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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements


Chirurgie métabolique versus traitement médical optimisé dans la prise en charge du diabète de type 2 ? / André Scheen in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : Chirurgie métabolique versus traitement médical optimisé dans la prise en charge du diabète de type 2 ? Type de document : texte imprimé Auteurs : André Scheen Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1355-1356 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIABETE DE TYPE 2 chirurgie bariatrique Résumé : Le diabète de type 2 (DT2) est devenu une préoccupation de premier plan en santé publique en raison de sa prévalence en constante augmentation et des nombreuses complications associées à la maladie, microvasculaires et, surtout, macrovasculaires. L’augmentation de la prévalence du DT2 est, certes, liée au vieillissement de la population, mais aussi à ce que d’aucuns appellent l’épidémie de l’obésité. L’immense majorité des patients avec un DT2 présentent, en effet, un surpoids ou une obésité plus ou moins sévère et cette adiposité excessive joue un rôle majeur dans la physiopathologie de la maladie.1 Par ailleurs, cette obésité, notamment dans sa composante abdominale, est associée à d’autres facteurs de risque fréquemment rencontrés chez le patient DT2, dont une hypertension artérielle et une dyslipidémie, qui contribuent à péjorer le pronostic cardiovasculaire. A l’évidence, la réduction des complications cardiovasculaires chez le patient DT2 implique une prise en charge globale, ciblant tous les facteurs de risque et non seulement l’hyperglycémie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42236
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1355-1356[article] Chirurgie métabolique versus traitement médical optimisé dans la prise en charge du diabète de type 2 ? [texte imprimé] / André Scheen . - 2016 . - p. 1355-1356.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1355-1356
Mots-clés : DIABETE DE TYPE 2 chirurgie bariatrique Résumé : Le diabète de type 2 (DT2) est devenu une préoccupation de premier plan en santé publique en raison de sa prévalence en constante augmentation et des nombreuses complications associées à la maladie, microvasculaires et, surtout, macrovasculaires. L’augmentation de la prévalence du DT2 est, certes, liée au vieillissement de la population, mais aussi à ce que d’aucuns appellent l’épidémie de l’obésité. L’immense majorité des patients avec un DT2 présentent, en effet, un surpoids ou une obésité plus ou moins sévère et cette adiposité excessive joue un rôle majeur dans la physiopathologie de la maladie.1 Par ailleurs, cette obésité, notamment dans sa composante abdominale, est associée à d’autres facteurs de risque fréquemment rencontrés chez le patient DT2, dont une hypertension artérielle et une dyslipidémie, qui contribuent à péjorer le pronostic cardiovasculaire. A l’évidence, la réduction des complications cardiovasculaires chez le patient DT2 implique une prise en charge globale, ciblant tous les facteurs de risque et non seulement l’hyperglycémie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42236 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Actualités thérapeutiques dans l’endocardite infectieuse / Stella Marchetta in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : Actualités thérapeutiques dans l’endocardite infectieuse Type de document : texte imprimé Auteurs : Stella Marchetta ; Alessandra Iovino ; Patrizio Lancellotti ; Luc Piérard Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1358-1361 Langues : Français (fre) Mots-clés : ENDOCARDITE THERAPEUTIQUE CHIRURGIE Résumé : Les modalités thérapeutiques de l’endocardite infectieuse ont été remises à jour dans des recommandations européennes en 2015. Elles dépendent à la fois d’une meilleure prévention dans la population à haut risque, d’un diagnostic plus rapide au moyen de nouvelles approches d’imagerie médicale et d’une collaboration interdisciplinaire par l’« endocarditis team ». Le traitement comporte d’emblée une antibiothérapie pouvant être complexe, empirique dans un premier temps et puis ciblée, dépendant de l’épidémiologie infectieuse locale et de l’atteinte d’une valve native ou prothétique. L’aspect chirurgical est jugé au cas par cas, en fonction de la réponse au traitement médical, des complications cardiaques et extracardiaques éventuelles, du germe, du type de valve impliqué et ce, bien entendu, intégré aux comorbidités du patient.
IntroductionAvant d’envisager la prise en charge thérapeutique de l’endocardite infectieuse (EI), il est important de rappeler le principe de l’antibioprophylaxie, le rôle des nouveautés en imagerie médicale et le concept d’« endocarditis team » qu’apportent les dernières recommandations européennes parues en 2015.1L’antibioprophylaxie reste à ce jour uniquement recommandée en cas de soins dentaires invasifs, touchant la gencive ou la région péri-apicale de la dent, chez les patients à haut risque.1Ceci concerne les patients porteurs de valve prothétique, ceux qui ont des antécédents d’EI et ceux porteurs d’une cardiopathie congénitale (cyanogène ou autres cardiopathies congénitales réparées avec du matériel prothétique jusqu’à 6 mois après la procédure ou à vie s’il persiste un shunt résiduel ou une régurgitation valvulaire).1 Néanmoins, tant les patients à haut risque que ceux à risque intermédiaire doivent bénéficier à vie de mesures hygiéniques buccodentaires et cutanées (tabl...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42237
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p.1358-1361[article] Actualités thérapeutiques dans l’endocardite infectieuse [texte imprimé] / Stella Marchetta ; Alessandra Iovino ; Patrizio Lancellotti ; Luc Piérard . - 2016 . - p.1358-1361.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p.1358-1361
Mots-clés : ENDOCARDITE THERAPEUTIQUE CHIRURGIE Résumé : Les modalités thérapeutiques de l’endocardite infectieuse ont été remises à jour dans des recommandations européennes en 2015. Elles dépendent à la fois d’une meilleure prévention dans la population à haut risque, d’un diagnostic plus rapide au moyen de nouvelles approches d’imagerie médicale et d’une collaboration interdisciplinaire par l’« endocarditis team ». Le traitement comporte d’emblée une antibiothérapie pouvant être complexe, empirique dans un premier temps et puis ciblée, dépendant de l’épidémiologie infectieuse locale et de l’atteinte d’une valve native ou prothétique. L’aspect chirurgical est jugé au cas par cas, en fonction de la réponse au traitement médical, des complications cardiaques et extracardiaques éventuelles, du germe, du type de valve impliqué et ce, bien entendu, intégré aux comorbidités du patient.
IntroductionAvant d’envisager la prise en charge thérapeutique de l’endocardite infectieuse (EI), il est important de rappeler le principe de l’antibioprophylaxie, le rôle des nouveautés en imagerie médicale et le concept d’« endocarditis team » qu’apportent les dernières recommandations européennes parues en 2015.1L’antibioprophylaxie reste à ce jour uniquement recommandée en cas de soins dentaires invasifs, touchant la gencive ou la région péri-apicale de la dent, chez les patients à haut risque.1Ceci concerne les patients porteurs de valve prothétique, ceux qui ont des antécédents d’EI et ceux porteurs d’une cardiopathie congénitale (cyanogène ou autres cardiopathies congénitales réparées avec du matériel prothétique jusqu’à 6 mois après la procédure ou à vie s’il persiste un shunt résiduel ou une régurgitation valvulaire).1 Néanmoins, tant les patients à haut risque que ceux à risque intermédiaire doivent bénéficier à vie de mesures hygiéniques buccodentaires et cutanées (tabl...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42237 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Complications œsogastriques de la thermoablation dans le cadre de la fibrillation auriculaire / Pierrette Gast in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : Complications œsogastriques de la thermoablation dans le cadre de la fibrillation auriculaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierrette Gast ; Jean-Philippe Loly ; Philippe Leclercq ; Edouard Louis Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1362-1366 Langues : Français (fre) Mots-clés : FIBRILLATION AURICULAIRE COMPLICATION OESOPHAGE Résumé : La fistule atrio-œsophagienne (FAO) est une complication dramatique de la thermoablation des foyers ectopiques responsables de fibrillation auriculaire. Depuis sa description en 2004, la FAO n’a pas complètement disparu malgré les évolutions technologiques, comme en témoignent des publications récentes. Néanmoins, reconnue et traitée rapidement, son pronostic s’améliore considérablement. La gastroscopie permet la détection de lésions œsophagiennes (LO) dès les premières 24 heures. Nous résumons les mécanismes et symptômes de la FAO, ainsi que sa prise en charge, le rôle de la gastroscopie dans la détection précoce des LO, et les complications liées à l’atteinte des nerfs vague et phréniques. Ces informations peuvent être utiles aux urgentistes, aux gastroentérologues et aux généralistes.
IntroductionLa fibrillation auriculaire est une cause majeure d’accidents vasculaires cérébraux, donc un problème crucial de santé au niveau mondial. Les travaux de Haissaguerre,1 en 1998, ont montré que la majorité des foyers ectopiques, responsables d’arythmie auriculaire, se situent au niveau d’une ou plusieurs des quatre veines pulmonaires (VP). Le développement de méthodes thérapeutiques mini-invasives pour éradiquer les foyers arythmogènes des VP et de l’oreillette gauche (OG) est donc essentiel ; il s’agit de thermo ou de cryoablation. Les premières procédures ont été émaillées, dans un faible pourcentage (0,1 à 0,25 %) de cas, d’une complication redoutable : la fistule atrio-œsophagienne (FAO).2,3 Depuis lors, la technique est en constante évolution, dans le but, non encore atteint, de fournir le matériel assurant une efficacité optimale pour un risque minimal de lésions œsophagiennes (LO). Malgré les avancées technologiques, des LO sont toujours décelées, parfois avec une...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42238
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1362-1366[article] Complications œsogastriques de la thermoablation dans le cadre de la fibrillation auriculaire [texte imprimé] / Pierrette Gast ; Jean-Philippe Loly ; Philippe Leclercq ; Edouard Louis . - 2016 . - p. 1362-1366.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1362-1366
Mots-clés : FIBRILLATION AURICULAIRE COMPLICATION OESOPHAGE Résumé : La fistule atrio-œsophagienne (FAO) est une complication dramatique de la thermoablation des foyers ectopiques responsables de fibrillation auriculaire. Depuis sa description en 2004, la FAO n’a pas complètement disparu malgré les évolutions technologiques, comme en témoignent des publications récentes. Néanmoins, reconnue et traitée rapidement, son pronostic s’améliore considérablement. La gastroscopie permet la détection de lésions œsophagiennes (LO) dès les premières 24 heures. Nous résumons les mécanismes et symptômes de la FAO, ainsi que sa prise en charge, le rôle de la gastroscopie dans la détection précoce des LO, et les complications liées à l’atteinte des nerfs vague et phréniques. Ces informations peuvent être utiles aux urgentistes, aux gastroentérologues et aux généralistes.
IntroductionLa fibrillation auriculaire est une cause majeure d’accidents vasculaires cérébraux, donc un problème crucial de santé au niveau mondial. Les travaux de Haissaguerre,1 en 1998, ont montré que la majorité des foyers ectopiques, responsables d’arythmie auriculaire, se situent au niveau d’une ou plusieurs des quatre veines pulmonaires (VP). Le développement de méthodes thérapeutiques mini-invasives pour éradiquer les foyers arythmogènes des VP et de l’oreillette gauche (OG) est donc essentiel ; il s’agit de thermo ou de cryoablation. Les premières procédures ont été émaillées, dans un faible pourcentage (0,1 à 0,25 %) de cas, d’une complication redoutable : la fistule atrio-œsophagienne (FAO).2,3 Depuis lors, la technique est en constante évolution, dans le but, non encore atteint, de fournir le matériel assurant une efficacité optimale pour un risque minimal de lésions œsophagiennes (LO). Malgré les avancées technologiques, des LO sont toujours décelées, parfois avec une...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42238 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Actualité thérapeutique dans le VIH : le ténofovir alafénamide / Anne-Sophie Sauvage in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : Actualité thérapeutique dans le VIH : le ténofovir alafénamide Type de document : texte imprimé Auteurs : Anne-Sophie Sauvage ; Gilles Darcis ; Michel Moutschen Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1367-1369 Langues : Français (fre) Mots-clés : SIDA THERAPEUTIQUE Résumé : Depuis l’apparition des premiers traitements contre le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) en 1987, d’importantes avancées ont été réalisées. Vingt-quatre molécules sont actuellement disponibles, mais seules certaines d’entre elles sont fréquemment utilisées en raison de leur facilité d’administration et de leurs faibles effets secondaires. Le ténofovir disoproxil fumarate (TDF) est un inhibiteur nucléotidique de la transcriptase inverse (INTI) du VIH couramment utilisé. Cependant, la prise de TDF est parfois associée à une toxicité rénale ainsi qu’à une déminéralisation osseuse accrue. Le ténofovir alafénamide (TAF) est un nouveau promédicament du ténofovir (TFV) au profil de sécurité plus intéressant sur les plans rénal et osseux, en vertu d’une concentration sérique nettement inférieure et d’une haute concentration intracellulaire.
IntroductionLa mortalité liée au VIH a considérablement diminué en vingt ans, entraînant une amélioration de l’espérance de vie des patients infectés et amenant de nouveaux enjeux dans le traitement de l’infection par le VIH.1,2 A l’heure actuelle, aucun traitement ne permet cependant une guérison de l’infection. Toute interruption thérapeutique aboutit quasi inexorablement à une reprise de la réplication virale. Toutefois, moyennant la prise quotidienne d’une thérapie antirétrovirale, cette infection mortelle est désormais devenue une maladie chronique. Si les complications infectieuses opportunistes ou néoplasiques liées au sida deviennent exceptionnelles chez les patients traités, d’autres pathologies limitent l’espérance de vie de ceux infectés. En effet, malgré le traitement et une suppression de la virémie, un état inflammatoire à bas bruit persiste. Cette inflammation chronique, l’exposition prolongée aux traitements antirétroviraux ainsi que des habitudes de vie souvent né...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42239
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1367-1369[article] Actualité thérapeutique dans le VIH : le ténofovir alafénamide [texte imprimé] / Anne-Sophie Sauvage ; Gilles Darcis ; Michel Moutschen . - 2016 . - p. 1367-1369.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1367-1369
Mots-clés : SIDA THERAPEUTIQUE Résumé : Depuis l’apparition des premiers traitements contre le virus de l’immunodéficience humaine (VIH) en 1987, d’importantes avancées ont été réalisées. Vingt-quatre molécules sont actuellement disponibles, mais seules certaines d’entre elles sont fréquemment utilisées en raison de leur facilité d’administration et de leurs faibles effets secondaires. Le ténofovir disoproxil fumarate (TDF) est un inhibiteur nucléotidique de la transcriptase inverse (INTI) du VIH couramment utilisé. Cependant, la prise de TDF est parfois associée à une toxicité rénale ainsi qu’à une déminéralisation osseuse accrue. Le ténofovir alafénamide (TAF) est un nouveau promédicament du ténofovir (TFV) au profil de sécurité plus intéressant sur les plans rénal et osseux, en vertu d’une concentration sérique nettement inférieure et d’une haute concentration intracellulaire.
IntroductionLa mortalité liée au VIH a considérablement diminué en vingt ans, entraînant une amélioration de l’espérance de vie des patients infectés et amenant de nouveaux enjeux dans le traitement de l’infection par le VIH.1,2 A l’heure actuelle, aucun traitement ne permet cependant une guérison de l’infection. Toute interruption thérapeutique aboutit quasi inexorablement à une reprise de la réplication virale. Toutefois, moyennant la prise quotidienne d’une thérapie antirétrovirale, cette infection mortelle est désormais devenue une maladie chronique. Si les complications infectieuses opportunistes ou néoplasiques liées au sida deviennent exceptionnelles chez les patients traités, d’autres pathologies limitent l’espérance de vie de ceux infectés. En effet, malgré le traitement et une suppression de la virémie, un état inflammatoire à bas bruit persiste. Cette inflammation chronique, l’exposition prolongée aux traitements antirétroviraux ainsi que des habitudes de vie souvent né...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42239 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Protection cardiovasculaire du patient diabétique de type 2 : d’EMPA-REG OUTCOME à LEADER / André Scheen in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : Protection cardiovasculaire du patient diabétique de type 2 : d’EMPA-REG OUTCOME à LEADER Type de document : texte imprimé Auteurs : André Scheen ; Caroline Wallemacq ; Bernard Jandrain ; Philippe Ernest Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1370-1375 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIABETE DE TYPE 2 COMPLICATION COEUR Résumé : Deux essais cliniques ont démontré la supériorité versus un placebo de deux médicaments antidiabétiques chez des patients diabétiques de type 2 à haut risque cardiovasculaire. L’empagliflozine, un inhibiteur sélectif des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (SGLT2), dans l’étude EMPA-REG OUTCOME, et le liraglutide, un agoniste des récepteurs du glucagon-like peptide-1 (GLP-1), dans l’étude LEADER, ont montré une réduction significative des événements cardiovasculaires majeurs (respectivement, – 14 et – 13 %), de la mortalité cardiovasculaire (– 38 et – 22 %) et de la mortalité globale (– 32 et – 15 %). Les mécanismes sous-jacents expliquant le meilleur pronostic avec ces deux médicaments restent discutés, de même que le fait de savoir s’il s’agit d’un effet propre à chacune des molécules ou d’un effet attribuable à la classe pharmacologique.
IntroductionTous les nouveaux médicaments antidiabétiques doivent démontrer leur sécurité cardiovasculaire (CV) depuis les nouvelles directives de la Food and drug administration américaine.1 Cette exigence a donné lieu à de nombreux essais cliniques visant, dans un premier temps, à démontrer la non-infériorité par rapport à un placebo en prenant en compte un critère d’évaluation composite, combinant la mortalité CV, les infarctus non mortels et les accidents cérébrovasculaires ischémiques non mortels.2 Si la non-infériorité est démontrée, une recherche de supériorité peut être effectuée. Cependant, pour les inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4), si la non-infériorité versus le placebo a pu être prouvée, aucun essai n’est parvenu à démontrer une supériorité, à savoir une réduction significative des événements CV par rapport au placebo, que ce soit avec la saxagliptine dans SAVOR-TIMI 53,3 l’alogliptine dans EXAMINE4 et la sitagliptine dans TECOS5, ainsi que nous l’avons...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42240
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p.1370-1375[article] Protection cardiovasculaire du patient diabétique de type 2 : d’EMPA-REG OUTCOME à LEADER [texte imprimé] / André Scheen ; Caroline Wallemacq ; Bernard Jandrain ; Philippe Ernest . - 2016 . - p.1370-1375.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p.1370-1375
Mots-clés : DIABETE DE TYPE 2 COMPLICATION COEUR Résumé : Deux essais cliniques ont démontré la supériorité versus un placebo de deux médicaments antidiabétiques chez des patients diabétiques de type 2 à haut risque cardiovasculaire. L’empagliflozine, un inhibiteur sélectif des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (SGLT2), dans l’étude EMPA-REG OUTCOME, et le liraglutide, un agoniste des récepteurs du glucagon-like peptide-1 (GLP-1), dans l’étude LEADER, ont montré une réduction significative des événements cardiovasculaires majeurs (respectivement, – 14 et – 13 %), de la mortalité cardiovasculaire (– 38 et – 22 %) et de la mortalité globale (– 32 et – 15 %). Les mécanismes sous-jacents expliquant le meilleur pronostic avec ces deux médicaments restent discutés, de même que le fait de savoir s’il s’agit d’un effet propre à chacune des molécules ou d’un effet attribuable à la classe pharmacologique.
IntroductionTous les nouveaux médicaments antidiabétiques doivent démontrer leur sécurité cardiovasculaire (CV) depuis les nouvelles directives de la Food and drug administration américaine.1 Cette exigence a donné lieu à de nombreux essais cliniques visant, dans un premier temps, à démontrer la non-infériorité par rapport à un placebo en prenant en compte un critère d’évaluation composite, combinant la mortalité CV, les infarctus non mortels et les accidents cérébrovasculaires ischémiques non mortels.2 Si la non-infériorité est démontrée, une recherche de supériorité peut être effectuée. Cependant, pour les inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4), si la non-infériorité versus le placebo a pu être prouvée, aucun essai n’est parvenu à démontrer une supériorité, à savoir une réduction significative des événements CV par rapport au placebo, que ce soit avec la saxagliptine dans SAVOR-TIMI 53,3 l’alogliptine dans EXAMINE4 et la sitagliptine dans TECOS5, ainsi que nous l’avons...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42240 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Efficacité de trois techniques de chirurgie bariatrique chez des sujets obèses diabétiques de type 2 / Séverine Bessemans in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : Efficacité de trois techniques de chirurgie bariatrique chez des sujets obèses diabétiques de type 2 Type de document : texte imprimé Auteurs : Séverine Bessemans ; André Scheen Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1378-1382 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIABETE DE TYPE chirurgie bariatrique OBESITE Résumé : Ce travail rétrospectif compare l’efficacité de trois techniques de chirurgie bariatrique chez des patients obèses avec un diabète de type 2 : la dérivation gastrique (bypass gastrique ; n = 22), la gastrectomie en manchon (sleeve gastrectomy ; n = 18) et la gastroplastie de Magenstrasse & Mill (dite : sleeve réversible ; n = 19). Les trois interventions entraînent une excellente perte pondérale à un an, un meilleur contrôle glycémique, avec même une rémission du diabète, une diminution de la pression artérielle et une amélioration du profil lipidique avec, concomitamment, un allègement important des médicaments. La sleeve classique donne des résultats assez similaires à ceux du bypass gastrique et un peu meilleurs que ceux de la sleeve réversible. Ces résultats méritent confirmation avec davantage de patients suivis à plus long terme.
IntroductionComme l’excès de masse grasse joue un rôle important dans la physiopathologie du diabète de type 2 (DT2),1 la chirurgie bariatrique pourrait constituer une solution pour les patients obèses avec un DT2.2,3 Elle est officiellement reconnue comme une option thérapeutique pour les patients avec un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 35 kg/m² dont le DT2 est insuffisamment contrôlé par un traitement médical optimal.4 Par ailleurs, on assiste à une avancée de la chirurgie dite métabolique et non plus uniquement bariatrique. Cependant, il existe une controverse quant au seuil d’IMC à considérer (chirurgie dite métabolique versus bariatrique)5 et au choix de la procédure chirurgicale à proposer.6–8Ce travail a pour but de comparer l’efficacité de trois techniques chirurgicales bariatriques chez des patients obèses avec un DT2 : la dérivation gastrique ou « bypass gastrique » (BG), la gastrectomie en manchon ou « sleeve gastrectomy » (SG), considérée comme la « sleeve...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42241
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1378-1382[article] Efficacité de trois techniques de chirurgie bariatrique chez des sujets obèses diabétiques de type 2 [texte imprimé] / Séverine Bessemans ; André Scheen . - 2016 . - p. 1378-1382.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1378-1382
Mots-clés : DIABETE DE TYPE chirurgie bariatrique OBESITE Résumé : Ce travail rétrospectif compare l’efficacité de trois techniques de chirurgie bariatrique chez des patients obèses avec un diabète de type 2 : la dérivation gastrique (bypass gastrique ; n = 22), la gastrectomie en manchon (sleeve gastrectomy ; n = 18) et la gastroplastie de Magenstrasse & Mill (dite : sleeve réversible ; n = 19). Les trois interventions entraînent une excellente perte pondérale à un an, un meilleur contrôle glycémique, avec même une rémission du diabète, une diminution de la pression artérielle et une amélioration du profil lipidique avec, concomitamment, un allègement important des médicaments. La sleeve classique donne des résultats assez similaires à ceux du bypass gastrique et un peu meilleurs que ceux de la sleeve réversible. Ces résultats méritent confirmation avec davantage de patients suivis à plus long terme.
IntroductionComme l’excès de masse grasse joue un rôle important dans la physiopathologie du diabète de type 2 (DT2),1 la chirurgie bariatrique pourrait constituer une solution pour les patients obèses avec un DT2.2,3 Elle est officiellement reconnue comme une option thérapeutique pour les patients avec un indice de masse corporelle (IMC) supérieur à 35 kg/m² dont le DT2 est insuffisamment contrôlé par un traitement médical optimal.4 Par ailleurs, on assiste à une avancée de la chirurgie dite métabolique et non plus uniquement bariatrique. Cependant, il existe une controverse quant au seuil d’IMC à considérer (chirurgie dite métabolique versus bariatrique)5 et au choix de la procédure chirurgicale à proposer.6–8Ce travail a pour but de comparer l’efficacité de trois techniques chirurgicales bariatriques chez des patients obèses avec un DT2 : la dérivation gastrique ou « bypass gastrique » (BG), la gastrectomie en manchon ou « sleeve gastrectomy » (SG), considérée comme la « sleeve...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42241 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Combinaison gliptine-gliflozine dans le traitement du diabète de type 2 / André Scheen in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : Combinaison gliptine-gliflozine dans le traitement du diabète de type 2 Type de document : texte imprimé Auteurs : André Scheen ; Nicolas Paquot Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1384-1388 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIABETE DE TYPE 2 THERAPEUTIQUE Résumé : Le diabète de type 2 est une maladie complexe avec de multiples anomalies qui nécessitent souvent une combinaison thérapeutique pour contrôler l’hyperglycémie. La combinaison d’un inhibiteur de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) et d’un inhibiteur des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (SGLT2) est intéressante puisque les deux médicaments opèrent par des mécanismes différents et potentiellement complémentaires quant à leur action antihyperglycémiante. Une bithérapie (d’emblée ou en deux étapes) s’avère plus efficace que chaque monothérapie chez des patients traités par régime et exercice ou déjà sous metformine. Cette combinaison s’est révélée être bien tolérée, sans induire d’hypoglycémie. Deux combinaisons fixes sont déjà disponibles (saxagliptine-dapagliflozine et linagliptine-empagliflozine) et d’autres sont en développement.
IntroductionLe diabète de type 2 (DT2) est une maladie complexe impliquant plusieurs mécanismes physiopathologiques.1 Si la metformine, en combinaison avec les mesures hygiéno-diététiques, est la première option pharmacologique, une monothérapie s’avère plus ou moins rapidement insuffisante pour atteindre ou maintenir un contrôle glycémique acceptable. Dès lors, le recours à une combinaison de plusieurs médicaments antihyperglycémiants s’avère indispensable. Plusieurs combinaisons pharmacologiques sont possibles en bi ou trithérapie.2,3 Nous avons discuté dans un article précédent le rationnel d’une combinaison insuline basale plus un agoniste des récepteurs du glucagon-like peptide-1 (GLP‑1).4 Parmi les combinaisons orales possibles, celles incluant des inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4i) et des inhibiteurs des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (SGLT2i) suscitent de plus en plus d’intérêts.5,6 Le but de cet article est de discuter le rationnel en faveur de ce...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42242
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1384-1388[article] Combinaison gliptine-gliflozine dans le traitement du diabète de type 2 [texte imprimé] / André Scheen ; Nicolas Paquot . - 2016 . - p. 1384-1388.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1384-1388
Mots-clés : DIABETE DE TYPE 2 THERAPEUTIQUE Résumé : Le diabète de type 2 est une maladie complexe avec de multiples anomalies qui nécessitent souvent une combinaison thérapeutique pour contrôler l’hyperglycémie. La combinaison d’un inhibiteur de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4) et d’un inhibiteur des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (SGLT2) est intéressante puisque les deux médicaments opèrent par des mécanismes différents et potentiellement complémentaires quant à leur action antihyperglycémiante. Une bithérapie (d’emblée ou en deux étapes) s’avère plus efficace que chaque monothérapie chez des patients traités par régime et exercice ou déjà sous metformine. Cette combinaison s’est révélée être bien tolérée, sans induire d’hypoglycémie. Deux combinaisons fixes sont déjà disponibles (saxagliptine-dapagliflozine et linagliptine-empagliflozine) et d’autres sont en développement.
IntroductionLe diabète de type 2 (DT2) est une maladie complexe impliquant plusieurs mécanismes physiopathologiques.1 Si la metformine, en combinaison avec les mesures hygiéno-diététiques, est la première option pharmacologique, une monothérapie s’avère plus ou moins rapidement insuffisante pour atteindre ou maintenir un contrôle glycémique acceptable. Dès lors, le recours à une combinaison de plusieurs médicaments antihyperglycémiants s’avère indispensable. Plusieurs combinaisons pharmacologiques sont possibles en bi ou trithérapie.2,3 Nous avons discuté dans un article précédent le rationnel d’une combinaison insuline basale plus un agoniste des récepteurs du glucagon-like peptide-1 (GLP‑1).4 Parmi les combinaisons orales possibles, celles incluant des inhibiteurs de la dipeptidyl peptidase-4 (DPP-4i) et des inhibiteurs des cotransporteurs sodium-glucose de type 2 (SGLT2i) suscitent de plus en plus d’intérêts.5,6 Le but de cet article est de discuter le rationnel en faveur de ce...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42242 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Lymphangioléiomyomatose : revue de la littérature illustrée par un cas / Sophie Excoffier in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : Lymphangioléiomyomatose : revue de la littérature illustrée par un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Excoffier ; Olivier Guinand ; Thierry Rochat Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1390-1393 Langues : Français (fre) Mots-clés : POUMON lymphangioléiomyomatose Résumé : La lymphangioléiomyomatose (LAM) est une pathologie pulmonaire rare, touchant les femmes en âge de procréer, et pouvant se présenter sous forme sporadique (S-LAM) ou associée à la sclérose tubéreuse de Bourneville (TSC-LAM), une maladie génétique avec atteinte neurocutanée. Cet article, illustré par l’histoire d’une patiente, reprend la clinique, les outils diagnostiques et le traitement de cette maladie. Le diagnostic devrait être évoqué chez les femmes jeunes qui présentent une dyspnée d’effort et/ou un pneumothorax spontané, avec des lésions kystiques caractéristiques sur le CT thoracique à haute résolution.
IntroductionLa lymphangioléiomyomatose (LAM) est une maladie rare, évoluant de manière variable jusqu’à l’insuffisance respiratoire terminale. Il existe une forme sporadique (S-LAM) et une forme associée à la sclérose tubéreuse de Bourneville (TSC-LAM). En 2010, l’ERS (European Respiratory Society) a émis des guidelines pour le diagnostic, le suivi et le traitement de cette pathologie.1 Nous illustrons notre article par le cas clinique d’une patiente rencontrée dans notre consultation ambulatoire de pneumologie.Cas cliniqueUne patiente âgée de 36 ans, d’origine caucasienne, ancienne fumeuse, se présente à notre consultation pour une dyspnée d’effort progressive de stade I-II, sans toux, sans sibilance et sans antécédent de maladie pulmonaire. Pas d’exposition professionnelle à des toxiques. Les premiers symptômes remontent à une première grossesse, deux ans et demi auparavant, avec une dyspnée d’effort modérée, une toux attribuée à un reflux gastro-œsophagien favorisé par la gross...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42243
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1390-1393[article] Lymphangioléiomyomatose : revue de la littérature illustrée par un cas [texte imprimé] / Sophie Excoffier ; Olivier Guinand ; Thierry Rochat . - 2016 . - p. 1390-1393.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1390-1393
Mots-clés : POUMON lymphangioléiomyomatose Résumé : La lymphangioléiomyomatose (LAM) est une pathologie pulmonaire rare, touchant les femmes en âge de procréer, et pouvant se présenter sous forme sporadique (S-LAM) ou associée à la sclérose tubéreuse de Bourneville (TSC-LAM), une maladie génétique avec atteinte neurocutanée. Cet article, illustré par l’histoire d’une patiente, reprend la clinique, les outils diagnostiques et le traitement de cette maladie. Le diagnostic devrait être évoqué chez les femmes jeunes qui présentent une dyspnée d’effort et/ou un pneumothorax spontané, avec des lésions kystiques caractéristiques sur le CT thoracique à haute résolution.
IntroductionLa lymphangioléiomyomatose (LAM) est une maladie rare, évoluant de manière variable jusqu’à l’insuffisance respiratoire terminale. Il existe une forme sporadique (S-LAM) et une forme associée à la sclérose tubéreuse de Bourneville (TSC-LAM). En 2010, l’ERS (European Respiratory Society) a émis des guidelines pour le diagnostic, le suivi et le traitement de cette pathologie.1 Nous illustrons notre article par le cas clinique d’une patiente rencontrée dans notre consultation ambulatoire de pneumologie.Cas cliniqueUne patiente âgée de 36 ans, d’origine caucasienne, ancienne fumeuse, se présente à notre consultation pour une dyspnée d’effort progressive de stade I-II, sans toux, sans sibilance et sans antécédent de maladie pulmonaire. Pas d’exposition professionnelle à des toxiques. Les premiers symptômes remontent à une première grossesse, deux ans et demi auparavant, avec une dyspnée d’effort modérée, une toux attribuée à un reflux gastro-œsophagien favorisé par la gross...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42243 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La nouvelle cartographie médicale française de la fin de vie / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 527 (Août 2016)
[article]
Titre : La nouvelle cartographie médicale française de la fin de vie Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1394-1395 Langues : Français (fre) Mots-clés : EUTHANASIE FRANCE Résumé : Refusant les modèles belge et néerlandais, opposée à la situation hypocrite qui prévaut en Suisse, la France cherche à inventer une voie médiane dans la médicalisation de la fin de vie. C’est là un sillon escarpé qui semble se rapprocher des abîmes du « ;suicide médicalement assisté ;». En application de la nouvelle loi « ;Claeys-Leonetti ; ;» (promulguée le 2 février dernier), deux textes réglementaires viennent de marquer un événement important dans la déjà longue histoire du droit français confronté à la mort.Le premier établit les conditions de rédaction des directives anticipées pour la fin de vie ;; des directives qui, sauf exception, s’imposeront aux médecins.1 Ce décret donne une définition des « ;directives anticipées ;» ;: un document écrit, daté et signé par leur auteur, majeur, dûment identifié par l’indication de son nom, prénom, date et lieu de naissance. Une personne majeure sous tutelle peut rédiger des directives anticipées « ;avec l’autorisation du juge ou du con... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42244
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1394-1395[article] La nouvelle cartographie médicale française de la fin de vie [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1394-1395.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 527 (Août 2016) . - p. 1394-1395
Mots-clés : EUTHANASIE FRANCE Résumé : Refusant les modèles belge et néerlandais, opposée à la situation hypocrite qui prévaut en Suisse, la France cherche à inventer une voie médiane dans la médicalisation de la fin de vie. C’est là un sillon escarpé qui semble se rapprocher des abîmes du « ;suicide médicalement assisté ;». En application de la nouvelle loi « ;Claeys-Leonetti ; ;» (promulguée le 2 février dernier), deux textes réglementaires viennent de marquer un événement important dans la déjà longue histoire du droit français confronté à la mort.Le premier établit les conditions de rédaction des directives anticipées pour la fin de vie ;; des directives qui, sauf exception, s’imposeront aux médecins.1 Ce décret donne une définition des « ;directives anticipées ;» ;: un document écrit, daté et signé par leur auteur, majeur, dûment identifié par l’indication de son nom, prénom, date et lieu de naissance. Une personne majeure sous tutelle peut rédiger des directives anticipées « ;avec l’autorisation du juge ou du con... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42244 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt