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Revue médicale suisse . 523ChirurgieMention de date : Juin 2016 Paru le : 15/06/2016 |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierChirurgie dans le cadre multidisciplinaire / N. Demartines in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Chirurgie dans le cadre multidisciplinaire Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Demartines ; Philippe Morel Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1163 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE CANCER multidisciplinarité Résumé : Les possibilités de la chirurgie s’étendent et offrent aux patients notamment oncologiques des survies à long terme mais également une bonne qualité de vie. Ceci est bien démontré dans le premier article traitant du traitement curatif du cancer de l’œsophage. Cette prise en charge est non seulement multidisciplinaire mais elle est multicentrique.
Les progrès de l’imagerie permettent de mettre en évidence des lésions kystiques du pancréasPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42158
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1163[article] Chirurgie dans le cadre multidisciplinaire [texte imprimé] / N. Demartines ; Philippe Morel . - 2016 . - p. 1163.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1163
Mots-clés : CHIRURGIE CANCER multidisciplinarité Résumé : Les possibilités de la chirurgie s’étendent et offrent aux patients notamment oncologiques des survies à long terme mais également une bonne qualité de vie. Ceci est bien démontré dans le premier article traitant du traitement curatif du cancer de l’œsophage. Cette prise en charge est non seulement multidisciplinaire mais elle est multicentrique.
Les progrès de l’imagerie permettent de mettre en évidence des lésions kystiques du pancréasPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42158 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Traitement curatif du cancer de l’œsophage : consensus multidisciplinaire multicentrique / Pierre Allemann in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Traitement curatif du cancer de l’œsophage : consensus multidisciplinaire multicentrique Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Allemann ; Styliani Mantziari ; Dorothée Wagner ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1165-1169 Langues : Français (fre) Mots-clés : OESOPHAGE CANCER CHIRURGIE Résumé : La prise en charge des patients atteints d’un cancer résécable de l’œsophage ou de la jonction œsogastrique n’est actuellement pas standardisée. Un consensus régional multidisciplinaire a été mis au point et est présenté dans cet article.Le bilan oncologique standard comprend une endoscopie haute, une endosonographie et un CT-scan. Pour les tumeurs localement avancées, la chirurgie doit être associée soit à une radiochimiothérapie préopératoire ou à une chimiothérapie périopératoire, après discussion en colloque multidisciplinaire. Avant l’opération, un sevrage du tabac et de l’alcool est impératif et l’état nutritionnel doit être optimisé. La chirurgie est actuellement bien standardisée, généralement réalisée par voie mini-invasive. Après l’opération, un suivi clinique et oncologique est nécessaire.
IntroductionLa prise en charge optimale des patients chez qui l’on diagnostique un cancer de l’œsophage résécable n’est actuellement pas standardisée. Dans les études, les sous-types (carcinomes épidermoïdes versus adénocarcinomes) sont souvent mélangés, malgré une biologie et un comportement différents. De plus, peu d’essais comparatifs ont été effectués, rendant la prise en charge de ces tumeurs très variables d’un centre à l’autre. En conséquence, il n’existe actuellement aucun consensus, ni international ni national.Afin de combler ce manque, aidée par le contexte de la centralisation de la médecine hautement spécialisée, une conférence de consensus réunissant les diverses spécialités nécessaires à la prise en charge du cancer de l’œsophage à été organisée le 31 octobre 2015 au CHUV. La discussion portait sur les tumeurs des tiers moyen, distal et de la jonction œsogastrique (Siewert I et II). Un questionnaire préalable avait été rempli par les participants, afin d’identifier...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42159
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1165-1169[article] Traitement curatif du cancer de l’œsophage : consensus multidisciplinaire multicentrique [texte imprimé] / Pierre Allemann ; Styliani Mantziari ; Dorothée Wagner ; et al. . - 2016 . - p. 1165-1169.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1165-1169
Mots-clés : OESOPHAGE CANCER CHIRURGIE Résumé : La prise en charge des patients atteints d’un cancer résécable de l’œsophage ou de la jonction œsogastrique n’est actuellement pas standardisée. Un consensus régional multidisciplinaire a été mis au point et est présenté dans cet article.Le bilan oncologique standard comprend une endoscopie haute, une endosonographie et un CT-scan. Pour les tumeurs localement avancées, la chirurgie doit être associée soit à une radiochimiothérapie préopératoire ou à une chimiothérapie périopératoire, après discussion en colloque multidisciplinaire. Avant l’opération, un sevrage du tabac et de l’alcool est impératif et l’état nutritionnel doit être optimisé. La chirurgie est actuellement bien standardisée, généralement réalisée par voie mini-invasive. Après l’opération, un suivi clinique et oncologique est nécessaire.
IntroductionLa prise en charge optimale des patients chez qui l’on diagnostique un cancer de l’œsophage résécable n’est actuellement pas standardisée. Dans les études, les sous-types (carcinomes épidermoïdes versus adénocarcinomes) sont souvent mélangés, malgré une biologie et un comportement différents. De plus, peu d’essais comparatifs ont été effectués, rendant la prise en charge de ces tumeurs très variables d’un centre à l’autre. En conséquence, il n’existe actuellement aucun consensus, ni international ni national.Afin de combler ce manque, aidée par le contexte de la centralisation de la médecine hautement spécialisée, une conférence de consensus réunissant les diverses spécialités nécessaires à la prise en charge du cancer de l’œsophage à été organisée le 31 octobre 2015 au CHUV. La discussion portait sur les tumeurs des tiers moyen, distal et de la jonction œsogastrique (Siewert I et II). Un questionnaire préalable avait été rempli par les participants, afin d’identifier...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42159 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Hernies géantes avec perte de droit de cité : comment préparer au mieux les patients ? / A. Balaphas in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Hernies géantes avec perte de droit de cité : comment préparer au mieux les patients ? Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Balaphas ; Philippe Morel ; Romain Breguet ; Michela Assalino Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1170-1173 Langues : Français (fre) Mots-clés : HERNIE ABDOMINALE CHIRURGIE Résumé : Les hernies géantes avec perte de droit de cité induisent des modifications physiologiques qui diminuent la qualité de vie des patients et complexifient leur prise en charge chirurgicale. Une préparation préopératoire du patient adéquate est garante d’une bonne évolution postopératoire. Le pneumopéritoine préopératoire progressif (PPP) est une des techniques d’augmentation abdominale décrites qui permet au patient de s’habituer à la réintégration du contenu herniaire et d’éviter d’avoir recours à une technique de séparation des compartiments lors de la cure de hernie. Cet article décrit la prise en charge de ces patients difficiles. Nous rapportons également le cas d’un patient qui a pu bénéficier avec succès d’un protocole PPP.
Généralités et définitionsChaque praticien a sans doute déjà été confronté à un patient présentant une hernie géante avec perte de droit de cité. Rarement, ces hernies sont issues de l’évolution naturelle d’une hernie inguinale, ombilicale ou d’une autre localisation. Le plus souvent, il s’agit d’éventrations, aussi appelées hernies incisionnelles. L’éventration est une complication à long terme de toute laparotomie, dont la fréquence est souvent ignorée au vu de sa nature tardive. Ainsi, après laparotomie médiane, le taux d’éventrations serait de 22,4 % à trois ans.1 Par ailleurs, après une cure d’éventration par filet, le taux de récidive se situerait à 24% à trois ans et monterait à 80 % en cas d’infection postopératoire.2Une hernie géante est définie par une largeur de collet supérieure à 10 cm.3 Cette caractéristique ne suffit pas pour définir une perte de droit de cité, qui est cependant volontiers associée aux hernies de grande taille. Une perte de droit de cité correspond...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42160
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1170-1173[article] Hernies géantes avec perte de droit de cité : comment préparer au mieux les patients ? [texte imprimé] / A. Balaphas ; Philippe Morel ; Romain Breguet ; Michela Assalino . - 2016 . - p. 1170-1173.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1170-1173
Mots-clés : HERNIE ABDOMINALE CHIRURGIE Résumé : Les hernies géantes avec perte de droit de cité induisent des modifications physiologiques qui diminuent la qualité de vie des patients et complexifient leur prise en charge chirurgicale. Une préparation préopératoire du patient adéquate est garante d’une bonne évolution postopératoire. Le pneumopéritoine préopératoire progressif (PPP) est une des techniques d’augmentation abdominale décrites qui permet au patient de s’habituer à la réintégration du contenu herniaire et d’éviter d’avoir recours à une technique de séparation des compartiments lors de la cure de hernie. Cet article décrit la prise en charge de ces patients difficiles. Nous rapportons également le cas d’un patient qui a pu bénéficier avec succès d’un protocole PPP.
Généralités et définitionsChaque praticien a sans doute déjà été confronté à un patient présentant une hernie géante avec perte de droit de cité. Rarement, ces hernies sont issues de l’évolution naturelle d’une hernie inguinale, ombilicale ou d’une autre localisation. Le plus souvent, il s’agit d’éventrations, aussi appelées hernies incisionnelles. L’éventration est une complication à long terme de toute laparotomie, dont la fréquence est souvent ignorée au vu de sa nature tardive. Ainsi, après laparotomie médiane, le taux d’éventrations serait de 22,4 % à trois ans.1 Par ailleurs, après une cure d’éventration par filet, le taux de récidive se situerait à 24% à trois ans et monterait à 80 % en cas d’infection postopératoire.2Une hernie géante est définie par une largeur de collet supérieure à 10 cm.3 Cette caractéristique ne suffit pas pour définir une perte de droit de cité, qui est cependant volontiers associée aux hernies de grande taille. Une perte de droit de cité correspond...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42160 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours / Toni Raffoul in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours Type de document : texte imprimé Auteurs : Toni Raffoul ; A. Balaphas ; Raphaël P.H. Meier ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1174-1179 Langues : Français (fre) Mots-clés : PANCREAS KYSTE Résumé : Le taux de détections des lésions kystiques du pancréas a augmenté depuis l’utilisation courante de l’imagerie à haute résolution. Le CT-scan, l’IRM et l’écho-endoscopie sont des modalités diagnostiques. Le pseudokyste est la lésion la plus fréquente. Il est bénin et peut être pris en charge par un traitement endoscopique. Les tumeurs kystiques mucineuses et les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP) sont à risque de transformation maligne. Le traitement chirurgical de ces lésions doit être discuté au sein d’une équipe multidisciplinaire. Les tumeurs kystiques séreuses et les tumeurs pseudopapillaires et solides représentent deux types rares de lésion. Le but de cet article est de présenter la démarche diagnostique et la prise en charge de ces lésions du point de vue du médecin de premier recours.
IntroductionL’incidence des lésions kystiques du pancréas, longtemps sous-estimée, a augmenté depuis l’évolution et l’utilisation courante de l’imagerie. Il est de plus en plus fréquent, en médecine de premier recours, de découvrir de tels « incidentalomes ». Le risque de trouver une lésion kystique du pancréas se situe entre 13,5 et 19,9 % sur une IRM abdominale et entre 1,2 et 2,6 % sur un examen tomodensitométrique.1 Du plus au moins fréquent, on rencontre : les pseudokystes, les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP), les tumeurs kystiques mucineuses (cystadénomes mucineux) du pancréas, les tumeurs kystiques séreuses (cystadénomes séreux) du pancréas et les tumeurs pseudopapillaires et solides du pancréas.2Etant donné le risque de dégénérescence de certaines lésions, une meilleure caractérisation radiologique et/ou endoscopique, avec ou sans ponction, permet d’éviter une chirurgie à but diagnostique et/ou de surveiller une lésion ayant dégénéré.L...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42161
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p.1174-1179[article] Les lésions kystiques du pancréas sous l’angle du médecin de premier recours [texte imprimé] / Toni Raffoul ; A. Balaphas ; Raphaël P.H. Meier ; et al. . - 2016 . - p.1174-1179.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p.1174-1179
Mots-clés : PANCREAS KYSTE Résumé : Le taux de détections des lésions kystiques du pancréas a augmenté depuis l’utilisation courante de l’imagerie à haute résolution. Le CT-scan, l’IRM et l’écho-endoscopie sont des modalités diagnostiques. Le pseudokyste est la lésion la plus fréquente. Il est bénin et peut être pris en charge par un traitement endoscopique. Les tumeurs kystiques mucineuses et les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP) sont à risque de transformation maligne. Le traitement chirurgical de ces lésions doit être discuté au sein d’une équipe multidisciplinaire. Les tumeurs kystiques séreuses et les tumeurs pseudopapillaires et solides représentent deux types rares de lésion. Le but de cet article est de présenter la démarche diagnostique et la prise en charge de ces lésions du point de vue du médecin de premier recours.
IntroductionL’incidence des lésions kystiques du pancréas, longtemps sous-estimée, a augmenté depuis l’évolution et l’utilisation courante de l’imagerie. Il est de plus en plus fréquent, en médecine de premier recours, de découvrir de tels « incidentalomes ». Le risque de trouver une lésion kystique du pancréas se situe entre 13,5 et 19,9 % sur une IRM abdominale et entre 1,2 et 2,6 % sur un examen tomodensitométrique.1 Du plus au moins fréquent, on rencontre : les pseudokystes, les tumeurs intracanalaires papillaires et mucineuses du pancréas (TIPMP), les tumeurs kystiques mucineuses (cystadénomes mucineux) du pancréas, les tumeurs kystiques séreuses (cystadénomes séreux) du pancréas et les tumeurs pseudopapillaires et solides du pancréas.2Etant donné le risque de dégénérescence de certaines lésions, une meilleure caractérisation radiologique et/ou endoscopique, avec ou sans ponction, permet d’éviter une chirurgie à but diagnostique et/ou de surveiller une lésion ayant dégénéré.L...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42161 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Bilan préopératoire de l’hépatectomie majeure / David Martin in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Bilan préopératoire de l’hépatectomie majeure Type de document : texte imprimé Auteurs : David Martin ; Didier Roulin ; Yamaguchi Takamune ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1180-1184 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIRURGIE FOIE Résumé : Une hépatectomie majeure comporte par définition la résection d’au moins trois segments hépatiques. En raison de la présence fréquente d’une hépatopathie sous-jacente, les résections hépatiques sont confrontées au risque d’insuffisance hépatocellulaire ou small-for-size syndrome. Chaque cas doit être discuté lors de colloques multidisciplinaires et le bilan préopératoire englobe une évaluation des paramètres biologiques, volumétriques et fonctionnels du foie. Si le volume hépatique résiduel prédit est insuffisant, une embolisation portale est requise. Le but de cet article est de décrire le bilan préopératoire nécessaire aux hépatectomies majeures.
IntroductionLe nombre de résections hépatiques pour le traitement des cancers primaires ou secondaires du foie a considérablement augmenté au cours des deux dernières décennies. Les progrès de l’anesthésie, des techniques chirurgicales et radiologiques ainsi que de la gestion périopératoire ont permis une sélection plus large des patients avec une sécurité accrue. Les séries de résections hépatiques de centres experts rapportent une mortalité périopératoire située entre 0 et 3 %.1,2 Au CHUV, cette dernière s’élève à 2,2 % (série non publiée).Les indications aux hépatectomies sont nombreuses. La majorité concerne des pathologies malignes, principalement des maladies métastatiques avec une forte prédominance du cancer colorectal (57 %). Les tumeurs primaires sont moins fréquentes et représentent environ 21 % des résections hépatiques, avec notamment le carcinome hépatocellulaire (10 %) et le cholangiocarcinome (6 %). Les pathologies bénignes représentent seulement 9 % des résections...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42162
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p.1180-1184[article] Bilan préopératoire de l’hépatectomie majeure [texte imprimé] / David Martin ; Didier Roulin ; Yamaguchi Takamune ; et al. . - 2016 . - p.1180-1184.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p.1180-1184
Mots-clés : CHIRURGIE FOIE Résumé : Une hépatectomie majeure comporte par définition la résection d’au moins trois segments hépatiques. En raison de la présence fréquente d’une hépatopathie sous-jacente, les résections hépatiques sont confrontées au risque d’insuffisance hépatocellulaire ou small-for-size syndrome. Chaque cas doit être discuté lors de colloques multidisciplinaires et le bilan préopératoire englobe une évaluation des paramètres biologiques, volumétriques et fonctionnels du foie. Si le volume hépatique résiduel prédit est insuffisant, une embolisation portale est requise. Le but de cet article est de décrire le bilan préopératoire nécessaire aux hépatectomies majeures.
IntroductionLe nombre de résections hépatiques pour le traitement des cancers primaires ou secondaires du foie a considérablement augmenté au cours des deux dernières décennies. Les progrès de l’anesthésie, des techniques chirurgicales et radiologiques ainsi que de la gestion périopératoire ont permis une sélection plus large des patients avec une sécurité accrue. Les séries de résections hépatiques de centres experts rapportent une mortalité périopératoire située entre 0 et 3 %.1,2 Au CHUV, cette dernière s’élève à 2,2 % (série non publiée).Les indications aux hépatectomies sont nombreuses. La majorité concerne des pathologies malignes, principalement des maladies métastatiques avec une forte prédominance du cancer colorectal (57 %). Les tumeurs primaires sont moins fréquentes et représentent environ 21 % des résections hépatiques, avec notamment le carcinome hépatocellulaire (10 %) et le cholangiocarcinome (6 %). Les pathologies bénignes représentent seulement 9 % des résections...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42162 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Traitement multidisciplinaire du cancer rectal localement avancé / Seraina Faes in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Traitement multidisciplinaire du cancer rectal localement avancé Type de document : texte imprimé Auteurs : Seraina Faes ; Olivier Gié ; N. Demartines ; D. Hahnloser Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1185-1189 Langues : Français (fre) Mots-clés : RECTUM CANCER THERAPEUTIQUE Résumé : Le traitement des patients avec un cancer rectal localement avancé reste un grand défi. L’imagerie préopératoire par IRM pelvienne permet d’identifier les patients qui seront candidats à un traitement multimodal incluant une chimiothérapie d’induction ou une radiochimiothérapie néoadjuvante et une résection chirurgicale étendue. Grâce à une approche multidisciplinaire par une équipe expérimentée, d’excellents résultats oncologiques ainsi que de bonnes fonction et qualité de vie sont possibles, et ceci même en préservant l’anus chez une grande majorité des patients.
IntroductionChaque année, entre 1200 et 2000 adénocarcinomes du rectum sont diagnostiqués en Suisse. Dans la majorité des cas, l’extension de la tumeur est limitée au mésorectum. Ces carcinomes peuvent être traités par une résection du rectum seul (TME, total mesorectal excision) et ont aujourd’hui un meilleur pronostic que les cancers du côlon1 avec une survie à cinq ans approchant les 90 %2 et un taux de récidives < 5 %.3 Environ 8 %4 des patients présentent des cancers localement avancés avec une tumeur s’étendant près (5 %) ou au-delà (3 %) du fascia mésorectal. La prise en charge de ces patients nécessite d’être multidisciplinaire et effectuée idéalement dans un centre de références.Dans cet article, nous décrivons la conduite à tenir pour un bilan d’extension locorégionale optimal, ainsi que les options thérapeutiques pour un cancer du rectum localement avancé. La prise en charge de ces patients nécessite une bonne coordination entre les différents services (figure 1). Dé...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42163
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1185-1189[article] Traitement multidisciplinaire du cancer rectal localement avancé [texte imprimé] / Seraina Faes ; Olivier Gié ; N. Demartines ; D. Hahnloser . - 2016 . - p. 1185-1189.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1185-1189
Mots-clés : RECTUM CANCER THERAPEUTIQUE Résumé : Le traitement des patients avec un cancer rectal localement avancé reste un grand défi. L’imagerie préopératoire par IRM pelvienne permet d’identifier les patients qui seront candidats à un traitement multimodal incluant une chimiothérapie d’induction ou une radiochimiothérapie néoadjuvante et une résection chirurgicale étendue. Grâce à une approche multidisciplinaire par une équipe expérimentée, d’excellents résultats oncologiques ainsi que de bonnes fonction et qualité de vie sont possibles, et ceci même en préservant l’anus chez une grande majorité des patients.
IntroductionChaque année, entre 1200 et 2000 adénocarcinomes du rectum sont diagnostiqués en Suisse. Dans la majorité des cas, l’extension de la tumeur est limitée au mésorectum. Ces carcinomes peuvent être traités par une résection du rectum seul (TME, total mesorectal excision) et ont aujourd’hui un meilleur pronostic que les cancers du côlon1 avec une survie à cinq ans approchant les 90 %2 et un taux de récidives < 5 %.3 Environ 8 %4 des patients présentent des cancers localement avancés avec une tumeur s’étendant près (5 %) ou au-delà (3 %) du fascia mésorectal. La prise en charge de ces patients nécessite d’être multidisciplinaire et effectuée idéalement dans un centre de références.Dans cet article, nous décrivons la conduite à tenir pour un bilan d’extension locorégionale optimal, ainsi que les options thérapeutiques pour un cancer du rectum localement avancé. La prise en charge de ces patients nécessite une bonne coordination entre les différents services (figure 1). Dé...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42163 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge de la carcinose péritonéale par chirurgie cytoréductive et chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale / A. Balaphas in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Prise en charge de la carcinose péritonéale par chirurgie cytoréductive et chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Balaphas ; Valentina Belfontali ; Frédéric Ris ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1190-1194 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCER PERITOINE CHIRURGIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : En 2016, la carcinose péritonéale peut être considérée comme une maladie chronique qui peut être traitée et parfois guérie. La chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) est une procédure développée dans les années 80. Combinée à une chirurgie cytoréductive (CCR), ce protocole a connu par la suite un essor important au Washington Cancer Institute. La CCR, combinée à une CHIP, a été démontrée comme seul traitement curatif du syndrome de pseudomyxome péritonéal (PMP). Elle est actuellement validée dans la prise en charge de la carcinose péritonéale d’origines ovarienne, colorectale, ou péritonéale primitive (mésothéliome) mais reste à l’étude pour le cancer gastrique. La CCR/CHIP est associée à une mortalité et une morbidité conséquentes. Cet article fait le point sur les indications à la CCR/CHIP.
IntroductionGénéralitésLa carcinose péritonéale (CP) est définie par une diffusion métastatique de la maladie primaire au péritoine. Sans intervention, le pronostic d’une CP, toutes étiologies confondues, est sombre avec une survie de seulement quelques mois.1 La CP a été longtemps synonyme de sentence de mort et abordée par une prise en charge palliative. A l’heure actuelle, l’objectif est de prolonger la survie, voire de guérir le patient lorsque la maladie n’est pas trop avancée. Malheureusement, cette attitude n’est pas encore rentrée dans les mœurs. Souvent, des patients avec des maladies limitées et initialement résécables sont finalement référés au chirurgien en raison d’une progression après de multiples lignes de chimiothérapie.2 Seul un petit pourcentage de cas avec une CP sont finalement présentés à un chirurgien et peuvent bénéficier d’une prise en charge adaptée.La chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) est une technique développée initialement comme tr...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42164
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1190-1194[article] Prise en charge de la carcinose péritonéale par chirurgie cytoréductive et chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale [texte imprimé] / A. Balaphas ; Valentina Belfontali ; Frédéric Ris ; et al. . - 2016 . - p. 1190-1194.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1190-1194
Mots-clés : CANCER PERITOINE CHIRURGIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : En 2016, la carcinose péritonéale peut être considérée comme une maladie chronique qui peut être traitée et parfois guérie. La chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) est une procédure développée dans les années 80. Combinée à une chirurgie cytoréductive (CCR), ce protocole a connu par la suite un essor important au Washington Cancer Institute. La CCR, combinée à une CHIP, a été démontrée comme seul traitement curatif du syndrome de pseudomyxome péritonéal (PMP). Elle est actuellement validée dans la prise en charge de la carcinose péritonéale d’origines ovarienne, colorectale, ou péritonéale primitive (mésothéliome) mais reste à l’étude pour le cancer gastrique. La CCR/CHIP est associée à une mortalité et une morbidité conséquentes. Cet article fait le point sur les indications à la CCR/CHIP.
IntroductionGénéralitésLa carcinose péritonéale (CP) est définie par une diffusion métastatique de la maladie primaire au péritoine. Sans intervention, le pronostic d’une CP, toutes étiologies confondues, est sombre avec une survie de seulement quelques mois.1 La CP a été longtemps synonyme de sentence de mort et abordée par une prise en charge palliative. A l’heure actuelle, l’objectif est de prolonger la survie, voire de guérir le patient lorsque la maladie n’est pas trop avancée. Malheureusement, cette attitude n’est pas encore rentrée dans les mœurs. Souvent, des patients avec des maladies limitées et initialement résécables sont finalement référés au chirurgien en raison d’une progression après de multiples lignes de chimiothérapie.2 Seul un petit pourcentage de cas avec une CP sont finalement présentés à un chirurgien et peuvent bénéficier d’une prise en charge adaptée.La chimiothérapie hyperthermique intrapéritonéale (CHIP) est une technique développée initialement comme tr...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42164 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Secret médical en prison : un argument de sécurité publique / Philippe Ducor in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Secret médical en prison : un argument de sécurité publique Type de document : texte imprimé Auteurs : Philippe Ducor Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1196-1200 Langues : Français (fre) Mots-clés : SECRET MEDICAL PRISON SECURITE Résumé : I. ContexteL’année 2013 a vu deux drames terribles se dérouler en Suisse romande. Dans un espace de quelques mois, deux jeunes femmes – Marie et Adeline – ont été assassinées par des condamnés qui avaient bénéficié d’un allégement dans l’exécution de leur peine au sens de l’art. 75a al. 2 du Code pénal (CP). Ces drames posent une nouvelle fois la question de la dangerosité des condamnés, toujours difficile à évaluer.Peu après ces événements et l’effervescence médiatique qui a suivi, la Conférence latine des chefs des Départements de justice et police (CLDJP) a formulé une recommandation le 31 octobre 2013. La CLDJP y indique « qu’il apparaît souvent que, dans le dossier d’un détenu, les intervenants soumis au secret médical (médecins, thérapeutes, etc.) ne transmettent pas ou ne se sentent pas autorisés à transmettre des informations sur les personnes dont ils ont la charge par suite de décisions judiciaires alors que dites autorités d’exécution en auraient utilement besoin dans l... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42165
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1196-1200[article] Secret médical en prison : un argument de sécurité publique [texte imprimé] / Philippe Ducor . - 2016 . - p. 1196-1200.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1196-1200
Mots-clés : SECRET MEDICAL PRISON SECURITE Résumé : I. ContexteL’année 2013 a vu deux drames terribles se dérouler en Suisse romande. Dans un espace de quelques mois, deux jeunes femmes – Marie et Adeline – ont été assassinées par des condamnés qui avaient bénéficié d’un allégement dans l’exécution de leur peine au sens de l’art. 75a al. 2 du Code pénal (CP). Ces drames posent une nouvelle fois la question de la dangerosité des condamnés, toujours difficile à évaluer.Peu après ces événements et l’effervescence médiatique qui a suivi, la Conférence latine des chefs des Départements de justice et police (CLDJP) a formulé une recommandation le 31 octobre 2013. La CLDJP y indique « qu’il apparaît souvent que, dans le dossier d’un détenu, les intervenants soumis au secret médical (médecins, thérapeutes, etc.) ne transmettent pas ou ne se sentent pas autorisés à transmettre des informations sur les personnes dont ils ont la charge par suite de décisions judiciaires alors que dites autorités d’exécution en auraient utilement besoin dans l... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42165 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Stress au travail chez les professionnels de la santé : quelles sont les mesures de prévention qui fonctionnent ? / Santiago Zurita in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Stress au travail chez les professionnels de la santé : quelles sont les mesures de prévention qui fonctionnent ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Santiago Zurita ; Catherine Lazor-Blanchet ; Aline Flatz ; Isabelle Peytremann-Bridevaux Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1201 Langues : Français (fre) Mots-clés : STRESS TRAVAIL PERSONNEL DE SANTE EPUISEMENT PROFESSIONNEL PREVENTION Résumé : Cette rubrique présente les résultats d’une revue systématique récente telle que publiée dans la Cochrane Library (www.thecochranelibrary.com). Volontairement limité à un champ de recherche circonscrit, cet article reflète l’état actuel des connaissances de ce domaine. Il ne s’agit donc pas de recommandations pour guider la prise en charge d’une problématique clinique considérée dans sa globalité (guidelines). Les auteurs de ce résumé se basent sur la revue systématique et ne remettent pas en question le choix des articles inclus dans la revue.Question cliniqueUne infirmière de 26 ans vous consulte : elle se sent stressée, de plus en plus épuisée, mentionne des tensions dans son équipe et une surcharge de travail depuis plusieurs mois, suite à une réorganisation de son service.Quelle méthode de prévention du stress au travail lui conseillez-vous ?ContexteLes symptômes de stress professionnel surviennent lorsque les personnes ressentent un déséquilibre durable entre les contraintes... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42166
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1201[article] Stress au travail chez les professionnels de la santé : quelles sont les mesures de prévention qui fonctionnent ? [texte imprimé] / Santiago Zurita ; Catherine Lazor-Blanchet ; Aline Flatz ; Isabelle Peytremann-Bridevaux . - 2016 . - p. 1201.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1201
Mots-clés : STRESS TRAVAIL PERSONNEL DE SANTE EPUISEMENT PROFESSIONNEL PREVENTION Résumé : Cette rubrique présente les résultats d’une revue systématique récente telle que publiée dans la Cochrane Library (www.thecochranelibrary.com). Volontairement limité à un champ de recherche circonscrit, cet article reflète l’état actuel des connaissances de ce domaine. Il ne s’agit donc pas de recommandations pour guider la prise en charge d’une problématique clinique considérée dans sa globalité (guidelines). Les auteurs de ce résumé se basent sur la revue systématique et ne remettent pas en question le choix des articles inclus dans la revue.Question cliniqueUne infirmière de 26 ans vous consulte : elle se sent stressée, de plus en plus épuisée, mentionne des tensions dans son équipe et une surcharge de travail depuis plusieurs mois, suite à une réorganisation de son service.Quelle méthode de prévention du stress au travail lui conseillez-vous ?ContexteLes symptômes de stress professionnel surviennent lorsque les personnes ressentent un déséquilibre durable entre les contraintes... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42166 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Guillain-Barré : questions-réponses d’actualité sur sa prise en charge / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 523 (Juin 2016)
[article]
Titre : Guillain-Barré : questions-réponses d’actualité sur sa prise en charge Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1204-1205 Langues : Français (fre) Mots-clés : GUILLAIN ET BARRE SYNDROME Résumé : L’épidémie d’infections humaines par le virus Zika a conféré une nouvelle actualité, médiatique, au syndrome de Guillain-Barré (SGB).1 Le sujet vient de faire l’objet d’une série de communications devant l’Académie nationale française de médecine. Retenons celle consacrée à l’actualité de sa prise en charge thérapeutique.2 Une communication rythmée par un jeu de questions-réponses.« Le traitement du syndrome de Guillain-Barré est resté symptomatique jusqu’aux années 1980, plus de 60 ans après la description princeps, incluant la ventilation assistée nécessaire dans près de 25 % des cas, résument les auteurs de cette communication. La prise en charge optimale est effectuée dans les unités de soins intensifs, étant donné la fréquence des complications. Les traitements immunomodulateurs, dont l’efficacité a été démontrée par des essais randomisés contrôlés, sont les échanges plasmatiques (EP) et les immunoglobulines intraveineuses administrées à fortes doses (IgIV). De nombreuses que... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42167
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1204-1205[article] Guillain-Barré : questions-réponses d’actualité sur sa prise en charge [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p. 1204-1205.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 523 (Juin 2016) . - p. 1204-1205
Mots-clés : GUILLAIN ET BARRE SYNDROME Résumé : L’épidémie d’infections humaines par le virus Zika a conféré une nouvelle actualité, médiatique, au syndrome de Guillain-Barré (SGB).1 Le sujet vient de faire l’objet d’une série de communications devant l’Académie nationale française de médecine. Retenons celle consacrée à l’actualité de sa prise en charge thérapeutique.2 Une communication rythmée par un jeu de questions-réponses.« Le traitement du syndrome de Guillain-Barré est resté symptomatique jusqu’aux années 1980, plus de 60 ans après la description princeps, incluant la ventilation assistée nécessaire dans près de 25 % des cas, résument les auteurs de cette communication. La prise en charge optimale est effectuée dans les unités de soins intensifs, étant donné la fréquence des complications. Les traitements immunomodulateurs, dont l’efficacité a été démontrée par des essais randomisés contrôlés, sont les échanges plasmatiques (EP) et les immunoglobulines intraveineuses administrées à fortes doses (IgIV). De nombreuses que... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42167 Exemplaires (1)
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