Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
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Mention de date : Octobre 2009
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| Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Titre : Management de la qualité et de la sécurité en radiothérapie "Quel rôle pour les qualiticiens ?" : exemple au centre Alexis-Vautrin Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Aigle ; C. Sobczyk ; M.-L. Androni ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 455-457 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE DEMARCHE DE QUALITE SECURITE Résumé : Depuis 2007, le centre Alexis-Vautrin de Nancy a accentué sa démarche de management de la qualité et de la sécurité en radiothérapie. Cette évolution s’est traduite par un travail collaboratif entre le service qualité et le département de radiothérapie avec un partage des responsabilités ; le service qualité apportant la méthodologie quant à la démarche qualité, les professionnels du département apportant leur expertise. En parallèle, un référent qualité a été nommé dans l’unité de radiothérapie externe afin de mettre en œuvre les plans d’amélioration en lien avec le service qualité et sous la responsabilité du cadre de santé de radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41036
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 455-457[article] Management de la qualité et de la sécurité en radiothérapie "Quel rôle pour les qualiticiens ?" : exemple au centre Alexis-Vautrin [texte imprimé] / D. Aigle ; C. Sobczyk ; M.-L. Androni ; et al. . - 2009 . - p. 455-457.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 455-457
Mots-clés : RADIOTHERAPIE DEMARCHE DE QUALITE SECURITE Résumé : Depuis 2007, le centre Alexis-Vautrin de Nancy a accentué sa démarche de management de la qualité et de la sécurité en radiothérapie. Cette évolution s’est traduite par un travail collaboratif entre le service qualité et le département de radiothérapie avec un partage des responsabilités ; le service qualité apportant la méthodologie quant à la démarche qualité, les professionnels du département apportant leur expertise. En parallèle, un référent qualité a été nommé dans l’unité de radiothérapie externe afin de mettre en œuvre les plans d’amélioration en lien avec le service qualité et sous la responsabilité du cadre de santé de radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41036 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt
Titre : Crex et analyse Orion en radiothérapie : vers une mutualisation des actions correctives Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Lartigau ; A. Vitoux ; F. Debouck Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 458-460 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE SECURITE Résumé : Après avoir développé les bonnes pratiques organisationnelles en radiothérapie, action pilote de la mission nationale d’expertise et d’audits hospitaliers (MeaH) de2003, la mise en œuvre d’une politique de qualité de la sécurité est apparue essentielle en radiothérapie oncologique. Les premières actions de retour d’expérience ont été inspirées du monde du transport aérien et accompagnées par Air France Consulting et la MeaH sur trois sites pilotes. Au moment où les comités de retour d’expérience (Crex) sont présents dans tous les centres de radiothérapie de la Fédération nationale des centres de lutte contre le cancer (FNCLCC), il nous a semblé essentiel de mutualiser les actions correctives afin d’échanger entre les équipes. Cette action de mutualisation nous permettra également de revenir plus en détail sur la méthode d’analyse des événements précurseurs (Orion). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41037
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 458-460[article] Crex et analyse Orion en radiothérapie : vers une mutualisation des actions correctives [texte imprimé] / E. Lartigau ; A. Vitoux ; F. Debouck . - 2009 . - p. 458-460.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 458-460
Mots-clés : RADIOTHERAPIE SECURITE Résumé : Après avoir développé les bonnes pratiques organisationnelles en radiothérapie, action pilote de la mission nationale d’expertise et d’audits hospitaliers (MeaH) de2003, la mise en œuvre d’une politique de qualité de la sécurité est apparue essentielle en radiothérapie oncologique. Les premières actions de retour d’expérience ont été inspirées du monde du transport aérien et accompagnées par Air France Consulting et la MeaH sur trois sites pilotes. Au moment où les comités de retour d’expérience (Crex) sont présents dans tous les centres de radiothérapie de la Fédération nationale des centres de lutte contre le cancer (FNCLCC), il nous a semblé essentiel de mutualiser les actions correctives afin d’échanger entre les équipes. Cette action de mutualisation nous permettra également de revenir plus en détail sur la méthode d’analyse des événements précurseurs (Orion). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41037 Exemplaires (1)
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Titre : Sécurité en radiothérapie : résultats de trois ans d'expérience avec la Mission nationale d'expertise et d'audits hospitalier (MEAH) Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Talandier ; A.-T. Tajahmady ; S. Woynar Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 461-465 Langues : Français (fre) Mots-clés : SECURITE RADIOTHERAPIE Résumé : La Mission nationale d’expertise et d’audits hospitalier (MEAH) a mené une démarche de développement de la sécurité auprès de trois centres de radiothérapie pilotes en 2005 et 2006. Ce dispositif a été généralisé à partir de 2007. Après trois ans, plus d’une cinquantaine de centres ont été accompagnés ou sont dans un dispositif d’appui proposé par la MEAH. Cette communication présente le retour d’expériences de ces établissements et notamment sur les axes de travail sur lesquels ils ont décidé de faire porter leurs efforts, comme l’analyse de risque ou le développement de check-list de contrôle. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41038
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 461-465[article] Sécurité en radiothérapie : résultats de trois ans d'expérience avec la Mission nationale d'expertise et d'audits hospitalier (MEAH) [texte imprimé] / D. Talandier ; A.-T. Tajahmady ; S. Woynar . - 2009 . - p. 461-465.
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Mots-clés : SECURITE RADIOTHERAPIE Résumé : La Mission nationale d’expertise et d’audits hospitalier (MEAH) a mené une démarche de développement de la sécurité auprès de trois centres de radiothérapie pilotes en 2005 et 2006. Ce dispositif a été généralisé à partir de 2007. Après trois ans, plus d’une cinquantaine de centres ont été accompagnés ou sont dans un dispositif d’appui proposé par la MEAH. Cette communication présente le retour d’expériences de ces établissements et notamment sur les axes de travail sur lesquels ils ont décidé de faire porter leurs efforts, comme l’analyse de risque ou le développement de check-list de contrôle. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41038 Exemplaires (1)
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Titre : Observatoire national de radiothérapie : rapport de l'enquête conduite en 2008 sur l'année 2007 Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Chauvet ; M. Bolla ; A. Alies-Patin ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 466-470 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE FRANCE ENQUETE DEMOGRAPHIE EQUIPEMENT ACTIVITE Résumé : Nous présentons ici les résultats les plus significatifs de l’enquête réalisée pour la deuxième année consécutive au titre de l’Observatoire national de radiothérapie. Les établissements, services et cabinets de radiothérapie ont été invités à transmettre des données concernant leurs plateaux techniques, leur activité et l’effectif des professionnels y travaillant au 31 décembre 2007. Parmi 179 centres recensés en France, 159 ont participé (90 %) dont 144 qui ont répondu aux deux enquêtes 2006 et 2007. Le parc français était composé de 411 appareils de traitement dont 384 accélérateurs linéaires et 12 télécobalts. Un an auparavant, l’observatoire recensait 371 accélérateurs et 26 télécobalts. La proportion d’accélérateurs de 15 ans et plus demeure stable à 11 %. Les centres de radiothérapie étaient ouverts aux traitements 50 heures par semaine en moyenne, à quoi il convient d’ajouter 9,5 % de temps d’occupation machine consacré à la maintenance et au contrôle qualité. Le manque de scanographes dédiés restait un handicap : 158 des 159 centres avaient accès à un scanographe, mais seulement 78 (50 %) avaient un scanographe dédié, situation stable par rapport à 2006. La proportion de centres équipés d’un logiciel de double calcul des unités moniteur (UM) est passée de 51 à 58 %. En 2007, deux tiers des centres n’appliquaient la dosimétrie in vivo à aucun traitement et seuls 18 % l’appliquaient à plus de 50 % des traitements, ce qui reflète à la fois le manque d’équipements et la difficulté d’application des contrôles à certains traitements. L’activité était stable autour de 190 000 traitements par an. La radiothérapie tridimensionnelle avec histogramme dose–volume était utilisée pour plus de la moitié des traitements dans 77,2 % des centres privés et 50 % des centres publics. La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité restait peu répandue. La démographie était stable pour les oncologues radiothérapeutes et les manipulateurs et s’améliorait pour les physiciens : +7,6 % entre 2006 et 2007. L’analyse par région montre une distribution relativement homogène sur l’ensemble du territoire en matière d’équipements, d’activité et de personnels. La Société française d’oncologie radiothérapique (SFRO) et ses partenaires souhaitent poursuivre cet observatoire. Les centres de radiothérapie seront donc invités au cours du dernier trimestre 2009 à apporter de nouveau leur concours à cette enquête dont l’intérêt est reconnu tant par les professionnels et leurs instances représentatives que par les autorités administratives. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41039
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 466-470[article] Observatoire national de radiothérapie : rapport de l'enquête conduite en 2008 sur l'année 2007 [texte imprimé] / B. Chauvet ; M. Bolla ; A. Alies-Patin ; et al. . - 2009 . - p. 466-470.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 466-470
Mots-clés : RADIOTHERAPIE FRANCE ENQUETE DEMOGRAPHIE EQUIPEMENT ACTIVITE Résumé : Nous présentons ici les résultats les plus significatifs de l’enquête réalisée pour la deuxième année consécutive au titre de l’Observatoire national de radiothérapie. Les établissements, services et cabinets de radiothérapie ont été invités à transmettre des données concernant leurs plateaux techniques, leur activité et l’effectif des professionnels y travaillant au 31 décembre 2007. Parmi 179 centres recensés en France, 159 ont participé (90 %) dont 144 qui ont répondu aux deux enquêtes 2006 et 2007. Le parc français était composé de 411 appareils de traitement dont 384 accélérateurs linéaires et 12 télécobalts. Un an auparavant, l’observatoire recensait 371 accélérateurs et 26 télécobalts. La proportion d’accélérateurs de 15 ans et plus demeure stable à 11 %. Les centres de radiothérapie étaient ouverts aux traitements 50 heures par semaine en moyenne, à quoi il convient d’ajouter 9,5 % de temps d’occupation machine consacré à la maintenance et au contrôle qualité. Le manque de scanographes dédiés restait un handicap : 158 des 159 centres avaient accès à un scanographe, mais seulement 78 (50 %) avaient un scanographe dédié, situation stable par rapport à 2006. La proportion de centres équipés d’un logiciel de double calcul des unités moniteur (UM) est passée de 51 à 58 %. En 2007, deux tiers des centres n’appliquaient la dosimétrie in vivo à aucun traitement et seuls 18 % l’appliquaient à plus de 50 % des traitements, ce qui reflète à la fois le manque d’équipements et la difficulté d’application des contrôles à certains traitements. L’activité était stable autour de 190 000 traitements par an. La radiothérapie tridimensionnelle avec histogramme dose–volume était utilisée pour plus de la moitié des traitements dans 77,2 % des centres privés et 50 % des centres publics. La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité restait peu répandue. La démographie était stable pour les oncologues radiothérapeutes et les manipulateurs et s’améliorait pour les physiciens : +7,6 % entre 2006 et 2007. L’analyse par région montre une distribution relativement homogène sur l’ensemble du territoire en matière d’équipements, d’activité et de personnels. La Société française d’oncologie radiothérapique (SFRO) et ses partenaires souhaitent poursuivre cet observatoire. Les centres de radiothérapie seront donc invités au cours du dernier trimestre 2009 à apporter de nouveau leur concours à cette enquête dont l’intérêt est reconnu tant par les professionnels et leurs instances représentatives que par les autorités administratives. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41039 Exemplaires (1)
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Titre : Place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Quéro ; C. Hennequin ; P. Brice Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 471-478 Langues : Français (fre) Mots-clés : LYMPHOME THERAPEUTIQUE RADIOTHERAPIE Résumé : La place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens tend à diminuer en faveur de la chimiothérapie, plus particulièrement dans les lymphomes agressifs localisés où sa place est controversée, entre les partisans d’une chimiothérapie exclusive et les partisans d’un traitement associant chimiothérapie et radiothérapie. La tomographie par émission de positons (TEP) semble potentiellement prometteuse dans cette situation afin d’identifier les patients pouvant bénéficier d’une radiothérapie complémentaire. Afin de réduire au maximum le risque de complications tardives après cette combinaison thérapeutique, les doses et les volumes d’irradiation devront être minimalistes. L’utilisation des nouvelles techniques d’irradiation devrait également permettre de réduire ce risque. Il existe cependant certaines indications pour lesquelles la radiothérapie a démontré son utilité, comme dans le traitement des lymphomes indolents localisés, disséminés à forte masse ou récidivants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41040
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 471-478[article] Place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens [texte imprimé] / L. Quéro ; C. Hennequin ; P. Brice . - 2009 . - p. 471-478.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 471-478
Mots-clés : LYMPHOME THERAPEUTIQUE RADIOTHERAPIE Résumé : La place de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes non hodgkiniens tend à diminuer en faveur de la chimiothérapie, plus particulièrement dans les lymphomes agressifs localisés où sa place est controversée, entre les partisans d’une chimiothérapie exclusive et les partisans d’un traitement associant chimiothérapie et radiothérapie. La tomographie par émission de positons (TEP) semble potentiellement prometteuse dans cette situation afin d’identifier les patients pouvant bénéficier d’une radiothérapie complémentaire. Afin de réduire au maximum le risque de complications tardives après cette combinaison thérapeutique, les doses et les volumes d’irradiation devront être minimalistes. L’utilisation des nouvelles techniques d’irradiation devrait également permettre de réduire ce risque. Il existe cependant certaines indications pour lesquelles la radiothérapie a démontré son utilité, comme dans le traitement des lymphomes indolents localisés, disséminés à forte masse ou récidivants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41040 Exemplaires (1)
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Titre : Evolution et dilemmes dans les traitements du lymphome de Hodgkin Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Girinsky ; M. Ghalibafian ; A. Paumier Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 479-481 Langues : Français (fre) Mots-clés : HODGKIN MALADIE THERAPEUTIQUE RADIOTHERAPIE CONTROLE QUALITE Résumé : Les traitements du lymphome de Hodgkin ont subi des évolutions conceptuelles et technologiques considérables ces dix dernières années. La radiothérapie est devenue beaucoup plus précise dans les lymphomes localisés, dans les lymphomes évolués la radiothérapie n’est quasiment plus utilisée en raison des risques de complications tardives. Dans les formes réfractaires ou récidivantes, la radiothérapie dans de larges volumes de type mantelet est fortement recommandée en association avec la chimiothérapie intensive précédant l’autogreffe. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41105
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 479-481[article] Evolution et dilemmes dans les traitements du lymphome de Hodgkin [texte imprimé] / T. Girinsky ; M. Ghalibafian ; A. Paumier . - 2009 . - p. 479-481.
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Mots-clés : HODGKIN MALADIE THERAPEUTIQUE RADIOTHERAPIE CONTROLE QUALITE Résumé : Les traitements du lymphome de Hodgkin ont subi des évolutions conceptuelles et technologiques considérables ces dix dernières années. La radiothérapie est devenue beaucoup plus précise dans les lymphomes localisés, dans les lymphomes évolués la radiothérapie n’est quasiment plus utilisée en raison des risques de complications tardives. Dans les formes réfractaires ou récidivantes, la radiothérapie dans de larges volumes de type mantelet est fortement recommandée en association avec la chimiothérapie intensive précédant l’autogreffe. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41105 Exemplaires (1)
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Titre : Radiothérapie guidée par la tomographie conique (cone beam computed tomography) : mise en œuvre et applications cliniques Type de document : texte imprimé Auteurs : R. De Crevoisier ; R. Garcia ; G. Louvel ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 482-489 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE INTERVENTIONNELLE TOMOSCINTIGRAPHIE Résumé : Le tomographe conique (CBCT) est constituée d’une source de basse énergie et d’un détecteur plan monté sur le bras de l’accélérateur linéaire permettant, après acquisition d’un grand nombre de projections bidimensionnelles, de reconstruire des images tomographiques. Disponible sur tous les nouveaux accélérateurs, il permet de s’assurer de la bonne localisation de la cible tumorale sous l’accélérateur et ainsi de réaliser une radiothérapie guidée par l’image (IGRT), voire, dans certains cas, par la dose (DGRT), dans un processus relativement complexe. La radiothérapie guidée par tomographie conique est indiquée dans les localisations tumorales présentant des variations anatomiques significatives (déplacements ou déformations) et irradiées avec des techniques très conformationnelles nécessitant une haute précision, en particulier en cas de dose élevée ou d’irradiation hypofractionnée. L’expérience clinique est encore limitée et porte principalement sur les tumeurs prostatiques, ORL, bronchiques et les indications d’irradiation en conditions stéréotaxiques. Le contrôle de qualité portant spécifiquement sur la tomographie conique et la formation des personnels sont fondamentaux. La radiothérapie guidée par tomographie conique est une technique non encore optimisée mais qui va amplifier le bénéfice clinique des techniques de modulation d’intensité avec les nouvelles modalités d’imagerie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41106
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 482-489[article] Radiothérapie guidée par la tomographie conique (cone beam computed tomography) : mise en œuvre et applications cliniques [texte imprimé] / R. De Crevoisier ; R. Garcia ; G. Louvel ; et al. . - 2009 . - p. 482-489.
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in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 482-489
Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE INTERVENTIONNELLE TOMOSCINTIGRAPHIE Résumé : Le tomographe conique (CBCT) est constituée d’une source de basse énergie et d’un détecteur plan monté sur le bras de l’accélérateur linéaire permettant, après acquisition d’un grand nombre de projections bidimensionnelles, de reconstruire des images tomographiques. Disponible sur tous les nouveaux accélérateurs, il permet de s’assurer de la bonne localisation de la cible tumorale sous l’accélérateur et ainsi de réaliser une radiothérapie guidée par l’image (IGRT), voire, dans certains cas, par la dose (DGRT), dans un processus relativement complexe. La radiothérapie guidée par tomographie conique est indiquée dans les localisations tumorales présentant des variations anatomiques significatives (déplacements ou déformations) et irradiées avec des techniques très conformationnelles nécessitant une haute précision, en particulier en cas de dose élevée ou d’irradiation hypofractionnée. L’expérience clinique est encore limitée et porte principalement sur les tumeurs prostatiques, ORL, bronchiques et les indications d’irradiation en conditions stéréotaxiques. Le contrôle de qualité portant spécifiquement sur la tomographie conique et la formation des personnels sont fondamentaux. La radiothérapie guidée par tomographie conique est une technique non encore optimisée mais qui va amplifier le bénéfice clinique des techniques de modulation d’intensité avec les nouvelles modalités d’imagerie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41106 Exemplaires (1)
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Titre : Tomographie par émission de positons dans la prise en charge des cancers du col de l'utérus Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Bonardel ; C. Chargari ; E. Gontier ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 490-498 Langues : Français (fre) Mots-clés : TOMOSCINTIGRAPHIE COL UTERIN CANCER Résumé : Depuis son introduction dans la pratique clinique dans les années 1990, la tomographie par émission de positons (TEP) au fluorodésoxyglucose (18F-FDG) est devenue un examen incontournable pour la prise en charge d’un grand nombre d’affections néoplasiques. En raison de ses performances supérieures à la tomodensitométrie seule (TDM) et de son impact majeur sur la prise en charge thérapeutique en carcinologie gynécologique, son emploi est devenu un standard du bilan d’extension des cancers évolués du col de l’utérus lors de leur prise en charge initiale ou de leurs récidives. La dimension métabolique de la technique lui permet de fournir des informations pronostiques complémentaires. Le développement d’appareillages hybrides, forme aboutie de la technique désormais disponible partout en France, associant TEP et tomodensitométrie de dernière génération permet d’envisager un bilan complet, métabolique et anatomique de la maladie en une seule procédure d’imagerie médicale. Au-delà de ces indications désormais admises, ces nouveaux équipements dynamisent d’autres applications telles que l’optimisation des techniques de radiothérapie ou l’évaluation de l’efficacité thérapeutique. D’un point de vue métabolique, afin de dépasser les limites du 18F-FDG, de nouveaux traceurs sont appelés à étendre la palette du médecin nucléaire pour améliorer encore les performances de la TEP et ainsi optimiser la prise en charge diagnostique et thérapeutique des patientes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41107
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 490-498[article] Tomographie par émission de positons dans la prise en charge des cancers du col de l'utérus [texte imprimé] / G. Bonardel ; C. Chargari ; E. Gontier ; et al. . - 2009 . - p. 490-498.
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in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 490-498
Mots-clés : TOMOSCINTIGRAPHIE COL UTERIN CANCER Résumé : Depuis son introduction dans la pratique clinique dans les années 1990, la tomographie par émission de positons (TEP) au fluorodésoxyglucose (18F-FDG) est devenue un examen incontournable pour la prise en charge d’un grand nombre d’affections néoplasiques. En raison de ses performances supérieures à la tomodensitométrie seule (TDM) et de son impact majeur sur la prise en charge thérapeutique en carcinologie gynécologique, son emploi est devenu un standard du bilan d’extension des cancers évolués du col de l’utérus lors de leur prise en charge initiale ou de leurs récidives. La dimension métabolique de la technique lui permet de fournir des informations pronostiques complémentaires. Le développement d’appareillages hybrides, forme aboutie de la technique désormais disponible partout en France, associant TEP et tomodensitométrie de dernière génération permet d’envisager un bilan complet, métabolique et anatomique de la maladie en une seule procédure d’imagerie médicale. Au-delà de ces indications désormais admises, ces nouveaux équipements dynamisent d’autres applications telles que l’optimisation des techniques de radiothérapie ou l’évaluation de l’efficacité thérapeutique. D’un point de vue métabolique, afin de dépasser les limites du 18F-FDG, de nouveaux traceurs sont appelés à étendre la palette du médecin nucléaire pour améliorer encore les performances de la TEP et ainsi optimiser la prise en charge diagnostique et thérapeutique des patientes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41107 Exemplaires (1)
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Titre : Evaluation ganglionnaire chirurgicale dans les cancers du col utérin Type de document : texte imprimé Auteurs : Patrice Mathevet Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 499-502 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER GANGLION CURAGE GANGLIONNAIRE Résumé : L’atteinte ganglionnaire est un facteur pronostique majeur des cancers du col utérin. L’évaluation ganglionnaire se fait classiquement par les curages ganglionnaires, qui ont essentiellement un intérêt pronostique. La morbidité liée aux curages ganglionnaires n’est pas négligeable, aussi de nombreuses techniques d’imagerie ou de chirurgie ont été développées pour la réduire. Actuellement, malgré les progrès de l’imagerie, l’évaluation chirurgicale ganglionnaire reste le standard. Dans la prise en charge des cancers du col utérin débutants, la chirurgie reste réalisée par laparoscopie, la technique du ganglion sentinelle s’est imposée grâce à l’apport de données intéressantes : orientation de la prise en charge thérapeutique grâce à un examen extemporané peropératoire ciblé sur les ganglions sentinelles, découverte dans une proportion non négligeable de cas de voies de drainage aberrantes pouvant être une source potentielle de rechute, et identification de micrométastases ganglionnaires, qui semble être un facteur pronostique indépendant important. L’avenir pourrait être dans l’évaluation des ganglions sentinelles seuls sans curage pelvien. Dans le cadre des cancers évolués, le traitement de ces tumeurs repose sur la radiothérapie associée à une chimiothérapie de potentialisation. Le statut ganglionnaire lombo-aortique est un élément important du pronostic et de la prise en charge des patientes. L’évaluation de ce statut ganglionnaire peut bénéficier de nouvelles techniques d’imagerie comme la TEP, qui si elle montre une dissémination lombo-aortique, peut se permettre de se dispenser d’une lymphadénectomie lombo-aortique et adapter les traitements à ces résultats. Cependant, le taux de faux négatifs de la TEP reste trop élevé et la lymphadénectomie lombo-aortique par laparoscopie est donc pertinente si elle s’avère normale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41108
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 499-502[article] Evaluation ganglionnaire chirurgicale dans les cancers du col utérin [texte imprimé] / Patrice Mathevet . - 2009 . - p. 499-502.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : COL UTERIN CANCER GANGLION CURAGE GANGLIONNAIRE Résumé : L’atteinte ganglionnaire est un facteur pronostique majeur des cancers du col utérin. L’évaluation ganglionnaire se fait classiquement par les curages ganglionnaires, qui ont essentiellement un intérêt pronostique. La morbidité liée aux curages ganglionnaires n’est pas négligeable, aussi de nombreuses techniques d’imagerie ou de chirurgie ont été développées pour la réduire. Actuellement, malgré les progrès de l’imagerie, l’évaluation chirurgicale ganglionnaire reste le standard. Dans la prise en charge des cancers du col utérin débutants, la chirurgie reste réalisée par laparoscopie, la technique du ganglion sentinelle s’est imposée grâce à l’apport de données intéressantes : orientation de la prise en charge thérapeutique grâce à un examen extemporané peropératoire ciblé sur les ganglions sentinelles, découverte dans une proportion non négligeable de cas de voies de drainage aberrantes pouvant être une source potentielle de rechute, et identification de micrométastases ganglionnaires, qui semble être un facteur pronostique indépendant important. L’avenir pourrait être dans l’évaluation des ganglions sentinelles seuls sans curage pelvien. Dans le cadre des cancers évolués, le traitement de ces tumeurs repose sur la radiothérapie associée à une chimiothérapie de potentialisation. Le statut ganglionnaire lombo-aortique est un élément important du pronostic et de la prise en charge des patientes. L’évaluation de ce statut ganglionnaire peut bénéficier de nouvelles techniques d’imagerie comme la TEP, qui si elle montre une dissémination lombo-aortique, peut se permettre de se dispenser d’une lymphadénectomie lombo-aortique et adapter les traitements à ces résultats. Cependant, le taux de faux négatifs de la TEP reste trop élevé et la lymphadénectomie lombo-aortique par laparoscopie est donc pertinente si elle s’avère normale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41108 Exemplaires (1)
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Titre : Chimioradiothérapie concomitante dans les cancers du col de l'utérus : quels niveaux de preuve ? Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Joly-Lobbedez Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 503-506 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER CARCINOME RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : Depuis 1999, suite à l’alerte du National Cancer Institute (NCI), la chimiothérapie concomitante est devenue un standard pour les patientes atteintes d’un cancer évolué du col de l’utérus. Plusieurs revues de synthèses ont déjà été réalisées. Cet article a pour objectif de présenter les résultats de la méta-analyse sur données individuelles publiées récemment et de discuter les perspectives. Cette méta-analyse a repris des données homogènes et des critères de jugement uniformes à partir des principaux essais randomisés qui avaient un bras de référence sans chimiothérapie concomitante. L’analyse des résultats confirme un avantage en termes de survie en faveur de la chimioradiothérapie concomitante avec un bénéfice absolu de taux de survie de 6 % à cinq ans (60–66 %) et de taux de survie sans maladie à cinq ans de 8 % (50–58 %). De façon intéressante, même si le cisplatine reste le médicament de choix, un bénéfice a également été retrouvé en cas de protocole de chimiothérapie sans platine. Une polychimiothérapie n’est pas apparue plus efficace qu’une monochimiothérapie et les patientes qui ont bénéficié le plus de la chimioradiothérapie concomitante sont celles qui étaient atteintes d’un cancer de petit stade. La chimiothérapie adjuvante permettrait d’améliorer l’effet de la chimioradiothérapie concomitante mais les résultats restent à être confirmés par d’autres études complémentaires. La toxicité tardive a été peu évaluée lors des mises à jour des essais publiés. Un suivi à long terme des patientes est indispensable pour appréhender correctement leur fréquence et leur impact sur la qualité de la vie des patientes. Le développement de nouvelles stratégies d’association de la radiothérapie et de thérapies ciblées ou de nouvelles associations de chimiothérapie doit faire l’objet d’études comparatives. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41109
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 503-506[article] Chimioradiothérapie concomitante dans les cancers du col de l'utérus : quels niveaux de preuve ? [texte imprimé] / F. Joly-Lobbedez . - 2009 . - p. 503-506.
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Mots-clés : COL UTERIN CANCER CARCINOME RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : Depuis 1999, suite à l’alerte du National Cancer Institute (NCI), la chimiothérapie concomitante est devenue un standard pour les patientes atteintes d’un cancer évolué du col de l’utérus. Plusieurs revues de synthèses ont déjà été réalisées. Cet article a pour objectif de présenter les résultats de la méta-analyse sur données individuelles publiées récemment et de discuter les perspectives. Cette méta-analyse a repris des données homogènes et des critères de jugement uniformes à partir des principaux essais randomisés qui avaient un bras de référence sans chimiothérapie concomitante. L’analyse des résultats confirme un avantage en termes de survie en faveur de la chimioradiothérapie concomitante avec un bénéfice absolu de taux de survie de 6 % à cinq ans (60–66 %) et de taux de survie sans maladie à cinq ans de 8 % (50–58 %). De façon intéressante, même si le cisplatine reste le médicament de choix, un bénéfice a également été retrouvé en cas de protocole de chimiothérapie sans platine. Une polychimiothérapie n’est pas apparue plus efficace qu’une monochimiothérapie et les patientes qui ont bénéficié le plus de la chimioradiothérapie concomitante sont celles qui étaient atteintes d’un cancer de petit stade. La chimiothérapie adjuvante permettrait d’améliorer l’effet de la chimioradiothérapie concomitante mais les résultats restent à être confirmés par d’autres études complémentaires. La toxicité tardive a été peu évaluée lors des mises à jour des essais publiés. Un suivi à long terme des patientes est indispensable pour appréhender correctement leur fréquence et leur impact sur la qualité de la vie des patientes. Le développement de nouvelles stratégies d’association de la radiothérapie et de thérapies ciblées ou de nouvelles associations de chimiothérapie doit faire l’objet d’études comparatives. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41109 Exemplaires (1)
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Titre : Les cancers du col utérin : place de la radiothérapie avec modulation d'intensité Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Barillot Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 507-510 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CALCUL DE DOSE Résumé : Alors que les indications d’irradiation avec modulation d’intensité (RCMI) sont parfaitement définies lors de la prise en charge des cancers de la sphère ORL et de la prostate, cette technique reste du domaine de l’évaluation pour les tumeurs gynécologiques. L’implémentation de la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle à la fin des années 1990 a été la première étape importante de l’optimisation du traitement des cancers du col utérin puisqu’elle a permis d’obtenir une meilleure couverture du volume cible avec une diminution significative de la dose vésicale. Cependant, cette technique conduit souvent à irradier un volume plus important de rectum dans les cancers localement évolués et ne protège qu’une quantité très limitée d’intestin. La RCMI représente une des méthodes d’optimisation potentiellement efficiente pour mieux épargner le tractus digestif lors des irradiations des cancers du col utérin. Cette revue de littérature a pour but de présenter les arguments permettant d’étayer cette hypothèse, mais également de définir la place de cette technique dans l’optique d’une escalade de dose. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41110
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 507-510[article] Les cancers du col utérin : place de la radiothérapie avec modulation d'intensité [texte imprimé] / I. Barillot . - 2009 . - p. 507-510.
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Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CALCUL DE DOSE Résumé : Alors que les indications d’irradiation avec modulation d’intensité (RCMI) sont parfaitement définies lors de la prise en charge des cancers de la sphère ORL et de la prostate, cette technique reste du domaine de l’évaluation pour les tumeurs gynécologiques. L’implémentation de la radiothérapie conformationnelle tridimensionnelle à la fin des années 1990 a été la première étape importante de l’optimisation du traitement des cancers du col utérin puisqu’elle a permis d’obtenir une meilleure couverture du volume cible avec une diminution significative de la dose vésicale. Cependant, cette technique conduit souvent à irradier un volume plus important de rectum dans les cancers localement évolués et ne protège qu’une quantité très limitée d’intestin. La RCMI représente une des méthodes d’optimisation potentiellement efficiente pour mieux épargner le tractus digestif lors des irradiations des cancers du col utérin. Cette revue de littérature a pour but de présenter les arguments permettant d’étayer cette hypothèse, mais également de définir la place de cette technique dans l’optique d’une escalade de dose. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41110 Exemplaires (1)
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Titre : IRM fonctionnelle : nouvel outil pour prédire la réponse des cancers du col utérin à la chimioradiothérapie concomitante ? Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Taïeb ; M. Faivre-Pierret ; P. Nickers ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 511-514 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE Résumé : Le traitement des cancers localement évolués du col utérin est une chimioradiothérapie concomitante. Le pronostic local et la survie globale des patientes dépendent du volume tumoral, de l’extension locorégionale et de la radiosensibilité de la lésion. Celle-ci est fonction de l’hypoxie tumorale, de la pression interstitielle tumorale et de l’existence d’une anémie. L’IRM dynamique après injection de contraste permet de quantifier des paramètres vasculaires témoins des deux premiers facteurs. L’analyse conjointe du volume tumoral, de l’anémie et des paramètres vasculaires avant et en cours de traitement permet une corrélation forte avec le risque de récidive locale et la survie globale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41111
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 511-514[article] IRM fonctionnelle : nouvel outil pour prédire la réponse des cancers du col utérin à la chimioradiothérapie concomitante ? [texte imprimé] / S. Taïeb ; M. Faivre-Pierret ; P. Nickers ; et al. . - 2009 . - p. 511-514.
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Mots-clés : COL UTERIN CANCER CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE Résumé : Le traitement des cancers localement évolués du col utérin est une chimioradiothérapie concomitante. Le pronostic local et la survie globale des patientes dépendent du volume tumoral, de l’extension locorégionale et de la radiosensibilité de la lésion. Celle-ci est fonction de l’hypoxie tumorale, de la pression interstitielle tumorale et de l’existence d’une anémie. L’IRM dynamique après injection de contraste permet de quantifier des paramètres vasculaires témoins des deux premiers facteurs. L’analyse conjointe du volume tumoral, de l’anémie et des paramètres vasculaires avant et en cours de traitement permet une corrélation forte avec le risque de récidive locale et la survie globale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41111 Exemplaires (1)
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Titre : Apport de l'échographie Doppler avec injection de contraste pour la prise en charge des cancers du col de l'utérus de stades IB et II par chimioradiothérapie concomitante Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Marret ; I. Barillot ; Y. Rolland ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 515-519 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE PRODUIT CONTRASTE Résumé : Le cancer du col de l’utérus de stades IB et II est désormais pris en charge par un protocole de radiothérapie et chimiothérapie concomitante, suivi d’une curiethérapie. Une colpohystérectomie élargie est souvent proposée en clôture. Le monitoring actuel de la thérapeutique est centré sur l’examen clinique et sur la comparaison de la taille de la lésion visualisée sur deux scanographies ou IRM avant et après la thérapeutique. L’objectif de l’étude est de démontrer l’intérêt de l’échographie Doppler avec injection d’un produit de contraste, le SonoVue®, pour le monitoring des patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus de stade IB (de plus de 4 cm) ou II dont le traitement est une chimiothérapie concomitante. Une étude de faisabilité sur 40 patientes, prospective bicentrique (Tours et Rennes) observationnelle lors des trois temps du traitement des cancers du col, avant, pendant (avant la deuxième cure de chimiothérapie) et à l’issue de la thérapeutique (avant la chirurgie) sera entreprise. Le critère de jugement principal – l’existence de résidus tumoraux au sein du col de l’utérus – sera le critère de jugement principal. Les paramètres obtenus par échographie de contraste que nous analyserons seront la taille, l’étude morphologique de la tumeur, la vascularisation et la cinétique du contraste au sein de la tumeur. L’analyse des résultats nous permettra de valider l’échographie de contraste dans cette indication en définissant les paramètres ultrasonores prédictifs pour une réponse thérapeutique précoce et complète pour mieux sélectionner les patientes à opérer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41112
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 515-519[article] Apport de l'échographie Doppler avec injection de contraste pour la prise en charge des cancers du col de l'utérus de stades IB et II par chimioradiothérapie concomitante [texte imprimé] / H. Marret ; I. Barillot ; Y. Rolland ; et al. . - 2009 . - p. 515-519.
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Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE PRODUIT CONTRASTE Résumé : Le cancer du col de l’utérus de stades IB et II est désormais pris en charge par un protocole de radiothérapie et chimiothérapie concomitante, suivi d’une curiethérapie. Une colpohystérectomie élargie est souvent proposée en clôture. Le monitoring actuel de la thérapeutique est centré sur l’examen clinique et sur la comparaison de la taille de la lésion visualisée sur deux scanographies ou IRM avant et après la thérapeutique. L’objectif de l’étude est de démontrer l’intérêt de l’échographie Doppler avec injection d’un produit de contraste, le SonoVue®, pour le monitoring des patientes atteintes d’un cancer du col de l’utérus de stade IB (de plus de 4 cm) ou II dont le traitement est une chimiothérapie concomitante. Une étude de faisabilité sur 40 patientes, prospective bicentrique (Tours et Rennes) observationnelle lors des trois temps du traitement des cancers du col, avant, pendant (avant la deuxième cure de chimiothérapie) et à l’issue de la thérapeutique (avant la chirurgie) sera entreprise. Le critère de jugement principal – l’existence de résidus tumoraux au sein du col de l’utérus – sera le critère de jugement principal. Les paramètres obtenus par échographie de contraste que nous analyserons seront la taille, l’étude morphologique de la tumeur, la vascularisation et la cinétique du contraste au sein de la tumeur. L’analyse des résultats nous permettra de valider l’échographie de contraste dans cette indication en définissant les paramètres ultrasonores prédictifs pour une réponse thérapeutique précoce et complète pour mieux sélectionner les patientes à opérer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41112 Exemplaires (1)
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Titre : Apport des techniques de curiethérapie optimisée grâce à l'imagerie tridimensionnelle dans la prise en charge des patientes atteintes d'un cancer du col utérin Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Haie-Meder ; R. Mazeron ; O. Verezesan ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 520-524 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER CURIETHERAPIE DOSIMETRIE Résumé : Traditionnellement, la prescription et la planification des curiethérapies endocavitaires dans les cancers du col utérin reposent soit sur la dose à des points de référence (essentiellement points A et B) soit sur une isodose de référence (60 Gy selon les recommandations de l’International Commission on Radiation Units and Measurements [ICRU]). La dose aux tissus sains est généralement exprimée aux points vessie et rectum de l’ICRU. Ces pratiques reposent sur une longue expérience clinique historique qui a abouti à des résultats thérapeutiques tout à fait acceptables. Le développement récent de l’imagerie a contribué à une amélioration de la connaissance des volumes tumoraux et des organes à risque. En 2005 et 2006, la publication des recommandations du groupe gynécologie du groupe européen de curiethérapie–European Society for Therapeutic Radiology and Oncology (GEC-ESTRO) a permis de définir ces différents volumes d’intérêt. Ces recommandations ont été secondairement validées par des processus de délinéation entrant dans le cadre d’études comparatives. Le développement concomitant de projecteurs de source miniaturisée a permis de planifier la dose d’irradiation avec des ajustements des temps par position. Ces procédures aboutissent à une meilleure couverture des volumes tumoraux en conservant une relative épargne des tissus sains. Les données récentes de la littérature mettent en évidence une amélioration du taux de contrôle local sans augmentation de celui du risque de complications. Les études ultérieures permettront de mieux déterminer les doses à la fois dans la tumeur et les tissus sains. C’est l’un des objectifs de l’étude en cours : European study on MRI-guided brachytherapy in locally advanced cervical cancer (EMBRACE). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41113
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 520-524[article] Apport des techniques de curiethérapie optimisée grâce à l'imagerie tridimensionnelle dans la prise en charge des patientes atteintes d'un cancer du col utérin [texte imprimé] / C. Haie-Meder ; R. Mazeron ; O. Verezesan ; et al. . - 2009 . - p. 520-524.
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Mots-clés : COL UTERIN CANCER CURIETHERAPIE DOSIMETRIE Résumé : Traditionnellement, la prescription et la planification des curiethérapies endocavitaires dans les cancers du col utérin reposent soit sur la dose à des points de référence (essentiellement points A et B) soit sur une isodose de référence (60 Gy selon les recommandations de l’International Commission on Radiation Units and Measurements [ICRU]). La dose aux tissus sains est généralement exprimée aux points vessie et rectum de l’ICRU. Ces pratiques reposent sur une longue expérience clinique historique qui a abouti à des résultats thérapeutiques tout à fait acceptables. Le développement récent de l’imagerie a contribué à une amélioration de la connaissance des volumes tumoraux et des organes à risque. En 2005 et 2006, la publication des recommandations du groupe gynécologie du groupe européen de curiethérapie–European Society for Therapeutic Radiology and Oncology (GEC-ESTRO) a permis de définir ces différents volumes d’intérêt. Ces recommandations ont été secondairement validées par des processus de délinéation entrant dans le cadre d’études comparatives. Le développement concomitant de projecteurs de source miniaturisée a permis de planifier la dose d’irradiation avec des ajustements des temps par position. Ces procédures aboutissent à une meilleure couverture des volumes tumoraux en conservant une relative épargne des tissus sains. Les données récentes de la littérature mettent en évidence une amélioration du taux de contrôle local sans augmentation de celui du risque de complications. Les études ultérieures permettront de mieux déterminer les doses à la fois dans la tumeur et les tissus sains. C’est l’un des objectifs de l’étude en cours : European study on MRI-guided brachytherapy in locally advanced cervical cancer (EMBRACE). Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41113 Exemplaires (1)
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Titre : Organisation de la radiothérapie pédiatrique en France Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Carrie ; M.-A. Mahé Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 525-526 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE PEDIATRIE FRANCE Résumé : Les auteurs décrivent la récente organisation de la radiothérapie pédiatrique en France. Depuis décembre 2008, des critères d’agrément ont été publiés par l’Institut national du cancer (Inca) et deviennent nécessaires pour obtenir l’agrément en radiothérapie pédiatrique. Ces critères doivent être évolutifs afin de s’adapter à la démographie et à la nécessaire formation des juniors. Parallèlement, un système bimensuel de conférences sur le Web permet la discussion de cas cliniques complexes, l’ambition étant de créer une véritable base de données nationale permettant un suivi sur le long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41114
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 525-526[article] Organisation de la radiothérapie pédiatrique en France [texte imprimé] / C. Carrie ; M.-A. Mahé . - 2009 . - p. 525-526.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE PEDIATRIE FRANCE Résumé : Les auteurs décrivent la récente organisation de la radiothérapie pédiatrique en France. Depuis décembre 2008, des critères d’agrément ont été publiés par l’Institut national du cancer (Inca) et deviennent nécessaires pour obtenir l’agrément en radiothérapie pédiatrique. Ces critères doivent être évolutifs afin de s’adapter à la démographie et à la nécessaire formation des juniors. Parallèlement, un système bimensuel de conférences sur le Web permet la discussion de cas cliniques complexes, l’ambition étant de créer une véritable base de données nationale permettant un suivi sur le long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41114 Exemplaires (1)
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Titre : Maladie de Hodgkin : spécificités de la prise en charge en pédiatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Claude ; M. Shell Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 527-529 Langues : Français (fre) Mots-clés : MALADIE HODGKIN PEDIATRIE ENFANT Résumé : La maladie de Hodgkin de l’enfant présente des similitudes mais également des particularités par rapport à celles observées chez l’adulte. Les spécificités de prise en charge thérapeutique sont décrites, en particulier les stratégies de désescalade thérapeutique actuelles. L’objectif est de maintenir des chances de survie excellentes en limitant le risque de séquelles à long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41115
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 527-529[article] Maladie de Hodgkin : spécificités de la prise en charge en pédiatrie [texte imprimé] / L. Claude ; M. Shell . - 2009 . - p. 527-529.
Langues : Français (fre)
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Mots-clés : MALADIE HODGKIN PEDIATRIE ENFANT Résumé : La maladie de Hodgkin de l’enfant présente des similitudes mais également des particularités par rapport à celles observées chez l’adulte. Les spécificités de prise en charge thérapeutique sont décrites, en particulier les stratégies de désescalade thérapeutique actuelles. L’objectif est de maintenir des chances de survie excellentes en limitant le risque de séquelles à long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41115 Exemplaires (1)
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Titre : Le médulloblastome de l'enfant et de l'adulte : quelle différence ? Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Padovani ; N. André ; C. Carrie ; X. Muracciole Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 530-535 Langues : Français (fre) Mots-clés : PEDIATRIE ADULTE IRRADIATION Résumé : Le médulloblastome représente 30 % des tumeurs cérébrales de l’enfant et moins de 1 % de celles de l’adulte. La probabilité de survie s’est très significativement améliorée ces dernières années avec un taux à cinq ans de 80 % tous stades confondus. Cependant, ces bons résultats sont grevés de lourdes séquelles neurocognitives chez l’enfant. Tous sont traités selon des protocoles standardisés français ou européens intégrant la neurochirurgie, la radiothérapie et une chimiothérapie. Grâce à la mise en place d’un contrôle de qualité de la radiothérapie, d’abord rétrospectif puis actuellement prospectif, le taux de rechute a très significativement diminué avec un réel impact sur la survie. Les stratégies thérapeutiques sont aujourd’hui adaptées au risque évolutif (médullobalstomes de risque standard et de haut risque) et prennent en compte très largement le risque de toxicité tardive. La rareté du médulloblastome chez l’adulte explique l’absence d’études prospectives et le peu de données sur les séquelles. Cette pathologie constitue un défi thérapeutique et sa prise en charge s’inspire des avancées du médulloblastome de l’enfant. Dans le but de mieux connaître cette pathologie adulte et de standardiser les traitements, il a été mis en place une réunion de concertation pluridisciplinaire par web conférence mensuelle à la demande de l’Institut national du cancer (Inca). Chaque nouveau cas est présenté et une prise en charge thérapeutique est proposée. À l’avenir, une meilleure compréhension des caractéristiques biologiques et des voies d’activation impliquées dans la pathogénèse des médulloblastomes conduira à une meilleure stratification des tumeurs selon le risque évolutif et offrira de nouvelles cibles thérapeutiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41116
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 530-535[article] Le médulloblastome de l'enfant et de l'adulte : quelle différence ? [texte imprimé] / L. Padovani ; N. André ; C. Carrie ; X. Muracciole . - 2009 . - p. 530-535.
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Mots-clés : PEDIATRIE ADULTE IRRADIATION Résumé : Le médulloblastome représente 30 % des tumeurs cérébrales de l’enfant et moins de 1 % de celles de l’adulte. La probabilité de survie s’est très significativement améliorée ces dernières années avec un taux à cinq ans de 80 % tous stades confondus. Cependant, ces bons résultats sont grevés de lourdes séquelles neurocognitives chez l’enfant. Tous sont traités selon des protocoles standardisés français ou européens intégrant la neurochirurgie, la radiothérapie et une chimiothérapie. Grâce à la mise en place d’un contrôle de qualité de la radiothérapie, d’abord rétrospectif puis actuellement prospectif, le taux de rechute a très significativement diminué avec un réel impact sur la survie. Les stratégies thérapeutiques sont aujourd’hui adaptées au risque évolutif (médullobalstomes de risque standard et de haut risque) et prennent en compte très largement le risque de toxicité tardive. La rareté du médulloblastome chez l’adulte explique l’absence d’études prospectives et le peu de données sur les séquelles. Cette pathologie constitue un défi thérapeutique et sa prise en charge s’inspire des avancées du médulloblastome de l’enfant. Dans le but de mieux connaître cette pathologie adulte et de standardiser les traitements, il a été mis en place une réunion de concertation pluridisciplinaire par web conférence mensuelle à la demande de l’Institut national du cancer (Inca). Chaque nouveau cas est présenté et une prise en charge thérapeutique est proposée. À l’avenir, une meilleure compréhension des caractéristiques biologiques et des voies d’activation impliquées dans la pathogénèse des médulloblastomes conduira à une meilleure stratification des tumeurs selon le risque évolutif et offrira de nouvelles cibles thérapeutiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41116 Exemplaires (1)
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Titre : Radiothérapie conformationnelle par modulation d'intensité des tumeurs Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Leseur ; C. Carrie ; E. Le Prisé ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 536-542 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE PEDIATRIE TUMEUR DOSIMETRIE Résumé : Environ 40 à 50 % des enfants traités pour un cancer sont irradiés. La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité (RCMI ou IMRT Intensity-modulated radiotherapy), par accélérateur linéaire ou tomothérapie hélicoïdale a pour but de délivrer une dose homogène au volume cible et d’épargner les organes à risques. Son utilisation en pédiatrie semble particulièrement intéressante en raison de la complexité des volumes cibles et de la proximité des organes à risque. En contrepartie de ces éléments positifs, l’importance des faibles doses d’irradiation délivrées dans de grands volumes fait craindre des conséquences éventuelles sur la croissance et une augmentation de l’incidence des cancers secondaires chez ces enfants atteints de tumeurs à fort taux de guérison et à l’espérance de vie longue. L’objectif de cet article est de faire le point sur les indications validées et potentielles de la RCMI en pédiatrie et de proposer des recommandations à son utilisation ainsi que des contraintes de doses adaptées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41117
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 536-542[article] Radiothérapie conformationnelle par modulation d'intensité des tumeurs [texte imprimé] / J. Leseur ; C. Carrie ; E. Le Prisé ; et al. . - 2009 . - p. 536-542.
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE PEDIATRIE TUMEUR DOSIMETRIE Résumé : Environ 40 à 50 % des enfants traités pour un cancer sont irradiés. La radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité (RCMI ou IMRT Intensity-modulated radiotherapy), par accélérateur linéaire ou tomothérapie hélicoïdale a pour but de délivrer une dose homogène au volume cible et d’épargner les organes à risques. Son utilisation en pédiatrie semble particulièrement intéressante en raison de la complexité des volumes cibles et de la proximité des organes à risque. En contrepartie de ces éléments positifs, l’importance des faibles doses d’irradiation délivrées dans de grands volumes fait craindre des conséquences éventuelles sur la croissance et une augmentation de l’incidence des cancers secondaires chez ces enfants atteints de tumeurs à fort taux de guérison et à l’espérance de vie longue. L’objectif de cet article est de faire le point sur les indications validées et potentielles de la RCMI en pédiatrie et de proposer des recommandations à son utilisation ainsi que des contraintes de doses adaptées. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41117 Exemplaires (1)
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Titre : La radiothérapie en conditions stéréotaxiques en pédiatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : V. Bernier-Chastagner Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 543-549 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE PEDIATRIE RADIOCHIRURGIE Résumé : La radiothérapie en conditions stéréotaxiques est une technique de très haute précision, longtemps limitée à la radiochirurgie. Les progrès technologiques ont permis de développer la radiothérapie « en conditions stéréotaxiques », ouvrant ainsi la voie à de nombreuses innovations. Initialement réservée à des maladies intracérébrales, elle est actuellement développée pour le traitement de maladies extracérébrales. En pédiatrie, son utilisation est encore limitée, prudente, en raison de la possibilité d’effets secondaires à long terme qu’il est important d’appréhender. Cette mise au point retrace les différentes conditions nécessaires, l’évolution des techniques et fait le bilan des indications actuellement validées en pédiatrie, avec leurs différences par rapport à l’adulte, ainsi que sur les perspectives d’avenir. Un état actuel de la radiothérapie pédiatrique en conditions stéréotaxiques en France est exposé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41118
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 543-549[article] La radiothérapie en conditions stéréotaxiques en pédiatrie [texte imprimé] / V. Bernier-Chastagner . - 2009 . - p. 543-549.
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE PEDIATRIE RADIOCHIRURGIE Résumé : La radiothérapie en conditions stéréotaxiques est une technique de très haute précision, longtemps limitée à la radiochirurgie. Les progrès technologiques ont permis de développer la radiothérapie « en conditions stéréotaxiques », ouvrant ainsi la voie à de nombreuses innovations. Initialement réservée à des maladies intracérébrales, elle est actuellement développée pour le traitement de maladies extracérébrales. En pédiatrie, son utilisation est encore limitée, prudente, en raison de la possibilité d’effets secondaires à long terme qu’il est important d’appréhender. Cette mise au point retrace les différentes conditions nécessaires, l’évolution des techniques et fait le bilan des indications actuellement validées en pédiatrie, avec leurs différences par rapport à l’adulte, ainsi que sur les perspectives d’avenir. Un état actuel de la radiothérapie pédiatrique en conditions stéréotaxiques en France est exposé. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41118 Exemplaires (1)
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Titre : La protonthérapie en radiothérapie pédiatrique Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-L. Habrand ; S. Bolle ; J. Datchary ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 550-555 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE PEDIATRIE PROTONTHERAPIE COMPLICATION Résumé : Avec l’amélioration considérable du pronostic global des tumeurs pédiatriques au cours des 30 dernières années, la prise en charge et la prévention des complications et séquelles thérapeutiques constituent un objectif prioritaire. La protonthérapie qui a fait ses preuves comme traitement de tumeurs radiorésistantes proches d’organes « critiques » chez l’adulte, devient maintenant essentielle chez l’enfant grâce à une meilleure épargne des tissus sains irradiés. L’essentiel des données cliniques et dosimétriques publiées dans le domaine de la protonthérapie pédiatrique est abordé dans cet article ainsi qu’une mise à jour de l’expérience du centre d’Orsay portant sur 108 enfants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41119
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 550-555[article] La protonthérapie en radiothérapie pédiatrique [texte imprimé] / J.-L. Habrand ; S. Bolle ; J. Datchary ; et al. . - 2009 . - p. 550-555.
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE PEDIATRIE PROTONTHERAPIE COMPLICATION Résumé : Avec l’amélioration considérable du pronostic global des tumeurs pédiatriques au cours des 30 dernières années, la prise en charge et la prévention des complications et séquelles thérapeutiques constituent un objectif prioritaire. La protonthérapie qui a fait ses preuves comme traitement de tumeurs radiorésistantes proches d’organes « critiques » chez l’adulte, devient maintenant essentielle chez l’enfant grâce à une meilleure épargne des tissus sains irradiés. L’essentiel des données cliniques et dosimétriques publiées dans le domaine de la protonthérapie pédiatrique est abordé dans cet article ainsi qu’une mise à jour de l’expérience du centre d’Orsay portant sur 108 enfants. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41119 Exemplaires (1)
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Titre : Apport de l'imagerie de spectroscopie de résonance magnétique du proton et des autres imageries métaboliques à la définition des volumes cibles de radiothérapie des tumeurs gliales de l'adulte et de l'enfant Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Laprie Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 556-561 Langues : Français (fre) Mots-clés : GLIOME RADIOTHERAPIE NEUROGLIOBLASTOME PEDIATRIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE TOMOSCINTIGRAPHIE CERVEAU TUMEUR Résumé : La survie des patients atteints de gliome de haut grade est améliorée par la radiothérapie mais la majorité des tumeurs rechutent et, en général, dans les volumes irradiés. Cela est probablement lié aux incertitudes de définition de la cible et d’identification des régions de radiorésistance pour l’escalade de dose. L’utilisation du recalage des IRM pondérées en T1 après injection de gadolinium et T2 permet d’améliorer uniquement la définition anatomique de la tumeur mais pas sa définition métabolique ou fonctionnelle. L’imagerie de spectrométrie de résonance magnétique, l’IRM de perfusion, de diffusion et la tomographie par émission de positons (TEP) permettent de détecter des sites d’anomalies métaboliques différents de ceux vus sur les IRM anatomiques. Si la spectrométrie est la technique la plus validée, l’ensemble de ces modalités d’imagerie métaboliques et fonctionnelles peuvent avoir de nombreux rôles : évaluation précoce de la réponse au traitement, prédiction de la survie, prédiction du site de rechute. Elles peuvent alors être un outil de définition des volumes cibles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41120
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 556-561[article] Apport de l'imagerie de spectroscopie de résonance magnétique du proton et des autres imageries métaboliques à la définition des volumes cibles de radiothérapie des tumeurs gliales de l'adulte et de l'enfant [texte imprimé] / A. Laprie . - 2009 . - p. 556-561.
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Mots-clés : GLIOME RADIOTHERAPIE NEUROGLIOBLASTOME PEDIATRIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE TOMOSCINTIGRAPHIE CERVEAU TUMEUR Résumé : La survie des patients atteints de gliome de haut grade est améliorée par la radiothérapie mais la majorité des tumeurs rechutent et, en général, dans les volumes irradiés. Cela est probablement lié aux incertitudes de définition de la cible et d’identification des régions de radiorésistance pour l’escalade de dose. L’utilisation du recalage des IRM pondérées en T1 après injection de gadolinium et T2 permet d’améliorer uniquement la définition anatomique de la tumeur mais pas sa définition métabolique ou fonctionnelle. L’imagerie de spectrométrie de résonance magnétique, l’IRM de perfusion, de diffusion et la tomographie par émission de positons (TEP) permettent de détecter des sites d’anomalies métaboliques différents de ceux vus sur les IRM anatomiques. Si la spectrométrie est la technique la plus validée, l’ensemble de ces modalités d’imagerie métaboliques et fonctionnelles peuvent avoir de nombreux rôles : évaluation précoce de la réponse au traitement, prédiction de la survie, prédiction du site de rechute. Elles peuvent alors être un outil de définition des volumes cibles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41120 Exemplaires (1)
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Titre : Thérapies antiangiogéniques et radiothérapie : du concept à l'essai clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Cohen-Jonathan Moyal Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 562-567 Langues : Français (fre) Mots-clés : CELLULE SOUCHE RADIOTHERAPIE ESSAI THERAPEUTIQUE Résumé : Les études de plus en plus nombreuses portant sur le microenvironnement tumoral et notamment l’angiogenèse montrent que celui-ci joue un rôle primordial dans la réponse aux thérapeutiques anticancéreuses telles que la radiothérapie. Ainsi, l’association des inhibiteurs de l’angiogenèse à la radiothérapie est une stratégie d’avenir dont le concept est basé sur plusieurs mécanismes d’actions, tels que l’implication des facteurs angiogéniques dans le contrôle de la radiosensibilité tumorale, la régulation de la radiosensibilité tumorale par celle des cellules endothéliales, l’induction de l’hypoxie par l’angiogenèse tumorale, l’induction du facteur hypoxia-induced factor (HIF-1α) par l’irradiation et enfin l’importance des facteurs angiogéniques dans la survie des cellules souches tumorales connues pour être radiorésistantes. Ces mécanismes seront exposés et détaillés dans cet article ainsi que plusieurs essais cliniques associant ces inhibiteurs à la radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41121
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 562-567[article] Thérapies antiangiogéniques et radiothérapie : du concept à l'essai clinique [texte imprimé] / E. Cohen-Jonathan Moyal . - 2009 . - p. 562-567.
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Mots-clés : CELLULE SOUCHE RADIOTHERAPIE ESSAI THERAPEUTIQUE Résumé : Les études de plus en plus nombreuses portant sur le microenvironnement tumoral et notamment l’angiogenèse montrent que celui-ci joue un rôle primordial dans la réponse aux thérapeutiques anticancéreuses telles que la radiothérapie. Ainsi, l’association des inhibiteurs de l’angiogenèse à la radiothérapie est une stratégie d’avenir dont le concept est basé sur plusieurs mécanismes d’actions, tels que l’implication des facteurs angiogéniques dans le contrôle de la radiosensibilité tumorale, la régulation de la radiosensibilité tumorale par celle des cellules endothéliales, l’induction de l’hypoxie par l’angiogenèse tumorale, l’induction du facteur hypoxia-induced factor (HIF-1α) par l’irradiation et enfin l’importance des facteurs angiogéniques dans la survie des cellules souches tumorales connues pour être radiorésistantes. Ces mécanismes seront exposés et détaillés dans cet article ainsi que plusieurs essais cliniques associant ces inhibiteurs à la radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41121 Exemplaires (1)
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Titre : Inhibiteurs de l'angiogenèse et radiothérapie : du concept à la clinique Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Mazeron ; D. Azria ; E. Deutsch Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 568-573 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE HYPOXIE Résumé : L’angiogenèse est au centre de la recherche en oncologie. Les récents progrès dans la compréhension de ses mécanismes ont permis le développement de thérapies inhibant ce processus. De nombreuses molécules ont montré dans le cadre d’études précliniques un effet en combinaison avec l’irradiation et plusieurs sont actuellement testées en phase I ou II. Cet effet pourrait être expliqué par une normalisation transitoire de la vascularisation tumorale, entraînant une amélioration de l’oxygénation tumorale et donc une plus grande radiosensibilité. Bien que prometteuses, de nombreuses interrogations persistent quant aux doses et séquences optimales de l’association. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41122
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 568-573[article] Inhibiteurs de l'angiogenèse et radiothérapie : du concept à la clinique [texte imprimé] / R. Mazeron ; D. Azria ; E. Deutsch . - 2009 . - p. 568-573.
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE HYPOXIE Résumé : L’angiogenèse est au centre de la recherche en oncologie. Les récents progrès dans la compréhension de ses mécanismes ont permis le développement de thérapies inhibant ce processus. De nombreuses molécules ont montré dans le cadre d’études précliniques un effet en combinaison avec l’irradiation et plusieurs sont actuellement testées en phase I ou II. Cet effet pourrait être expliqué par une normalisation transitoire de la vascularisation tumorale, entraînant une amélioration de l’oxygénation tumorale et donc une plus grande radiosensibilité. Bien que prometteuses, de nombreuses interrogations persistent quant aux doses et séquences optimales de l’association. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41122 Exemplaires (1)
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Titre : Analyse des risques en radiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. François ; E. Lartigau Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 574-580 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE RISQUE SECURITE QUALITE DES SOINS DEMARCHE DE QUALITE Résumé : La radiothérapie a été l’une des premières spécialités médicales à implémenter l’assurance qualité (AQ) dans sa pratique quotidienne. Ces programmes d’AQ sont longtemps restés focalisés sur la performance des équipements, négligeant l’importance du facteur humain. Le management du risque est une problématique relativement nouvelle dans cette discipline médicale. Des méthodes d’évaluation et de management des risques doivent donc être identifiées et mises en œuvre en les adaptant aux spécificités de ce domaine. En s’appuyant sur l’expérience de l’industrie, la gestion des risques doit nous permettre de faire des progrès substantiels en matière de sécurité et de développer nos propres modèles de gestion. Des expériences récentes utilisent ces approches pour mettre en œuvre des démarches de management des risques dans les services de radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41123
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 574-580[article] Analyse des risques en radiothérapie [texte imprimé] / P. François ; E. Lartigau . - 2009 . - p. 574-580.
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE RISQUE SECURITE QUALITE DES SOINS DEMARCHE DE QUALITE Résumé : La radiothérapie a été l’une des premières spécialités médicales à implémenter l’assurance qualité (AQ) dans sa pratique quotidienne. Ces programmes d’AQ sont longtemps restés focalisés sur la performance des équipements, négligeant l’importance du facteur humain. Le management du risque est une problématique relativement nouvelle dans cette discipline médicale. Des méthodes d’évaluation et de management des risques doivent donc être identifiées et mises en œuvre en les adaptant aux spécificités de ce domaine. En s’appuyant sur l’expérience de l’industrie, la gestion des risques doit nous permettre de faire des progrès substantiels en matière de sécurité et de développer nos propres modèles de gestion. Des expériences récentes utilisent ces approches pour mettre en œuvre des démarches de management des risques dans les services de radiothérapie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41123 Exemplaires (1)
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Titre : La délimitation des volumes cibles en radiothérapie : application des techniques d'imagerie Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-J. Valette ; F. Cotton ; F. Giammarile Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 581-587 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE TOMOSCINTIGRAPHIE TUMEUR TOMODENSITOMETRIE Résumé : Le traitement des tumeurs par irradiation externe connaît depuis quelques années des évolutions majeures : d’une part, la diffusion de machines délivrant des rayonnements de haute énergie permet d’irradier correctement les tumeurs profondes ; d’autre part, l’émergence de nouvelles techniques d’irradiation conformationnelle tridimensionnelle avec modulation d’intensité (RCMI) permettent de délivrer des doses importantes, cela toutefois sous réserve d’une parfaite délimitation du volume tumoral et des structures anatomiques à épargner. Parallèlement, les progrès de l’imagerie améliorent la localisation et la visualisation précises de l’extension des tumeurs, ainsi que leur représentation dans l’espace tridimensionnel. Le repérage des volumes cibles et la prédiction de la dose absorbée en tout point du volume imagé deviennent donc une étape essentielle de la planification du traitement. Cette planification est le plus souvent pratiquée avec un scanographe. La technique la plus couramment utilisée est une scanographie de dosimétrie sans injection de produit de contraste permettant un repérage de la tumeur par son effet de masse ou par sa différence spontanée de densité d’avec les structures de voisinage. Toutefois, la visualisation du volume tumoral reste parfois difficile pour des lésions de petite taille ou manquant de contraste par rapport aux tissus environnants. Ce manque de contraste représente une source de variabilité importante pour la délimitation du volume cible qui a été documentée dans de nombreuses études. Les tumeurs doivent alors être localisées par corrélation avec les images faites lors du bilan diagnostique par d’autres techniques d’imagerie, essentiellement l’imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomographie par émission de positons (TEP). Cette approche répond au concept de multimodalité diagnostique qui reprend le principe maintenant bien établi de complémentarité des différentes techniques d’imagerie. Chaque technique apporte en effet, selon son principe physique, une ou plusieurs informations spécifiques. Il convient dès lors de bien appréhender la contribution de chaque examen d’imagerie utilisé, cela selon les maladies et leurs localisations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41124
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 581-587[article] La délimitation des volumes cibles en radiothérapie : application des techniques d'imagerie [texte imprimé] / P.-J. Valette ; F. Cotton ; F. Giammarile . - 2009 . - p. 581-587.
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE TOMOSCINTIGRAPHIE TUMEUR TOMODENSITOMETRIE Résumé : Le traitement des tumeurs par irradiation externe connaît depuis quelques années des évolutions majeures : d’une part, la diffusion de machines délivrant des rayonnements de haute énergie permet d’irradier correctement les tumeurs profondes ; d’autre part, l’émergence de nouvelles techniques d’irradiation conformationnelle tridimensionnelle avec modulation d’intensité (RCMI) permettent de délivrer des doses importantes, cela toutefois sous réserve d’une parfaite délimitation du volume tumoral et des structures anatomiques à épargner. Parallèlement, les progrès de l’imagerie améliorent la localisation et la visualisation précises de l’extension des tumeurs, ainsi que leur représentation dans l’espace tridimensionnel. Le repérage des volumes cibles et la prédiction de la dose absorbée en tout point du volume imagé deviennent donc une étape essentielle de la planification du traitement. Cette planification est le plus souvent pratiquée avec un scanographe. La technique la plus couramment utilisée est une scanographie de dosimétrie sans injection de produit de contraste permettant un repérage de la tumeur par son effet de masse ou par sa différence spontanée de densité d’avec les structures de voisinage. Toutefois, la visualisation du volume tumoral reste parfois difficile pour des lésions de petite taille ou manquant de contraste par rapport aux tissus environnants. Ce manque de contraste représente une source de variabilité importante pour la délimitation du volume cible qui a été documentée dans de nombreuses études. Les tumeurs doivent alors être localisées par corrélation avec les images faites lors du bilan diagnostique par d’autres techniques d’imagerie, essentiellement l’imagerie par résonance magnétique (IRM) et la tomographie par émission de positons (TEP). Cette approche répond au concept de multimodalité diagnostique qui reprend le principe maintenant bien établi de complémentarité des différentes techniques d’imagerie. Chaque technique apporte en effet, selon son principe physique, une ou plusieurs informations spécifiques. Il convient dès lors de bien appréhender la contribution de chaque examen d’imagerie utilisé, cela selon les maladies et leurs localisations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41124 Exemplaires (1)
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Titre : Recalage d'images pour la délinéation : principes, validation et pratique Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Betrouni ; T. Lacornerie ; M. Vermandel Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 588-593 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE CONTROLE QUALITE Résumé : La pratique du recalage d’images multimodalités pour délinéer les volumes cibles est très répandue. À ce jour, le contrôle de qualité de ces outils n’est pas bien connu. Cet article rappelle les méthodes de recalages et les critères de validation. Par ailleurs, la pratique en routine au centre Oscar Lambret du recalage par information mutuelle avec la seule validation visuelle est décrite. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41125
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 588-593[article] Recalage d'images pour la délinéation : principes, validation et pratique [texte imprimé] / N. Betrouni ; T. Lacornerie ; M. Vermandel . - 2009 . - p. 588-593.
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE CONTROLE QUALITE Résumé : La pratique du recalage d’images multimodalités pour délinéer les volumes cibles est très répandue. À ce jour, le contrôle de qualité de ces outils n’est pas bien connu. Cet article rappelle les méthodes de recalages et les critères de validation. Par ailleurs, la pratique en routine au centre Oscar Lambret du recalage par information mutuelle avec la seule validation visuelle est décrite. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41125 Exemplaires (1)
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Titre : Rôle potentiel de la TEP-FDG pour la définition du volume tumoral macroscopique (GTV) des cancers des voies aérodigestives supérieures et du poumon Type de document : texte imprimé Auteurs : X. Geets ; J.A. Lee ; P. Castadot ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 594-599 Langues : Français (fre) Mots-clés : DIGESTIF SYSTEME VOIES AERIENNES TUMEUR DOSIMETRIE CALCUL DE DOSE Résumé : Les récents progrès réalisés dans les domaines de l’imagerie, de l’informatique et des techniques d’irradiation ont permis d’améliorer la précision dans la délivrance de la dose. Néanmoins, ces techniques de RCMI demandent une grande précision pour la délimitation des volumes cibles afin d’éviter toute irradiation inadéquate de la tumeur et/ou des organes à risque. Les informations biologiques fournies par la TEP-FDG pourraient permettre de raffiner la délimitation du volume tumoral macroscopique (GTV) dans les tumeurs cervico-maxillo-faciales et bronchiques. Son intégration dans la planification radiothérapique requiert néanmoins le développement et la validation de méthodes de segmentation précises et reproductibles. Celles-ci doivent être adaptées aux caractéristiques physiques des images TEP, incluant l’effet de floue lié à la faible résolution spatiale ainsi que le niveau de bruit élevé. Dans ce contexte, des outils de traitement d’image ont été développés, tels que les filtres bilatéraux pour le « débruitage » et les algorithmes de « déconvolution » pour le « défloutage », autorisant l’utilisation de méthode de segmentation basée sur la détection du gradient d’intensité. Notre méthode a été validée sur fantômes et sur des images de patients (tumeurs ORL), et s’est avéré plus précise que les méthodes de segmentation basées sur le seuillage. Avec cet outil en main, nous avons démontré que l’utilisation de la TEP-FDG aboutissait à une réduction significative des volumes cibles, tant avant qu’en cours de traitement et engendrait une amélioration des distributions de dose aux volumes cibles et aux tissus sains. Cela devrait permettre d’implémenter de nouvelles stratégies d’escalade de dose et d’aboutir à une amélioration du contrôle tumoral local. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41126
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 594-599[article] Rôle potentiel de la TEP-FDG pour la définition du volume tumoral macroscopique (GTV) des cancers des voies aérodigestives supérieures et du poumon [texte imprimé] / X. Geets ; J.A. Lee ; P. Castadot ; et al. . - 2009 . - p. 594-599.
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Mots-clés : DIGESTIF SYSTEME VOIES AERIENNES TUMEUR DOSIMETRIE CALCUL DE DOSE Résumé : Les récents progrès réalisés dans les domaines de l’imagerie, de l’informatique et des techniques d’irradiation ont permis d’améliorer la précision dans la délivrance de la dose. Néanmoins, ces techniques de RCMI demandent une grande précision pour la délimitation des volumes cibles afin d’éviter toute irradiation inadéquate de la tumeur et/ou des organes à risque. Les informations biologiques fournies par la TEP-FDG pourraient permettre de raffiner la délimitation du volume tumoral macroscopique (GTV) dans les tumeurs cervico-maxillo-faciales et bronchiques. Son intégration dans la planification radiothérapique requiert néanmoins le développement et la validation de méthodes de segmentation précises et reproductibles. Celles-ci doivent être adaptées aux caractéristiques physiques des images TEP, incluant l’effet de floue lié à la faible résolution spatiale ainsi que le niveau de bruit élevé. Dans ce contexte, des outils de traitement d’image ont été développés, tels que les filtres bilatéraux pour le « débruitage » et les algorithmes de « déconvolution » pour le « défloutage », autorisant l’utilisation de méthode de segmentation basée sur la détection du gradient d’intensité. Notre méthode a été validée sur fantômes et sur des images de patients (tumeurs ORL), et s’est avéré plus précise que les méthodes de segmentation basées sur le seuillage. Avec cet outil en main, nous avons démontré que l’utilisation de la TEP-FDG aboutissait à une réduction significative des volumes cibles, tant avant qu’en cours de traitement et engendrait une amélioration des distributions de dose aux volumes cibles et aux tissus sains. Cela devrait permettre d’implémenter de nouvelles stratégies d’escalade de dose et d’aboutir à une amélioration du contrôle tumoral local. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41126 Exemplaires (1)
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Titre : Aide à la délinéation : quels outils pratiques ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Pointreau ; G. Bera ; I. Barillot Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 600-605 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE Résumé : La planification de la radiothérapie a connu depuis quelques années des développements considérables. Avec l’émergence des techniques telles que la radiothérapie conformationnelle, la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité ou encore la radiothérapie en conditions stéréotaxiques, la définition des volumes cibles de traitement est devenue de la plus haute importance. Les règles générales de définition des volumes ont été énumérées dans les rapports 50 et 62 de l’International Commission on Radiation Units and Measurements (ICRU), sans qu’elles ne s’accompagnent de recommandations pour la délinéation de ces volumes. Parmi les incertitudes qui peuvent influencer les résultats de l’irradiation, les variations intra- et inter-observateurs de la délinéation sont les plus importantes. De nombreuses équipes ont proposé des recommandations ou des atlas afin d’homogénéiser les pratiques et de réduire l’amplitude de l’incertitude liée à cette activité médicale. L’objectif de cet article est de présenter brièvement ces principales recommandations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41127
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 600-605[article] Aide à la délinéation : quels outils pratiques ? [texte imprimé] / Y. Pointreau ; G. Bera ; I. Barillot . - 2009 . - p. 600-605.
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Mots-clés : RADIOTHERAPIE Résumé : La planification de la radiothérapie a connu depuis quelques années des développements considérables. Avec l’émergence des techniques telles que la radiothérapie conformationnelle, la radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité ou encore la radiothérapie en conditions stéréotaxiques, la définition des volumes cibles de traitement est devenue de la plus haute importance. Les règles générales de définition des volumes ont été énumérées dans les rapports 50 et 62 de l’International Commission on Radiation Units and Measurements (ICRU), sans qu’elles ne s’accompagnent de recommandations pour la délinéation de ces volumes. Parmi les incertitudes qui peuvent influencer les résultats de l’irradiation, les variations intra- et inter-observateurs de la délinéation sont les plus importantes. De nombreuses équipes ont proposé des recommandations ou des atlas afin d’homogénéiser les pratiques et de réduire l’amplitude de l’incertitude liée à cette activité médicale. L’objectif de cet article est de présenter brièvement ces principales recommandations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41127 Exemplaires (1)
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Titre : Oncogériatrie : point de vue du gériatre Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Guérin ; T. Cudennec Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 606-608 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCEROLOGIE GERIATRIE PERSONNE AGEE CANCER Résumé : La problématique de l’oncogériatrie est un véritable défi pour les décennies à venir. Plus de 60 % des patients atteints d’un cancer en France sont âgés de plus de 65 ans. En effet, la prise en charge des patients âgés atteints de cancer nécessite les compétences des deux disciplines médicales : la gériatrie et l’oncologie. Elle nécessite un partage de culture entre ces deux spécialités fondamentalement transversales. Il reste beaucoup de progrès à faire, même si cet enjeu a réellement été pris en considération dans notre pays notamment du fait de la mise en place d’une organisation oncogériatrique unique au monde au sein de l’Institut national du cancer (Inca), mais également par la structuration d’un groupe de travail identifié au sein de la Société française de gériatrie et de gérontologie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41128
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 606-608[article] Oncogériatrie : point de vue du gériatre [texte imprimé] / O. Guérin ; T. Cudennec . - 2009 . - p. 606-608.
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Mots-clés : CANCEROLOGIE GERIATRIE PERSONNE AGEE CANCER Résumé : La problématique de l’oncogériatrie est un véritable défi pour les décennies à venir. Plus de 60 % des patients atteints d’un cancer en France sont âgés de plus de 65 ans. En effet, la prise en charge des patients âgés atteints de cancer nécessite les compétences des deux disciplines médicales : la gériatrie et l’oncologie. Elle nécessite un partage de culture entre ces deux spécialités fondamentalement transversales. Il reste beaucoup de progrès à faire, même si cet enjeu a réellement été pris en considération dans notre pays notamment du fait de la mise en place d’une organisation oncogériatrique unique au monde au sein de l’Institut national du cancer (Inca), mais également par la structuration d’un groupe de travail identifié au sein de la Société française de gériatrie et de gérontologie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41128 Exemplaires (1)
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Titre : Radiothérapie et sujet âgé Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Durdux ; T. Boisserie ; M. Gisselbrecht Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 609-614 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCEROLOGIE GERIATRIE RADIOTHERAPIE PERSONNE AGEE Résumé : La maladie cancéreuse est une maladie de la sénescence cellulaire et s’avère fréquente chez le sujet âgé de plus de 65 ans. Or cette classe d’âge va plus que doubler dans les 50 prochaines années. La prise en charge des patients âgés par l’oncologue radiothérapeute devient donc une réalité quotidienne et l’aide d’un oncogériatre est précieuse pour les plus fragiles. Les principales séries pupliées démontrent la faisabilité de la radiothérapie à visée curative ou palliative pour les localisations usuelles après l’évaluation gériatrique soigneuse. L’objectif de cet article est de faire le point sur les indications et les résultats de la radiothérapie du sujet âgé. Sera abordée en particulier la question de la dose, du volume d’irradiation et du fractionnement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41129
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 609-614[article] Radiothérapie et sujet âgé [texte imprimé] / C. Durdux ; T. Boisserie ; M. Gisselbrecht . - 2009 . - p. 609-614.
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Mots-clés : CANCEROLOGIE GERIATRIE RADIOTHERAPIE PERSONNE AGEE Résumé : La maladie cancéreuse est une maladie de la sénescence cellulaire et s’avère fréquente chez le sujet âgé de plus de 65 ans. Or cette classe d’âge va plus que doubler dans les 50 prochaines années. La prise en charge des patients âgés par l’oncologue radiothérapeute devient donc une réalité quotidienne et l’aide d’un oncogériatre est précieuse pour les plus fragiles. Les principales séries pupliées démontrent la faisabilité de la radiothérapie à visée curative ou palliative pour les localisations usuelles après l’évaluation gériatrique soigneuse. L’objectif de cet article est de faire le point sur les indications et les résultats de la radiothérapie du sujet âgé. Sera abordée en particulier la question de la dose, du volume d’irradiation et du fractionnement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41129 Exemplaires (1)
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Titre : Radiothérapie du cancer du sein chez le sujet âgé Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Cutuli Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 615-622 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER PERSONNE AGEE RADIOTHERAPIE MASTECTOMIE Résumé : Dans les pays occidentaux, environ 25 % des cancers du sein surviennent chez des patientes de 70 ans et plus, et cette proportion augmente régulièrement. Le contrôle locorégional reste une étape fondamentale pour l’obtention de la guérison, car les rechutes locorégionales sont un facteur de risque majeur de dissémination métastatique. Après mastectomie, l’efficacité de la radiothérapie a été confirmée par plusieurs essais randomisés et la méta-analyse. Son efficacité est constante quelle que soit l’âge ; elle est plus marquée en cas de facteurs important de récidive locorégionale, en particulier l’envahissement ganglionnaires axillaire. Globalement, la radiothérapie permet une réduction de 60 à 70 % du nombre des récidives locorégionales, mais également une augmentation de la probabilité de survie à long terme de 8 à 9 %. Après chirurgie conservatrice, la radiothérapie permet de réduire les taux de rechute locale à dix ans de 20–25 à 5–8 %. Divers essais randomisés et la méta-analyse l’ont confirmé. Le remplacement de la radiothérapie par l’hormonothérapie aboutit à des taux de récidive locale significativement plus élevés. Afin de faciliter l’irradiation des personnes âgées, en particulier en cas de « comorbidité », des schémas de radiothérapie hypofractionnée peuvent être utilisés. Les techniques d’irradiation partielle sont encore en cours d’évaluation. Au total, toute personne âgée en bon état général doit bénéficier d’une radiothérapie complémentaire en fonction des indications habituelles, car un traitement insuffisant a un effet défavorable à long terme sur la survie. L’optimisation des techniques est toujours nécessaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41130
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 615-622[article] Radiothérapie du cancer du sein chez le sujet âgé [texte imprimé] / B. Cutuli . - 2009 . - p. 615-622.
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Mots-clés : SEIN CANCER PERSONNE AGEE RADIOTHERAPIE MASTECTOMIE Résumé : Dans les pays occidentaux, environ 25 % des cancers du sein surviennent chez des patientes de 70 ans et plus, et cette proportion augmente régulièrement. Le contrôle locorégional reste une étape fondamentale pour l’obtention de la guérison, car les rechutes locorégionales sont un facteur de risque majeur de dissémination métastatique. Après mastectomie, l’efficacité de la radiothérapie a été confirmée par plusieurs essais randomisés et la méta-analyse. Son efficacité est constante quelle que soit l’âge ; elle est plus marquée en cas de facteurs important de récidive locorégionale, en particulier l’envahissement ganglionnaires axillaire. Globalement, la radiothérapie permet une réduction de 60 à 70 % du nombre des récidives locorégionales, mais également une augmentation de la probabilité de survie à long terme de 8 à 9 %. Après chirurgie conservatrice, la radiothérapie permet de réduire les taux de rechute locale à dix ans de 20–25 à 5–8 %. Divers essais randomisés et la méta-analyse l’ont confirmé. Le remplacement de la radiothérapie par l’hormonothérapie aboutit à des taux de récidive locale significativement plus élevés. Afin de faciliter l’irradiation des personnes âgées, en particulier en cas de « comorbidité », des schémas de radiothérapie hypofractionnée peuvent être utilisés. Les techniques d’irradiation partielle sont encore en cours d’évaluation. Au total, toute personne âgée en bon état général doit bénéficier d’une radiothérapie complémentaire en fonction des indications habituelles, car un traitement insuffisant a un effet défavorable à long terme sur la survie. L’optimisation des techniques est toujours nécessaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41130 Exemplaires (1)
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Titre : Cancers de la prostate : quelle place pour la radiothérapie à visée curative chez les patients âgés ? Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Azria ; D. Brochon ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 623-627 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOTHERAPIE PERSONNE AGEE Résumé : Objectif de l’étude :
Discuter la place de l’irradiation à visée curative dans les cancers de prostate chez les patients âgés à partir du suivi en termes de complications, de contrôle local et de survie d’une cohorte spécifique et d’une revue de la littérature.
Patients et méthodes :
La cohorte était constituée de 65 hommes âgés de 80 ans et plus, atteints de cancer de prostate localisé dont le choix s’était porté sur une radiothérapie à visée curative. Douze centres de radiothérapie affiliés au Rare Cancer Network ont participé à l’étude et l’analyse rétrospective a porté sur les effets secondaires immédiats et tardifs, la survie sans rechute biochimique, la survie globale observés. Ont été pris en compte dans l’analyse multifactorielle les « co-morbidités », la concentration sérique initiale de prostatic specific antigen (PSA), le score de Gleason et les modalités thérapeutiques.
Résultats :
De janvier 1990 à décembre 2000, 65 patients ont été inclus dans la cohorte. L’âge moyen était de 81 ans. La série comportait dix tumeurs de stade T1, 40 T2 et 15 T3, toutes N0, M0 après le bilan initial. La durée médiane de suivi a été de 65 mois. Les complications immédiates et à long terme ont été considérées comme comparables à celle décrites dans la littérature chez des patients plus jeunes recevant un traitement similaire. Le traitement réalisé n’a pas semblé avoir d’impact négatif sur la survie sans rechute ni la survie globale. La littérature récente suggérait également des résultats similaires.
Conclusions :
La radiothérapie à visée curative ne devrait pas être systématiquement écartée des options proposées aux patients âgés atteints de cancer de prostate localisé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41131
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 623-627[article] Cancers de la prostate : quelle place pour la radiothérapie à visée curative chez les patients âgés ? [texte imprimé] / D. Azria ; D. Brochon ; et al. . - 2009 . - p. 623-627.
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Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOTHERAPIE PERSONNE AGEE Résumé : Objectif de l’étude :
Discuter la place de l’irradiation à visée curative dans les cancers de prostate chez les patients âgés à partir du suivi en termes de complications, de contrôle local et de survie d’une cohorte spécifique et d’une revue de la littérature.
Patients et méthodes :
La cohorte était constituée de 65 hommes âgés de 80 ans et plus, atteints de cancer de prostate localisé dont le choix s’était porté sur une radiothérapie à visée curative. Douze centres de radiothérapie affiliés au Rare Cancer Network ont participé à l’étude et l’analyse rétrospective a porté sur les effets secondaires immédiats et tardifs, la survie sans rechute biochimique, la survie globale observés. Ont été pris en compte dans l’analyse multifactorielle les « co-morbidités », la concentration sérique initiale de prostatic specific antigen (PSA), le score de Gleason et les modalités thérapeutiques.
Résultats :
De janvier 1990 à décembre 2000, 65 patients ont été inclus dans la cohorte. L’âge moyen était de 81 ans. La série comportait dix tumeurs de stade T1, 40 T2 et 15 T3, toutes N0, M0 après le bilan initial. La durée médiane de suivi a été de 65 mois. Les complications immédiates et à long terme ont été considérées comme comparables à celle décrites dans la littérature chez des patients plus jeunes recevant un traitement similaire. Le traitement réalisé n’a pas semblé avoir d’impact négatif sur la survie sans rechute ni la survie globale. La littérature récente suggérait également des résultats similaires.
Conclusions :
La radiothérapie à visée curative ne devrait pas être systématiquement écartée des options proposées aux patients âgés atteints de cancer de prostate localisé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41131 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt
Titre : Nutrition en oncogériatrie Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Senesse Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 628-631 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCEROLOGIE GERIATRIE DENUTRITION Résumé : En oncogériatrie, la dénutrition sévère est associée à une augmentation de la morbidité et de la mortalité, de la toxicité de la radiothérapie ou de la chimiothérapie, des infections nosocomiales et à une altération de la qualité de vie. Un dépistage systématique de la dénutrition doit être réalisé, en accord avec les recommandations françaises de 2007. Actuellement, un conseil diététique doit être proposé systématiquement lorsqu’un patient est dénutri et systématiquement en cas de radiothérapie ou de chimioradiothérapie. L’utilisation de compléments nutritionnels oraux enrichis en nutriments immunomodulateurs doit être très prudente et réservée pour l’instant aux patients opérés d’un cancer digestif. En cas de dénutrition sévère ou d’échec du conseil diététique, une nutrition entérale peut être recommandée. La nutrition parentérale utilisée pendant la radiothérapie ou la chimiothérapie doit être déconseillée en raison de l’augmentation des complications infectieuses. Pour tous les patients dont l’indice de Karnofsky est inférieur à 50 % (ou l’indice de performance supérieur à 2), avec un espérance de vie de moins de trois mois, la nutrition artificielle n’apporte aucun bénéfice. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41132
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 628-631[article] Nutrition en oncogériatrie [texte imprimé] / P. Senesse . - 2009 . - p. 628-631.
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in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 628-631
Mots-clés : CANCEROLOGIE GERIATRIE DENUTRITION Résumé : En oncogériatrie, la dénutrition sévère est associée à une augmentation de la morbidité et de la mortalité, de la toxicité de la radiothérapie ou de la chimiothérapie, des infections nosocomiales et à une altération de la qualité de vie. Un dépistage systématique de la dénutrition doit être réalisé, en accord avec les recommandations françaises de 2007. Actuellement, un conseil diététique doit être proposé systématiquement lorsqu’un patient est dénutri et systématiquement en cas de radiothérapie ou de chimioradiothérapie. L’utilisation de compléments nutritionnels oraux enrichis en nutriments immunomodulateurs doit être très prudente et réservée pour l’instant aux patients opérés d’un cancer digestif. En cas de dénutrition sévère ou d’échec du conseil diététique, une nutrition entérale peut être recommandée. La nutrition parentérale utilisée pendant la radiothérapie ou la chimiothérapie doit être déconseillée en raison de l’augmentation des complications infectieuses. Pour tous les patients dont l’indice de Karnofsky est inférieur à 50 % (ou l’indice de performance supérieur à 2), avec un espérance de vie de moins de trois mois, la nutrition artificielle n’apporte aucun bénéfice. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41132 Exemplaires (1)
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Titre : Réflexion éthique dans le cadre de la prise en charge des patients âgés atteints de cancer Type de document : texte imprimé Auteurs : Sophie Moulias ; T. Cudennec ; L. Teillet Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 632-633 Langues : Français (fre) Mots-clés : PERSONNE AGEE PRISE EN CHARGE ETHIQUE MEDICALE Résumé : L’éthique médicale s’intéresse aux pratiques de soin, à leurs finalités, à leurs possibilités de réalisation. Elle permet de s’interroger sur la prise en soin des patients âgés atteints de cancer. Les critères de décision d’une exploration à la recherche d’un cancer, mais aussi de traitement d’un cancer confirmé sont nombreux. Certains sont d’ordre médical (bénéfice de survie, polypathologie, répercussion sur l’organisme, pronostic lié aux « comorbidités ») d’autres sont plus subjectifs (qualité de vie, difficulté d’information, prise en charge plus lourde ou plus longue, âgisme). L’âge semble être le premier blocage, les troubles cognitifs le deuxième. Un dépassement des a priori actuels semble nécessaire pour améliorer la prise en soins des patients âgés atteints de cancer. Cela d’autant plus que de nombreuses publications cancérologiques indiquent que les traitements anticancéreux sont le plus souvent bien supportés et bénéfiques chez ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41133
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 632-633[article] Réflexion éthique dans le cadre de la prise en charge des patients âgés atteints de cancer [texte imprimé] / Sophie Moulias ; T. Cudennec ; L. Teillet . - 2009 . - p. 632-633.
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Mots-clés : PERSONNE AGEE PRISE EN CHARGE ETHIQUE MEDICALE Résumé : L’éthique médicale s’intéresse aux pratiques de soin, à leurs finalités, à leurs possibilités de réalisation. Elle permet de s’interroger sur la prise en soin des patients âgés atteints de cancer. Les critères de décision d’une exploration à la recherche d’un cancer, mais aussi de traitement d’un cancer confirmé sont nombreux. Certains sont d’ordre médical (bénéfice de survie, polypathologie, répercussion sur l’organisme, pronostic lié aux « comorbidités ») d’autres sont plus subjectifs (qualité de vie, difficulté d’information, prise en charge plus lourde ou plus longue, âgisme). L’âge semble être le premier blocage, les troubles cognitifs le deuxième. Un dépassement des a priori actuels semble nécessaire pour améliorer la prise en soins des patients âgés atteints de cancer. Cela d’autant plus que de nombreuses publications cancérologiques indiquent que les traitements anticancéreux sont le plus souvent bien supportés et bénéfiques chez ces patients. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41133 Exemplaires (1)
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Titre : Communications orales Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 634-643 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE DOSIMETRIE PROSTATE CARCINOME VOIES AERIENNES DIGESTIF SYSTEME SEXUALITE CURIETHERAPIE IRRADIATION GANGLION IMAGERIE MEDICALE CHIMIOTHERAPIE TOXICITE HORMONOTHERAPIE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41134
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 634-643[article] Communications orales [texte imprimé] . - 2009 . - p. 634-643.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/6-7 (Octobre 2009) . - p. 634-643Exemplaires (1)
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