[article] 
inOxymag > 194 (janvier-février 2024) . - p. 8-11

Titre :	La chirurgie orthopédique, une prise en charge disciplinaire
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jean-Étienne Bazin
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 8-11
Note générale :	Article du dossier "Anesthésie en chirurgie orthopédique" Doi : 10.1016/j.oxy.2023.12.003
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Dispositif médical  Garrot chirurgical  Hyperpression  Pratique réglementée  Séquelle neurologique
Résumé :	La mise en place d’un garrot pneumatique permet d’obtenir un champ opératoire exsangue en interrompant la circulation sanguine. La pression exercée sous le brassard peut être responsable de lésions de toutes les structures sous-jacentes. La pression d’occlusion la plus basse possible doit donc être appliquée, en augmentant la largeur du garrot. Ce dernier entraîne une ischémie dans le territoire d’aval responsable d’un syndrome d’ischémie-reperfusion après le dégonflage, favorisé par la durée du garrotage. Le temps d’ischémie doit dès lors être limité au maximum et ne jamais dépasser deux heures pour le membre inférieur et 90 minutes pour le membre supérieur.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81684

[article] La chirurgie orthopédique, une prise en charge disciplinaire [texte imprimé] / Jean-Étienne Bazin . - 2024 . - p. 8-11.
Article du dossier "Anesthésie en chirurgie orthopédique"
Doi : 10.1016/j.oxy.2023.12.003
Langues : Français (fre)
in Oxymag > 194 (janvier-février 2024) . - p. 8-11

Mots-clés :	Dispositif médical  Garrot chirurgical  Hyperpression  Pratique réglementée  Séquelle neurologique
Résumé :	La mise en place d’un garrot pneumatique permet d’obtenir un champ opératoire exsangue en interrompant la circulation sanguine. La pression exercée sous le brassard peut être responsable de lésions de toutes les structures sous-jacentes. La pression d’occlusion la plus basse possible doit donc être appliquée, en augmentant la largeur du garrot. Ce dernier entraîne une ischémie dans le territoire d’aval responsable d’un syndrome d’ischémie-reperfusion après le dégonflage, favorisé par la durée du garrotage. Le temps d’ischémie doit dès lors être limité au maximum et ne jamais dépasser deux heures pour le membre inférieur et 90 minutes pour le membre supérieur.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81684