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Revue médicale suisse . 526Médecine d'urgenceMention de date : Août 2016 Paru le : 10/08/2016 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierInfections et réflexions… / François Sarasin in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
[article]
Titre : Infections et réflexions… Type de document : texte imprimé Auteurs : François Sarasin Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1307-1308 Langues : Français (fre) Mots-clés : INFECTION Résumé : Les tableaux cliniques infectieux, allant de l’infection banale des voies aériennes supérieures au choc septique, en passant par les fièvres aux retours de voyages et les maladies émergentes et / ou importées (virus Ebola ou Zika par exemple) constituent l’un des motifs fréquents de recours aux services d’urgence.
Loin de couvrir tout le spectre des pathologies infectieuses rencontrées dans nos services, ce numéro décline quelques situations fréquentes aux urgences et en médecine de premier recours : maladies sexuellement transmissibles, infections de la peau, des voies biliaires, syndrome méningé fébrile, et fièvre chez le patient neutropénique, sans compter les enjeux du dépistage. Merci à tous leurs auteurs !
cette évolution exprime des besoins de santé nouveauxPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42186
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p. 1307-1308[article] Infections et réflexions… [texte imprimé] / François Sarasin . - 2016 . - p. 1307-1308.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p. 1307-1308
Mots-clés : INFECTION Résumé : Les tableaux cliniques infectieux, allant de l’infection banale des voies aériennes supérieures au choc septique, en passant par les fièvres aux retours de voyages et les maladies émergentes et / ou importées (virus Ebola ou Zika par exemple) constituent l’un des motifs fréquents de recours aux services d’urgence.
Loin de couvrir tout le spectre des pathologies infectieuses rencontrées dans nos services, ce numéro décline quelques situations fréquentes aux urgences et en médecine de premier recours : maladies sexuellement transmissibles, infections de la peau, des voies biliaires, syndrome méningé fébrile, et fièvre chez le patient neutropénique, sans compter les enjeux du dépistage. Merci à tous leurs auteurs !
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Syndrome méningé fébrile au service des urgences : prise en charge / Anaïs Degraeve in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
[article]
Titre : Syndrome méningé fébrile au service des urgences : prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Anaïs Degraeve ; Marc Clemente ; Benedikt Huttner ; Olivier Rutschmann Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1310-1315 Langues : Français (fre) Mots-clés : MENINGITE URGENCE Résumé : Le syndrome méningé fébrile est une urgence majeure. La clinique n’étant pas suffisamment sensible ni spécifique, la ponction lombaire reste l’examen de choix pour établir le diagnostic. Lors de suspicion de méningite bactérienne, l’antibiothérapie associée à des stéroïdes doit être administrée dans les 30 minutes après l’admission. L’imagerie cérébrale n’est réalisée avant la ponction lombaire que dans des situations bien définies. Lors de méningite virale, la réalisation de PCR (polymerase chain reaction) dans le liquide céphalorachidien permet d’orienter le diagnostic et le traitement. Lorsqu’un entérovirus est identifié, la prise en charge peut habituellement se faire en ambulatoire.
IntroductionDevant un syndrome méningé fébrile, le défi de l’urgentiste est d’identifier et de traiter rapidement la méningite bactérienne mais également de la différencier d’autres causes incluant la méningite ou la méningo-encéphalite virale et, beaucoup plus rarement, les méningites fongiques ou tuberculeuses, l’abcès cérébral ainsi que des étiologies non infectieuses (médicamenteuses, carcinomateuses, lymphomateuses, associées aux maladies inflammatoires, hémorragie sous-arachnoïdienne).L’objectif de cet article est de faire le point sur la prise en charge aux urgences d’une suspicion de méningite. Les dernières recommandations de la Société européenne des maladies infectieuses (ESCMID) servent de références pour la prise en charge des méningites bactériennes.1EpidemiologieAvec une incidence de 0,6-4 cas pour 100 000 adultes par année,2 la méningite bactérienne est grevée d’une mortalité de 10 à 30 % 2–5 et de séquelles neurologiques dans près de 50 % des cas.6 La méningite as...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42187
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p. 1310-1315[article] Syndrome méningé fébrile au service des urgences : prise en charge [texte imprimé] / Anaïs Degraeve ; Marc Clemente ; Benedikt Huttner ; Olivier Rutschmann . - 2016 . - p. 1310-1315.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p. 1310-1315
Mots-clés : MENINGITE URGENCE Résumé : Le syndrome méningé fébrile est une urgence majeure. La clinique n’étant pas suffisamment sensible ni spécifique, la ponction lombaire reste l’examen de choix pour établir le diagnostic. Lors de suspicion de méningite bactérienne, l’antibiothérapie associée à des stéroïdes doit être administrée dans les 30 minutes après l’admission. L’imagerie cérébrale n’est réalisée avant la ponction lombaire que dans des situations bien définies. Lors de méningite virale, la réalisation de PCR (polymerase chain reaction) dans le liquide céphalorachidien permet d’orienter le diagnostic et le traitement. Lorsqu’un entérovirus est identifié, la prise en charge peut habituellement se faire en ambulatoire.
IntroductionDevant un syndrome méningé fébrile, le défi de l’urgentiste est d’identifier et de traiter rapidement la méningite bactérienne mais également de la différencier d’autres causes incluant la méningite ou la méningo-encéphalite virale et, beaucoup plus rarement, les méningites fongiques ou tuberculeuses, l’abcès cérébral ainsi que des étiologies non infectieuses (médicamenteuses, carcinomateuses, lymphomateuses, associées aux maladies inflammatoires, hémorragie sous-arachnoïdienne).L’objectif de cet article est de faire le point sur la prise en charge aux urgences d’une suspicion de méningite. Les dernières recommandations de la Société européenne des maladies infectieuses (ESCMID) servent de références pour la prise en charge des méningites bactériennes.1EpidemiologieAvec une incidence de 0,6-4 cas pour 100 000 adultes par année,2 la méningite bactérienne est grevée d’une mortalité de 10 à 30 % 2–5 et de séquelles neurologiques dans près de 50 % des cas.6 La méningite as...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42187 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Infections des voies biliaires : cholécystite et cholangite / Vânia Tavares in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
[article]
Titre : Infections des voies biliaires : cholécystite et cholangite Type de document : texte imprimé Auteurs : Vânia Tavares ; André Mennet ; Élisabeth Andereggen Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1316-1320 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHOLECYSTITE VESICULE BILIAIRE INFECTION Résumé : Les infections de la vésicule et des voies biliaires sont un motif fréquent de consultation aux urgences. Leur évolution est le plus souvent bénigne, mais elles peuvent parfois devenir rapidement une urgence vitale.Le pilier du traitement de la cholécystite aiguë est la cholécystectomie laparoscopique en urgence, réalisée dans un délai inférieur à 72 heures.L’antibiothérapie est souvent suffisante pour le traitement initial de Ia cholangite simple. Un drainage biliaire percutané ou endoscopique doit être effectué en urgence pour une cholangite sévère ou en cas de non-réponse au traitement conservateur. Le traitement définitif de la cause de la cholangite sera pratiqué dans un deuxième temps.
Vignette cliniqueUne femme de 45 ans, en bonne santé habituelle, se présente aux urgences en se plaignant d’épigastralgies et de douleurs de l’hypochondre droit, accompagnées de nausées et de vomissements. Sa température s’élève à 38,5 °C et ses paramètres vitaux sont normaux. L’examen clinique révèle une sensibilité de l’hypochondre droit avec un signe de Murphy positif. Un syndrome inflammatoire est mis en évidence au laboratoire. L’ultrason abdominal révèle une vésicule biliaire aux parois épaissies et infiltrées contenant de nombreux calculs. Quelle est la prise en charge recommandée ?IntroductionLa colique biliaire est un motif fréquent de consultation aux urgences (en 2015, 490 cas d’affection aiguë des voies biliaires ayant nécessité un traitement en urgence ont été pris en charge aux HUG). En effet, 10 à 15 % de la population générale ont une cholélithiase. Un peu moins de 20 % présenteront des symptômes de colique biliaire ou une cholédocholithiase au cours de leur vie. 3...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42229
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1316-1320[article] Infections des voies biliaires : cholécystite et cholangite [texte imprimé] / Vânia Tavares ; André Mennet ; Élisabeth Andereggen . - 2016 . - p.1316-1320.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1316-1320
Mots-clés : CHOLECYSTITE VESICULE BILIAIRE INFECTION Résumé : Les infections de la vésicule et des voies biliaires sont un motif fréquent de consultation aux urgences. Leur évolution est le plus souvent bénigne, mais elles peuvent parfois devenir rapidement une urgence vitale.Le pilier du traitement de la cholécystite aiguë est la cholécystectomie laparoscopique en urgence, réalisée dans un délai inférieur à 72 heures.L’antibiothérapie est souvent suffisante pour le traitement initial de Ia cholangite simple. Un drainage biliaire percutané ou endoscopique doit être effectué en urgence pour une cholangite sévère ou en cas de non-réponse au traitement conservateur. Le traitement définitif de la cause de la cholangite sera pratiqué dans un deuxième temps.
Vignette cliniqueUne femme de 45 ans, en bonne santé habituelle, se présente aux urgences en se plaignant d’épigastralgies et de douleurs de l’hypochondre droit, accompagnées de nausées et de vomissements. Sa température s’élève à 38,5 °C et ses paramètres vitaux sont normaux. L’examen clinique révèle une sensibilité de l’hypochondre droit avec un signe de Murphy positif. Un syndrome inflammatoire est mis en évidence au laboratoire. L’ultrason abdominal révèle une vésicule biliaire aux parois épaissies et infiltrées contenant de nombreux calculs. Quelle est la prise en charge recommandée ?IntroductionLa colique biliaire est un motif fréquent de consultation aux urgences (en 2015, 490 cas d’affection aiguë des voies biliaires ayant nécessité un traitement en urgence ont été pris en charge aux HUG). En effet, 10 à 15 % de la population générale ont une cholélithiase. Un peu moins de 20 % présenteront des symptômes de colique biliaire ou une cholédocholithiase au cours de leur vie. 3...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42229 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge de la neutropénie fébrile / Léonie Badertscher in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
[article]
Titre : Prise en charge de la neutropénie fébrile Type de document : texte imprimé Auteurs : Léonie Badertscher ; Hassen Damak ; Ludivine Mercier ; Dumeng Décosterd Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1321-1325 Langues : Français (fre) Mots-clés : NEUTROPENIE Résumé : Malgré les progrès réalisés dans sa prévention et son traitement, la neutropénie fébrile reste une complication sérieuse et fréquente de la chimiothérapie anticancéreuse. Son pronostic dépend directement de la qualité de la prise en charge initiale. Les priorités pour l’urgentiste sont l’évaluation et le soutien des fonctions vitales, la recherche méticuleuse du foyer infectieux et une antibiothérapie empirique à large spectre administrée impérativement dans la première heure. Le choix de l’antibiotique et la décision d’hospitalisation sont guidés par les critères (MASCC) de la « Multinational association for supportive care in cancer ».
IntroductionSelon l’Infectious diseases society of America (IDSA), la neutropénie fébrile (NF) est définie par une température orale ≥ 38,3°C en une seule prise ou ≥ 38°C pendant une durée > 1 heure associée à un compte de polymorphonucléaires neutrophiles (PMN) < 0,5 x 109 / l ou pouvant le devenir dans les prochaines 48 heures.1. Pour la Société européenne d’oncologie médicale (ESMO), il s’agit d’une fièvre > 38,5°C en une seule prise ou > 38°C en deux prises à un intervalle de deux heures, associée à un compte de PMN < 0,5 x 109 / l ou pouvant le devenir.2 Le risque d’infection devient majeur si les PMN sont < 0,1 x 109 / l.3La neutropénie (Np) peut être primaire ou secondaire.1,4,5 Même si les étiologies sont multiples, les Np secondaires à la chimiothérapie (ChT) sont les plus fréquentes et représentent la majorité des cas rencontrés aux urgences.1,6 Pour cette raison, nous traiterons dans cet article uniquement la NF survenant dans un contexte de ChT.Épidém...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42230
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p. 1321-1325[article] Prise en charge de la neutropénie fébrile [texte imprimé] / Léonie Badertscher ; Hassen Damak ; Ludivine Mercier ; Dumeng Décosterd . - 2016 . - p. 1321-1325.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p. 1321-1325
Mots-clés : NEUTROPENIE Résumé : Malgré les progrès réalisés dans sa prévention et son traitement, la neutropénie fébrile reste une complication sérieuse et fréquente de la chimiothérapie anticancéreuse. Son pronostic dépend directement de la qualité de la prise en charge initiale. Les priorités pour l’urgentiste sont l’évaluation et le soutien des fonctions vitales, la recherche méticuleuse du foyer infectieux et une antibiothérapie empirique à large spectre administrée impérativement dans la première heure. Le choix de l’antibiotique et la décision d’hospitalisation sont guidés par les critères (MASCC) de la « Multinational association for supportive care in cancer ».
IntroductionSelon l’Infectious diseases society of America (IDSA), la neutropénie fébrile (NF) est définie par une température orale ≥ 38,3°C en une seule prise ou ≥ 38°C pendant une durée > 1 heure associée à un compte de polymorphonucléaires neutrophiles (PMN) < 0,5 x 109 / l ou pouvant le devenir dans les prochaines 48 heures.1. Pour la Société européenne d’oncologie médicale (ESMO), il s’agit d’une fièvre > 38,5°C en une seule prise ou > 38°C en deux prises à un intervalle de deux heures, associée à un compte de PMN < 0,5 x 109 / l ou pouvant le devenir.2 Le risque d’infection devient majeur si les PMN sont < 0,1 x 109 / l.3La neutropénie (Np) peut être primaire ou secondaire.1,4,5 Même si les étiologies sont multiples, les Np secondaires à la chimiothérapie (ChT) sont les plus fréquentes et représentent la majorité des cas rencontrés aux urgences.1,6 Pour cette raison, nous traiterons dans cet article uniquement la NF survenant dans un contexte de ChT.Épidém...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42230 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Infections cutanées aux urgences :le diable se cache dans les détails / Ioanna Chrysogelou in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
[article]
Titre : Infections cutanées aux urgences :le diable se cache dans les détails Type de document : texte imprimé Auteurs : Ioanna Chrysogelou ; Olivier Clerc ; Vincent Della Santa Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1326-1330 Langues : Français (fre) Mots-clés : PEAU INFECTION URGENCE Résumé : Les infections cutanées sont un motif de consultation fréquent et se caractérisent par un polymorphisme clinique qui peut conduire à des erreurs diagnostiques. Une certaine confusion peut exister quant aux termes utilisés pour décrire certaines lésions et quant au traitement, surtout depuis l’émergence des infections par le staphylocoque doré résistant à la méticilline (SARM).Au stade initial, le diagnostic différentiel d’une infection profonde est difficile en raison de lésions cutanées peu spécifiques. Pour certaines de ces infections, seule une prise en charge chirurgicale rapide permet la diminution de la mortalité et de la morbidité.
IntroductionLes infections de la peau et des tissus mous sont fréquentes dans les services d’urgences. Leurs diagnostic et traitement peuvent sembler couler de source, mais comportent des pièges. Ce survol, illustré par trois vignettes cliniques, vise à préciser leur prise en charge selon les recommandations récemment mises à jour.Vignette clinique 1Une patiente de 65 ans, fébrile à 38 °C et en état général altéré, se présente avec un érythème bien délimité sur la face antérieure de la jambe gauche (figure 1). On note un trajet de lymphangite et des adénopathies inguinales douloureuses. Vous diagnostiquez un érysipèle mais vous vous demandez quels seront le traitement, sa durée et si la patiente doit être hospitalisée. (Réponse à la fin de l’article). L’érysipèle définit habituellement une dermo-hypodermite avec implication du système lymphatique due à une brèche de la barrière cutanée (tableau 1). Le terme de cellulite est parfois utilisé de manière synonyme, mais décrit habituel...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42231
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1326-1330[article] Infections cutanées aux urgences :le diable se cache dans les détails [texte imprimé] / Ioanna Chrysogelou ; Olivier Clerc ; Vincent Della Santa . - 2016 . - p.1326-1330.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1326-1330
Mots-clés : PEAU INFECTION URGENCE Résumé : Les infections cutanées sont un motif de consultation fréquent et se caractérisent par un polymorphisme clinique qui peut conduire à des erreurs diagnostiques. Une certaine confusion peut exister quant aux termes utilisés pour décrire certaines lésions et quant au traitement, surtout depuis l’émergence des infections par le staphylocoque doré résistant à la méticilline (SARM).Au stade initial, le diagnostic différentiel d’une infection profonde est difficile en raison de lésions cutanées peu spécifiques. Pour certaines de ces infections, seule une prise en charge chirurgicale rapide permet la diminution de la mortalité et de la morbidité.
IntroductionLes infections de la peau et des tissus mous sont fréquentes dans les services d’urgences. Leurs diagnostic et traitement peuvent sembler couler de source, mais comportent des pièges. Ce survol, illustré par trois vignettes cliniques, vise à préciser leur prise en charge selon les recommandations récemment mises à jour.Vignette clinique 1Une patiente de 65 ans, fébrile à 38 °C et en état général altéré, se présente avec un érythème bien délimité sur la face antérieure de la jambe gauche (figure 1). On note un trajet de lymphangite et des adénopathies inguinales douloureuses. Vous diagnostiquez un érysipèle mais vous vous demandez quels seront le traitement, sa durée et si la patiente doit être hospitalisée. (Réponse à la fin de l’article). L’érysipèle définit habituellement une dermo-hypodermite avec implication du système lymphatique due à une brèche de la barrière cutanée (tableau 1). Le terme de cellulite est parfois utilisé de manière synonyme, mais décrit habituel...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42231 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Médecine d’urgence et prévention "une antinomie"? Réflexion à partir du dépistage VIH / Olivier Hugli in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
[article]
Titre : Médecine d’urgence et prévention "une antinomie"? Réflexion à partir du dépistage VIH Type de document : texte imprimé Auteurs : Olivier Hugli ; Luca Tagliabue ; Matthias Cavassini ; Katharine Darling Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1331-1335 Langues : Français (fre) Mots-clés : SIDA URGENCE DEPISTAGE Résumé : En Suisse, un séropositif sur cinq ignore son statut VIH+ et un sur deux est diagnostiqué à un stade tardif (
IntroductionLa raison d’être des services d’urgences est de traiter les atteintes à la santé qui menacent la survie ou l’intégrité corporelle, ou le besoin de soins urgents. Toutefois, la majorité des patients qui y consultent le font pour des pathologies subaiguës ou chroniques.1 Ce transfert des soins du cabinet du généraliste aux urgences y a engendré une augmentation des consultations en Suisse ces dernières années.1,2 Si la manière de réorienter ces patients vers d’autres structures fait débat régulièrement,3 ces consultations représentent un moment propice à une intervention brève visant à réduire un comportement à risque pour la santé ou offrir un dépistage,4 en particulier à une frange de la population pour qui cette consultation peut être l’unique interaction avec des médecins depuis ou pour de nombreuses années. Cet article propose une réflexion débutée de manière générale par notre service il y a plusieurs années et poursuivie depuis lors plus spécifiquement autour du d...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42232
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1331-1335[article] Médecine d’urgence et prévention "une antinomie"? Réflexion à partir du dépistage VIH [texte imprimé] / Olivier Hugli ; Luca Tagliabue ; Matthias Cavassini ; Katharine Darling . - 2016 . - p.1331-1335.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1331-1335
Mots-clés : SIDA URGENCE DEPISTAGE Résumé : En Suisse, un séropositif sur cinq ignore son statut VIH+ et un sur deux est diagnostiqué à un stade tardif (
IntroductionLa raison d’être des services d’urgences est de traiter les atteintes à la santé qui menacent la survie ou l’intégrité corporelle, ou le besoin de soins urgents. Toutefois, la majorité des patients qui y consultent le font pour des pathologies subaiguës ou chroniques.1 Ce transfert des soins du cabinet du généraliste aux urgences y a engendré une augmentation des consultations en Suisse ces dernières années.1,2 Si la manière de réorienter ces patients vers d’autres structures fait débat régulièrement,3 ces consultations représentent un moment propice à une intervention brève visant à réduire un comportement à risque pour la santé ou offrir un dépistage,4 en particulier à une frange de la population pour qui cette consultation peut être l’unique interaction avec des médecins depuis ou pour de nombreuses années. Cet article propose une réflexion débutée de manière générale par notre service il y a plusieurs années et poursuivie depuis lors plus spécifiquement autour du d...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42232 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Infections sexuellement transmissibles : l’essentiel pour l’urgentiste / Dominique Schwab in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
[article]
Titre : Infections sexuellement transmissibles : l’essentiel pour l’urgentiste Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Schwab ; Frank Bally ; Florence Selz Amaudruz Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1336-1340 Langues : Français (fre) Mots-clés : MALADIE SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE URGENCE Résumé : Même dans le contexte stressant et parfois peu confidentiel des urgences, le sujet délicat des infections sexuellement transmissibles (IST) doit être abordé. Celles-ci peuvent se cacher derrière certains tableaux cliniques fréquemment rencontrés. De même, les signes et symptômes de la primo-infection VIH ou d’autres IST, ainsi que l’initiation d’une prophylaxie post-expositionnelle (PEP), qui reste une course contre la montre, sont des points-clés à maîtriser par l’urgentiste et sont abordés dans cet article.
IntroductionLe nombre de déclarations d’IST est en recrudescence en Suisse depuis 15 ans. En 2015,1,2 1091 cas de syphilis, 1973 de gonorrhée et 10 301 d’infection génitale à Chlamydia trachomatis ont été signalés à l’Office fédéral de la santé publique (OFSP). L’épidémie du VIH se poursuit, avec 554 nouveaux cas déclarés en 2015, toujours trop proches des 578 de 2000. Deux aspects des IST aux urgences sont présentés : la prise en charge de la personne exposée, asymptomatique ou symptomatique.Vignette cliniqueUne femme de 27 ans consulte après un rapport sexuel consenti, non protégé, avec pénétration vaginale, la veille. Le partenaire est une connaissance, dont elle n’a pas les coordonnées. Inquiète, elle vient s’enquérir des tests à effectuer. Elle révèle des relations sexuelles non protégées avec trois partenaires durant les derniers mois. Elle est asymptomatique et sans antécédents médicaux, vaccinée contre l’hépatite B et sous contraception orale.Comment procéder lors d’une co...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42233
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p. 1336-1340[article] Infections sexuellement transmissibles : l’essentiel pour l’urgentiste [texte imprimé] / Dominique Schwab ; Frank Bally ; Florence Selz Amaudruz . - 2016 . - p. 1336-1340.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p. 1336-1340
Mots-clés : MALADIE SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE URGENCE Résumé : Même dans le contexte stressant et parfois peu confidentiel des urgences, le sujet délicat des infections sexuellement transmissibles (IST) doit être abordé. Celles-ci peuvent se cacher derrière certains tableaux cliniques fréquemment rencontrés. De même, les signes et symptômes de la primo-infection VIH ou d’autres IST, ainsi que l’initiation d’une prophylaxie post-expositionnelle (PEP), qui reste une course contre la montre, sont des points-clés à maîtriser par l’urgentiste et sont abordés dans cet article.
IntroductionLe nombre de déclarations d’IST est en recrudescence en Suisse depuis 15 ans. En 2015,1,2 1091 cas de syphilis, 1973 de gonorrhée et 10 301 d’infection génitale à Chlamydia trachomatis ont été signalés à l’Office fédéral de la santé publique (OFSP). L’épidémie du VIH se poursuit, avec 554 nouveaux cas déclarés en 2015, toujours trop proches des 578 de 2000. Deux aspects des IST aux urgences sont présentés : la prise en charge de la personne exposée, asymptomatique ou symptomatique.Vignette cliniqueUne femme de 27 ans consulte après un rapport sexuel consenti, non protégé, avec pénétration vaginale, la veille. Le partenaire est une connaissance, dont elle n’a pas les coordonnées. Inquiète, elle vient s’enquérir des tests à effectuer. Elle révèle des relations sexuelles non protégées avec trois partenaires durant les derniers mois. Elle est asymptomatique et sans antécédents médicaux, vaccinée contre l’hépatite B et sous contraception orale.Comment procéder lors d’une co...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42233 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Une histoire qui ne manque pas de mordant / Cédric Amstutz in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
[article]
Titre : Une histoire qui ne manque pas de mordant Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Amstutz ; Caroline Samer ; Pierre-Alain Plan Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1342-1345 Langues : Français (fre) Mots-clés : INTOXICATION FOIE silicone Résumé : Ce patient de 51 ans, sans antécédents médico-chirurgicaux notoires, originaire des Balkans, marié, père de 5 enfants, au bénéfice d’une formation universitaire, a émigré en Suisse, dont il a acquis la nationalité, pour y trouver du travail. Depuis son arrivée en Suisse, il y a une vingtaine d’années, il a occupé plusieurs emplois et gagnait plutôt bien sa vie jusqu’à ce qu’il se retrouve au chômage, soit confronté à des difficultés financières et développe un état dépressif.L’histoire actuelle commence il y a environ deux ans, lorsque le patient se présente aux urgences de l’hôpital régional en raison de douleurs abdominales épigastriques d’intensité 5 / 10, sans irradiation ni remontées acides, qui l’ont brusquement réveillé en fin de nuit. Lors de l’examen clinique aux urgences, les douleurs ont augmenté à 8 / 10 et se sont déplacées vers l’hypochondre droit. Les douleurs sont reproduites à la palpation de la région épigastrique et de l’hypochondre droit, le signe de Murphy est... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42234
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1342-1345[article] Une histoire qui ne manque pas de mordant [texte imprimé] / Cédric Amstutz ; Caroline Samer ; Pierre-Alain Plan . - 2016 . - p.1342-1345.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1342-1345
Mots-clés : INTOXICATION FOIE silicone Résumé : Ce patient de 51 ans, sans antécédents médico-chirurgicaux notoires, originaire des Balkans, marié, père de 5 enfants, au bénéfice d’une formation universitaire, a émigré en Suisse, dont il a acquis la nationalité, pour y trouver du travail. Depuis son arrivée en Suisse, il y a une vingtaine d’années, il a occupé plusieurs emplois et gagnait plutôt bien sa vie jusqu’à ce qu’il se retrouve au chômage, soit confronté à des difficultés financières et développe un état dépressif.L’histoire actuelle commence il y a environ deux ans, lorsque le patient se présente aux urgences de l’hôpital régional en raison de douleurs abdominales épigastriques d’intensité 5 / 10, sans irradiation ni remontées acides, qui l’ont brusquement réveillé en fin de nuit. Lors de l’examen clinique aux urgences, les douleurs ont augmenté à 8 / 10 et se sont déplacées vers l’hypochondre droit. Les douleurs sont reproduites à la palpation de la région épigastrique et de l’hypochondre droit, le signe de Murphy est... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42234 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Les nouveaux progrès de la prophylaxie préexposition (PREP) contre le VIH / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 526 (Août 2016)
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Titre : Les nouveaux progrès de la prophylaxie préexposition (PREP) contre le VIH Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1346-1347 Langues : Français (fre) Mots-clés : SIDA PREVENTION THERAPEUTIQUE Résumé : Brexit ou pas, c’est une information historique. Datée du 22 juillet, elle a été mandée depuis Londres1 par l’European Medicines Agency (EMA) – information aussitôt relayée par le site français Med scape.com.En pratique, l’EMA vient d’accorder une extension d’indication au Truvada (emtricitabine / ténofovir disoproxil) dans le cadre d’une prophylaxie préexposition (PrEP) du VIH. On sait qu’il s’agit ici d’une méthode médicamenteuse à visée préventive, indiquée chez les personnes séronégatives à haut risque d’infection par le VIH-1 – une méthode à utiliser dans les situations à risque et « en complément de rapports protégés ». Cette extension d’indication est associée à une recommandation : « étant donné le nombre croissant de nouvelles infections par le VIH à travers le monde, les modes de prévention actuels qui comprennent le dépistage, l’accompagnement et les préservatifs doivent être renforcés ».Le Truvada devient ainsi (quatre ans après les Etats-Unis) le premier médicament pr... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42235
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1346-1347[article] Les nouveaux progrès de la prophylaxie préexposition (PREP) contre le VIH [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p.1346-1347.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 526 (Août 2016) . - p.1346-1347
Mots-clés : SIDA PREVENTION THERAPEUTIQUE Résumé : Brexit ou pas, c’est une information historique. Datée du 22 juillet, elle a été mandée depuis Londres1 par l’European Medicines Agency (EMA) – information aussitôt relayée par le site français Med scape.com.En pratique, l’EMA vient d’accorder une extension d’indication au Truvada (emtricitabine / ténofovir disoproxil) dans le cadre d’une prophylaxie préexposition (PrEP) du VIH. On sait qu’il s’agit ici d’une méthode médicamenteuse à visée préventive, indiquée chez les personnes séronégatives à haut risque d’infection par le VIH-1 – une méthode à utiliser dans les situations à risque et « en complément de rapports protégés ». Cette extension d’indication est associée à une recommandation : « étant donné le nombre croissant de nouvelles infections par le VIH à travers le monde, les modes de prévention actuels qui comprennent le dépistage, l’accompagnement et les préservatifs doivent être renforcés ».Le Truvada devient ainsi (quatre ans après les Etats-Unis) le premier médicament pr... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42235 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt