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Revue médicale suisse . 533ORLMention de date : Octobre 2016 Paru le : 05/10/2016 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierQuand l’éthique marche à l’envers et tue l’enthousiasme de la recherche / Jean-Philippe Guyot in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Quand l’éthique marche à l’envers et tue l’enthousiasme de la recherche Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Philippe Guyot ; Christians Simon Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1643-1644 Langues : Français (fre) Mots-clés : RECHERCHE SCIENTIFIQUE ETHIQUE Résumé : Les premiers essais cliniques de l’implant cochléaire, première neuroprothèse restituant une fonction sensorielle déficiente, datent du milieu des années 60. Ces premiers implants ne permettaient que la perception du bruit. Vingt ans plus tard apparaissaient les implants modernes permettant la compréhension du langage. Comme les expérimentateurs avaient à peu près carte blanche, ce développement a été rapide malgré les moyens techniques limités de l’époque. Jusqu’au milieu des années 90, la connexion entre le processeur électronique transformant les signaux acoustiques en signaux électriques et les électrodes implantées dans la cochlée se faisait via une prise traversant la peau des patients. Par elle, on pouvait envoyer toutes sortes de stimuli électriques, sans rien demander à personne, pour déterminer la stratégie de codage des sons par le processeur électronique donnant les meilleurs résultats. Les expérimentateurs étaient toutefois bien conscients de ce qui était inoffensif ou potentiellement nocif et aucun événement grave ni même indésirable n’a été à déplorer.
L’expérience et les compétences avérées de l’équipe genevoise auraient dû réconforter la commission d’éthiquePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42751
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1643-1644[article] Quand l’éthique marche à l’envers et tue l’enthousiasme de la recherche [texte imprimé] / Jean-Philippe Guyot ; Christians Simon . - 2016 . - p. 1643-1644.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1643-1644
Mots-clés : RECHERCHE SCIENTIFIQUE ETHIQUE Résumé : Les premiers essais cliniques de l’implant cochléaire, première neuroprothèse restituant une fonction sensorielle déficiente, datent du milieu des années 60. Ces premiers implants ne permettaient que la perception du bruit. Vingt ans plus tard apparaissaient les implants modernes permettant la compréhension du langage. Comme les expérimentateurs avaient à peu près carte blanche, ce développement a été rapide malgré les moyens techniques limités de l’époque. Jusqu’au milieu des années 90, la connexion entre le processeur électronique transformant les signaux acoustiques en signaux électriques et les électrodes implantées dans la cochlée se faisait via une prise traversant la peau des patients. Par elle, on pouvait envoyer toutes sortes de stimuli électriques, sans rien demander à personne, pour déterminer la stratégie de codage des sons par le processeur électronique donnant les meilleurs résultats. Les expérimentateurs étaient toutefois bien conscients de ce qui était inoffensif ou potentiellement nocif et aucun événement grave ni même indésirable n’a été à déplorer.
L’expérience et les compétences avérées de l’équipe genevoise auraient dû réconforter la commission d’éthiquePermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42751 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Navigation spatiale : bref aperçu des travaux lauréats du prix Nobel de médecine et physiologie 2014 / Franciscus Boselie in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Navigation spatiale : bref aperçu des travaux lauréats du prix Nobel de médecine et physiologie 2014 Type de document : texte imprimé Auteurs : Franciscus Boselie ; Jean-Philippe Guyot Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1646-1649 Langues : Français (fre) Mots-clés : EQUILIBRE SYNDROME VESTIBULAIRE Résumé : Diverses cellules du thalamus, de l’hippocampe et du cortex entorhinal médial jouent un rôle crucial dans la capacité de navigation spatiale. La mise en évidence de ces cellules et la compréhension de leur fonctionnement par J. O’Keefe, M.-B. et E. Moser leur ont valu le prix Nobel de médecine et physiologie en 2014. La vision, l’olfaction et le système vestibulaire concourent à ce système complexe. Ces observations peuvent parfaitement expliquer pourquoi des patients souffrant d’un trouble vestibulaire se plaignent de désorientation spatiale, souvent source d’une profonde angoisse.
IntroductionTous les médecins savent que le système vestibulaire est un élément essentiel au contrôle de l’équilibre. Beaucoup savent aussi qu’il concourt au maintien du regard sur une cible visuelle en situation dynamique. Par contre, peu savent qu’il a des interactions avec le système cardiovasculaire,1 le métabolisme osseux,2 le sommeil,3 la respiration,4 le système limbique, l’horloge biologique5 et, ce qui est primordial, l’orientation spatiale.6–8La navigation spatiale est une capacité importante de tous les animaux, y compris les humains, comme en témoignent les patients souffrant d’un déficit vestibulaire bilatéral, et même unilatéral8 qui décrivent bien leurs difficultés à retrouver leur voiture sur le parking d’un supermarché, par exemple, ou à traverser une ville, un parc public ou un centre commercial. Ces difficultés altèrent considérablement leur qualité de vie.9 La panique les envahit rapidement !En 2014, le prix Nobel de médecine et de physiologie a été attribué à...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42752
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1646-1649[article] Navigation spatiale : bref aperçu des travaux lauréats du prix Nobel de médecine et physiologie 2014 [texte imprimé] / Franciscus Boselie ; Jean-Philippe Guyot . - 2016 . - p. 1646-1649.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1646-1649
Mots-clés : EQUILIBRE SYNDROME VESTIBULAIRE Résumé : Diverses cellules du thalamus, de l’hippocampe et du cortex entorhinal médial jouent un rôle crucial dans la capacité de navigation spatiale. La mise en évidence de ces cellules et la compréhension de leur fonctionnement par J. O’Keefe, M.-B. et E. Moser leur ont valu le prix Nobel de médecine et physiologie en 2014. La vision, l’olfaction et le système vestibulaire concourent à ce système complexe. Ces observations peuvent parfaitement expliquer pourquoi des patients souffrant d’un trouble vestibulaire se plaignent de désorientation spatiale, souvent source d’une profonde angoisse.
IntroductionTous les médecins savent que le système vestibulaire est un élément essentiel au contrôle de l’équilibre. Beaucoup savent aussi qu’il concourt au maintien du regard sur une cible visuelle en situation dynamique. Par contre, peu savent qu’il a des interactions avec le système cardiovasculaire,1 le métabolisme osseux,2 le sommeil,3 la respiration,4 le système limbique, l’horloge biologique5 et, ce qui est primordial, l’orientation spatiale.6–8La navigation spatiale est une capacité importante de tous les animaux, y compris les humains, comme en témoignent les patients souffrant d’un déficit vestibulaire bilatéral, et même unilatéral8 qui décrivent bien leurs difficultés à retrouver leur voiture sur le parking d’un supermarché, par exemple, ou à traverser une ville, un parc public ou un centre commercial. Ces difficultés altèrent considérablement leur qualité de vie.9 La panique les envahit rapidement !En 2014, le prix Nobel de médecine et de physiologie a été attribué à...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42752 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Stimulation vestibulaire et visuelle : perception simultanée ou pas ? / Jelena Todic in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Stimulation vestibulaire et visuelle : perception simultanée ou pas ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Jelena Todic ; Jean-Philippe Guyot ; Angelica Perez Fornos ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1650-1652 Langues : Français (fre) Mots-clés : EQUILIBRE VISION Résumé : Le cerveau humain est capable de considérer que deux stimuli sensoriels sont synchrones alors qu’ils activent le cortex avec un décalage temporel dû au fait qu’ils suivent des voies neurologiques différentes. Ce processus n’est possible que si l’intervalle de temps entre les deux stimuli ne dépasse pas un certain délai, qu’on appelle « Temporal Binding Window » (TBW). Etudier ce paramètre en mettant en jeu la perception vestibulaire est difficile puisqu’il faut bouger le sujet et donc générer aussi des informations proprioceptives. Par contre, chez les patients porteurs d’un implant vestibulaire, il est possible de délivrer une perception vestibulaire de façon sélective par stimulation électrique du nerf vestibulaire. Ces patients représentent donc un modèle unique pour étudier le TBW entre les perceptions visuelle et vestibulaire.
IntroductionLe plus souvent, nos 6 sens1 sont étudiés séparément les uns des autres. Or, dans la vie de tous les jours, notre cerveau reçoit perpétuellement des informations multi-sensorielles : vous voyez et vous entendez la voiture qui passe à côté de vous et vous sentez les gaz d’échappement… et si elle vous roule sur les pieds, vous ressentez une douleur ! Depuis les années cinquante, les neurophysiologistes s’intéressent à la façon dont le cerveau intègre ces informations sur le plan temporel.2,3Déterminer si deux stimuli sensoriels différents sont simultanés ou non implique des processus corticaux très subtiles. En effet, deux stimuli délivrés simultanément sont perçus comme tels alors qu’ils activent le cortex avec un décalage temporel. Par exemple, lorsque nous observons et écoutons une personne parler, les signaux auditif et visuel cheminant par des circuits différents, la perception auditive devrait précéder la perception visuelle d’environ 30 à 50 millisecondes.4 Or, le...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42753
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1650-1652[article] Stimulation vestibulaire et visuelle : perception simultanée ou pas ? [texte imprimé] / Jelena Todic ; Jean-Philippe Guyot ; Angelica Perez Fornos ; et al. . - 2016 . - p. 1650-1652.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1650-1652
Mots-clés : EQUILIBRE VISION Résumé : Le cerveau humain est capable de considérer que deux stimuli sensoriels sont synchrones alors qu’ils activent le cortex avec un décalage temporel dû au fait qu’ils suivent des voies neurologiques différentes. Ce processus n’est possible que si l’intervalle de temps entre les deux stimuli ne dépasse pas un certain délai, qu’on appelle « Temporal Binding Window » (TBW). Etudier ce paramètre en mettant en jeu la perception vestibulaire est difficile puisqu’il faut bouger le sujet et donc générer aussi des informations proprioceptives. Par contre, chez les patients porteurs d’un implant vestibulaire, il est possible de délivrer une perception vestibulaire de façon sélective par stimulation électrique du nerf vestibulaire. Ces patients représentent donc un modèle unique pour étudier le TBW entre les perceptions visuelle et vestibulaire.
IntroductionLe plus souvent, nos 6 sens1 sont étudiés séparément les uns des autres. Or, dans la vie de tous les jours, notre cerveau reçoit perpétuellement des informations multi-sensorielles : vous voyez et vous entendez la voiture qui passe à côté de vous et vous sentez les gaz d’échappement… et si elle vous roule sur les pieds, vous ressentez une douleur ! Depuis les années cinquante, les neurophysiologistes s’intéressent à la façon dont le cerveau intègre ces informations sur le plan temporel.2,3Déterminer si deux stimuli sensoriels différents sont simultanés ou non implique des processus corticaux très subtiles. En effet, deux stimuli délivrés simultanément sont perçus comme tels alors qu’ils activent le cortex avec un décalage temporel. Par exemple, lorsque nous observons et écoutons une personne parler, les signaux auditif et visuel cheminant par des circuits différents, la perception auditive devrait précéder la perception visuelle d’environ 30 à 50 millisecondes.4 Or, le...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42753 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Piège otoscopique : le cholestéatome congénital / Karma Lambercy in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Piège otoscopique : le cholestéatome congénital Type de document : texte imprimé Auteurs : Karma Lambercy ; Pauline Vinckenbosch ; Céline Richard Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1653-1656 Langues : Français (fre) Mots-clés : OREILLE TUMEUR OTOSCOPIE Résumé : Le cholestéatome congénital est une tumeur bénigne rare mais dont la fréquence augmente de par une optimisation du diagnostic, celui-ci étant de plus en plus précoce. Le diagnostic est souvent posé devant une masse blanchâtre rétrotympanique visible en otoscopie associée ou non à un trouble auditif. En cas de diagnostic tardif, l’extension de la maladie peut engendrer de graves complications nerveuses (faciales), auditives et vestibulaires. Sa prise en charge est chirurgicale, le type de technique étant guidé par le stade d’extension du cholestéatome. Le suivi post-thérapeutique va bénéficier de l’apport de l’IRM et se déroulera sur le moyen et long terme.
Vignette cliniqueUn enfant de 3 ans, en bonne santé habituelle, est référé en ORL pour prise en charge d’une symptomatologie associant obstruction nasale et angines à répétition. L’anamnèse confirme cette symptomatologie associée à quelques épisodes d’otites sécrétoires mais sans antécédent de perforation tympanique ni de chirurgie de l’oreille. L’otoscopie met en évidence une masse blanchâtre rétrotympanique gauche dans le cadrant antéro-supérieur (figure 1). Le reste de l’examen permet de s’assurer du bon développement du langage de l’enfant et l’examen vestibulaire ainsi que l’anamnèse à ce sujet sont normaux. L’audiométrie tonale conditionnée retrouve une audition normale du côté droit et une atteinte transmissionnelle légère prédominant sur les basses fréquences du côté gauche (figure 2). Une IRM des rochers est demandée devant la suspicion de cholestéatome congénital (figure 3). Le scanner met en évidence des formations kystiques paramédianes au manche du marteau dans le qua...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42754
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1653-1656[article] Piège otoscopique : le cholestéatome congénital [texte imprimé] / Karma Lambercy ; Pauline Vinckenbosch ; Céline Richard . - 2016 . - p. 1653-1656.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1653-1656
Mots-clés : OREILLE TUMEUR OTOSCOPIE Résumé : Le cholestéatome congénital est une tumeur bénigne rare mais dont la fréquence augmente de par une optimisation du diagnostic, celui-ci étant de plus en plus précoce. Le diagnostic est souvent posé devant une masse blanchâtre rétrotympanique visible en otoscopie associée ou non à un trouble auditif. En cas de diagnostic tardif, l’extension de la maladie peut engendrer de graves complications nerveuses (faciales), auditives et vestibulaires. Sa prise en charge est chirurgicale, le type de technique étant guidé par le stade d’extension du cholestéatome. Le suivi post-thérapeutique va bénéficier de l’apport de l’IRM et se déroulera sur le moyen et long terme.
Vignette cliniqueUn enfant de 3 ans, en bonne santé habituelle, est référé en ORL pour prise en charge d’une symptomatologie associant obstruction nasale et angines à répétition. L’anamnèse confirme cette symptomatologie associée à quelques épisodes d’otites sécrétoires mais sans antécédent de perforation tympanique ni de chirurgie de l’oreille. L’otoscopie met en évidence une masse blanchâtre rétrotympanique gauche dans le cadrant antéro-supérieur (figure 1). Le reste de l’examen permet de s’assurer du bon développement du langage de l’enfant et l’examen vestibulaire ainsi que l’anamnèse à ce sujet sont normaux. L’audiométrie tonale conditionnée retrouve une audition normale du côté droit et une atteinte transmissionnelle légère prédominant sur les basses fréquences du côté gauche (figure 2). Une IRM des rochers est demandée devant la suspicion de cholestéatome congénital (figure 3). Le scanner met en évidence des formations kystiques paramédianes au manche du marteau dans le qua...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42754 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Ouverture des voies aériennes en cas d’intubation impossible : la cricothyrotomie ou coniotomie / Frédéric Heymans in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Ouverture des voies aériennes en cas d’intubation impossible : la cricothyrotomie ou coniotomie Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Heymans ; Pavel Dulguerov Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1658-1660 Langues : Français (fre) Mots-clés : CRICOTHYREOTOMIE URGENCE Résumé : En cas d’intubation ou d’oxygénation impossible suite à une obstruction haute des voies aériennes, une cricothyrotomie est indiquée, appelée aussi « coniotomie ». C’est une procédure relativement simple et sûre, qui peut sauver la vie et ne nécessite qu’une lame, un tuyau et son doigt. Elle peut donc être réalisée n’importe où. Tout médecin devrait être capable de la réaliser. Des dispositifs ingénieux ont été inventés pour tenter d’en améliorer le taux de succès ; au contraire, ils compliquent la tâche et engendrent un taux d’échecs double avec des lésions associées, comme décrit dans notre étude comparative. Le but de cet article est de rappeler la technique de la coniotomie et mettre en confiance les médecins qui ne seraient pas familiers avec l’usage d’un bistouri. Nous recommandons l’utilisation d’un doigt, l’index, pour faciliter la procédure.
IntroductionAu même titre qu’on admet que tout chirurgien devrait savoir faire une trachéotomie, tout médecin devrait savoir faire une « cricothyrotomie » ou « coniotomie ». Ce geste, simple et rapide, peut sauver des vies en situation d’urgence suite à une obstruction des voies aériennes supérieures par un corps étranger pharyngo-laryngé non expulsable par une manœuvre de Heimlich, un œdème de Quincke, une épiglottite, un abcès profond du cou, un traumatisme cervico-facial, etc.Le geste peut être fait sur la voie publique, au cabinet médical ou encore lors d’une visite à domicile, puisqu’il ne nécessite aucun instrument particulier, sinon une lame coupante. Or, on trouve aujourd’hui sur le marché toutes sortes d’équipements sophistiqués, censés faciliter le geste. Mais sont-ils vraiment nécessaires ? Facilitent-ils vraiment le geste ? Tout médecin devrait-il en disposer, avoir un set à son cabinet, un autre dans sa voiture et encore un à son domicile, juste au cas où… ?Les buts d...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42755
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1658-1660[article] Ouverture des voies aériennes en cas d’intubation impossible : la cricothyrotomie ou coniotomie [texte imprimé] / Frédéric Heymans ; Pavel Dulguerov . - 2016 . - p. 1658-1660.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1658-1660
Mots-clés : CRICOTHYREOTOMIE URGENCE Résumé : En cas d’intubation ou d’oxygénation impossible suite à une obstruction haute des voies aériennes, une cricothyrotomie est indiquée, appelée aussi « coniotomie ». C’est une procédure relativement simple et sûre, qui peut sauver la vie et ne nécessite qu’une lame, un tuyau et son doigt. Elle peut donc être réalisée n’importe où. Tout médecin devrait être capable de la réaliser. Des dispositifs ingénieux ont été inventés pour tenter d’en améliorer le taux de succès ; au contraire, ils compliquent la tâche et engendrent un taux d’échecs double avec des lésions associées, comme décrit dans notre étude comparative. Le but de cet article est de rappeler la technique de la coniotomie et mettre en confiance les médecins qui ne seraient pas familiers avec l’usage d’un bistouri. Nous recommandons l’utilisation d’un doigt, l’index, pour faciliter la procédure.
IntroductionAu même titre qu’on admet que tout chirurgien devrait savoir faire une trachéotomie, tout médecin devrait savoir faire une « cricothyrotomie » ou « coniotomie ». Ce geste, simple et rapide, peut sauver des vies en situation d’urgence suite à une obstruction des voies aériennes supérieures par un corps étranger pharyngo-laryngé non expulsable par une manœuvre de Heimlich, un œdème de Quincke, une épiglottite, un abcès profond du cou, un traumatisme cervico-facial, etc.Le geste peut être fait sur la voie publique, au cabinet médical ou encore lors d’une visite à domicile, puisqu’il ne nécessite aucun instrument particulier, sinon une lame coupante. Or, on trouve aujourd’hui sur le marché toutes sortes d’équipements sophistiqués, censés faciliter le geste. Mais sont-ils vraiment nécessaires ? Facilitent-ils vraiment le geste ? Tout médecin devrait-il en disposer, avoir un set à son cabinet, un autre dans sa voiture et encore un à son domicile, juste au cas où… ?Les buts d...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42755 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Lésions bénignes courantes des cordes vocales : critères diagnostiques et prise en charge / Anne-Claude Guinchard in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Lésions bénignes courantes des cordes vocales : critères diagnostiques et prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Claude Guinchard ; Valérie Schweizer Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1661-1664 Langues : Français (fre) Mots-clés : CORDE VOCALE PATHOLOGIE Résumé : La corde vocale ou pli vocal est une structure remarquable, capable de supporter d’importantes contraintes physiques. Pourtant, lorsque le malmenage vocal devient chronique, il peut apparaître une altération organique entraînant des nodules, des polypes ou un œdème de l’espace de Reinke, voire une lésion de la glotte postérieure, le granulome. Ces lésions entraînent une dysphonie pouvant être invalidante. Le traitement peut être une prise en charge logopédique avec correction du souffle, réduction des tensions cervicales, changement de la posture, ainsi qu’un traitement chirurgical dans certains cas. Dans cet article, nous décrivons ces lésions courantes, leurs caractéristiques histologiques ainsi que les hypothèses physiopathologiques présidant à leur apparition et à leur traitement.
IntroductionLes lésions bénignes des cordes vocales sont la conséquence d’un malmenage vocal et d’un forçage. Cet article décrit quatre pathologies fréquentes et bénignes touchant les cordes vocales : nodule, polype, œdème de Reinke, granulome inflammatoire ainsi que leurs répercussions vocales et prise en charge.Structure de la corde vocaleLa corde vocale correspond à une structure « multicouches » qui se compose du muscle thyro-aryténoïdien ou muscle vocal, de la lamina propria (ligament cordal), et de sa muqueuse de recouvrement, l’épithélium pavimenteux stratifié non kératinisé (figure 1). Cet épithélium recouvre la lamina propria sur les deux tiers antérieurs des cordes vocales, rendant celles-ci résistantes à d’importantes contraintes physiques. La lamina propria est séparée de la muqueuse par l’espace de Reinke et divisée en une couche superficielle et des couches intermédiaire et profonde qui forment le ligament vocal. L’espace de Reinke est important, il joue le rôle de r...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42756
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1661-1664[article] Lésions bénignes courantes des cordes vocales : critères diagnostiques et prise en charge [texte imprimé] / Anne-Claude Guinchard ; Valérie Schweizer . - 2016 . - p. 1661-1664.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1661-1664
Mots-clés : CORDE VOCALE PATHOLOGIE Résumé : La corde vocale ou pli vocal est une structure remarquable, capable de supporter d’importantes contraintes physiques. Pourtant, lorsque le malmenage vocal devient chronique, il peut apparaître une altération organique entraînant des nodules, des polypes ou un œdème de l’espace de Reinke, voire une lésion de la glotte postérieure, le granulome. Ces lésions entraînent une dysphonie pouvant être invalidante. Le traitement peut être une prise en charge logopédique avec correction du souffle, réduction des tensions cervicales, changement de la posture, ainsi qu’un traitement chirurgical dans certains cas. Dans cet article, nous décrivons ces lésions courantes, leurs caractéristiques histologiques ainsi que les hypothèses physiopathologiques présidant à leur apparition et à leur traitement.
IntroductionLes lésions bénignes des cordes vocales sont la conséquence d’un malmenage vocal et d’un forçage. Cet article décrit quatre pathologies fréquentes et bénignes touchant les cordes vocales : nodule, polype, œdème de Reinke, granulome inflammatoire ainsi que leurs répercussions vocales et prise en charge.Structure de la corde vocaleLa corde vocale correspond à une structure « multicouches » qui se compose du muscle thyro-aryténoïdien ou muscle vocal, de la lamina propria (ligament cordal), et de sa muqueuse de recouvrement, l’épithélium pavimenteux stratifié non kératinisé (figure 1). Cet épithélium recouvre la lamina propria sur les deux tiers antérieurs des cordes vocales, rendant celles-ci résistantes à d’importantes contraintes physiques. La lamina propria est séparée de la muqueuse par l’espace de Reinke et divisée en une couche superficielle et des couches intermédiaire et profonde qui forment le ligament vocal. L’espace de Reinke est important, il joue le rôle de r...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42756 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Vertige paroxystique positionnel bénin du canal semi-circulaire antérieur / Stephen Jacques Alzuphar in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Vertige paroxystique positionnel bénin du canal semi-circulaire antérieur Type de document : texte imprimé Auteurs : Stephen Jacques Alzuphar ; Raphaël Maire Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1665-1669 Langues : Français (fre) Mots-clés : VERTIGE POSITIONNEL Résumé : Le vertige paroxystique positionnel bénin du canal semi-circulaire antérieur (VPPBant) est la forme la plus rare des canalolithiases, correspondant à 1-2 % environ de l’ensemble des VPPB. Le diagnostic repose sur l’observation d’un nystagmus positionnel vertical battant vers le bas, associé ou non à une composante rotatoire dirigée vers le côté lésé, provoqué par la manœuvre de Dix-Hallpike ou le positionnement en décubitus dorsal tête en hyperextension. Le côté affecté n’est pas toujours identifiable, en raison de l’inconstance de la composante rotatoire du nystagmus. Le diagnostic différentiel du VPPBant se fait avec les atteintes centrales pouvant produire un nystagmus vertical battant vers le bas (fosse postérieure). Plusieurs manœuvres thérapeutiques sont proposées, mais doivent encore être standardisées.
IntroductionLe vertige paroxystique positionnel bénin (VPPB) est la cause la plus fréquente de vertiges. La forme qui prédomine concerne le canal semi-circulaire (CSC) postérieur, dont la prévalence s’élève à 2,4 %, l’incidence cumulative atteignant presque 10 % à l’âge de 80 ans.1 En termes de fréquence, le VPPB du CSC postérieur compte pour 80-90 % des cas, le VPPB des CSC latéraux, pour 10 à 20 % des cas, comparé à 1-2 % des cas seulement pour l’atteinte du CSC antérieur qui constitue la forme la plus rare.2ÉpidémiologieLe VPPB débute volontiers entre la 5e et la 7e décennie de vie.3 Le genre féminin est le plus souvent touché, probablement en lien avec des altérations hormonales.4 L’incidence du VPPB antérieur varie entre 1 et 11 % de tous les VPPB.5 Dans une revue systématique regroupant 31 études, la prévalence globale de la canalolithiase du CSC antérieur était de 3 % sur un échantillon représentatif de 9953 cas de VPPB.6PhysiopathologieLe VPPB provoque un vertige soudain d...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42757
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1665-1669[article] Vertige paroxystique positionnel bénin du canal semi-circulaire antérieur [texte imprimé] / Stephen Jacques Alzuphar ; Raphaël Maire . - 2016 . - p. 1665-1669.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1665-1669
Mots-clés : VERTIGE POSITIONNEL Résumé : Le vertige paroxystique positionnel bénin du canal semi-circulaire antérieur (VPPBant) est la forme la plus rare des canalolithiases, correspondant à 1-2 % environ de l’ensemble des VPPB. Le diagnostic repose sur l’observation d’un nystagmus positionnel vertical battant vers le bas, associé ou non à une composante rotatoire dirigée vers le côté lésé, provoqué par la manœuvre de Dix-Hallpike ou le positionnement en décubitus dorsal tête en hyperextension. Le côté affecté n’est pas toujours identifiable, en raison de l’inconstance de la composante rotatoire du nystagmus. Le diagnostic différentiel du VPPBant se fait avec les atteintes centrales pouvant produire un nystagmus vertical battant vers le bas (fosse postérieure). Plusieurs manœuvres thérapeutiques sont proposées, mais doivent encore être standardisées.
IntroductionLe vertige paroxystique positionnel bénin (VPPB) est la cause la plus fréquente de vertiges. La forme qui prédomine concerne le canal semi-circulaire (CSC) postérieur, dont la prévalence s’élève à 2,4 %, l’incidence cumulative atteignant presque 10 % à l’âge de 80 ans.1 En termes de fréquence, le VPPB du CSC postérieur compte pour 80-90 % des cas, le VPPB des CSC latéraux, pour 10 à 20 % des cas, comparé à 1-2 % des cas seulement pour l’atteinte du CSC antérieur qui constitue la forme la plus rare.2ÉpidémiologieLe VPPB débute volontiers entre la 5e et la 7e décennie de vie.3 Le genre féminin est le plus souvent touché, probablement en lien avec des altérations hormonales.4 L’incidence du VPPB antérieur varie entre 1 et 11 % de tous les VPPB.5 Dans une revue systématique regroupant 31 études, la prévalence globale de la canalolithiase du CSC antérieur était de 3 % sur un échantillon représentatif de 9953 cas de VPPB.6PhysiopathologieLe VPPB provoque un vertige soudain d...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42757 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Santé et soins des personnes sans abri / Yves Jackson in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Santé et soins des personnes sans abri Type de document : texte imprimé Auteurs : Yves Jackson ; Timothée Wuillemin ; P. Bodenmann Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1671-1675 Langues : Français (fre) Mots-clés : SANTE PAUVRETE Résumé : Le défaut de logement stable est fortement lié à la pauvreté et à des causes structurelles. Les sans-abri constituent une population croissante dans les pays occidentaux, diverse dans son degré de précarité et d’accès au logement, de plus en plus jeune et multigénérationnelle. Leur santé est fortement influencée par les conditions de vie précaires et leur accès aux soins souvent mal adaptés aux besoins. Cet article passe en revue les données épidémiologiques et cliniques récentes et présente des stratégies innovantes de prise en charge globale susceptibles d’apporter des bénéfices à l’échelle de l’individu, du système de santé et de la société.
IntroductionAvoir un logement constitue un facteur essentiel au développement et à la préservation de la santé humaine. Son accès contribue à garantir la dignité. En effet, un foyer constitue non seulement un espace physique privé mais également une source de protection et d’attachement émotionnel. La Déclaration universelle des droits de l’homme le mentionne explicitement (art. 25) et la Constitution fédérale en fait un but social « La Confédération et les cantons s’engagent, en complément de la responsabilité individuelle et de l’initiative privée, à ce que […] toute personne en quête d’un logement puisse trouver, pour elle-même et sa famille, un logement approprié à des conditions supportables » (art. 41). Or, en Suisse, comme dans les autres pays européens, une frange de la population peine à se loger et cette tendance s’aggrave dans le contexte de la crise économique, de politique sociale plus restrictive, de la structure (faible taux de propriété privée) et de la valorisatio...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42758
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1671-1675[article] Santé et soins des personnes sans abri [texte imprimé] / Yves Jackson ; Timothée Wuillemin ; P. Bodenmann . - 2016 . - p. 1671-1675.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1671-1675
Mots-clés : SANTE PAUVRETE Résumé : Le défaut de logement stable est fortement lié à la pauvreté et à des causes structurelles. Les sans-abri constituent une population croissante dans les pays occidentaux, diverse dans son degré de précarité et d’accès au logement, de plus en plus jeune et multigénérationnelle. Leur santé est fortement influencée par les conditions de vie précaires et leur accès aux soins souvent mal adaptés aux besoins. Cet article passe en revue les données épidémiologiques et cliniques récentes et présente des stratégies innovantes de prise en charge globale susceptibles d’apporter des bénéfices à l’échelle de l’individu, du système de santé et de la société.
IntroductionAvoir un logement constitue un facteur essentiel au développement et à la préservation de la santé humaine. Son accès contribue à garantir la dignité. En effet, un foyer constitue non seulement un espace physique privé mais également une source de protection et d’attachement émotionnel. La Déclaration universelle des droits de l’homme le mentionne explicitement (art. 25) et la Constitution fédérale en fait un but social « La Confédération et les cantons s’engagent, en complément de la responsabilité individuelle et de l’initiative privée, à ce que […] toute personne en quête d’un logement puisse trouver, pour elle-même et sa famille, un logement approprié à des conditions supportables » (art. 41). Or, en Suisse, comme dans les autres pays européens, une frange de la population peine à se loger et cette tendance s’aggrave dans le contexte de la crise économique, de politique sociale plus restrictive, de la structure (faible taux de propriété privée) et de la valorisatio...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42758 Exemplaires (1)
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