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Revue médicale suisse . 536Gynécologie-obstétriqueMention de date : Octobre 2016 Paru le : 26/10/2016 |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : Magical Mystery Tour Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Irion ; Jean-François Delaloye Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1787 Langues : Français (fre) Mots-clés : ACCOUCHEMENT MEDECIN SAGE-FEMME Résumé : « Une grossesse normale devrait voir peu de médecins », lisait-on dans une récente pétition. Cela rejoint la revendication de créer des maisons de naissance dans les hôpitaux, ou de confier la direction des salles d’accouchement aux sages-femmes, le médecin n’étant appelé qu’en cas de nécessité. C’est faire fi des valeurs de la médecine. Science, éducation, empathie, capacité de ne pas intervenir inutilement. Primum non nocere ! Paradoxalement, si les médecins sont souvent accusés d’interventionnisme, ce ne sont pas les premiers à proposer des remèdes et interventions inutiles. Si soignants et médecins divorcent, ce sera au détriment des parturientes, qui restent au centre de notre attention. Les médecins ne se sentiront plus impliqués dans la physiologie, et les sages-femmes ne reconnaîtront plus la pathologie. C’est pourquoi nous défendons la coopération et construisons l’inter-professionnalisme au sein de la Maternité des Hôpitaux Universitaires de Genève. Nous avons mis sur pied des ateliers axés sur la sécurité, des formations théoriques (certificat avancé d’études en obstétrique et médecine fœto-maternelle à l’UNIGE), et pratiques, faisant recours à la simulation, intégrant divers métiers et professionnels autour de la naissance. Cette pluralité de points de vue et d’échanges sur notre pratique ne peut que l’enrichir. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44067
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1787[article] Magical Mystery Tour [texte imprimé] / Olivier Irion ; Jean-François Delaloye . - 2016 . - p. 1787.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1787
Mots-clés : ACCOUCHEMENT MEDECIN SAGE-FEMME Résumé : « Une grossesse normale devrait voir peu de médecins », lisait-on dans une récente pétition. Cela rejoint la revendication de créer des maisons de naissance dans les hôpitaux, ou de confier la direction des salles d’accouchement aux sages-femmes, le médecin n’étant appelé qu’en cas de nécessité. C’est faire fi des valeurs de la médecine. Science, éducation, empathie, capacité de ne pas intervenir inutilement. Primum non nocere ! Paradoxalement, si les médecins sont souvent accusés d’interventionnisme, ce ne sont pas les premiers à proposer des remèdes et interventions inutiles. Si soignants et médecins divorcent, ce sera au détriment des parturientes, qui restent au centre de notre attention. Les médecins ne se sentiront plus impliqués dans la physiologie, et les sages-femmes ne reconnaîtront plus la pathologie. C’est pourquoi nous défendons la coopération et construisons l’inter-professionnalisme au sein de la Maternité des Hôpitaux Universitaires de Genève. Nous avons mis sur pied des ateliers axés sur la sécurité, des formations théoriques (certificat avancé d’études en obstétrique et médecine fœto-maternelle à l’UNIGE), et pratiques, faisant recours à la simulation, intégrant divers métiers et professionnels autour de la naissance. Cette pluralité de points de vue et d’échanges sur notre pratique ne peut que l’enrichir. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44067 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Virus Zika : mise au point / Isabelle Éperon in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Virus Zika : mise au point Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Éperon ; Manon Vouga ; Manuel Schibler ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p? 1789-1793 Langues : Français (fre) Mots-clés : virus Zika GROSSESSE MALFORMATION EPIDEMIE FOETUS Résumé : Depuis le début de l’année 2015, l’épidémie de virus Zika s’est répandue rapidement en Amérique du Sud et dans les Caraïbes et récemment les premiers cas de transmission autochtone ont été déclarés en Floride. Une infection maternelle au cours de la grossesse peut être responsable de graves malformations fœtales. Le voyage dans les zones d’épidémie est déconseillé aux femmes enceintes et à leur partenaire.
IntroductionLe début de l’année 2016 a été marqué par l’effervescence mondiale à propos du virus Zika. L’épidémie en cours depuis le début de l’année 2015, au Brésil et l’hypothèse d’une association possible avec des cas de microcéphalie sévère ont créé une alerte à tous les niveaux. L’OMS a déclaré le problème comme « urgence de santé publique de portée internationale » en date du 1er février 2016. Les équipes de médecine fœtale, de virologie, de médecine tropicale et de pédiatrie se mobilisent dans l’urgence afin d’avoir une réflexion et un axe de réponse communs au problème. Le résultat de ces efforts conjoints aboutira au niveau national à la mise en place de guidelines dans les différentes sociétés de médecine.GénéralitésLe virus Zika est un virus à ARN du genre des Flavivirus comme les virus de la dengue ou de la fièvre jaune. Il a été identifié en 1947 en Ouganda tout d’abord chez le singe puis chez l’homme.1 Avant 2007, moins d’une quinzaine de cas sporadiques sont rapport...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44068
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p? 1789-1793[article] Virus Zika : mise au point [texte imprimé] / Isabelle Éperon ; Manon Vouga ; Manuel Schibler ; et al. . - 2016 . - p? 1789-1793.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p? 1789-1793
Mots-clés : virus Zika GROSSESSE MALFORMATION EPIDEMIE FOETUS Résumé : Depuis le début de l’année 2015, l’épidémie de virus Zika s’est répandue rapidement en Amérique du Sud et dans les Caraïbes et récemment les premiers cas de transmission autochtone ont été déclarés en Floride. Une infection maternelle au cours de la grossesse peut être responsable de graves malformations fœtales. Le voyage dans les zones d’épidémie est déconseillé aux femmes enceintes et à leur partenaire.
IntroductionLe début de l’année 2016 a été marqué par l’effervescence mondiale à propos du virus Zika. L’épidémie en cours depuis le début de l’année 2015, au Brésil et l’hypothèse d’une association possible avec des cas de microcéphalie sévère ont créé une alerte à tous les niveaux. L’OMS a déclaré le problème comme « urgence de santé publique de portée internationale » en date du 1er février 2016. Les équipes de médecine fœtale, de virologie, de médecine tropicale et de pédiatrie se mobilisent dans l’urgence afin d’avoir une réflexion et un axe de réponse communs au problème. Le résultat de ces efforts conjoints aboutira au niveau national à la mise en place de guidelines dans les différentes sociétés de médecine.GénéralitésLe virus Zika est un virus à ARN du genre des Flavivirus comme les virus de la dengue ou de la fièvre jaune. Il a été identifié en 1947 en Ouganda tout d’abord chez le singe puis chez l’homme.1 Avant 2007, moins d’une quinzaine de cas sporadiques sont rapport...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44068 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Virus Zika : de la recherche au vaccin / Manon Vouga in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Virus Zika : de la recherche au vaccin Type de document : texte imprimé Auteurs : Manon Vouga ; Marco P. Alves ; Isabelle Éperon ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1794-1798 Langues : Français (fre) Mots-clés : virus Zika VACCINATION RECHERCHE Résumé : Le virus Zika est récemment apparu comme un nouvel agent tératogène. La recherche s’accélère dans le but de mieux comprendre le rôle de ce virus émergent dans la formation de malformations cérébrales chez le fœtus. Plusieurs aspects épidémiologiques et microbiologiques contribuent à la nouvelle virulence observée chez la souche épidémique actuelle. Divers modèles d’infection chez la souris et les primates ont été développés confirmant la transmission transplacentaire du virus et l’induction de troubles du développement cérébral. En parallèle, plusieurs compagnies travaillent au développement d’un vaccin et d’antiviraux contre le virus Zika. Malgré des résultats prometteurs, la route est encore longue avant la mise sur le marché de vaccins ou d’antiviraux pouvant être administrés à la femme enceinte.
IntroductionL’année 2015 a été marquée par l’émergence du virus Zika, associée à de dramatiques complications chez les fœtus et nouveau-nés infectés. La découverte d’un nouvel agent tératogène est un choc à la fois pour la population et la communauté médicale et scientifique.Le virus Zika illustre bien la problématique des pathogènes émergents à laquelle les systèmes de santé sont confrontés depuis les 50 dernières années. A l’heure actuelle, celle-ci est considérée comme la première menace microbiologique de santé publique.1 Les progrès significatifs effectués dans les techniques de laboratoire, en particulier la mise en place des techniques de diagnostics moléculaires, spectrométrie de masse et métagénomiques, permettent actuellement l’identification de pathogènes non reconnus jusqu’ici. Plus important encore, la mondialisation associée à un important trafic des marchandises et de forts mouvements de populations contribuent significativement à la dispersion des micro-organismes....Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44069
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1794-1798[article] Virus Zika : de la recherche au vaccin [texte imprimé] / Manon Vouga ; Marco P. Alves ; Isabelle Éperon ; et al. . - 2016 . - p. 1794-1798.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1794-1798
Mots-clés : virus Zika VACCINATION RECHERCHE Résumé : Le virus Zika est récemment apparu comme un nouvel agent tératogène. La recherche s’accélère dans le but de mieux comprendre le rôle de ce virus émergent dans la formation de malformations cérébrales chez le fœtus. Plusieurs aspects épidémiologiques et microbiologiques contribuent à la nouvelle virulence observée chez la souche épidémique actuelle. Divers modèles d’infection chez la souris et les primates ont été développés confirmant la transmission transplacentaire du virus et l’induction de troubles du développement cérébral. En parallèle, plusieurs compagnies travaillent au développement d’un vaccin et d’antiviraux contre le virus Zika. Malgré des résultats prometteurs, la route est encore longue avant la mise sur le marché de vaccins ou d’antiviraux pouvant être administrés à la femme enceinte.
IntroductionL’année 2015 a été marquée par l’émergence du virus Zika, associée à de dramatiques complications chez les fœtus et nouveau-nés infectés. La découverte d’un nouvel agent tératogène est un choc à la fois pour la population et la communauté médicale et scientifique.Le virus Zika illustre bien la problématique des pathogènes émergents à laquelle les systèmes de santé sont confrontés depuis les 50 dernières années. A l’heure actuelle, celle-ci est considérée comme la première menace microbiologique de santé publique.1 Les progrès significatifs effectués dans les techniques de laboratoire, en particulier la mise en place des techniques de diagnostics moléculaires, spectrométrie de masse et métagénomiques, permettent actuellement l’identification de pathogènes non reconnus jusqu’ici. Plus important encore, la mondialisation associée à un important trafic des marchandises et de forts mouvements de populations contribuent significativement à la dispersion des micro-organismes....Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44069 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Simulation virtuelle en chirurgie gynécologique : état des lieux et perspectives / Dominique Ricard-Gauthier in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Simulation virtuelle en chirurgie gynécologique : état des lieux et perspectives Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Ricard-Gauthier ; Silvia Popescu ; Nadia Benmohamed ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1800-1804 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE GYNECOLOGIE simulation Résumé : La simulation en laparoscopie est un moyen d’apprentissage et d’acquisition des gestes techniques chirurgicaux en plein essor. Elle s’appuie essentiellement sur deux outils pédagogiques complémentaires : le pelvi-trainer et la simulation virtuelle. Le simulateur virtuel a démontré son efficacité dans l’amélioration de l’habileté chirurgicale, la diminution du temps opératoire, l’amélioration dans l’économie des mouvements et l’augmentation de la confiance en soi. Il a pour principal intérêt la possibilité de mettre en place facilement un programme d’entraînement régulier, structuré et uniformisé permettant une auto-évaluation de l’interne.
IntroductionInitialement utilisée à visée diagnostique, la laparoscopie est devenue en trois décennies une voie d’abord indispensable à la prise en charge chirurgicale des pathologies utérines et annexielles en gynécologie. Elle permet une approche mini-invasive sûre et efficace, se substituant ainsi progressivement à la chirurgie conventionnelle dans de nombreuses indications.1 La laparoscopie nécessite cependant une expertise importante qui n’est possible qu’après un entraînement assidu et régulier. L’une des principales difficultés est la coordination « œil-main », liée à une vision indirecte en 2D sur un écran. Il existe également une diminution de la sensibilité liée à l’absence de toucher direct et à l’utilisation d’instruments plus longs. Les mouvements de la main sont par ailleurs amplifiés et inversés.2 La courbe d’apprentissage est longue avec une progression directement proportionnelle au nombre de gestes effectués par laparoscopie.3Actuellement, la formation des jeunes...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44070
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1800-1804[article] Simulation virtuelle en chirurgie gynécologique : état des lieux et perspectives [texte imprimé] / Dominique Ricard-Gauthier ; Silvia Popescu ; Nadia Benmohamed ; et al. . - 2016 . - p. 1800-1804.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1800-1804
Mots-clés : CHIRURGIE GYNECOLOGIE simulation Résumé : La simulation en laparoscopie est un moyen d’apprentissage et d’acquisition des gestes techniques chirurgicaux en plein essor. Elle s’appuie essentiellement sur deux outils pédagogiques complémentaires : le pelvi-trainer et la simulation virtuelle. Le simulateur virtuel a démontré son efficacité dans l’amélioration de l’habileté chirurgicale, la diminution du temps opératoire, l’amélioration dans l’économie des mouvements et l’augmentation de la confiance en soi. Il a pour principal intérêt la possibilité de mettre en place facilement un programme d’entraînement régulier, structuré et uniformisé permettant une auto-évaluation de l’interne.
IntroductionInitialement utilisée à visée diagnostique, la laparoscopie est devenue en trois décennies une voie d’abord indispensable à la prise en charge chirurgicale des pathologies utérines et annexielles en gynécologie. Elle permet une approche mini-invasive sûre et efficace, se substituant ainsi progressivement à la chirurgie conventionnelle dans de nombreuses indications.1 La laparoscopie nécessite cependant une expertise importante qui n’est possible qu’après un entraînement assidu et régulier. L’une des principales difficultés est la coordination « œil-main », liée à une vision indirecte en 2D sur un écran. Il existe également une diminution de la sensibilité liée à l’absence de toucher direct et à l’utilisation d’instruments plus longs. Les mouvements de la main sont par ailleurs amplifiés et inversés.2 La courbe d’apprentissage est longue avec une progression directement proportionnelle au nombre de gestes effectués par laparoscopie.3Actuellement, la formation des jeunes...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44070 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Traitement hormonal de la ménopause en 2016 / Evangelia Pavlidou in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Traitement hormonal de la ménopause en 2016 Type de document : texte imprimé Auteurs : Evangelia Pavlidou ; Paul Pirtea ; I. Streuli Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1805-1810 Langues : Français (fre) Mots-clés : MENOPAUSE THERAPEUTIQUE HORMONE Résumé : Le traitement hormonal de la ménopause (THM) est recommandé en première intention pour les symptômes climatériques liés à la carence œstrogénique. Une évaluation individuelle de la balance bénéfice/risque devrait être effectuée avant la prescription d’un THM, en prenant en compte des facteurs de risque cardiovasculaires, thromboemboliques, oncologiques et ostéoporotiques. Le THM devrait être prescrit à la dose minimale efficace pour une durée la plus courte possible, en respectant la « fenêtre d’opportunité thérapeutique » de 10 ans après la ménopause ou avant l’âge de 60 ans. Le choix du type de THM se fait en fonction du profil, des antécédents et des préférences de la patiente, dans le but d’améliorer sa qualité de vie du point de vue physique, psychologique et sexuel.
IntroductionLe traitement hormonal de la ménopause (THM) est le traitement le plus efficace pour soulager les symptômes liés à la carence œstrogénique. En 2016, il reste recommandé en première intention lorsque ces symptômes entraînent une altération de la qualité de vie. Il convient de prescrire le THM pour une durée la plus courte et au dosage efficace le plus faible et de vérifier l’absence de contre-indication au traitement.Le THM a été largement prescrit jusqu’en 2002 dans le cadre de la prise en charge du syndrome climatérique et de l’ostéoporose. Les données issues de la Womens’ Health Initiative (WHI) ont remis en cause les bénéfices prétendus du THM en montrant une augmentation du risque relatif d’infarctus du myocarde, particulièrement au cours de la première année de traitement.1 Depuis, les réanalyses successives de cette étude avaient démontré que l’augmentation du risque d’infarctus chez les femmes traitées n’était significative que chez celles qui avaient débuté le...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44071
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1805-1810[article] Traitement hormonal de la ménopause en 2016 [texte imprimé] / Evangelia Pavlidou ; Paul Pirtea ; I. Streuli . - 2016 . - p. 1805-1810.
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in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1805-1810
Mots-clés : MENOPAUSE THERAPEUTIQUE HORMONE Résumé : Le traitement hormonal de la ménopause (THM) est recommandé en première intention pour les symptômes climatériques liés à la carence œstrogénique. Une évaluation individuelle de la balance bénéfice/risque devrait être effectuée avant la prescription d’un THM, en prenant en compte des facteurs de risque cardiovasculaires, thromboemboliques, oncologiques et ostéoporotiques. Le THM devrait être prescrit à la dose minimale efficace pour une durée la plus courte possible, en respectant la « fenêtre d’opportunité thérapeutique » de 10 ans après la ménopause ou avant l’âge de 60 ans. Le choix du type de THM se fait en fonction du profil, des antécédents et des préférences de la patiente, dans le but d’améliorer sa qualité de vie du point de vue physique, psychologique et sexuel.
IntroductionLe traitement hormonal de la ménopause (THM) est le traitement le plus efficace pour soulager les symptômes liés à la carence œstrogénique. En 2016, il reste recommandé en première intention lorsque ces symptômes entraînent une altération de la qualité de vie. Il convient de prescrire le THM pour une durée la plus courte et au dosage efficace le plus faible et de vérifier l’absence de contre-indication au traitement.Le THM a été largement prescrit jusqu’en 2002 dans le cadre de la prise en charge du syndrome climatérique et de l’ostéoporose. Les données issues de la Womens’ Health Initiative (WHI) ont remis en cause les bénéfices prétendus du THM en montrant une augmentation du risque relatif d’infarctus du myocarde, particulièrement au cours de la première année de traitement.1 Depuis, les réanalyses successives de cette étude avaient démontré que l’augmentation du risque d’infarctus chez les femmes traitées n’était significative que chez celles qui avaient débuté le...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44071 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Ostéoporose chez les femmes ménopausées entre 40 et 65 ans : algorithme pour le gynécologue / Anna Surbone in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Ostéoporose chez les femmes ménopausées entre 40 et 65 ans : algorithme pour le gynécologue Type de document : texte imprimé Auteurs : Anna Surbone ; N. Vulliemoz ; E. Gonzalez Rodriguez ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1811-1815 Langues : Français (fre) Mots-clés : OSTEOPOROSE MENOPAUSE Résumé : L’ostéoporose est une maladie de l’os favorisant des fractures de fragilité. L’algorithme proposé est destiné aux gynécologues pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose chez la jeune femme ménopausée. L’outil FRAX permet de calculer le risque fracturaire ; si le risque est ≥ 10 % sur dix ans, une densitométrie osseuse est recommandée et le résultat sera intégré dans l’outil FRAX. Si le risque est entre 10–20 %, un traitement peut être discuté et, dans certains cas, on proposera une prévention par traitement hormonal de la ménopause ou par un SERM. Un traitement pharmacologique (bisphosphonates ou dénosumab) est recommandé en présence d’antécédent de fracture de fragilité, ou de risque ≥ 20 %, indépendamment d’un T-score
IntroductionL’ostéoporose est une maladie systémique de l’os associant une perte de la masse osseuse et une altération de sa microarchitecture. La conséquence directe est un excès de fractures de fragilité, c’est-à-dire survenant suite à une chute de sa propre hauteur ou à un traumatisme mineur. En Suisse, une femme de 50 ans présente un risque de 50 % d’avoir durant le reste de sa vie au moins une fracture de fragilité dans les sites typiques de fracture majeure (hanche, vertèbres, humérus proximal, radius distal). Dès 50 ans, environ 12 % des décès sont en lien avec une fracture ostéoporotique.1 Les fractures de fragilité engendrent également une morbidité considérable avec un coût économique et social important, estimé, pour la Suisse, à un peu plus de 2 milliards de CHF sans compter une perte de 24 000 QALY. Malgré cela, la majorité des patientes à haut risque de fracture n’est pas traitée.2 Le risque fracturaire est appréhendé par des facteurs de risque cliniques et par la de...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44072
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1811-1815[article] Ostéoporose chez les femmes ménopausées entre 40 et 65 ans : algorithme pour le gynécologue [texte imprimé] / Anna Surbone ; N. Vulliemoz ; E. Gonzalez Rodriguez ; et al. . - 2016 . - p. 1811-1815.
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Mots-clés : OSTEOPOROSE MENOPAUSE Résumé : L’ostéoporose est une maladie de l’os favorisant des fractures de fragilité. L’algorithme proposé est destiné aux gynécologues pour le diagnostic et le traitement de l’ostéoporose chez la jeune femme ménopausée. L’outil FRAX permet de calculer le risque fracturaire ; si le risque est ≥ 10 % sur dix ans, une densitométrie osseuse est recommandée et le résultat sera intégré dans l’outil FRAX. Si le risque est entre 10–20 %, un traitement peut être discuté et, dans certains cas, on proposera une prévention par traitement hormonal de la ménopause ou par un SERM. Un traitement pharmacologique (bisphosphonates ou dénosumab) est recommandé en présence d’antécédent de fracture de fragilité, ou de risque ≥ 20 %, indépendamment d’un T-score
IntroductionL’ostéoporose est une maladie systémique de l’os associant une perte de la masse osseuse et une altération de sa microarchitecture. La conséquence directe est un excès de fractures de fragilité, c’est-à-dire survenant suite à une chute de sa propre hauteur ou à un traumatisme mineur. En Suisse, une femme de 50 ans présente un risque de 50 % d’avoir durant le reste de sa vie au moins une fracture de fragilité dans les sites typiques de fracture majeure (hanche, vertèbres, humérus proximal, radius distal). Dès 50 ans, environ 12 % des décès sont en lien avec une fracture ostéoporotique.1 Les fractures de fragilité engendrent également une morbidité considérable avec un coût économique et social important, estimé, pour la Suisse, à un peu plus de 2 milliards de CHF sans compter une perte de 24 000 QALY. Malgré cela, la majorité des patientes à haut risque de fracture n’est pas traitée.2 Le risque fracturaire est appréhendé par des facteurs de risque cliniques et par la de...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44072 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Apnées du sommeil et grossesse / Wawrzyniec Rieder in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Apnées du sommeil et grossesse Type de document : texte imprimé Auteurs : Wawrzyniec Rieder ; Raphaël Heinzer ; David Baud Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1816-1820 Langues : Français (fre) Mots-clés : SOMMEIL GROSSESSE APNEE Résumé : Des ronflements, une rhinite chronique et un sommeil fragmenté surviennent fréquemment en cours de grossesse, majoritairement au troisième trimestre. La prévalence du syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est également augmentée chez les femmes enceintes et peut être associée à une hypertension liée à la grossesse, une prééclampsie ou un diabète. Le fœtus est aussi exposé à un risque plus élevé de prématurité et de retard de croissance intra-utérin. Par manque d’un outil de dépistage fiable, le diagnostic du SAOS représente cependant un défi pour le clinicien et une forte suspicion clinique est nécessaire afin d’identifier les patientes à risque et proposer une prise en charge adéquate
IntroductionLes troubles respiratoires du sommeil (sleep disordered breathing) se réfèrent à différentes conditions affectant la physiologie du sommeil et allant du simple ronflement à des cas plus graves de syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS). Le SAOS est caractérisé par des épisodes récurrents d’obstruction partielle ou complète des voies respiratoires hautes, responsables d’une hypoxémie nocturne et menant à des réveils fréquents, une fragmentation du sommeil et une somnolence diurne. Les troubles respiratoires du sommeil sont associés à des pathologies telles que l’hypertension et le diabète (syndrome métabolique) et ont comme principaux facteurs de risque l’âge et le surpoids.La véritable prévalence des troubles respiratoires du sommeil chez les femmes enceintes n’est pas connue. Globalement, les femmes jeunes sont moins fréquemment affectées (environ 3 % chez les 30 à 50 ans) que les hommes du même âge (environ 10 %) ou les femmes de plus de 50 ans (environ 9 %)...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44073
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1816-1820[article] Apnées du sommeil et grossesse [texte imprimé] / Wawrzyniec Rieder ; Raphaël Heinzer ; David Baud . - 2016 . - p. 1816-1820.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1816-1820
Mots-clés : SOMMEIL GROSSESSE APNEE Résumé : Des ronflements, une rhinite chronique et un sommeil fragmenté surviennent fréquemment en cours de grossesse, majoritairement au troisième trimestre. La prévalence du syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS) est également augmentée chez les femmes enceintes et peut être associée à une hypertension liée à la grossesse, une prééclampsie ou un diabète. Le fœtus est aussi exposé à un risque plus élevé de prématurité et de retard de croissance intra-utérin. Par manque d’un outil de dépistage fiable, le diagnostic du SAOS représente cependant un défi pour le clinicien et une forte suspicion clinique est nécessaire afin d’identifier les patientes à risque et proposer une prise en charge adéquate
IntroductionLes troubles respiratoires du sommeil (sleep disordered breathing) se réfèrent à différentes conditions affectant la physiologie du sommeil et allant du simple ronflement à des cas plus graves de syndrome d’apnées obstructives du sommeil (SAOS). Le SAOS est caractérisé par des épisodes récurrents d’obstruction partielle ou complète des voies respiratoires hautes, responsables d’une hypoxémie nocturne et menant à des réveils fréquents, une fragmentation du sommeil et une somnolence diurne. Les troubles respiratoires du sommeil sont associés à des pathologies telles que l’hypertension et le diabète (syndrome métabolique) et ont comme principaux facteurs de risque l’âge et le surpoids.La véritable prévalence des troubles respiratoires du sommeil chez les femmes enceintes n’est pas connue. Globalement, les femmes jeunes sont moins fréquemment affectées (environ 3 % chez les 30 à 50 ans) que les hommes du même âge (environ 10 %) ou les femmes de plus de 50 ans (environ 9 %)...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44073 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Dispositifs d’urgence et de garde : le rôle du psychiatre / Christian Rollini in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Dispositifs d’urgence et de garde : le rôle du psychiatre Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Rollini Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1823-1825 Langues : Français (fre) Mots-clés : URGENCE PSYCHIATRIE ROLE PROPRE DU MEDECIN Résumé : IntroductionDans le contexte des modifications récentes de la Loi sur la santé publique vaudoise LSPV,1 il est apparu comme important de réfléchir à la place du psychiatre dans le système des urgences et de la garde.La place et le rôle du psychiatre dans un système de soins, que ce soit dans un système d’urgences ou pas, ne vont pas de soi. Sans prétendre donner une marche à suivre, cet article propose des éléments de réflexion afin de préciser en particulier les limites de l’engagement du médecin psychiatre dans un système de garde et d’urgences.Malgré la tendance actuelle à vouloir nier aux médecins toute capacité à se déterminer quant à des questions médicales, il faut au contraire rappeler qu’il est de la responsabilité des médecins et en particulier aussi des psychiatres de préciser comment mettre en œuvre la LSPV.Psychiatre, médecin de premier recours ?Le médecin psychiatre est un médecin de premier recours pour la santé mentale. Ceci n’a pas été une évidence pour nombre de... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44074
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1823-1825[article] Dispositifs d’urgence et de garde : le rôle du psychiatre [texte imprimé] / Christian Rollini . - 2016 . - p. 1823-1825.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1823-1825
Mots-clés : URGENCE PSYCHIATRIE ROLE PROPRE DU MEDECIN Résumé : IntroductionDans le contexte des modifications récentes de la Loi sur la santé publique vaudoise LSPV,1 il est apparu comme important de réfléchir à la place du psychiatre dans le système des urgences et de la garde.La place et le rôle du psychiatre dans un système de soins, que ce soit dans un système d’urgences ou pas, ne vont pas de soi. Sans prétendre donner une marche à suivre, cet article propose des éléments de réflexion afin de préciser en particulier les limites de l’engagement du médecin psychiatre dans un système de garde et d’urgences.Malgré la tendance actuelle à vouloir nier aux médecins toute capacité à se déterminer quant à des questions médicales, il faut au contraire rappeler qu’il est de la responsabilité des médecins et en particulier aussi des psychiatres de préciser comment mettre en œuvre la LSPV.Psychiatre, médecin de premier recours ?Le médecin psychiatre est un médecin de premier recours pour la santé mentale. Ceci n’a pas été une évidence pour nombre de... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44074 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Pathologies cardiovasculaires de la femme : dernières actualités / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Pathologies cardiovasculaires de la femme : dernières actualités Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1826-1827 Langues : Français (fre) Mots-clés : FEMME CARDIOVASCULAIRE SYSTEME RISQUE Résumé : Le temps n’est plus où les maladies cardiovasculaires étaient l’apanage du sexe masculin. L’ont-elles d’ailleurs jamais été ? « Contrairement à une idée fausse et largement répandue le sexe féminin paie un lourd tribut à la pathologie cardiovasculaire, mais le risque cardio-neuro-vasculaire est sous-évalué, insuffisamment détecté et en général sous-traité, explique le Pr Jean-Paul Bounhoure qui, avec son confrère, André Vacheron, organisait, il y a quelques jours, à Paris, une séance spéciale sur ce thème, au siège de l’Académie nationale française de médecine. Et les statistiques de l’OMS montrent que la mortalité cardio-neuro-vasculaire est plus élevée chez les femmes, après la ménopause. »En pratique, la pathologie cardiovasculaire est aujourd’hui la principale cause de mortalité et de morbidité avec 42 % de mortalité prématurée chez les femmes européennes. C’est là un véritable et considérable problème de santé publique qui nécessiterait des mesures de prévention plus largemen... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44075
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1826-1827[article] Pathologies cardiovasculaires de la femme : dernières actualités [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1826-1827.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1826-1827
Mots-clés : FEMME CARDIOVASCULAIRE SYSTEME RISQUE Résumé : Le temps n’est plus où les maladies cardiovasculaires étaient l’apanage du sexe masculin. L’ont-elles d’ailleurs jamais été ? « Contrairement à une idée fausse et largement répandue le sexe féminin paie un lourd tribut à la pathologie cardiovasculaire, mais le risque cardio-neuro-vasculaire est sous-évalué, insuffisamment détecté et en général sous-traité, explique le Pr Jean-Paul Bounhoure qui, avec son confrère, André Vacheron, organisait, il y a quelques jours, à Paris, une séance spéciale sur ce thème, au siège de l’Académie nationale française de médecine. Et les statistiques de l’OMS montrent que la mortalité cardio-neuro-vasculaire est plus élevée chez les femmes, après la ménopause. »En pratique, la pathologie cardiovasculaire est aujourd’hui la principale cause de mortalité et de morbidité avec 42 % de mortalité prématurée chez les femmes européennes. C’est là un véritable et considérable problème de santé publique qui nécessiterait des mesures de prévention plus largemen... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44075 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Transmettre sa stérilité à ses fils : et après? / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 536 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Transmettre sa stérilité à ses fils : et après? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1828-1829 Langues : Français (fre) Mots-clés : STERILITE INFERTILITE GENETIQUE HOMME Résumé : Il aura donc fallu attendre vingt ans pour en avoir la confirmation statistique : les garçons conçus par injection intracytoplasmique de spermatozoïde (ICSI) ont les mêmes problèmes de fertilité que ceux que peuvent avoir leurs pères. Ce constat potentiellement dérangeant est établi par l’une des équipes qui dispose de la meilleure expérience au monde : celle longtemps dirigée, à Bruxelles, par André Van Steirteghem (Centre for Reproductive Medicine, Universitair Ziekenhuis Brussel). Il vient d’être publié dans Human Reproduction.1Les auteurs ont comparé les caractéristiques spermatiques de cinquante-quatre jeunes hommes, âgés de 18 à 22 ans, conçus par ICSI, à celles d’un groupe comparable, dont les membres avaient été conçus sans le recours aux techniques de procréation médicalement assistée. Les différences sont significatives pour ce qui est du nombre des spermatozoïdes (17,7 millions / ml contre 37 millions), du nombre total par éjaculat (31,9 millions contre 86,8 millions) o... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44076
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1828-1829[article] Transmettre sa stérilité à ses fils : et après? [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1828-1829.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 536 (Octobre 2016) . - p. 1828-1829
Mots-clés : STERILITE INFERTILITE GENETIQUE HOMME Résumé : Il aura donc fallu attendre vingt ans pour en avoir la confirmation statistique : les garçons conçus par injection intracytoplasmique de spermatozoïde (ICSI) ont les mêmes problèmes de fertilité que ceux que peuvent avoir leurs pères. Ce constat potentiellement dérangeant est établi par l’une des équipes qui dispose de la meilleure expérience au monde : celle longtemps dirigée, à Bruxelles, par André Van Steirteghem (Centre for Reproductive Medicine, Universitair Ziekenhuis Brussel). Il vient d’être publié dans Human Reproduction.1Les auteurs ont comparé les caractéristiques spermatiques de cinquante-quatre jeunes hommes, âgés de 18 à 22 ans, conçus par ICSI, à celles d’un groupe comparable, dont les membres avaient été conçus sans le recours aux techniques de procréation médicalement assistée. Les différences sont significatives pour ce qui est du nombre des spermatozoïdes (17,7 millions / ml contre 37 millions), du nombre total par éjaculat (31,9 millions contre 86,8 millions) o... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44076 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt