[article] 
inRevue médicale suisse > 856-7 (17 janvier 2024) . - p. 5-8

Titre :	Face au désenchantement des étudiants en médecine, les facultés sont prêtes à innover
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Antoine Geissbuhler, Personne interviewée ; Manuel Pascual, Personne interviewée ; Michael Balavoine, Intervieweur
Année de publication :	2024
Article en page(s) :	p. 5-8
Note générale :	DOI: 10.53738/REVMED.2024.20.856-7.05
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Médecine  Formation
Résumé :	Toujours plus de jeunes souhaitent étudier la médecine. Mais l’exercice de la profession suscite de moins en moins de vocation. Le 4 décembre dernier, l’Association suisse des étudiants en médecine (SWIMSA) révélait que trente-quatre pour cent des étudiants en médecine envisagent de ne pas pratiquer le métier après leur première confrontation à la réalité du terrain lors des stages hospitaliers. Menée auprès de 2300 jeunes, l’enquête en dit long sur le désenchantement qui frappe la profession médicale. Et interroge sur la formation des futurs médecins. Faut-il repenser le cursus ? Changer la manière de sélectionner les candidats ? Et surtout: les facultés enseignent-elles des compétences qui sont en adéquation avec les besoins du système de soins et de la société ? Mentorat, examen d’aptitude, mention pour une médecine de premier recours: Antoine Geissbühler, fraîchement nommé doyen de la faculté de Genève, et Manuel Pascual, doyen de la faculté de Lausanne, ne manquent pas d’idées pour faire évoluer les études de médecine. Alors que l’un entre dans son rôle de doyen et l’autre s’apprête à le quitter, les deux professeurs partagent une même conviction: il est possible de réenchanter les études de médecine.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81414

[article] Face au désenchantement des étudiants en médecine, les facultés sont prêtes à innover [texte imprimé] / Antoine Geissbuhler, Personne interviewée ; Manuel Pascual, Personne interviewée ; Michael Balavoine, Intervieweur . - 2024 . - p. 5-8.
DOI: 10.53738/REVMED.2024.20.856-7.05

Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 856-7 (17 janvier 2024) . - p. 5-8

Mots-clés :	Médecine  Formation
Résumé :	Toujours plus de jeunes souhaitent étudier la médecine. Mais l’exercice de la profession suscite de moins en moins de vocation. Le 4 décembre dernier, l’Association suisse des étudiants en médecine (SWIMSA) révélait que trente-quatre pour cent des étudiants en médecine envisagent de ne pas pratiquer le métier après leur première confrontation à la réalité du terrain lors des stages hospitaliers. Menée auprès de 2300 jeunes, l’enquête en dit long sur le désenchantement qui frappe la profession médicale. Et interroge sur la formation des futurs médecins. Faut-il repenser le cursus ? Changer la manière de sélectionner les candidats ? Et surtout: les facultés enseignent-elles des compétences qui sont en adéquation avec les besoins du système de soins et de la société ? Mentorat, examen d’aptitude, mention pour une médecine de premier recours: Antoine Geissbühler, fraîchement nommé doyen de la faculté de Genève, et Manuel Pascual, doyen de la faculté de Lausanne, ne manquent pas d’idées pour faire évoluer les études de médecine. Alors que l’un entre dans son rôle de doyen et l’autre s’apprête à le quitter, les deux professeurs partagent une même conviction: il est possible de réenchanter les études de médecine.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=81414