[article] 
inRevue médicale suisse > 787 (22 juin 2022) . - p. 1254-1258

Titre :	Traitement de la douleur chronique par administration continue de médicaments par voie intrathécale
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Christophe Perruchoud ; Matthieu Cachemaille
Année de publication :	2022
Article en page(s) :	p. 1254-1258
Note générale :	DOI: 10.53738/REVMED.2022.18.787.1254
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Douleur chronique  Thérapeutique  Voie intrathécale  Antalgique  Liquide céphalo-rachidien  Pompe intrathécale
Résumé :	La thérapie intrathécale, apparue au début des années 80, a pour but d’administrer dans le liquide céphalo-rachidien, au moyen d’une pompe implantée, des médicaments antalgiques hautement concentrés tout en limitant leurs effets secondaires systémiques. Les opioïdes restent le traitement de première ligne, avec une évidence d’efficacité claire lors de douleurs cancéreuses. En revanche, son efficacité reste limitée lors de pathologies non cancéreuses, dans lesquelles elle est plutôt considérée comme un traitement de dernier recours. L’implantation de ce dispositif nécessite une sélection adéquate des patients ainsi qu’un suivi régulier, dans le but d’adapter le traitement, de procéder au remplissage du réservoir et d’éviter les éventuelles complications.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75221

[article] Traitement de la douleur chronique par administration continue de médicaments par voie intrathécale [texte imprimé] / Christophe Perruchoud ; Matthieu Cachemaille . - 2022 . - p. 1254-1258.
DOI: 10.53738/REVMED.2022.18.787.1254
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 787 (22 juin 2022) . - p. 1254-1258

Mots-clés :	Douleur chronique  Thérapeutique  Voie intrathécale  Antalgique  Liquide céphalo-rachidien  Pompe intrathécale
Résumé :	La thérapie intrathécale, apparue au début des années 80, a pour but d’administrer dans le liquide céphalo-rachidien, au moyen d’une pompe implantée, des médicaments antalgiques hautement concentrés tout en limitant leurs effets secondaires systémiques. Les opioïdes restent le traitement de première ligne, avec une évidence d’efficacité claire lors de douleurs cancéreuses. En revanche, son efficacité reste limitée lors de pathologies non cancéreuses, dans lesquelles elle est plutôt considérée comme un traitement de dernier recours. L’implantation de ce dispositif nécessite une sélection adéquate des patients ainsi qu’un suivi régulier, dans le but d’adapter le traitement, de procéder au remplissage du réservoir et d’éviter les éventuelles complications.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75221