[article] 
inRevue médicale suisse > 894 (6 novembre 2024) . - p. 2043-2047

Titre :	Dépistage du cancer de la prostate : à recommander en 2024 ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Alexandrine Bosshart ; Frédéric Bacchetta ; Anne Boesch ; Marie-Anne Durand ; Massimo Valerio ; Kevin Selby
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 2043-2047
Note générale :	DOI: 10.53738/REVMED.2024.20.894.2043
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Dépistage  Cancer de la prostate  Dosage de la protéine Prostate Specific Antigen - PSA  IRMmp  Toucher rectal
Résumé :	Le dosage de la protéine Prostate Specific Antigen (PSA) reste actuellement le seul outil de dépistage du cancer de la prostate. Il est recommandé de le réaliser entre 50 et 69 ans dans le cadre d’un processus de décision partagée entre le patient et son médecin, avec le recours à un outil d’aide à la décision (probabilité élevée de surdiagnostic). Si un patient souhaite le dépistage, soit en raison d’un risque élevé, soit parce qu’il accorde plus d’importance à une réduction modeste de la mortalité liée au cancer, la fréquence du dépistage dépend de son âge, des antécédents familiaux, et s’il appartient à un groupe à risque. L’IRM multiparamétrique après un résultat de PSA positif permet de réduire le nombre de biopsies et, par conséquent, le risque de surdiagnostic.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87839

[article] Dépistage du cancer de la prostate : à recommander en 2024 ? [texte imprimé] / Alexandrine Bosshart ; Frédéric Bacchetta ; Anne Boesch ; Marie-Anne Durand ; Massimo Valerio ; Kevin Selby . - 2024 . - p. 2043-2047.
DOI: 10.53738/REVMED.2024.20.894.2043
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 894 (6 novembre 2024) . - p. 2043-2047

Mots-clés :	Dépistage  Cancer de la prostate  Dosage de la protéine Prostate Specific Antigen - PSA  IRMmp  Toucher rectal
Résumé :	Le dosage de la protéine Prostate Specific Antigen (PSA) reste actuellement le seul outil de dépistage du cancer de la prostate. Il est recommandé de le réaliser entre 50 et 69 ans dans le cadre d’un processus de décision partagée entre le patient et son médecin, avec le recours à un outil d’aide à la décision (probabilité élevée de surdiagnostic). Si un patient souhaite le dépistage, soit en raison d’un risque élevé, soit parce qu’il accorde plus d’importance à une réduction modeste de la mortalité liée au cancer, la fréquence du dépistage dépend de son âge, des antécédents familiaux, et s’il appartient à un groupe à risque. L’IRM multiparamétrique après un résultat de PSA positif permet de réduire le nombre de biopsies et, par conséquent, le risque de surdiagnostic.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87839