Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Rhumatologie Mention de date : Mars 2013
Paru le : 13/03/2013
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : |
Les connectivites, une affaire de spécialistes ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Cem Gabay ; Alexander So |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 539-540 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Les connectivites sont un ensemble de maladies auto-immunes, avec manifestations systémiques, pouvant toucher par définition plusieurs organes. Ces maladies étaient auparavant connues sous le terme de collagénose. Actuellement, le terme de connectivite est plus généralement employé et dérive de la terminologie anglaise connective tissue diseases. Le lupus érythémateux systémique est la maladie la plus représentative des connectivites, toutefois d’autres affections telles que le syndrome de Sjögren, les myopathies inflammatoires idiopathiques, la sclérodermie et les connectivites mixtes font également partie de cet ensemble. La polyarthrite rhumatoïde est généralement classée un peu à part en raison de la prédominance des atteintes articulaires. Toutefois, les manifestations systémiques de cette maladie, de même que sa pathogénie auto-immune, la rapproche des connectivites. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45492 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 539-540
[article] Les connectivites, une affaire de spécialistes ? [texte imprimé] / Cem Gabay ; Alexander So . - 2013 . - p. 539-540. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 539-540
Résumé : |
Les connectivites sont un ensemble de maladies auto-immunes, avec manifestations systémiques, pouvant toucher par définition plusieurs organes. Ces maladies étaient auparavant connues sous le terme de collagénose. Actuellement, le terme de connectivite est plus généralement employé et dérive de la terminologie anglaise connective tissue diseases. Le lupus érythémateux systémique est la maladie la plus représentative des connectivites, toutefois d’autres affections telles que le syndrome de Sjögren, les myopathies inflammatoires idiopathiques, la sclérodermie et les connectivites mixtes font également partie de cet ensemble. La polyarthrite rhumatoïde est généralement classée un peu à part en raison de la prédominance des atteintes articulaires. Toutefois, les manifestations systémiques de cette maladie, de même que sa pathogénie auto-immune, la rapproche des connectivites. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45492 |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Manifestations ostéo-articulaires dans les connectivites |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
P.-A. Guerne |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 542-548 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Les manifestations articulaires sont fréquentes et constituent souvent le signe d’appel d’une connectivite qui doit être soigneusement recherchée selon la clinique, notamment par l’échographie et la recherche d’autoanticorps. Les manifestations articulaires sont souvent sévères et doivent être traitées en conséquence. Dans le lupus, on distingue l’arthropathie non déformante non érosive, l’arthropathie de Jaccoud (déformante, non érosive) et l’arthropathie érosive (rhupus). L’ultra-son a récemment montré que les atteintes destructrices sont en fait plus fréquentes qu’initialement considéré. Par ailleurs, le lupus peut se compliquer de nécroses ou de fractures, qui se distinguent par des douleurs surtout mécaniques. Dans les autres connectivites, on retrouve, avec quelques nuances, des formes semblables d’arthropathies et de complications. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45493 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 542-548
[article] Manifestations ostéo-articulaires dans les connectivites [texte imprimé] / P.-A. Guerne . - 2013 . - p. 542-548. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 542-548
Résumé : |
Les manifestations articulaires sont fréquentes et constituent souvent le signe d’appel d’une connectivite qui doit être soigneusement recherchée selon la clinique, notamment par l’échographie et la recherche d’autoanticorps. Les manifestations articulaires sont souvent sévères et doivent être traitées en conséquence. Dans le lupus, on distingue l’arthropathie non déformante non érosive, l’arthropathie de Jaccoud (déformante, non érosive) et l’arthropathie érosive (rhupus). L’ultra-son a récemment montré que les atteintes destructrices sont en fait plus fréquentes qu’initialement considéré. Par ailleurs, le lupus peut se compliquer de nécroses ou de fractures, qui se distinguent par des douleurs surtout mécaniques. Dans les autres connectivites, on retrouve, avec quelques nuances, des formes semblables d’arthropathies et de complications. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45493 |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Complications cardio-vasculaires dans les maladies auto-immunes |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Axel Finckh |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 549-555 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Les maladies auto-immunes sont grevées d’un risque cardio-vasculaire (CV) accru d’événements ischémiques et d’une mortalité CV augmentée. Cette augmentation du risque CV semble être directement liée à l’inflammation chronique. Différentes études ont démontré que réduire l’inflammation permet de diminuer l’incidence de complications CV. Nous allons passer en revue les évidences épidémiologiques liant maladies systémiques inflammatoires et complications CV, évoquer le rôle causal de l’inflammation dans l’étiopathogenèse et discuter les bénéfices potentiels de certaines thérapies anti-inflammatoires. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45494 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 549-555
[article] Complications cardio-vasculaires dans les maladies auto-immunes [texte imprimé] / Axel Finckh . - 2013 . - p. 549-555. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 549-555
Résumé : |
Les maladies auto-immunes sont grevées d’un risque cardio-vasculaire (CV) accru d’événements ischémiques et d’une mortalité CV augmentée. Cette augmentation du risque CV semble être directement liée à l’inflammation chronique. Différentes études ont démontré que réduire l’inflammation permet de diminuer l’incidence de complications CV. Nous allons passer en revue les évidences épidémiologiques liant maladies systémiques inflammatoires et complications CV, évoquer le rôle causal de l’inflammation dans l’étiopathogenèse et discuter les bénéfices potentiels de certaines thérapies anti-inflammatoires. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45494 |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Les connectivites : progrès thérapeutiques et place de la biothérapie |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
B. Aubry-Rozier ; Isabelle Fabreguet |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 556-560 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Les connectivites les plus fréquentes sont le lupus érythémateux systémique et le syndrome de Sjögren. Longtemps laissées pour compte au bénéfice de la polyarthrite rhumatoïde, les avancées dans la compréhension de ces maladies permettent aujourd’hui de proposer des traitements ciblés. Les progrès concernent aussi bien la plus vieille molécule active connue, l’hydroxychloroquine, que les biothérapies. Le Plaquenil est en effet toujours d’actualité pour le traitement du lupus, ses bénéfices dans cette maladie se révélant toujours plus nombreux. Par contre, il ne semble pas efficace dans le Sjögren primitif. La biothérapie ciblant les lymphocytes B semble efficace dans ces deux pathologies alors que les anti-TNF semblent plutôt inducteurs de connectivites. La vraie nouveauté réside dans l’arrivée du premier traitement biologique remboursé officiellement en Suisse pour traiter le lupus modérément sévère : le bélimumab (Benlysta). |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45495 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 556-560
[article] Les connectivites : progrès thérapeutiques et place de la biothérapie [texte imprimé] / B. Aubry-Rozier ; Isabelle Fabreguet . - 2013 . - p. 556-560. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 556-560
Résumé : |
Les connectivites les plus fréquentes sont le lupus érythémateux systémique et le syndrome de Sjögren. Longtemps laissées pour compte au bénéfice de la polyarthrite rhumatoïde, les avancées dans la compréhension de ces maladies permettent aujourd’hui de proposer des traitements ciblés. Les progrès concernent aussi bien la plus vieille molécule active connue, l’hydroxychloroquine, que les biothérapies. Le Plaquenil est en effet toujours d’actualité pour le traitement du lupus, ses bénéfices dans cette maladie se révélant toujours plus nombreux. Par contre, il ne semble pas efficace dans le Sjögren primitif. La biothérapie ciblant les lymphocytes B semble efficace dans ces deux pathologies alors que les anti-TNF semblent plutôt inducteurs de connectivites. La vraie nouveauté réside dans l’arrivée du premier traitement biologique remboursé officiellement en Suisse pour traiter le lupus modérément sévère : le bélimumab (Benlysta). |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45495 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Rôle du médecin interniste ou du généraliste dans le diagnostic et le suivi d’une collagénose |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Pascal Zufferey |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 564-568 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Le rôle du médecin de famille dans le diagnostic et la prise en charge des collagénoses est très mal étudié, ce d’autant plus qu’il va dépendre essentiellement du système de santé et de l’organisation du réseau médical de chaque pays.
Les connectivites sont des maladies rares et complexes, qui nécessitent dans tous les cas le recours à des spécialistes, aussi bien pour leur diagnostic que pour leur suivi. Tous ces malades doivent néanmoins garder un médecin de famille dont l’importance s’accroît d’autant plus que nos traitements spécialisés prolongent la survie des patients et en font des malades chroniques avec des atteintes séquellaires multi-organiques.
Une étroite collaboration entre les divers spécialistes et les médecins de famille est donc nécessaire pour assurer un bon suivi sur le long terme. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45496 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 564-568
[article] Rôle du médecin interniste ou du généraliste dans le diagnostic et le suivi d’une collagénose [texte imprimé] / Pascal Zufferey . - 2013 . - p. 564-568. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 564-568
Résumé : |
Le rôle du médecin de famille dans le diagnostic et la prise en charge des collagénoses est très mal étudié, ce d’autant plus qu’il va dépendre essentiellement du système de santé et de l’organisation du réseau médical de chaque pays.
Les connectivites sont des maladies rares et complexes, qui nécessitent dans tous les cas le recours à des spécialistes, aussi bien pour leur diagnostic que pour leur suivi. Tous ces malades doivent néanmoins garder un médecin de famille dont l’importance s’accroît d’autant plus que nos traitements spécialisés prolongent la survie des patients et en font des malades chroniques avec des atteintes séquellaires multi-organiques.
Une étroite collaboration entre les divers spécialistes et les médecins de famille est donc nécessaire pour assurer un bon suivi sur le long terme. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45496 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
L’arthrose érosive des doigts |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
D. Van Linthoudt ; Cem Gabay ; Alexander So |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 569-575 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’arthrose érosive des doigts est une affection fréquente et handicapante. Son diagnostic se base sur la présence d’érosions, parfois tardives. L’ultrasonographie permet un diagnostic plus précoce. La présence de cristaux d’apatite serait de mauvais pronostic. Le traitement non médicamenteux consiste en l’explication des phénomènes inflammatoires impliqués ainsi que l’utilisation d’attelles et de physiothérapie. Le traitement médicamenteux comprend les antalgiques, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et l’infiltration d’un stéroïde. Les chondroïtines sulfates ont un effet antalgique et fonctionnel prouvé. Des traitements de fond, comme l’hydroxychloroquine et le méthotrexate, ont été utilisés avec succès. Certains patients ont aussi bénéficié de synoviorthèses isotopiques. De nouvelles voies thérapeutiques, basées sur la physiopathologie, sont en évaluation. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45497 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 569-575
[article] L’arthrose érosive des doigts [texte imprimé] / D. Van Linthoudt ; Cem Gabay ; Alexander So . - 2013 . - p. 569-575. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 569-575
Résumé : |
L’arthrose érosive des doigts est une affection fréquente et handicapante. Son diagnostic se base sur la présence d’érosions, parfois tardives. L’ultrasonographie permet un diagnostic plus précoce. La présence de cristaux d’apatite serait de mauvais pronostic. Le traitement non médicamenteux consiste en l’explication des phénomènes inflammatoires impliqués ainsi que l’utilisation d’attelles et de physiothérapie. Le traitement médicamenteux comprend les antalgiques, les anti-inflammatoires non stéroïdiens (AINS) et l’infiltration d’un stéroïde. Les chondroïtines sulfates ont un effet antalgique et fonctionnel prouvé. Des traitements de fond, comme l’hydroxychloroquine et le méthotrexate, ont été utilisés avec succès. Certains patients ont aussi bénéficié de synoviorthèses isotopiques. De nouvelles voies thérapeutiques, basées sur la physiopathologie, sont en évaluation. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45497 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Dosage plasmatique des médicaments antidépresseurs |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
P. Baumann ; Mathieu Rougemont ; E. Corruble ; et al. |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 577-586 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Le dosage plasmatique des médicaments (DPM) psychotropes, combiné le cas échéant avec des tests pharmacogénétiques du métabolisme, s’avère être un outil puissant pour optimiser la psychopharmacothérapie. Parmi les indications figurent une compliance douteuse, une tolérance limite au médicament, la réponse thérapeutique insatisfaisante à une posologie habituelle, la présence d’une interaction médicamenteuse lors d’une polymédication, et les cas de polymorbidité. Cet article est une adaptation des recommandations du groupe AGNP-DPM (Hiemke et coll., www.agnp.de), mais il est centré spécifiquement sur le dosage plasmatique des antidépresseurs. Le DPM (therapeutic drug monitoring) fournira des résultats optimaux lorsque la méthode est intégrée d’une manière adéquate dans le processus de prise en charge globale du patient. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45498 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 577-586
[article] Dosage plasmatique des médicaments antidépresseurs [texte imprimé] / P. Baumann ; Mathieu Rougemont ; E. Corruble ; et al. . - 2013 . - p. 577-586. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 577-586
Résumé : |
Le dosage plasmatique des médicaments (DPM) psychotropes, combiné le cas échéant avec des tests pharmacogénétiques du métabolisme, s’avère être un outil puissant pour optimiser la psychopharmacothérapie. Parmi les indications figurent une compliance douteuse, une tolérance limite au médicament, la réponse thérapeutique insatisfaisante à une posologie habituelle, la présence d’une interaction médicamenteuse lors d’une polymédication, et les cas de polymorbidité. Cet article est une adaptation des recommandations du groupe AGNP-DPM (Hiemke et coll., www.agnp.de), mais il est centré spécifiquement sur le dosage plasmatique des antidépresseurs. Le DPM (therapeutic drug monitoring) fournira des résultats optimaux lorsque la méthode est intégrée d’une manière adéquate dans le processus de prise en charge globale du patient. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45498 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Le stigmate de la «folie» : de la fatalité au rétablissement |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Charles Bonsack ; Stéphane Morandi ; J. Favrod ; Philippe Conus |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 588-592 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
La stigmatisation est une réaction sociale «naturelle», en partie inconsciente et automatique envers des populations «différentes» et «vulnérables». Etre soupçonné de dangerosité, privé d’emploi, écarté de la société, enfermé, agressé ou tué fait partie des conséquences possibles de la stigmatisation des troubles mentaux. Malgré les progrès des traitements psychiatriques, le stigmate de la «folie» reste un frein au rétablissement. Le processus de stigmatisation est plus complexe qu’un simple étiquetage et aboutit à la discrimination et à la perte de pouvoir social. En comprendre les mécanismes permet de cibler des interventions efficaces aux niveaux individuel, institutionnel et politique. Le rôle des associations de patients et de proches, ainsi que le modèle du rétablissement pour les professionnels sont essentiels. L’objectif de cet article est de faire le point sur les différentes facettes de la stigmatisation des troubles mentaux et d’examiner les moyens pour y faire face. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45499 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 588-592
[article] Le stigmate de la «folie» : de la fatalité au rétablissement [texte imprimé] / Charles Bonsack ; Stéphane Morandi ; J. Favrod ; Philippe Conus . - 2013 . - p. 588-592. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 588-592
Résumé : |
La stigmatisation est une réaction sociale «naturelle», en partie inconsciente et automatique envers des populations «différentes» et «vulnérables». Etre soupçonné de dangerosité, privé d’emploi, écarté de la société, enfermé, agressé ou tué fait partie des conséquences possibles de la stigmatisation des troubles mentaux. Malgré les progrès des traitements psychiatriques, le stigmate de la «folie» reste un frein au rétablissement. Le processus de stigmatisation est plus complexe qu’un simple étiquetage et aboutit à la discrimination et à la perte de pouvoir social. En comprendre les mécanismes permet de cibler des interventions efficaces aux niveaux individuel, institutionnel et politique. Le rôle des associations de patients et de proches, ainsi que le modèle du rétablissement pour les professionnels sont essentiels. L’objectif de cet article est de faire le point sur les différentes facettes de la stigmatisation des troubles mentaux et d’examiner les moyens pour y faire face. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45499 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Tension artérielle : cerner au mieux les chiffres réels |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 594-595 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Depuis plus d’un siècle, la prise de la pression/tension artérielle est devenue un rituel obligé de la pratique médicale.1 On sait tout ou presque de ses considérables vertus. On a aussi, au fil du temps, appris à en découvrir les limites. Les chiffres recueillis sont-ils toujours le fidèle reflet de la réalité des pressions exercées par les vagues sanguines sur les parois artérielles ? Qu’en est-il des éventuelles distorsions entre ce qui se passe au cabinet médical et au domicile du patient ou sur son lieu de travail ? C’est à cette question qu’a voulu répondre un groupe de chercheurs français dirigé par le Pr Christophe Tzourio, directeur de l’Unité «neuro-épidémiologie» de l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale – Université de Bordeaux-Ségalen. Pour se faire, ils ont travaillé sur une population de 1500 personnes. Ce travail vient de faire l’objet d’une publication dans Journal of Hypertension.2 Les auteurs soulignent à cette occasion toute l’importance que l’on peut accorder, à des fins préventives, à l’automesure de la pression artérielle chez les personnes âgées. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45500 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 594-595
[article] Tension artérielle : cerner au mieux les chiffres réels [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2013 . - p. 594-595. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 594-595
Résumé : |
Depuis plus d’un siècle, la prise de la pression/tension artérielle est devenue un rituel obligé de la pratique médicale.1 On sait tout ou presque de ses considérables vertus. On a aussi, au fil du temps, appris à en découvrir les limites. Les chiffres recueillis sont-ils toujours le fidèle reflet de la réalité des pressions exercées par les vagues sanguines sur les parois artérielles ? Qu’en est-il des éventuelles distorsions entre ce qui se passe au cabinet médical et au domicile du patient ou sur son lieu de travail ? C’est à cette question qu’a voulu répondre un groupe de chercheurs français dirigé par le Pr Christophe Tzourio, directeur de l’Unité «neuro-épidémiologie» de l’Institut national français de la santé et de la recherche médicale – Université de Bordeaux-Ségalen. Pour se faire, ils ont travaillé sur une population de 1500 personnes. Ce travail vient de faire l’objet d’une publication dans Journal of Hypertension.2 Les auteurs soulignent à cette occasion toute l’importance que l’on peut accorder, à des fins préventives, à l’automesure de la pression artérielle chez les personnes âgées. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45500 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
[article]
Titre : |
Non, les dents des seniors ne sont pas toutes en or |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 596-597 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Vous êtes (ou vous connaissez) un journaliste «santé» en quête de «vrais scandales» ? Vous aimeriez vous-même, à échéances régulières, trouver matière à vous indigner au coin de votre cheminée ? Un conseil : souscrire un abonnement au Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l’Institut national (français) de veille sanitaire (InVS). Bien sûr, les scandales ainsi dénichés auront le plus souvent une dimension française. Mais certains dépasseront sans mal les frontières de l’Hexagone. Il arrivera aussi que certains donneront matière à quelques exercices de «scandale sanitaire comparé», discipline encore trop peu pratiquée. Un exemple nous en est donné ce jour avec une affaire dentaire qui, avec un peu de savoir-faire, pourrait aisément être montée en scandale humanitaire. Elle peut aussi, par extrapolation, faire froid dans le dos. Il s’agit des soins bucco-dentaires apportés (ou interdits) aux «personnes âgées dépendantes vivant en institution». On parle ici généralement en France d’«Etablissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes» ; des structures mieux connues sous le nom d’EPADH, acronyme aseptisé qui permet d’éloigner un instant le spectre de la «maison de retraite» – ce break terminal. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45501 |
in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 596-597
[article] Non, les dents des seniors ne sont pas toutes en or [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2013 . - p. 596-597. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 377 (Mars 2013) . - p. 596-597
Résumé : |
Vous êtes (ou vous connaissez) un journaliste «santé» en quête de «vrais scandales» ? Vous aimeriez vous-même, à échéances régulières, trouver matière à vous indigner au coin de votre cheminée ? Un conseil : souscrire un abonnement au Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) de l’Institut national (français) de veille sanitaire (InVS). Bien sûr, les scandales ainsi dénichés auront le plus souvent une dimension française. Mais certains dépasseront sans mal les frontières de l’Hexagone. Il arrivera aussi que certains donneront matière à quelques exercices de «scandale sanitaire comparé», discipline encore trop peu pratiquée. Un exemple nous en est donné ce jour avec une affaire dentaire qui, avec un peu de savoir-faire, pourrait aisément être montée en scandale humanitaire. Elle peut aussi, par extrapolation, faire froid dans le dos. Il s’agit des soins bucco-dentaires apportés (ou interdits) aux «personnes âgées dépendantes vivant en institution». On parle ici généralement en France d’«Etablissements d’hébergement pour personnes âgées dépendantes» ; des structures mieux connues sous le nom d’EPADH, acronyme aseptisé qui permet d’éloigner un instant le spectre de la «maison de retraite» – ce break terminal. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45501 |
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Exemplaires (1)
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |