners successifs. Langues : Français (fre) in La revue du praticien médecine générale > 1090 (Octobre 2024) . - p. 403-410
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