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Médecine de l'adolescence |
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Ajouter le résultat dans votre panierLa parole aux adolescents. Sommes-nous prêts à les entendre ? / F. Narring in Revue médicale suisse, 522 (Juin 2016)
Titre : La parole aux adolescents. Sommes-nous prêts à les entendre ? Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Narring ; A.-E. Ambresin Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1123 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT COMMUNICATION Résumé : Le 10 décembre 2014, le Prix Nobel de la paix était attribué pour la première fois à une adolescente : Malala Yousafsai, une jeune fille pakistanaise de 17 ans, recevait ce prestigieux hommage. Elle partage alors ce prix avec Kailash Satyarthi, champion des droits de l’enfant en Inde, pour leur combat contre l’exploitation et le meurtre des enfants et des jeunes et pour le droit de tous les enfants à l’éducation. Le discours que cette très jeune fille a prononcé à la cérémonie de remise du prix Nobel en Suède, démontre un enthousiasme et un courage qui devraient inspirer les professionnels que nous sommes.1 Elle y souligne la place centrale de l’éducation et de la scolarisation et le rôle primordial que les parents jouent tout au long de la vie. Elle remercie spécialement son père de ne pas lui avoir coupé les ailes et de lui avoir permis de voler, sa mère pour lui avoir appris à être patiente et à toujours dire la vérité, et ses professeurs pour lui avoir appris à croire en elle-même et à être courageuse. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42149
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p. 1123[article] La parole aux adolescents. Sommes-nous prêts à les entendre ? [texte imprimé] / F. Narring ; A.-E. Ambresin . - 2016 . - p. 1123.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p. 1123
Mots-clés : ADOLESCENT COMMUNICATION Résumé : Le 10 décembre 2014, le Prix Nobel de la paix était attribué pour la première fois à une adolescente : Malala Yousafsai, une jeune fille pakistanaise de 17 ans, recevait ce prestigieux hommage. Elle partage alors ce prix avec Kailash Satyarthi, champion des droits de l’enfant en Inde, pour leur combat contre l’exploitation et le meurtre des enfants et des jeunes et pour le droit de tous les enfants à l’éducation. Le discours que cette très jeune fille a prononcé à la cérémonie de remise du prix Nobel en Suède, démontre un enthousiasme et un courage qui devraient inspirer les professionnels que nous sommes.1 Elle y souligne la place centrale de l’éducation et de la scolarisation et le rôle primordial que les parents jouent tout au long de la vie. Elle remercie spécialement son père de ne pas lui avoir coupé les ailes et de lui avoir permis de voler, sa mère pour lui avoir appris à être patiente et à toujours dire la vérité, et ses professeurs pour lui avoir appris à croire en elle-même et à être courageuse. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42149 Exemplaires (1)
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Titre : Le dépistage de la tuberculose en milieu scolaire Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Meynard ; Eva Pfarrwaller ; Claire-Anne Wyler Lazarevic Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1125-1128 Langues : Français (fre) Mots-clés : TUBERCULOSE ADOLESCENT MIGRANT Résumé : Les besoins de santé des jeunes primo-arrivants sont multiples et doivent être adaptés au contexte migratoire. Un bilan de santé systématique à l’arrivée, comprenant un dépistage de la tuberculose (TBC) par test de Mantoux, est proposé à tous les enfants et jeunes primo-arrivants venant de pays à moyenne ou haute endémie par les services de santé scolaire à Genève. En cas de test positif, un test IGRA (interferon gamma release assay) et, si indication, un traitement de la tuberculose latente seront proposés malgré l’absence de recommandations claires. Cette pratique nécessite un investissement logistique important mais comporte des bénéfices collectifs et individuels : diminution du risque de réactivation d’une TBC (populations vivant dans la promiscuité), collaboration entre le médecin de premier recours et le service de santé scolaire pour un suivi global efficace.
Vignette cliniqueDavid, 17 ans, est originaire des Philippines, où il a grandi avec sa grand-mère. Sa mère est décédée lorsqu’il était jeune. Au décès de sa grand-mère, il vient rejoindre son père remarié à Genève depuis plusieurs années. Il est scolarisé dans le Service des classes d’accueil du postobligatoire afin de pouvoir ajuster son niveau scolaire aux exigences suisses et accéder à un apprentissage de mécanicien. L’infirmière scolaire le reçoit pour la visite de santé systématique et effectue un test de sensibilité à la tuberculine (test de Mantoux, TST).Questions : quels sont les besoins de santé de ce jeune ? Qu’est-ce que l’infirmière scolaire peut lui apporter ?IntroductionLes jeunes migrants récemment arrivés ont des besoins très variables et souvent interconnectés: d’un côté liés à la migration (statut légal, raison de migration, conditions de voyage pour arriver en Suisse, etc.) et à leur situation familiale et socio-économique, de l’autre côté des besoins de santé t...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42150
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1125-1128[article] Le dépistage de la tuberculose en milieu scolaire [texte imprimé] / A. Meynard ; Eva Pfarrwaller ; Claire-Anne Wyler Lazarevic . - 2016 . - p.1125-1128.
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Mots-clés : TUBERCULOSE ADOLESCENT MIGRANT Résumé : Les besoins de santé des jeunes primo-arrivants sont multiples et doivent être adaptés au contexte migratoire. Un bilan de santé systématique à l’arrivée, comprenant un dépistage de la tuberculose (TBC) par test de Mantoux, est proposé à tous les enfants et jeunes primo-arrivants venant de pays à moyenne ou haute endémie par les services de santé scolaire à Genève. En cas de test positif, un test IGRA (interferon gamma release assay) et, si indication, un traitement de la tuberculose latente seront proposés malgré l’absence de recommandations claires. Cette pratique nécessite un investissement logistique important mais comporte des bénéfices collectifs et individuels : diminution du risque de réactivation d’une TBC (populations vivant dans la promiscuité), collaboration entre le médecin de premier recours et le service de santé scolaire pour un suivi global efficace.
Vignette cliniqueDavid, 17 ans, est originaire des Philippines, où il a grandi avec sa grand-mère. Sa mère est décédée lorsqu’il était jeune. Au décès de sa grand-mère, il vient rejoindre son père remarié à Genève depuis plusieurs années. Il est scolarisé dans le Service des classes d’accueil du postobligatoire afin de pouvoir ajuster son niveau scolaire aux exigences suisses et accéder à un apprentissage de mécanicien. L’infirmière scolaire le reçoit pour la visite de santé systématique et effectue un test de sensibilité à la tuberculine (test de Mantoux, TST).Questions : quels sont les besoins de santé de ce jeune ? Qu’est-ce que l’infirmière scolaire peut lui apporter ?IntroductionLes jeunes migrants récemment arrivés ont des besoins très variables et souvent interconnectés: d’un côté liés à la migration (statut légal, raison de migration, conditions de voyage pour arriver en Suisse, etc.) et à leur situation familiale et socio-économique, de l’autre côté des besoins de santé t...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42150 Exemplaires (1)
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Titre : Prise en charge somatique et complications de l’anorexie mentale chez l’adolescente Type de document : texte imprimé Auteurs : Jennifer Helfer ; Alexandra Favaro ; A.-E. Ambresin Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1129-1132 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT ANOREXIE COMPLICATION Résumé : L’anorexie mentale est une pathologie fréquente qui se manifeste le plus souvent à l’adolescence et qui peut persister jusqu’à l’âge adulte. Elle peut avoir des conséquences graves, raison pour laquelle elle doit rapidement être détectée et prise en charge. Dans cet article, nous décrirons les paramètres à suivre en consultation ambulatoire, les complications à ne pas manquer et quand une prise en charge hospitalière devient nécessaire.
IntroductionLes critères définissant l’anorexie mentale ont été modifiés dans le DSM-V en 2015, notamment le critère concernant l’aménorrhée.1Les critères actuels sont les suivants :restrictions énergétiques menant à un poids inférieur au poids normal pour le sexe, l’âge et la taille.Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros.Altération de la perception du poids et du corps avec influence sur l’estime de soi et déni de la gravité de la maigreur actuelle.Il existe deux types d’anorexie mentale : un type restrictif pur et un purgatif avec crises de boulimie et vomissements ou purge.Pour des raisons de simplification, nous utiliserons le féminin dans cet article, en se rappelant que les garçons sont également à risque.La prévalence de l’anorexie dans les pays à haut revenu est de 0,5-1 %.2 Ces critères doivent donc être activement recherchés chez toute patiente perdant du poids continuellement ou qui présente un poids au-dessous du poids attendu. Ils doivent également être p...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42151
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p. 1129-1132[article] Prise en charge somatique et complications de l’anorexie mentale chez l’adolescente [texte imprimé] / Jennifer Helfer ; Alexandra Favaro ; A.-E. Ambresin . - 2016 . - p. 1129-1132.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p. 1129-1132
Mots-clés : ADOLESCENT ANOREXIE COMPLICATION Résumé : L’anorexie mentale est une pathologie fréquente qui se manifeste le plus souvent à l’adolescence et qui peut persister jusqu’à l’âge adulte. Elle peut avoir des conséquences graves, raison pour laquelle elle doit rapidement être détectée et prise en charge. Dans cet article, nous décrirons les paramètres à suivre en consultation ambulatoire, les complications à ne pas manquer et quand une prise en charge hospitalière devient nécessaire.
IntroductionLes critères définissant l’anorexie mentale ont été modifiés dans le DSM-V en 2015, notamment le critère concernant l’aménorrhée.1Les critères actuels sont les suivants :restrictions énergétiques menant à un poids inférieur au poids normal pour le sexe, l’âge et la taille.Peur intense de prendre du poids ou de devenir gros.Altération de la perception du poids et du corps avec influence sur l’estime de soi et déni de la gravité de la maigreur actuelle.Il existe deux types d’anorexie mentale : un type restrictif pur et un purgatif avec crises de boulimie et vomissements ou purge.Pour des raisons de simplification, nous utiliserons le féminin dans cet article, en se rappelant que les garçons sont également à risque.La prévalence de l’anorexie dans les pays à haut revenu est de 0,5-1 %.2 Ces critères doivent donc être activement recherchés chez toute patiente perdant du poids continuellement ou qui présente un poids au-dessous du poids attendu. Ils doivent également être p...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42151 Exemplaires (1)
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Titre : Aborder la spiritualité avec les adolescents en consultation ambulatoire : tabou ou nécessité ?* Type de document : texte imprimé Auteurs : Véronique De Germond Burquier ; F. Narring ; Cécile Entremont ; Lytta Basset Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1133-1136 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT SPIRITUALITE MEDECINE AMBULATOIRE SANTE RELIGION Résumé : La spiritualité influe sur les aspects de la vie quotidienne des adolescents comme des adultes. On admet qu’elle a généralement une influence positive sur la santé, tant physique que psychologique, mais il arrive qu’elle soit aussi source de souffrance. Dans la perspective d’une prise en charge holistique, il importe donc d’investiguer le sujet avec tact et délicatesse. En attendant qu’un outil de repérage adapté à cette classe d’âge et à la culture européenne s’impose, on peut introduire tout au long de l’anamnèse des points permettant d’explorer spiritualité ou pratique religieuse. Toutefois, des résistances existent, provenant principalement des soignants et qui pourraient être en partie surmontées par une formation appropriée.
IntroductionLes champs de la santé et de la spiritualité sont pendant longtemps restés relativement cloisonnés. Ce n’est qu’à partir des années 80 que le sujet suscite un regain d’intérêt, d’abord en Amérique du Nord et secondairement en Europe. En 2005, l’OMS élargit la définition de la santé et introduit le modèle bio-psycho-socio-spirituel.1 En Europe, la prise en compte de la spiritualité dans les soins reste en grande partie cantonnée aux situations de soins palliatifs et fins de vie, et dans une moindre mesure en psychiatrie. Dans cet article, la notion de spiritualité sera considérée au sens large : à la recherche de sens, au rattachement à des valeurs et à la sensibilité à une forme de transcendance, on ajoutera la religion, les pratiques qui y sont liées (religiosité), et la dimension culturelle tant il est parfois difficile de dissocier les deux.2 Ces pratiques ne vont pas sans influer sur le mode de vie de nos patients et avoir des répercussions somatiques, psychologiqu...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42152
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1133-1136[article] Aborder la spiritualité avec les adolescents en consultation ambulatoire : tabou ou nécessité ?* [texte imprimé] / Véronique De Germond Burquier ; F. Narring ; Cécile Entremont ; Lytta Basset . - 2016 . - p.1133-1136.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1133-1136
Mots-clés : ADOLESCENT SPIRITUALITE MEDECINE AMBULATOIRE SANTE RELIGION Résumé : La spiritualité influe sur les aspects de la vie quotidienne des adolescents comme des adultes. On admet qu’elle a généralement une influence positive sur la santé, tant physique que psychologique, mais il arrive qu’elle soit aussi source de souffrance. Dans la perspective d’une prise en charge holistique, il importe donc d’investiguer le sujet avec tact et délicatesse. En attendant qu’un outil de repérage adapté à cette classe d’âge et à la culture européenne s’impose, on peut introduire tout au long de l’anamnèse des points permettant d’explorer spiritualité ou pratique religieuse. Toutefois, des résistances existent, provenant principalement des soignants et qui pourraient être en partie surmontées par une formation appropriée.
IntroductionLes champs de la santé et de la spiritualité sont pendant longtemps restés relativement cloisonnés. Ce n’est qu’à partir des années 80 que le sujet suscite un regain d’intérêt, d’abord en Amérique du Nord et secondairement en Europe. En 2005, l’OMS élargit la définition de la santé et introduit le modèle bio-psycho-socio-spirituel.1 En Europe, la prise en compte de la spiritualité dans les soins reste en grande partie cantonnée aux situations de soins palliatifs et fins de vie, et dans une moindre mesure en psychiatrie. Dans cet article, la notion de spiritualité sera considérée au sens large : à la recherche de sens, au rattachement à des valeurs et à la sensibilité à une forme de transcendance, on ajoutera la religion, les pratiques qui y sont liées (religiosité), et la dimension culturelle tant il est parfois difficile de dissocier les deux.2 Ces pratiques ne vont pas sans influer sur le mode de vie de nos patients et avoir des répercussions somatiques, psychologiqu...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42152 Exemplaires (1)
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Titre : Santé sexuelle des adolescentes : comment l’aborder en consultation ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Magali Launay ; Maria Demierre ; Martine Jacot-Guillarmod Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1137-1140 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT SEXUALITE GROSSESSE MALADIE SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE CONTRACEPTION MEDECINE AMBULATOIRE Résumé : La sexualité des adolescentes, et plus particulièrement le risque de grossesses non désirées et d’infections sexuellement transmissibles (IST), est un thème complexe qui mérite une attention particulière. Un cadre confidentiel, une attitude non stigmatisante ainsi que la collaboration avec les conseillères en santé sexuelle sont une aide précieuse. Lorsqu’un adulte référent est présent, un entretien en deux temps est bénéfique pour favoriser l’autonomie de la patiente tout en conservant le lien avec celui-ci.Une approche centrée sur l’adolescente, adaptée à ses demandes, de même que les techniques de Quick Start et de bridging, peuvent réduire les problèmes d’observance en matière de contraception. Concernant le risque d’IST, la prévention primaire est indispensable. Actuellement, le seul moyen optimal de prévention reste l’utilisation systématique du préservatif.
IntroductionLa santé sexuelle est un sujet à la fois complexe et fondamental à l’adolescence. Lorsqu’une relation de confiance est établie, le médecin de premier recours ou le pédiatre est souvent le premier professionnel de santé à l’aborder. Avant d’évoquer ce sujet, cela implique de la part du professionnel de clarifier ses propres représentations et résonances personnelles.Le rappel du cadre de confidentialité et de l’absence d’examen physique systématique ainsi qu’une attitude d’écoute et de non-jugement sont généralement les garants d’un climat de confiance indispensable. L’objectif principal est d’aider les adolescentes (et les adolescents) à renforcer leur estime de soi, essentielle à l’assimilation des messages de prévention. Ceci leur permettra de prendre soin de leur corps et de leur vécu, conscientes des enjeux de la sexualité.Intimité et sexualitéUn accueil chaleureux et propice à la discussion favorise le commencement de l’entretien. Adopter un langage simple, clair...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42153
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p. 1137-1140[article] Santé sexuelle des adolescentes : comment l’aborder en consultation ? [texte imprimé] / Magali Launay ; Maria Demierre ; Martine Jacot-Guillarmod . - 2016 . - p. 1137-1140.
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Mots-clés : ADOLESCENT SEXUALITE GROSSESSE MALADIE SEXUELLEMENT TRANSMISSIBLE CONTRACEPTION MEDECINE AMBULATOIRE Résumé : La sexualité des adolescentes, et plus particulièrement le risque de grossesses non désirées et d’infections sexuellement transmissibles (IST), est un thème complexe qui mérite une attention particulière. Un cadre confidentiel, une attitude non stigmatisante ainsi que la collaboration avec les conseillères en santé sexuelle sont une aide précieuse. Lorsqu’un adulte référent est présent, un entretien en deux temps est bénéfique pour favoriser l’autonomie de la patiente tout en conservant le lien avec celui-ci.Une approche centrée sur l’adolescente, adaptée à ses demandes, de même que les techniques de Quick Start et de bridging, peuvent réduire les problèmes d’observance en matière de contraception. Concernant le risque d’IST, la prévention primaire est indispensable. Actuellement, le seul moyen optimal de prévention reste l’utilisation systématique du préservatif.
IntroductionLa santé sexuelle est un sujet à la fois complexe et fondamental à l’adolescence. Lorsqu’une relation de confiance est établie, le médecin de premier recours ou le pédiatre est souvent le premier professionnel de santé à l’aborder. Avant d’évoquer ce sujet, cela implique de la part du professionnel de clarifier ses propres représentations et résonances personnelles.Le rappel du cadre de confidentialité et de l’absence d’examen physique systématique ainsi qu’une attitude d’écoute et de non-jugement sont généralement les garants d’un climat de confiance indispensable. L’objectif principal est d’aider les adolescentes (et les adolescents) à renforcer leur estime de soi, essentielle à l’assimilation des messages de prévention. Ceci leur permettra de prendre soin de leur corps et de leur vécu, conscientes des enjeux de la sexualité.Intimité et sexualitéUn accueil chaleureux et propice à la discussion favorise le commencement de l’entretien. Adopter un langage simple, clair...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42153 Exemplaires (1)
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Titre : Pas sans ma famille ! L’importance de l’entourage en médecine de premier recours avec des jeunes Type de document : texte imprimé Auteurs : Cédric Devillé ; F. Narring Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1141-1143 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDECINE AMBULATOIRE ADOLESCENT FAMILLE Résumé : Au cabinet du médecin de premier recours, la symptomatologie d’un jeune est souvent vague ou aspécifique. Devant une telle symptomatologie, via l’analyse d’une vignette clinique, significative de bien des situations cliniques, nous montrons l’importance de considérer les membres significatifs de l’entourage et de les inviter au cabinet médical. Une alliance thérapeutique se tisse mieux entre le jeune et son médecin traitant si l’entourage est pris en compte et aboutira à une meilleure réponse thérapeutique.
IntroductionLes besoins de santé des adolescents et des jeunes adultes sont marqués par leur développement pubertaire, la construction de l’identité et l’accès à l’autonomie.1 Les raisons de consultation des adolescents chez un médecin de premier recours sont souvent aspécifiques ou vagues : symptômes somatiques, maux de tête, maux de ventre ou autre malaise.2 Ces consultations conduisent souvent à découvrir des difficultés liées aux comportements de l’adolescent ou à des relations conflictuelles – avec ses parents ou son entourage – ou à des signes de souffrance psychique non verbalisée. Ces difficultés se manifestent dans les différents milieux de vie de l’adolescent : famille, école, milieu d’apprentissage ou équipe de sport, par exemple. Au cabinet médical, le médecin peut rencontrer des jeunes qui présentent ces symptômes vagues ou aspécifiques.Nous présentons ici l’importance de l’accueil des membres significatifs de l’entourage d’un jeune et de la force de l’alliance thérap...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42154
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1141-1143[article] Pas sans ma famille ! L’importance de l’entourage en médecine de premier recours avec des jeunes [texte imprimé] / Cédric Devillé ; F. Narring . - 2016 . - p.1141-1143.
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in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1141-1143
Mots-clés : MEDECINE AMBULATOIRE ADOLESCENT FAMILLE Résumé : Au cabinet du médecin de premier recours, la symptomatologie d’un jeune est souvent vague ou aspécifique. Devant une telle symptomatologie, via l’analyse d’une vignette clinique, significative de bien des situations cliniques, nous montrons l’importance de considérer les membres significatifs de l’entourage et de les inviter au cabinet médical. Une alliance thérapeutique se tisse mieux entre le jeune et son médecin traitant si l’entourage est pris en compte et aboutira à une meilleure réponse thérapeutique.
IntroductionLes besoins de santé des adolescents et des jeunes adultes sont marqués par leur développement pubertaire, la construction de l’identité et l’accès à l’autonomie.1 Les raisons de consultation des adolescents chez un médecin de premier recours sont souvent aspécifiques ou vagues : symptômes somatiques, maux de tête, maux de ventre ou autre malaise.2 Ces consultations conduisent souvent à découvrir des difficultés liées aux comportements de l’adolescent ou à des relations conflictuelles – avec ses parents ou son entourage – ou à des signes de souffrance psychique non verbalisée. Ces difficultés se manifestent dans les différents milieux de vie de l’adolescent : famille, école, milieu d’apprentissage ou équipe de sport, par exemple. Au cabinet médical, le médecin peut rencontrer des jeunes qui présentent ces symptômes vagues ou aspécifiques.Nous présentons ici l’importance de l’accueil des membres significatifs de l’entourage d’un jeune et de la force de l’alliance thérap...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42154 Exemplaires (1)
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Titre : Adolescent et sportif : quand les excès s’addi(c)tionnent Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Tercier ; B. Gojanovic ; Sarah Depallens ; et al. Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1144-1147 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADOLESCENT SPORT MEDECINE AMBULATOIRE EPUISEMENT ADDICTION ALIMENTATION TROUBLE Résumé : Les bienfaits du sport à l’adolescence ne sont plus à démontrer. Néanmoins, il est essentiel de sensibiliser les jeunes sportifs et leur entourage aux risques liés à une spécialisation trop précoce ou à un déficit énergétique, avec ou sans trouble du comportement alimentaire. Sans mentionner leur impact négatif sur les résultats sportifs, de tels comportements peuvent mener l’adolescent à des dommages physiques ou psychologiques, parfois permanents, pouvant compromettre son avenir sportif à moyen ou long terme. Les médecins de premier recours jouent un rôle important dans la prévention et la détection précoce des signes de surcharge physique ou d’atteinte psychologique, liés à la pratique sportive, afin de mettre en place une prise en charge interdisciplinaire rapide et adaptée.
IntroductionL’adolescence est une période développementale de grandes opportunités mais également de grandes vulnérabilités. Les modifications chez les adolescents, tant sur les plans biologique et physique que psychologique et cognitif, doivent être prises en compte afin de pouvoir leur offrir les soins les plus adaptés.1 Dans le contexte de l’adolescent sportif, il est spécialement important de prendre en compte les changements liés à cette phase de vie pour pouvoir bénéficier des bienfaits du sport tout en évitant les lésions secondaires à une pratique excessive, à une nutrition insuffisante ou un entraînement inadéquat. La pratique du sport à l’adolescence contribue entre autres à une amélioration de l’estime de soi, des capacités de socialisation, de la gestion du stress et sur le plan biologique à une augmentation de la densité osseuse et une meilleure condition physique.2« Le sport porte en lui-même le goût de l’excès » disait le Baron Pierre de Coubertin. Cet article a pou...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42155
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1144-1147[article] Adolescent et sportif : quand les excès s’addi(c)tionnent [texte imprimé] / Stéphane Tercier ; B. Gojanovic ; Sarah Depallens ; et al. . - 2016 . - p.1144-1147.
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Mots-clés : ADOLESCENT SPORT MEDECINE AMBULATOIRE EPUISEMENT ADDICTION ALIMENTATION TROUBLE Résumé : Les bienfaits du sport à l’adolescence ne sont plus à démontrer. Néanmoins, il est essentiel de sensibiliser les jeunes sportifs et leur entourage aux risques liés à une spécialisation trop précoce ou à un déficit énergétique, avec ou sans trouble du comportement alimentaire. Sans mentionner leur impact négatif sur les résultats sportifs, de tels comportements peuvent mener l’adolescent à des dommages physiques ou psychologiques, parfois permanents, pouvant compromettre son avenir sportif à moyen ou long terme. Les médecins de premier recours jouent un rôle important dans la prévention et la détection précoce des signes de surcharge physique ou d’atteinte psychologique, liés à la pratique sportive, afin de mettre en place une prise en charge interdisciplinaire rapide et adaptée.
IntroductionL’adolescence est une période développementale de grandes opportunités mais également de grandes vulnérabilités. Les modifications chez les adolescents, tant sur les plans biologique et physique que psychologique et cognitif, doivent être prises en compte afin de pouvoir leur offrir les soins les plus adaptés.1 Dans le contexte de l’adolescent sportif, il est spécialement important de prendre en compte les changements liés à cette phase de vie pour pouvoir bénéficier des bienfaits du sport tout en évitant les lésions secondaires à une pratique excessive, à une nutrition insuffisante ou un entraînement inadéquat. La pratique du sport à l’adolescence contribue entre autres à une amélioration de l’estime de soi, des capacités de socialisation, de la gestion du stress et sur le plan biologique à une augmentation de la densité osseuse et une meilleure condition physique.2« Le sport porte en lui-même le goût de l’excès » disait le Baron Pierre de Coubertin. Cet article a pou...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42155 Exemplaires (1)
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Titre : Suivi intensif dans la communauté pour faciliter l’accès aux soins des personnes avec des problèmes d’addiction Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Morandi ; Silva Benedetta ; Martine Monnat ; Charles Bonsack Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1149-1153 Langues : Français (fre) Mots-clés : SANTE SOINS ADDICTION Résumé : Malgré l’existence de nombreuses structures socio-sanitaires spécialisées dans les addictions et la mobilisation d’importantes ressources parmi les soignants, certains consommateurs d’alcool et/ou de drogues n’accèdent pas à des soins coordonnés et adaptés à leurs besoins. Les professionnels impliqués se sentent souvent impuissants et dépassés par la complexité de ces situations. Afin de favoriser l’engagement dans les soins de certains consommateurs difficilement accessibles, un projet d’équipe mobile multidisciplinaire, le Suivi intensif dans le milieu pour les problèmes d’addiction (SIMA), a été développé à Lausanne en 2014. Cet article présente le profil de la population suivie au cours de la première année du projet et décrit les avantages du modèle de l’intervention au travers de deux exemples cliniques.
IntroductionContexte généralEn Suisse, le nombre de personnes dépendantes à l’alcool est estimé à 250 0001 et celui des personnes dépendantes à des drogues illégales à 30 000.2 Ces estimations dépassent largement le chiffre de 50 000 individus bénéficiant d’un traitement pour un problème de dépendance.3 Elles démontrent qu’une majorité des personnes dépendantes à l’alcool et/ou à d’autres substances n’accèdent pas à des soins.Les consommations peuvent conduire certains individus à mobiliser d’importantes ressources parmi les médecins de premier recours, aux urgences somatiques et dans les services psychiatriques, sans qu’un suivi adapté à leurs besoins ne puisse être mis en place. A titre d’exemple, parmi les patients ayant consulté plus de douze fois les urgences du CHUV au cours de l’année 2009, 35 % avaient un diagnostic d’abus ou de dépendance à l’alcool et près de 22 % consommaient des drogues.4En raison d’une dégradation de leur situation médico-psychosociale ou des risques...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42156
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1149-1153[article] Suivi intensif dans la communauté pour faciliter l’accès aux soins des personnes avec des problèmes d’addiction [texte imprimé] / Stéphane Morandi ; Silva Benedetta ; Martine Monnat ; Charles Bonsack . - 2016 . - p.1149-1153.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1149-1153
Mots-clés : SANTE SOINS ADDICTION Résumé : Malgré l’existence de nombreuses structures socio-sanitaires spécialisées dans les addictions et la mobilisation d’importantes ressources parmi les soignants, certains consommateurs d’alcool et/ou de drogues n’accèdent pas à des soins coordonnés et adaptés à leurs besoins. Les professionnels impliqués se sentent souvent impuissants et dépassés par la complexité de ces situations. Afin de favoriser l’engagement dans les soins de certains consommateurs difficilement accessibles, un projet d’équipe mobile multidisciplinaire, le Suivi intensif dans le milieu pour les problèmes d’addiction (SIMA), a été développé à Lausanne en 2014. Cet article présente le profil de la population suivie au cours de la première année du projet et décrit les avantages du modèle de l’intervention au travers de deux exemples cliniques.
IntroductionContexte généralEn Suisse, le nombre de personnes dépendantes à l’alcool est estimé à 250 0001 et celui des personnes dépendantes à des drogues illégales à 30 000.2 Ces estimations dépassent largement le chiffre de 50 000 individus bénéficiant d’un traitement pour un problème de dépendance.3 Elles démontrent qu’une majorité des personnes dépendantes à l’alcool et/ou à d’autres substances n’accèdent pas à des soins.Les consommations peuvent conduire certains individus à mobiliser d’importantes ressources parmi les médecins de premier recours, aux urgences somatiques et dans les services psychiatriques, sans qu’un suivi adapté à leurs besoins ne puisse être mis en place. A titre d’exemple, parmi les patients ayant consulté plus de douze fois les urgences du CHUV au cours de l’année 2009, 35 % avaient un diagnostic d’abus ou de dépendance à l’alcool et près de 22 % consommaient des drogues.4En raison d’une dégradation de leur situation médico-psychosociale ou des risques...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42156 Exemplaires (1)
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Titre : Grossesse : mise en garde contre les antidépresseurs et la carence en iode Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2016 Article en page(s) : p.1154-1155 Langues : Français (fre) Mots-clés : GROSSESSE CARENCE ANTIDEPRESSEUR IODE Résumé : Nous assistons aujourd’hui sinon à l’émergence, du moins à l’actualisation d’un nouveau chapitre de la médecine – aux confins de la neurologie et de l’obstétrique. Les progrès de diverses disciplines scientifiques, un nouveau regard sur l’environnement et les enseignements tirés de quelques drames passés conduisent à porter un nouveau regard sur la grossesse, les conditions de son développement et leurs conséquences à moyen et long termes sur l’enfant. Nous évoquions, il y a peu dans ces colonnes,1 le nouveau regard porté sur l’impact de la consommation d’alcool par les femmes enceintes.« Il est démontré que l’exposition prénatale à l’alcool modifie des structures cérébrales sensibles pendant les périodes embryonnaire et fœtale, d’où la survenue à long terme de troubles cognitifs, du comportement et de la mémorisation, voire de tendances addictives, dans lesquels interviennent aussi des mécanismes épigénétiques, explique notamment, dans un récent rapport,2 l’Académie nationale fra... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42157
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1154-1155[article] Grossesse : mise en garde contre les antidépresseurs et la carence en iode [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2016 . - p.1154-1155.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 522 (Juin 2016) . - p.1154-1155
Mots-clés : GROSSESSE CARENCE ANTIDEPRESSEUR IODE Résumé : Nous assistons aujourd’hui sinon à l’émergence, du moins à l’actualisation d’un nouveau chapitre de la médecine – aux confins de la neurologie et de l’obstétrique. Les progrès de diverses disciplines scientifiques, un nouveau regard sur l’environnement et les enseignements tirés de quelques drames passés conduisent à porter un nouveau regard sur la grossesse, les conditions de son développement et leurs conséquences à moyen et long termes sur l’enfant. Nous évoquions, il y a peu dans ces colonnes,1 le nouveau regard porté sur l’impact de la consommation d’alcool par les femmes enceintes.« Il est démontré que l’exposition prénatale à l’alcool modifie des structures cérébrales sensibles pendant les périodes embryonnaire et fœtale, d’où la survenue à long terme de troubles cognitifs, du comportement et de la mémorisation, voire de tendances addictives, dans lesquels interviennent aussi des mécanismes épigénétiques, explique notamment, dans un récent rapport,2 l’Académie nationale fra... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42157 Exemplaires (1)
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