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Revue médicale suisse . 524DouleurMention de date : Juin 2016 Paru le : 22/06/2016 |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierDe la variabilité de l’effet placebo / Marc Suter in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
[article]
Titre : De la variabilité de l’effet placebo Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc Suter ; Anne-Françoise Allaz Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1211-1212 Langues : Français (fre) Mots-clés : PLACEBO Résumé : L’effet placebo continue de fasciner et d’intriguer, et ce particulièrement dans le traitement des maladies ou des plaintes dont la principale mesure est subjective, comme c’est le cas de la douleur. Des travaux récents ont mis le doigt sur des dimensions rarement évoquées jusqu’ici : la variabilité de l’effet placebo avec le temps et sa dimension géographique. De quoi s’agit-il ?
L’augmentation de l’efet placebo dépend de la géographie
Comme chacun le sait, les études randomisées contrôlées contre placebo (RCT) recherchent une différence entre le placebo et la substance active. Un des facteurs décrit comme extrêmement important est la taille de l’effet placebo.1 Lorsque cette dernière augmente, il est en effet plus difficile de démontrer l’efficacité du principe actif.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42168
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1211-1212[article] De la variabilité de l’effet placebo [texte imprimé] / Marc Suter ; Anne-Françoise Allaz . - 2016 . - p. 1211-1212.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1211-1212
Mots-clés : PLACEBO Résumé : L’effet placebo continue de fasciner et d’intriguer, et ce particulièrement dans le traitement des maladies ou des plaintes dont la principale mesure est subjective, comme c’est le cas de la douleur. Des travaux récents ont mis le doigt sur des dimensions rarement évoquées jusqu’ici : la variabilité de l’effet placebo avec le temps et sa dimension géographique. De quoi s’agit-il ?
L’augmentation de l’efet placebo dépend de la géographie
Comme chacun le sait, les études randomisées contrôlées contre placebo (RCT) recherchent une différence entre le placebo et la substance active. Un des facteurs décrit comme extrêmement important est la taille de l’effet placebo.1 Lorsque cette dernière augmente, il est en effet plus difficile de démontrer l’efficacité du principe actif.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42168 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Migraine : des recommandations générales à la prise en charge pratique / E. Davoine in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
[article]
Titre : Migraine : des recommandations générales à la prise en charge pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Davoine ; Andreas Kleinschmidt Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1214-1219 Langues : Français (fre) Mots-clés : MIGRAINE Résumé : Bien que la migraine soit un problème de santé publique majeur, puisqu’elle touche 11 % de la population, les patients restent souvent insatisfaits de leur prise en charge thérapeutique. Le diagnostic de migraines se fait cliniquement, devant des céphalées typiquement unilatérales, pulsatiles, s’accompagnant de nausées et/ou photo- et phonophobie, et pouvant être parfois précédées d’une aura. Il y a toutefois certains red flags qui devront conduire à la réalisation d’une imagerie cérébrale. La prise en charge thérapeutique s’axe sur l’éviction de facteurs déclenchants, sur le traitement des crises grâce à des antalgiques simples et/ou des triptans et, sous certaines conditions, sur un traitement de fond avec antihypertenseurs, antiépileptiques ou antidépresseurs, avec comme clé de voûte des soins, la bonne relation médecin-patient.
ÉpidémiologieLes migraines sont un problème de santé publique majeur. Selon l’OMS, 46 % de la population souffrent de céphalées actives et 11 % de migraines, ce qui place les céphalées au dixième rang mondial des pathologies les plus invalidantes tous sexes confondus, et au cinquième rang pour les femmes.1 Les dépenses directes et indirectes liées à l’absentéisme pour migraine représentaient un coût de santé publique de plus de 40 milliards d’euros à l’échelle européenne en 2010.2Malgré un retentissement fonctionnel important dans les domaines professionnel, domestique et relationnel, de nombreux patients ne sollicitent jamais d’aide médicale pour leurs migraines, et la majorité des malades qui le font restent insatisfaits de leur prise en charge.Présentation cliniqueUne crise de migraine évolue selon plusieurs phases. Tout d’abord, les prodromes tels qu’une irritabilité, une sensibilité à la lumière ou une fatigue, durant de quelques heures à quelques jours peuvent précéder la cé...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42169
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1214-1219[article] Migraine : des recommandations générales à la prise en charge pratique [texte imprimé] / E. Davoine ; Andreas Kleinschmidt . - 2016 . - p. 1214-1219.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1214-1219
Mots-clés : MIGRAINE Résumé : Bien que la migraine soit un problème de santé publique majeur, puisqu’elle touche 11 % de la population, les patients restent souvent insatisfaits de leur prise en charge thérapeutique. Le diagnostic de migraines se fait cliniquement, devant des céphalées typiquement unilatérales, pulsatiles, s’accompagnant de nausées et/ou photo- et phonophobie, et pouvant être parfois précédées d’une aura. Il y a toutefois certains red flags qui devront conduire à la réalisation d’une imagerie cérébrale. La prise en charge thérapeutique s’axe sur l’éviction de facteurs déclenchants, sur le traitement des crises grâce à des antalgiques simples et/ou des triptans et, sous certaines conditions, sur un traitement de fond avec antihypertenseurs, antiépileptiques ou antidépresseurs, avec comme clé de voûte des soins, la bonne relation médecin-patient.
ÉpidémiologieLes migraines sont un problème de santé publique majeur. Selon l’OMS, 46 % de la population souffrent de céphalées actives et 11 % de migraines, ce qui place les céphalées au dixième rang mondial des pathologies les plus invalidantes tous sexes confondus, et au cinquième rang pour les femmes.1 Les dépenses directes et indirectes liées à l’absentéisme pour migraine représentaient un coût de santé publique de plus de 40 milliards d’euros à l’échelle européenne en 2010.2Malgré un retentissement fonctionnel important dans les domaines professionnel, domestique et relationnel, de nombreux patients ne sollicitent jamais d’aide médicale pour leurs migraines, et la majorité des malades qui le font restent insatisfaits de leur prise en charge.Présentation cliniqueUne crise de migraine évolue selon plusieurs phases. Tout d’abord, les prodromes tels qu’une irritabilité, une sensibilité à la lumière ou une fatigue, durant de quelques heures à quelques jours peuvent précéder la cé...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42169 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La face cachée des facettes. Lombalgies non spécifiques avec ou sans irradiations : les reconnaître pour mieux les traiter / Laurence Perrin Barelli in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
[article]
Titre : La face cachée des facettes. Lombalgies non spécifiques avec ou sans irradiations : les reconnaître pour mieux les traiter Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurence Perrin Barelli ; Nadia Guzman Dettori Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1222-1224 Langues : Français (fre) Mots-clés : LOMBALGIE Résumé : Les lombalgies touchent 70 à 85 % des adultes, avec un pic de fréquence entre 40 et 60 ans, et représentent un problème tant médical qu’économique majeur. Nous allons nous focaliser sur leur forme chronique, représentant une prévalence annuelle de 30 %, et plus particulièrement sur les lombalgies d’origine mécanique, qu’elles soient ou non accompagnées d’irradiations douloureuses aux membres inférieurs (pseudo-sciatalgies). Leur prise en charge, lors d’échec de traitement traditionnel associant médicaments et traitement physique, peut nécessiter une antalgie interventionnelle ciblant une cause articulaire facettaire impliquant une série de blocs diagnostiques, puis un traitement par radiofréquence. Ce traitement reste néanmoins purement symptomatique, d’où l’importance d’une prise en charge globale avec reconditionnement physique du patient.
IntroductionLes lombalgies, douleurs ou gênes fonctionnelles, situées entre la douzième côte et le pli fessier, qu’elles soient associées ou non à des irradiations dans les membres inférieurs, sont extrêmement fréquentes, puisqu’elles touchent 70 à 85 % des adultes, au moins une fois dans leur vie.1 De par leur pic de fréquence entre 40 et 60 ans,2 elles engendrent des coûts économiques importants, s’élevant à 10 milliards de francs suisses en 2005. Ce montant représente la perte de gain et les coûts de friction (temps nécessaire à l’employeur pour récupérer la productivité antérieure), correspondant à 1,6 à 2,3 % du produit intérieur brut suisse.3En ce qui concerne les lombalgies chroniques, elles représentent à elles seules une prévalence annuelle estimée en moyenne à 30 %.4 On entend généralement par lombalgies chroniques, des douleurs persistant au-delà de douze semaines. Passé ce délai, les chances de reprise d’une activité professionnelle sont considérablement réduites, puis...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42170
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1222-1224[article] La face cachée des facettes. Lombalgies non spécifiques avec ou sans irradiations : les reconnaître pour mieux les traiter [texte imprimé] / Laurence Perrin Barelli ; Nadia Guzman Dettori . - 2016 . - p. 1222-1224.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1222-1224
Mots-clés : LOMBALGIE Résumé : Les lombalgies touchent 70 à 85 % des adultes, avec un pic de fréquence entre 40 et 60 ans, et représentent un problème tant médical qu’économique majeur. Nous allons nous focaliser sur leur forme chronique, représentant une prévalence annuelle de 30 %, et plus particulièrement sur les lombalgies d’origine mécanique, qu’elles soient ou non accompagnées d’irradiations douloureuses aux membres inférieurs (pseudo-sciatalgies). Leur prise en charge, lors d’échec de traitement traditionnel associant médicaments et traitement physique, peut nécessiter une antalgie interventionnelle ciblant une cause articulaire facettaire impliquant une série de blocs diagnostiques, puis un traitement par radiofréquence. Ce traitement reste néanmoins purement symptomatique, d’où l’importance d’une prise en charge globale avec reconditionnement physique du patient.
IntroductionLes lombalgies, douleurs ou gênes fonctionnelles, situées entre la douzième côte et le pli fessier, qu’elles soient associées ou non à des irradiations dans les membres inférieurs, sont extrêmement fréquentes, puisqu’elles touchent 70 à 85 % des adultes, au moins une fois dans leur vie.1 De par leur pic de fréquence entre 40 et 60 ans,2 elles engendrent des coûts économiques importants, s’élevant à 10 milliards de francs suisses en 2005. Ce montant représente la perte de gain et les coûts de friction (temps nécessaire à l’employeur pour récupérer la productivité antérieure), correspondant à 1,6 à 2,3 % du produit intérieur brut suisse.3En ce qui concerne les lombalgies chroniques, elles représentent à elles seules une prévalence annuelle estimée en moyenne à 30 %.4 On entend généralement par lombalgies chroniques, des douleurs persistant au-delà de douze semaines. Passé ce délai, les chances de reprise d’une activité professionnelle sont considérablement réduites, puis...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42170 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Douleur chronique postopératoire / Matthieu Cachemaille in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
[article]
Titre : Douleur chronique postopératoire Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Cachemaille ; Catherine Blanc Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1225-1229 Langues : Français (fre) Mots-clés : DOULEUR CHRONIQUE CHIRURGIE Résumé : La douleur chronique postopératoire est une pathologie fréquente dont l’incidence globale se situe entre 20 et 30 % et représente environ 20 % des consultations spécialisées. Les facteurs de risque sont liés d’une part, aux caractéristiques de chaque patient et à leurs comorbidités et d’autre part, aux différentes techniques chirurgicales. La douleur neuropathique est une composante importante dans la chronicité des symptômes par rapport à la douleur nociceptive et nécessite une détection précoce par des tests diagnostiques cliniques à la portée du praticien (échelle DN4). La prévention de ces douleurs comprend une évaluation des facteurs de risque, une prise en charge anesthésique adaptée et une antalgie postopératoire efficace. Le traitement se fait en fonction du type de douleur et comprend une analgésie multimodale médicamenteuse et interventionnelle.
IntroductionEn raison du nombre croissant d’interventions chirurgicales au cours de ces dernières années, la douleur chronique postopératoire est devenue un problème majeur de santé publique et représente environ 20 % des consultations dans un centre spécialisé de la douleur.1Selon les critères de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), elle se définit comme une douleur persistante au-delà de deux mois après une opération chirurgicale, une douleur préexistante sur le site chirurgical n’entrant pas en considération.1Épidémiologie et facteurs de risqueUne étude norvégienne, publiée en 2012 et portant sur plus de 10 000 patients, a montré que 40,4 % des sujets ayant subi une intervention chirurgicale présentaient des douleurs persistantes, dont 18,3 % d’allure modérée à sévère.2 Une deuxième étude européenne, publiée en 2015 et portant sur 3120 patients, a montré un taux de douleurs modérées à sévères estimé à 11,8 % à douze mois après chirurgie.3 On peut donc...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42171
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1225-1229[article] Douleur chronique postopératoire [texte imprimé] / Matthieu Cachemaille ; Catherine Blanc . - 2016 . - p. 1225-1229.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1225-1229
Mots-clés : DOULEUR CHRONIQUE CHIRURGIE Résumé : La douleur chronique postopératoire est une pathologie fréquente dont l’incidence globale se situe entre 20 et 30 % et représente environ 20 % des consultations spécialisées. Les facteurs de risque sont liés d’une part, aux caractéristiques de chaque patient et à leurs comorbidités et d’autre part, aux différentes techniques chirurgicales. La douleur neuropathique est une composante importante dans la chronicité des symptômes par rapport à la douleur nociceptive et nécessite une détection précoce par des tests diagnostiques cliniques à la portée du praticien (échelle DN4). La prévention de ces douleurs comprend une évaluation des facteurs de risque, une prise en charge anesthésique adaptée et une antalgie postopératoire efficace. Le traitement se fait en fonction du type de douleur et comprend une analgésie multimodale médicamenteuse et interventionnelle.
IntroductionEn raison du nombre croissant d’interventions chirurgicales au cours de ces dernières années, la douleur chronique postopératoire est devenue un problème majeur de santé publique et représente environ 20 % des consultations dans un centre spécialisé de la douleur.1Selon les critères de l’Association internationale pour l’étude de la douleur (IASP), elle se définit comme une douleur persistante au-delà de deux mois après une opération chirurgicale, une douleur préexistante sur le site chirurgical n’entrant pas en considération.1Épidémiologie et facteurs de risqueUne étude norvégienne, publiée en 2012 et portant sur plus de 10 000 patients, a montré que 40,4 % des sujets ayant subi une intervention chirurgicale présentaient des douleurs persistantes, dont 18,3 % d’allure modérée à sévère.2 Une deuxième étude européenne, publiée en 2015 et portant sur 3120 patients, a montré un taux de douleurs modérées à sévères estimé à 11,8 % à douze mois après chirurgie.3 On peut donc...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42171 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Le coût, ce n’est pas tout…à propos des médicaments génériques / V. Piguet in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
[article]
Titre : Le coût, ce n’est pas tout…à propos des médicaments génériques Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Piguet ; Stéphanie D'Incau ; Marie Besson ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1230-1233 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDICAMENT GENERIQUE Résumé : L’objectif de cette étude qualitative était d’explorer les représentations des génériques chez des patients souffrant de douleurs musculosquelettiques chroniques non spécifiques, dans la mesure où ces patients se voient fréquemment proposer la prescription et/ou la substitution des formulations originales par des génériques. Les représentations des patients suggèrent qu’ils peuvent en confiance accepter un générique : lorsqu’il est prescrit par le médecin et que chaque prescription est discutée, c’est-à-dire que le patient se voit prescrire la version générique d’un médicament donné et non pas un générique sans autres précisions. Les arguments économiques ne suffisent pas à accepter la substitution. La présence de représentations négatives doit être considérée et faire l’objet d’une discussion.
IntroductionLes douleurs musculosquelettiques, sources fréquentes de douleurs chroniques, conduisent régulièrement à une consultation médicale et à une prescription médicamenteuse.1 En effet, les médicaments sont la pierre angulaire de la prise en charge des douleurs chroniques, bien que souvent insuffisants comme seule réponse thérapeutique. Les antalgiques les plus fréquemment prescrits sont le paracétamol, les anti-inflammatoires et les opioïdes. En Suisse, comme dans tous les pays occidentaux, le nombre de prescriptions d’opioïdes a considérablement augmenté ces dernières décennies, le nombre de journées de traitement ayant presque quadruplé pour les opioïdes majeurs.2 Cette consommation peut entraîner des risques de dépendance ou de surdosage et une augmentation des coûts de la santé directs ou indirects.Pour modérer la croissance des coûts de santé, le recours aux génériques est stimulé par des incitations financières en augmentant la quote-part pour les patients en cas de r...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42172
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1230-1233[article] Le coût, ce n’est pas tout…à propos des médicaments génériques [texte imprimé] / V. Piguet ; Stéphanie D'Incau ; Marie Besson ; et al. . - 2016 . - p. 1230-1233.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1230-1233
Mots-clés : MEDICAMENT GENERIQUE Résumé : L’objectif de cette étude qualitative était d’explorer les représentations des génériques chez des patients souffrant de douleurs musculosquelettiques chroniques non spécifiques, dans la mesure où ces patients se voient fréquemment proposer la prescription et/ou la substitution des formulations originales par des génériques. Les représentations des patients suggèrent qu’ils peuvent en confiance accepter un générique : lorsqu’il est prescrit par le médecin et que chaque prescription est discutée, c’est-à-dire que le patient se voit prescrire la version générique d’un médicament donné et non pas un générique sans autres précisions. Les arguments économiques ne suffisent pas à accepter la substitution. La présence de représentations négatives doit être considérée et faire l’objet d’une discussion.
IntroductionLes douleurs musculosquelettiques, sources fréquentes de douleurs chroniques, conduisent régulièrement à une consultation médicale et à une prescription médicamenteuse.1 En effet, les médicaments sont la pierre angulaire de la prise en charge des douleurs chroniques, bien que souvent insuffisants comme seule réponse thérapeutique. Les antalgiques les plus fréquemment prescrits sont le paracétamol, les anti-inflammatoires et les opioïdes. En Suisse, comme dans tous les pays occidentaux, le nombre de prescriptions d’opioïdes a considérablement augmenté ces dernières décennies, le nombre de journées de traitement ayant presque quadruplé pour les opioïdes majeurs.2 Cette consommation peut entraîner des risques de dépendance ou de surdosage et une augmentation des coûts de la santé directs ou indirects.Pour modérer la croissance des coûts de santé, le recours aux génériques est stimulé par des incitations financières en augmentant la quote-part pour les patients en cas de r...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42172 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Traitement des douleurs chroniques par la stimulation médullaire / Christophe Perruchoud in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
[article]
Titre : Traitement des douleurs chroniques par la stimulation médullaire Type de document : texte imprimé Auteurs : Christophe Perruchoud ; Nicolas Mariotti Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1234-1237 Langues : Français (fre) Mots-clés : DOULEUR CHRONIQUE NEUROPATHIE Résumé : Les techniques de neuromodulation permettent de modifier l’activité du système nerveux central ou périphérique. La stimulation médullaire est un traitement réversible, peu invasif et dont l’efficacité et le rapport coût-bénéfice favorable sont reconnus pour le traitement des douleurs chroniques d’origine neuropathique et ischémique. La stimulation médullaire n’est pas l’option de la dernière chance et devrait être considérée parmi d’autres avant la prescription d’opiacés à long terme ou une réopération. La sélection et le suivi régulier des patients sont des éléments cruciaux pour le succès de la thérapie.
IntroductionLa neuromodulation est un terme générique qui regroupe l’ensemble des techniques permettant de modifier l’activité du système nerveux central, périphérique ou autonome. Elle inclut aussi bien l’administration de médicaments au niveau du système nerveux central que la stimulation électrique de structures nerveuses centrales ou périphériques. La neuromodulation est une spécialité en plein essor et les progrès technologiques ont notamment contribué au développement des électrodes multi-contacts et des générateurs implantables rechargeables, IRM compatibles, aux modes de stimulation complexes.Mécanisme d’actionLa stimulation médullaire conventionnelle exerce un effet spinal segmentaire par le biais des fibres A du système lemniscal (sensibilité tactile et proprioception) qui activent un réseau d’interneurones inhibiteurs de la substantia gelatinosa, où se projettent les afférences douloureuses. La stimulation médullaire induit la libération de médiateurs inhibiteurs (acid...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42173
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1234-1237[article] Traitement des douleurs chroniques par la stimulation médullaire [texte imprimé] / Christophe Perruchoud ; Nicolas Mariotti . - 2016 . - p. 1234-1237.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1234-1237
Mots-clés : DOULEUR CHRONIQUE NEUROPATHIE Résumé : Les techniques de neuromodulation permettent de modifier l’activité du système nerveux central ou périphérique. La stimulation médullaire est un traitement réversible, peu invasif et dont l’efficacité et le rapport coût-bénéfice favorable sont reconnus pour le traitement des douleurs chroniques d’origine neuropathique et ischémique. La stimulation médullaire n’est pas l’option de la dernière chance et devrait être considérée parmi d’autres avant la prescription d’opiacés à long terme ou une réopération. La sélection et le suivi régulier des patients sont des éléments cruciaux pour le succès de la thérapie.
IntroductionLa neuromodulation est un terme générique qui regroupe l’ensemble des techniques permettant de modifier l’activité du système nerveux central, périphérique ou autonome. Elle inclut aussi bien l’administration de médicaments au niveau du système nerveux central que la stimulation électrique de structures nerveuses centrales ou périphériques. La neuromodulation est une spécialité en plein essor et les progrès technologiques ont notamment contribué au développement des électrodes multi-contacts et des générateurs implantables rechargeables, IRM compatibles, aux modes de stimulation complexes.Mécanisme d’actionLa stimulation médullaire conventionnelle exerce un effet spinal segmentaire par le biais des fibres A du système lemniscal (sensibilité tactile et proprioception) qui activent un réseau d’interneurones inhibiteurs de la substantia gelatinosa, où se projettent les afférences douloureuses. La stimulation médullaire induit la libération de médiateurs inhibiteurs (acid...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42173 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Résonances post-traumatiques chez les réfugiés : entre corps, psychisme et culture / Saskia Von Overbeck Ottino in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
[article]
Titre : Résonances post-traumatiques chez les réfugiés : entre corps, psychisme et culture Type de document : texte imprimé Auteurs : Saskia Von Overbeck Ottino Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1238-1240 Langues : Français (fre) Mots-clés : MIGRANT PSYCHOLOGIE TRAUMATISME Résumé : L’afflux récent de réfugiés dans nos pays confronte le clinicien à des données nouvelles : séquelles de traumatismes, pathologies de l’exil, différences culturelles.De plus, l’expression de la souffrance psychique passe souvent par le corps, notamment par la présentation de plaintes douloureuses, plus ou moins qualifiées, ce qui complexifie la lecture des troubles en jeu. Du côté du thérapeute, la confrontation à des violences extrêmes et à des différences culturelles peut fragiliser l’établissement d’une relation thérapeutique empathique et féconde.
IntroductionL’afflux récent de réfugiés en Europe nous fait vivre de plus près les conflits qui agitent le monde. L’Erythrée, l’Afghanistan, la Syrie s’invitent chez nous, avec leurs horreurs et leurs étrangetés. Des hommes, des femmes, des enfants, des familles font halte, dans des conditions souvent précaires et angoissantes : incertitudes face à l’avenir, difficultés de communication, manque de repères… Après le temps de la fuite, un temps d’arrêt offre une sécurité provisoire, qui devient également temps de prise de conscience. Les bénéfices du repos s’affrontent avec l’émergence des souffrances vécues. Si certains sont dans le silence, voire le repli, d’autres expriment leurs charges internes au travers de symptômes plus ou moins explicites : syndrome de stress post-traumatique (PTSD : post-traumatic stress disorder), dépression, angoisses, troubles du sommeil, douleurs variées, où le corps devient une véritable scène psychique.Si les réfugiés cumulent des facteurs de risque,...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42174
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1238-1240[article] Résonances post-traumatiques chez les réfugiés : entre corps, psychisme et culture [texte imprimé] / Saskia Von Overbeck Ottino . - 2016 . - p. 1238-1240.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1238-1240
Mots-clés : MIGRANT PSYCHOLOGIE TRAUMATISME Résumé : L’afflux récent de réfugiés dans nos pays confronte le clinicien à des données nouvelles : séquelles de traumatismes, pathologies de l’exil, différences culturelles.De plus, l’expression de la souffrance psychique passe souvent par le corps, notamment par la présentation de plaintes douloureuses, plus ou moins qualifiées, ce qui complexifie la lecture des troubles en jeu. Du côté du thérapeute, la confrontation à des violences extrêmes et à des différences culturelles peut fragiliser l’établissement d’une relation thérapeutique empathique et féconde.
IntroductionL’afflux récent de réfugiés en Europe nous fait vivre de plus près les conflits qui agitent le monde. L’Erythrée, l’Afghanistan, la Syrie s’invitent chez nous, avec leurs horreurs et leurs étrangetés. Des hommes, des femmes, des enfants, des familles font halte, dans des conditions souvent précaires et angoissantes : incertitudes face à l’avenir, difficultés de communication, manque de repères… Après le temps de la fuite, un temps d’arrêt offre une sécurité provisoire, qui devient également temps de prise de conscience. Les bénéfices du repos s’affrontent avec l’émergence des souffrances vécues. Si certains sont dans le silence, voire le repli, d’autres expriment leurs charges internes au travers de symptômes plus ou moins explicites : syndrome de stress post-traumatique (PTSD : post-traumatic stress disorder), dépression, angoisses, troubles du sommeil, douleurs variées, où le corps devient une véritable scène psychique.Si les réfugiés cumulent des facteurs de risque,...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42174 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Myasthénie grave : Présentation typique ? / Ivan Nemitz in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
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Titre : Myasthénie grave : Présentation typique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Ivan Nemitz ; Pinelopi Tsouni ; Thierry Kuntzer ; Pierre-Alain Plan Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1245-1247 Langues : Français (fre) Mots-clés : MYASTHENIE Résumé : Il s’agit d’une patiente de 66 ans, suivie depuis plus de 30 ans. Elle présente un diabète de type 2 depuis l’âge de 49 ans, traité per os jusqu’à ce jour (HbA1c oscillant entre 7 et 8 %). Deux ans plus tard, à 51 ans, elle subit une cholécystectomie par laparoscopie en raison de calculs vésiculaires. A 59 ans, apparition d’une HTA essentielle traitée par un sartan.A partir de 2009, la patiente se plaint de façon répétée de douleurs persistantes pariétales en ceinture, en regard de l’hypochondre droit, survenant lorsqu’elle est assise ou en décubitus latéral droit, disparaissant en position debout et engendrant une grande anxiété. Cette symptomatologie motive de multiples examens complémentaires (œso-gastro-duodénoscopie (OGD) révélant une petite hernie hiatale, ergométrie normale, radiographies de la colonne dorsolombaire montrant des troubles statiques (scoliose) et dégénératifs (discarthrose L1-L2 et uncarthrose lombaire étagée), échographie pariétale excluant la présence d’une... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42175
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1245-1247[article] Myasthénie grave : Présentation typique ? [texte imprimé] / Ivan Nemitz ; Pinelopi Tsouni ; Thierry Kuntzer ; Pierre-Alain Plan . - 2016 . - p. 1245-1247.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1245-1247
Mots-clés : MYASTHENIE Résumé : Il s’agit d’une patiente de 66 ans, suivie depuis plus de 30 ans. Elle présente un diabète de type 2 depuis l’âge de 49 ans, traité per os jusqu’à ce jour (HbA1c oscillant entre 7 et 8 %). Deux ans plus tard, à 51 ans, elle subit une cholécystectomie par laparoscopie en raison de calculs vésiculaires. A 59 ans, apparition d’une HTA essentielle traitée par un sartan.A partir de 2009, la patiente se plaint de façon répétée de douleurs persistantes pariétales en ceinture, en regard de l’hypochondre droit, survenant lorsqu’elle est assise ou en décubitus latéral droit, disparaissant en position debout et engendrant une grande anxiété. Cette symptomatologie motive de multiples examens complémentaires (œso-gastro-duodénoscopie (OGD) révélant une petite hernie hiatale, ergométrie normale, radiographies de la colonne dorsolombaire montrant des troubles statiques (scoliose) et dégénératifs (discarthrose L1-L2 et uncarthrose lombaire étagée), échographie pariétale excluant la présence d’une... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42175 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Résistance aux antibiotiques : Ne pas rester contemplatifs (1) / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
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Titre : Résistance aux antibiotiques : Ne pas rester contemplatifs (1) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1250-1251 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTIBIOTIQUE RESISTANCE Résumé : Un objectif : savoir résister à la menace grandissante de l’émergence des bactéries pathogènes qui résistent à un nombre croissant d’antibiotiques. Travailler le sujet et trouver des raisons de ne pas désespérer. Sur ce thème fédérateur et chaque jour un peu plus d’actualité, ce sont cinq académies nationales qui viennent, en France, de se réunir. Une séance « penta-académique » exceptionnelle, organisée par les Académies d’agriculture, de chirurgie dentaire, de médecine, de pharmacie et de médecine vétérinaire. Et au final, une volonté affirmée, au-delà de cette journée, de décloisonner les différents secteurs, disciplines et acteurs concernés.« Les antibiotiques ont révolutionné la médecine et ouvert des perspectives sanitaires inédites en faisant, pour la première fois dans l’histoire, reculer la mortalité liée aux maladies infectieuses bactériennes, résument les organisateurs académiques. Mais, l’usage massif et incontrôlé de l’antibiothérapie a fait apparaître des bactéries d... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42176
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1250-1251[article] Résistance aux antibiotiques : Ne pas rester contemplatifs (1) [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1250-1251.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1250-1251
Mots-clés : ANTIBIOTIQUE RESISTANCE Résumé : Un objectif : savoir résister à la menace grandissante de l’émergence des bactéries pathogènes qui résistent à un nombre croissant d’antibiotiques. Travailler le sujet et trouver des raisons de ne pas désespérer. Sur ce thème fédérateur et chaque jour un peu plus d’actualité, ce sont cinq académies nationales qui viennent, en France, de se réunir. Une séance « penta-académique » exceptionnelle, organisée par les Académies d’agriculture, de chirurgie dentaire, de médecine, de pharmacie et de médecine vétérinaire. Et au final, une volonté affirmée, au-delà de cette journée, de décloisonner les différents secteurs, disciplines et acteurs concernés.« Les antibiotiques ont révolutionné la médecine et ouvert des perspectives sanitaires inédites en faisant, pour la première fois dans l’histoire, reculer la mortalité liée aux maladies infectieuses bactériennes, résument les organisateurs académiques. Mais, l’usage massif et incontrôlé de l’antibiothérapie a fait apparaître des bactéries d... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42176 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Faut-il soigner la « normalité » ? / Georges Abraham in Revue médicale suisse, 524 (Juin 2016)
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Titre : Faut-il soigner la « normalité » ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Georges Abraham Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1256 Langues : Français (fre) Résumé : Ce qu’on appelle « normal » a l’air d’une évidence incontestable. Cependant, peut-il se rapprocher terriblement d’une véritable autotromperie ? En effet, il se révèle, en le regardant de plus près, une sorte de mélange entre habitudes du moment, la conséquence de pures statistiques, et par ailleurs une vision idéale de la manière dont la notion de Bien pourrait obtenir un aspect pragmatique et surtout quotidien.
Approchée d’un côté complètement différent, la notion de Norme pourrait-elle se configurer de manière quelque peu semblable à ce qu’est de nos jours la physique quantique ? C’est une théorie qui marche chez les physiciens, même s’ils savent qu’on ne l’a pas encore bien comprise. Quelque chose, en somme, qui présume une logique sous-jacente apte à annuler au fur et à mesure un aspect irrationnel de surface.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42177
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1256[article] Faut-il soigner la « normalité » ? [texte imprimé] / Georges Abraham . - 2016 . - p. 1256.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 524 (Juin 2016) . - p. 1256
Résumé : Ce qu’on appelle « normal » a l’air d’une évidence incontestable. Cependant, peut-il se rapprocher terriblement d’une véritable autotromperie ? En effet, il se révèle, en le regardant de plus près, une sorte de mélange entre habitudes du moment, la conséquence de pures statistiques, et par ailleurs une vision idéale de la manière dont la notion de Bien pourrait obtenir un aspect pragmatique et surtout quotidien.
Approchée d’un côté complètement différent, la notion de Norme pourrait-elle se configurer de manière quelque peu semblable à ce qu’est de nos jours la physique quantique ? C’est une théorie qui marche chez les physiciens, même s’ils savent qu’on ne l’a pas encore bien comprise. Quelque chose, en somme, qui présume une logique sous-jacente apte à annuler au fur et à mesure un aspect irrationnel de surface.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42177 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt