[article] 
inRevue médicale suisse > 892 (23 octobre 2024) . - p. 1931-1935

Titre :	Prophylaxie par inhibiteur de la pompe à protons en cas de corticothérapie : « less is more ».
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Benjamin Mach ; Jérôme Stirnemann
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 1931-1935
Note générale :	DOI: 10.53738/REVMED.2024.20.892.1931
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Prophylaxie  Pompe à proton  Corticothérapie  Prescription  Effet indésirable  Glucocorticoïde
Résumé :	Il est courant de prescrire de routine une prophylaxie de l’ulcère gastro-intestinal (UGI) par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) lors d’administration de glucocorticoïdes (GC) à haute dose (> 30 mg/jour d’équivalent prednisone) et/ou pour une durée prolongée (> 15 jours). Ce réflexe est dû à un profil de risque jugé sécuritaire des IPP en comparaison aux conséquences potentiellement sévères du développement d’un UGI. Au vu des nombreux effets indésirables associés aux IPP, il est nécessaire de se poser la question de la balance risque/bénéfice lors de leur prescription. L’objectif de cet article est de résumer l’évidence de la prophylaxie de l’UGI par IPP en cas de traitement GC, en médecine ambulatoire ou en soins aigus (hors soins intensifs).
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87687

[article] Prophylaxie par inhibiteur de la pompe à protons en cas de corticothérapie : « less is more ». [texte imprimé] / Benjamin Mach ; Jérôme Stirnemann . - 2024 . - p. 1931-1935.
DOI: 10.53738/REVMED.2024.20.892.1931
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 892 (23 octobre 2024) . - p. 1931-1935

Mots-clés :	Prophylaxie  Pompe à proton  Corticothérapie  Prescription  Effet indésirable  Glucocorticoïde
Résumé :	Il est courant de prescrire de routine une prophylaxie de l’ulcère gastro-intestinal (UGI) par des inhibiteurs de la pompe à protons (IPP) lors d’administration de glucocorticoïdes (GC) à haute dose (> 30 mg/jour d’équivalent prednisone) et/ou pour une durée prolongée (> 15 jours). Ce réflexe est dû à un profil de risque jugé sécuritaire des IPP en comparaison aux conséquences potentiellement sévères du développement d’un UGI. Au vu des nombreux effets indésirables associés aux IPP, il est nécessaire de se poser la question de la balance risque/bénéfice lors de leur prescription. L’objectif de cet article est de résumer l’évidence de la prophylaxie de l’UGI par IPP en cas de traitement GC, en médecine ambulatoire ou en soins aigus (hors soins intensifs).
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=87687