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Revue médicale suisse . 532Médecine ambulatoireMention de date : Septembre 2016 Paru le : 28/09/2016 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierL’homme, le nouveau sexe faible ? / Thierry Favrod-Coune in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : L’homme, le nouveau sexe faible ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Thierry Favrod-Coune ; Jean-Michel Gaspoz Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1595 Langues : Français (fre) Mots-clés : HOMME SOCIETE Résumé : En mai 2015, The Economist jetait un pavé dans la mare en réalisant un numéro critique sur la place de l’homme dans les sociétés occidentales modernes.1 Les hommes ont longtemps tenu le devant de la scène et pourraient encore donner l’impression de le faire : plus de 90 % des présidents d’états ou des premiers ministres sont des hommes et ces derniers sont également prédominants dans la finance, le sport, la technologie ou la musique. Le fait d’être un homme confère encore des avantages sur le plan politique (sous-représentation des femmes dans les parlements, notamment en Suisse : 15,2 % de femmes au Conseil des Etats, en régression depuis 2003 et 32 % au Conseil National) ou professionnel (accès aux postes plus facile, avantage salarial de 15,1 % supérieur dans le secteur privé et de 12,3 % dans le public).2
Les médecins de premier recours ont un nouveau rôle à jouer auprès de cette populationPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42736
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1595[article] L’homme, le nouveau sexe faible ? [texte imprimé] / Thierry Favrod-Coune ; Jean-Michel Gaspoz . - 2016 . - p. 1595.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1595
Mots-clés : HOMME SOCIETE Résumé : En mai 2015, The Economist jetait un pavé dans la mare en réalisant un numéro critique sur la place de l’homme dans les sociétés occidentales modernes.1 Les hommes ont longtemps tenu le devant de la scène et pourraient encore donner l’impression de le faire : plus de 90 % des présidents d’états ou des premiers ministres sont des hommes et ces derniers sont également prédominants dans la finance, le sport, la technologie ou la musique. Le fait d’être un homme confère encore des avantages sur le plan politique (sous-représentation des femmes dans les parlements, notamment en Suisse : 15,2 % de femmes au Conseil des Etats, en régression depuis 2003 et 32 % au Conseil National) ou professionnel (accès aux postes plus facile, avantage salarial de 15,1 % supérieur dans le secteur privé et de 12,3 % dans le public).2
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Bilan de santé chez l’homme de 40 ans / Fanny Kardes-Waelti in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Bilan de santé chez l’homme de 40 ans Type de document : texte imprimé Auteurs : Fanny Kardes-Waelti ; Amandine Sanga ; Idris Guessous Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1597-1601 Langues : Français (fre) Mots-clés : HOMME DEPISTAGE Résumé : Il ressort d’une étude publiée par la Commission européenne en 2011, incluant 290 millions d’hommes, issus de 34 pays, dont la Suisse, que la population masculine connaît un taux de morbidité et de mortalité prématurée nettement supérieur à celui des femmes. A 40 ans, l’homme se trouve au sommet de ses aptitudes : il bénéficie d’une solide expérience dans de nombreux domaines et les déficits liés au vieillissement n’ont pas encore d’impact sur son fonctionnement. Qu’en est-il de sa santé ? La plupart des recommandations en termes de dépistage débutent à 50 ans. La quarantaine peut donc apparaître comme une zone grise. Cet article se propose de revoir les dépistages indiqués chez un patient dans la quarantaine. Il se veut comme un complément aux consignes de dépistage et de prévention publiées périodiquement dans cette revue.
IntroductionLe terme midlife apparaît pour la première fois dans un dictionnaire en 1895 (Funk and Wagnall’s Standard Dictionary). Il décrit alors la partie de la vie entre la jeunesse et la vieillesse. La quarantaine est fréquemment perçue dans l’imaginaire collectif comme une période charnière de la moitié de la vie, avec l’émergence possible de prises de conscience fondamentales. On parle alors fréquemment de « crise de la quarantaine » (midlife crisis). Le défi de la quarantaine peut être défini par le fait d’atteindre une forme d’équilibre entre travail et vie de famille, tout en vivant des changements d’ordre physique et psychologique liés à l’âge.1 Au-delà du concept débattu de crise de la quarantaine, ce qui intéresse le médecin traitant devant un patient de 40 ans, c’est de connaître les recommandations en termes de dépistage et de prévention. Nous verrons dans cet article qu’il y a peu de données spécifiques à cette classe d’âge.Dépistage des cancers de 40 à 49 ansLes tr...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42737
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1597-1601[article] Bilan de santé chez l’homme de 40 ans [texte imprimé] / Fanny Kardes-Waelti ; Amandine Sanga ; Idris Guessous . - 2016 . - p. 1597-1601.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1597-1601
Mots-clés : HOMME DEPISTAGE Résumé : Il ressort d’une étude publiée par la Commission européenne en 2011, incluant 290 millions d’hommes, issus de 34 pays, dont la Suisse, que la population masculine connaît un taux de morbidité et de mortalité prématurée nettement supérieur à celui des femmes. A 40 ans, l’homme se trouve au sommet de ses aptitudes : il bénéficie d’une solide expérience dans de nombreux domaines et les déficits liés au vieillissement n’ont pas encore d’impact sur son fonctionnement. Qu’en est-il de sa santé ? La plupart des recommandations en termes de dépistage débutent à 50 ans. La quarantaine peut donc apparaître comme une zone grise. Cet article se propose de revoir les dépistages indiqués chez un patient dans la quarantaine. Il se veut comme un complément aux consignes de dépistage et de prévention publiées périodiquement dans cette revue.
IntroductionLe terme midlife apparaît pour la première fois dans un dictionnaire en 1895 (Funk and Wagnall’s Standard Dictionary). Il décrit alors la partie de la vie entre la jeunesse et la vieillesse. La quarantaine est fréquemment perçue dans l’imaginaire collectif comme une période charnière de la moitié de la vie, avec l’émergence possible de prises de conscience fondamentales. On parle alors fréquemment de « crise de la quarantaine » (midlife crisis). Le défi de la quarantaine peut être défini par le fait d’atteindre une forme d’équilibre entre travail et vie de famille, tout en vivant des changements d’ordre physique et psychologique liés à l’âge.1 Au-delà du concept débattu de crise de la quarantaine, ce qui intéresse le médecin traitant devant un patient de 40 ans, c’est de connaître les recommandations en termes de dépistage et de prévention. Nous verrons dans cet article qu’il y a peu de données spécifiques à cette classe d’âge.Dépistage des cancers de 40 à 49 ansLes tr...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42737 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt L’abus de substances, une maladie masculine ? / Monika Egervarine Radvanyi in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : L’abus de substances, une maladie masculine ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Monika Egervarine Radvanyi ; Kyriaki Gkoufa ; Thierry Favrod-Coune Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1602-1606 Langues : Français (fre) Mots-clés : HOMME ADDICTION ALCOOL TABAC DROGUE Résumé : Pour des raisons biologiques et sociales, les hommes doivent répondre à des attentes de performance, de compétitivité et de prise de risques. Cela les expose à la consommation de substances, abus et dépendances, dans un cadre social, récréatif, ou pour augmenter leur performance. La prévalence de consommation est globalement supérieure chez les hommes (deux hommes pour une femme). Cet article propose une description des différences de genre dans la consommation des principales substances et des conseils pour le dépistage et une prise en charge adaptée. Il s’agit principalement d’un cadre permettant une identification, de favoriser le choix du genre du soignant, de travailler en collaboration de même qu’en utilisant d’autres moyens que la parole. L’image traditionnelle de l’homme sera discutée et nuancée.
Introduction, généralitésLa consommation excessive de substances représente un important facteur de risque pour de nombreux problèmes physiques, psychiques et sociaux. En particulier, le tabac et l’alcool sont parmi les premiers facteurs de risque évitables dans les sociétés de type « occidental » causant, en Suisse, respectivement 90001 et 16002 décès par année. La consommation de substances et les dépendances sont nettement plus fréquentes chez les hommes, avec deux exceptions, une pour le tabac chez les moins de 25 ans, où la consommation s’est récemment équilibrée (mais reste supérieure chez l’homme adulte), et une autre pour les tranquillisants et les antalgiques, nettement plus prévalents chez les femmes (tableau 1).3 Une des explications possibles de cette différence est que beaucoup d’hommes vivent un conflit entre les exigences traditionnelles du chasseur et défenseur, accompagnées d’autres souvent excessives véhiculées par la société, et sa définition personnelle de la m...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42738
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1602-1606[article] L’abus de substances, une maladie masculine ? [texte imprimé] / Monika Egervarine Radvanyi ; Kyriaki Gkoufa ; Thierry Favrod-Coune . - 2016 . - p. 1602-1606.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1602-1606
Mots-clés : HOMME ADDICTION ALCOOL TABAC DROGUE Résumé : Pour des raisons biologiques et sociales, les hommes doivent répondre à des attentes de performance, de compétitivité et de prise de risques. Cela les expose à la consommation de substances, abus et dépendances, dans un cadre social, récréatif, ou pour augmenter leur performance. La prévalence de consommation est globalement supérieure chez les hommes (deux hommes pour une femme). Cet article propose une description des différences de genre dans la consommation des principales substances et des conseils pour le dépistage et une prise en charge adaptée. Il s’agit principalement d’un cadre permettant une identification, de favoriser le choix du genre du soignant, de travailler en collaboration de même qu’en utilisant d’autres moyens que la parole. L’image traditionnelle de l’homme sera discutée et nuancée.
Introduction, généralitésLa consommation excessive de substances représente un important facteur de risque pour de nombreux problèmes physiques, psychiques et sociaux. En particulier, le tabac et l’alcool sont parmi les premiers facteurs de risque évitables dans les sociétés de type « occidental » causant, en Suisse, respectivement 90001 et 16002 décès par année. La consommation de substances et les dépendances sont nettement plus fréquentes chez les hommes, avec deux exceptions, une pour le tabac chez les moins de 25 ans, où la consommation s’est récemment équilibrée (mais reste supérieure chez l’homme adulte), et une autre pour les tranquillisants et les antalgiques, nettement plus prévalents chez les femmes (tableau 1).3 Une des explications possibles de cette différence est que beaucoup d’hommes vivent un conflit entre les exigences traditionnelles du chasseur et défenseur, accompagnées d’autres souvent excessives véhiculées par la société, et sa définition personnelle de la m...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42738 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt « Docteur, j’ai un petit problème d’érection ! » / Jean Dupraz in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : « Docteur, j’ai un petit problème d’érection ! » Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean Dupraz ; Julien Zumkher ; Grégoire Mayor Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1607-1613 Langues : Français (fre) Mots-clés : ERECTION TROUBLE SEXUALITE HOMME Résumé : La dysfonction érectile (DE) est une affection qui touche près d’un homme sur trois dès 50 ans et plus d’un sur deux après 70 ans. Elle est souvent multifactorielle et partage ses facteurs de risque avec la maladie coronarienne dont elle est un marqueur précoce. Sa prise en charge implique une recherche étiologique, une correction des facteurs de risque modifiables et souvent un traitement par les inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (IPDE-5). Le suivi permet de s’assurer de l’efficacité du traitement et de la présence d’effets secondaires qui pourraient influencer la compliance médicamenteuse. Le recours aux médecins spécialistes (urologue, psychiatre, endocrinologue et cardiologue) se fait au cas par cas selon des comorbidités, de la nécessité d’investigations complémentaires ou de l’absence de réponse satisfaisante aux IPDE-5.
IntroductionL’érection est un phénomène physiologique complexe impliquant de nombreux facteurs psychologiques, neurovasculaires, endocriniens et tissulaires ainsi qu’une coordination très fine entre eux. La dysfonction érectile (DE) se définit par une incapacité persistante à atteindre et maintenir une érection suffisante pour permettre une activité sexuelle satisfaisante.1 Au vu de sa complexité physiologique, il est fréquent de se trouver confronté à des étiologies multifactorielles ou face à des patients présentant de nombreux facteurs de risque de DE. Cet article a pour but de passer en revue ses principales étiologies et ses traitements afin d’offrir au médecin généraliste les outils indispensables à sa prise en charge.Physiologie résumée de l’érectionLes principales structures tissulaires impliquées dans l’érection sont les corps caverneux qui sont constitués d’un réseau de cellules musculaires lisses et de vaisseaux sanguins structurés en espace sinusoïde. À l’état de repos...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42745
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1607-1613[article] « Docteur, j’ai un petit problème d’érection ! » [texte imprimé] / Jean Dupraz ; Julien Zumkher ; Grégoire Mayor . - 2016 . - p. 1607-1613.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1607-1613
Mots-clés : ERECTION TROUBLE SEXUALITE HOMME Résumé : La dysfonction érectile (DE) est une affection qui touche près d’un homme sur trois dès 50 ans et plus d’un sur deux après 70 ans. Elle est souvent multifactorielle et partage ses facteurs de risque avec la maladie coronarienne dont elle est un marqueur précoce. Sa prise en charge implique une recherche étiologique, une correction des facteurs de risque modifiables et souvent un traitement par les inhibiteurs de la phosphodiestérase de type 5 (IPDE-5). Le suivi permet de s’assurer de l’efficacité du traitement et de la présence d’effets secondaires qui pourraient influencer la compliance médicamenteuse. Le recours aux médecins spécialistes (urologue, psychiatre, endocrinologue et cardiologue) se fait au cas par cas selon des comorbidités, de la nécessité d’investigations complémentaires ou de l’absence de réponse satisfaisante aux IPDE-5.
IntroductionL’érection est un phénomène physiologique complexe impliquant de nombreux facteurs psychologiques, neurovasculaires, endocriniens et tissulaires ainsi qu’une coordination très fine entre eux. La dysfonction érectile (DE) se définit par une incapacité persistante à atteindre et maintenir une érection suffisante pour permettre une activité sexuelle satisfaisante.1 Au vu de sa complexité physiologique, il est fréquent de se trouver confronté à des étiologies multifactorielles ou face à des patients présentant de nombreux facteurs de risque de DE. Cet article a pour but de passer en revue ses principales étiologies et ses traitements afin d’offrir au médecin généraliste les outils indispensables à sa prise en charge.Physiologie résumée de l’érectionLes principales structures tissulaires impliquées dans l’érection sont les corps caverneux qui sont constitués d’un réseau de cellules musculaires lisses et de vaisseaux sanguins structurés en espace sinusoïde. À l’état de repos...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42745 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Dépression masculine / Annick Gerber in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Dépression masculine Type de document : texte imprimé Auteurs : Annick Gerber ; Kim Hoang Nam Nguyen ; Scheherazade Fischberg Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1614-1619 Langues : Français (fre) Mots-clés : DEPRESSION HOMME Résumé : La dépression est l’une des maladies psychiatriques les plus fréquemment rencontrées en médecine de premier recours, source de souffrance majeure tant pour le malade que pour son entourage. Les symptômes classiques sont souvent bien connus pour la femme. Cet article a pour but de mettre en exergue les spécificités masculines de cette maladie, parfois méconnues.
IntroductionDes facteurs anthropologiques et socio-culturels sont sources de différences entre l’homme et la femme dans l’expression de la dépression. Il existe également des facteurs neurobiologiques qui confirment aujourd’hui la spécificité d’une dépression masculine.1 L’objet de cet article est de fournir des outils de dépistage de la maladie chez l’homme. En fin d’article, quelques particularités masculines de la prise en charge seront abordées.Épidémiologie2La dépression est une maladie mentale stricto sensu et non l’exagération d’états d’âme passagers connus de tous. Elle figure sur le plan mondial en première position avant le VIH et les cardiopathies coronariennes comme l’affection la plus souvent responsable de handicaps significatifs et de coûts élevés pour la société.3 La plupart des études épidémiologiques donnent un ratio de prévalence de deux femmes pour un homme.4 Mais ces études sont-elles le reflet fidèle de la réalité ? De multiples barrières à ce diagnostic et l...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42746
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1614-1619[article] Dépression masculine [texte imprimé] / Annick Gerber ; Kim Hoang Nam Nguyen ; Scheherazade Fischberg . - 2016 . - p. 1614-1619.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1614-1619
Mots-clés : DEPRESSION HOMME Résumé : La dépression est l’une des maladies psychiatriques les plus fréquemment rencontrées en médecine de premier recours, source de souffrance majeure tant pour le malade que pour son entourage. Les symptômes classiques sont souvent bien connus pour la femme. Cet article a pour but de mettre en exergue les spécificités masculines de cette maladie, parfois méconnues.
IntroductionDes facteurs anthropologiques et socio-culturels sont sources de différences entre l’homme et la femme dans l’expression de la dépression. Il existe également des facteurs neurobiologiques qui confirment aujourd’hui la spécificité d’une dépression masculine.1 L’objet de cet article est de fournir des outils de dépistage de la maladie chez l’homme. En fin d’article, quelques particularités masculines de la prise en charge seront abordées.Épidémiologie2La dépression est une maladie mentale stricto sensu et non l’exagération d’états d’âme passagers connus de tous. Elle figure sur le plan mondial en première position avant le VIH et les cardiopathies coronariennes comme l’affection la plus souvent responsable de handicaps significatifs et de coûts élevés pour la société.3 La plupart des études épidémiologiques donnent un ratio de prévalence de deux femmes pour un homme.4 Mais ces études sont-elles le reflet fidèle de la réalité ? De multiples barrières à ce diagnostic et l...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42746 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Violences chez l’homme, un sujet peu connu des praticiens / Fathia Abed in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Violences chez l’homme, un sujet peu connu des praticiens Type de document : texte imprimé Auteurs : Fathia Abed ; Francesco Meach ; Khaled M'Hiri ; Emmanuel Escard Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1620-1623 Langues : Français (fre) Mots-clés : HOMME VIOLENCE Résumé : Fléau mondial, les violences sont un véritable problème de santé publique pouvant avoir des répercussions graves sur la santé globale, y compris chez l’homme, qu’il soit auteur, victime ou témoin de violences, et pour lequel cette problématique reste à ce jour peu connue des praticiens. Ces violences se manifestent en partie différemment que chez la femme et dans les différentes phases de la vie, de même qu’en fonction du statut social, de l’orientation sexuelle et des morbidités. Nous aborderons dans cet article différents points nécessaires à la pratique du médecin de premier recours face aux violences chez les hommes.
IntroductionLa violence est une préoccupation majeure de la société et a un impact sur la santé des protagonistes. Souvent considéré comme auteur, l’homme victime de violences est peu étudié. L’homme exprime moins ses émotions que la femme et sa prise en charge nécessite une attention particulière du médecin de premier recours. Dans cet article, nous exposons les différentes formes de violences et les spécificités propres à l’homme dans différents contextes.Violences domestiquesLes violences domestiques (VD) existent dans tous les pays et dans tous les groupes sociaux, religieux et culturels. A Genève, 25 % des hommes en auraient été victimes au cours de leur vie selon Killias.1Hommes adultes et enfants peuvent être auteurs, victimes ou témoins. Les formes les plus fréquentes sont les violences envers les femmes par leur partenaire masculin, qui se manifestent surtout par des violences physiques, sexuelles ou psychologiques (sévères). Les hommes, en tant que victimes, seraient dav...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42747
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1620-1623[article] Violences chez l’homme, un sujet peu connu des praticiens [texte imprimé] / Fathia Abed ; Francesco Meach ; Khaled M'Hiri ; Emmanuel Escard . - 2016 . - p. 1620-1623.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1620-1623
Mots-clés : HOMME VIOLENCE Résumé : Fléau mondial, les violences sont un véritable problème de santé publique pouvant avoir des répercussions graves sur la santé globale, y compris chez l’homme, qu’il soit auteur, victime ou témoin de violences, et pour lequel cette problématique reste à ce jour peu connue des praticiens. Ces violences se manifestent en partie différemment que chez la femme et dans les différentes phases de la vie, de même qu’en fonction du statut social, de l’orientation sexuelle et des morbidités. Nous aborderons dans cet article différents points nécessaires à la pratique du médecin de premier recours face aux violences chez les hommes.
IntroductionLa violence est une préoccupation majeure de la société et a un impact sur la santé des protagonistes. Souvent considéré comme auteur, l’homme victime de violences est peu étudié. L’homme exprime moins ses émotions que la femme et sa prise en charge nécessite une attention particulière du médecin de premier recours. Dans cet article, nous exposons les différentes formes de violences et les spécificités propres à l’homme dans différents contextes.Violences domestiquesLes violences domestiques (VD) existent dans tous les pays et dans tous les groupes sociaux, religieux et culturels. A Genève, 25 % des hommes en auraient été victimes au cours de leur vie selon Killias.1Hommes adultes et enfants peuvent être auteurs, victimes ou témoins. Les formes les plus fréquentes sont les violences envers les femmes par leur partenaire masculin, qui se manifestent surtout par des violences physiques, sexuelles ou psychologiques (sévères). Les hommes, en tant que victimes, seraient dav...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42747 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La main : revue des pathologies les plus fréquentes pour le médecin de premier recours / Nadia Carita Cambon in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : La main : revue des pathologies les plus fréquentes pour le médecin de premier recours Type de document : texte imprimé Auteurs : Nadia Carita Cambon ; Olivier Pasche ; Laurent Wehrli Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1625-1633 Langues : Français (fre) Mots-clés : MAIN EXAMEN CLINIQUE TRAUMATISME PLAIE AMPUTATION INFECTION ONGLE Résumé : Le médecin généraliste est souvent le premier à évaluer un patient avec une plainte de la main, en particulier dans les secteurs les plus éloignés d’un centre d’urgences. La main occupe la plus grande zone sensitive de notre cortex, relativement à sa surface cutanée. C’est la partie de notre corps que l’on utilise le plus et elle est donc particulièrement sujette aux traumatismes, aux plaies, aux infections, aux inflammations tendineuses et aux pathologies de compressions nerveuses. Cet article vise à développer les principales pathologies que le médecin de premier recours peut être amené à prendre en charge ainsi que leurs traitements.
Introduction1–4La main et le poignet sont composés de 27 os, dont huit os carpiens répartis en deux rangées, cinq os métacarpiens et quatorze phalanges. Pour coordonner tous les mouvements qui permettent à nos mains leur grande mobilité, de nombreuses structures sont nécessaires : les ligaments pour la stabilisation latérale, les muscles extrinsèques pour la force de poigne et intrinsèques pour la dextérité et la force pulpaire. Les douze tendons extenseurs sont logés dans six coulisses pour éviter une corde d’arc au dos du poignet et les neuf tendons fléchisseurs sont entourés d’une gaine fibreuse anticorde d’arc et d’une gaine synoviale pour favoriser le glissement. Chacun de nos doigts a un tendon fléchisseur profond (fléchissant les deux articulations interphalangiennes) et un tendon fléchisseur superficiel (fléchissant uniquement l’interphalangienne proximale). Ce grand nombre de structures sur une si petite surface est sujet à des lésions graves même après de petites plaies...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42748
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1625-1633[article] La main : revue des pathologies les plus fréquentes pour le médecin de premier recours [texte imprimé] / Nadia Carita Cambon ; Olivier Pasche ; Laurent Wehrli . - 2016 . - p. 1625-1633.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1625-1633
Mots-clés : MAIN EXAMEN CLINIQUE TRAUMATISME PLAIE AMPUTATION INFECTION ONGLE Résumé : Le médecin généraliste est souvent le premier à évaluer un patient avec une plainte de la main, en particulier dans les secteurs les plus éloignés d’un centre d’urgences. La main occupe la plus grande zone sensitive de notre cortex, relativement à sa surface cutanée. C’est la partie de notre corps que l’on utilise le plus et elle est donc particulièrement sujette aux traumatismes, aux plaies, aux infections, aux inflammations tendineuses et aux pathologies de compressions nerveuses. Cet article vise à développer les principales pathologies que le médecin de premier recours peut être amené à prendre en charge ainsi que leurs traitements.
Introduction1–4La main et le poignet sont composés de 27 os, dont huit os carpiens répartis en deux rangées, cinq os métacarpiens et quatorze phalanges. Pour coordonner tous les mouvements qui permettent à nos mains leur grande mobilité, de nombreuses structures sont nécessaires : les ligaments pour la stabilisation latérale, les muscles extrinsèques pour la force de poigne et intrinsèques pour la dextérité et la force pulpaire. Les douze tendons extenseurs sont logés dans six coulisses pour éviter une corde d’arc au dos du poignet et les neuf tendons fléchisseurs sont entourés d’une gaine fibreuse anticorde d’arc et d’une gaine synoviale pour favoriser le glissement. Chacun de nos doigts a un tendon fléchisseur profond (fléchissant les deux articulations interphalangiennes) et un tendon fléchisseur superficiel (fléchissant uniquement l’interphalangienne proximale). Ce grand nombre de structures sur une si petite surface est sujet à des lésions graves même après de petites plaies...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42748 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Procréer sans cellules sexuelles féminines se rapproche du possible / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
[article]
Titre : Procréer sans cellules sexuelles féminines se rapproche du possible Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1634-1635 Langues : Français (fre) Mots-clés : STERILITE PROCREATION ARTIFICIELLE Résumé : Un jour, la stérilité ne sera plus jamais ce qu’elle avait été. Bientôt quarante ans que les manipulations des cellules sexuelles ouvrent sur des instants de vertige. Et voici aujourd’hui, après le clonage, la dernière étape de l’une des principales révolutions biologiques en marche. Une révolution avançant sous l’oriflamme de la thérapeutique et dont nous ne voulons généralement pas voir les dimensions politique, philosophique, éthique. On peut en prendre connaissance dans la dernière livraison de Nature Communications.1Le résumé de cette nouvelle affaire peut être exposé assez simplement : des chercheurs sont parvenus à créer des souris sans utiliser d’ovocytes – du moins pas directement. Nous frôlons ici les frontières d’un autre monde, d’un monde en devenir, d’une nouvelle dystopie. Ces chercheurs universitaires travaillent en Angleterre (Université de Bath) et en Allemagne (Fraunhofer Institute for Toxicology and Experimental Medicine, Regensburg). Au terme d’une série de man... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42749
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1634-1635[article] Procréer sans cellules sexuelles féminines se rapproche du possible [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1634-1635.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1634-1635
Mots-clés : STERILITE PROCREATION ARTIFICIELLE Résumé : Un jour, la stérilité ne sera plus jamais ce qu’elle avait été. Bientôt quarante ans que les manipulations des cellules sexuelles ouvrent sur des instants de vertige. Et voici aujourd’hui, après le clonage, la dernière étape de l’une des principales révolutions biologiques en marche. Une révolution avançant sous l’oriflamme de la thérapeutique et dont nous ne voulons généralement pas voir les dimensions politique, philosophique, éthique. On peut en prendre connaissance dans la dernière livraison de Nature Communications.1Le résumé de cette nouvelle affaire peut être exposé assez simplement : des chercheurs sont parvenus à créer des souris sans utiliser d’ovocytes – du moins pas directement. Nous frôlons ici les frontières d’un autre monde, d’un monde en devenir, d’une nouvelle dystopie. Ces chercheurs universitaires travaillent en Angleterre (Université de Bath) et en Allemagne (Fraunhofer Institute for Toxicology and Experimental Medicine, Regensburg). Au terme d’une série de man... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42749 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Justice pour les statines : les dernières données efficacité-innocuité / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 532 (Septembre 2016)
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Titre : Justice pour les statines : les dernières données efficacité-innocuité Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1636-1637 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHOLESTEROL MEDICAMENT Résumé : Célèbres hypolipémiants (inhibiteurs de la HMG-CoA réductase), les statines ont commencé à voir le jour il y aura bientôt trente ans : la lovastatine a été commercialisée la première par Merck en 1987, suivie par la simvastatine (1988), la pravastatine (1991), la fluvastatine (1994), l’atorvastatine (1997). Il y eut aussi la cérivastatine commercialisée en 1998 mais retirée du marché trois ans plus tard en raison d’effets secondaires graves (nombre élevé de cas de rhabdomyolyse avec insuffisance rénale aiguë).On estime aujourd’hui que plus de deux cents millions de personnes sont sous statines à travers le monde, dont trente millions aux Etats-Unis. Les statines sont généralement considérées comme efficaces dans le traitement de l’hypercholestérolémie pour les préventions secondaire (et primaire) des maladies cardiovasculaires. Pour autant, on observe, à échéance régulière, des controverses quant à leur utilité et à leur innocuité.C’est dire l’intérêt de la récente publication du... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42750
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1636-1637[article] Justice pour les statines : les dernières données efficacité-innocuité [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1636-1637.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 532 (Septembre 2016) . - p. 1636-1637
Mots-clés : CHOLESTEROL MEDICAMENT Résumé : Célèbres hypolipémiants (inhibiteurs de la HMG-CoA réductase), les statines ont commencé à voir le jour il y aura bientôt trente ans : la lovastatine a été commercialisée la première par Merck en 1987, suivie par la simvastatine (1988), la pravastatine (1991), la fluvastatine (1994), l’atorvastatine (1997). Il y eut aussi la cérivastatine commercialisée en 1998 mais retirée du marché trois ans plus tard en raison d’effets secondaires graves (nombre élevé de cas de rhabdomyolyse avec insuffisance rénale aiguë).On estime aujourd’hui que plus de deux cents millions de personnes sont sous statines à travers le monde, dont trente millions aux Etats-Unis. Les statines sont généralement considérées comme efficaces dans le traitement de l’hypercholestérolémie pour les préventions secondaire (et primaire) des maladies cardiovasculaires. Pour autant, on observe, à échéance régulière, des controverses quant à leur utilité et à leur innocuité.C’est dire l’intérêt de la récente publication du... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42750 Exemplaires (1)
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