Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Cancer Radiothérapie . 13/5Mention de date : Septembre 2009Paru le : 01/09/2009 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierExpérience française sur la radiothérapie guidée par l’image : contrôle de qualité, dose additionnelle délivrée, protocoles de radiothérapie guidée par l’image et premières données cliniques / D. Lefkopoulos in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Expérience française sur la radiothérapie guidée par l’image : contrôle de qualité, dose additionnelle délivrée, protocoles de radiothérapie guidée par l’image et premières données cliniques Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Lefkopoulos ; Aurélie Isambert Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 341-344 Note générale : Editorial Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE MEDICALE CONTROLE QUALITE DOSIMETRIE PROTOCOLE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41020
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 341-344[article] Expérience française sur la radiothérapie guidée par l’image : contrôle de qualité, dose additionnelle délivrée, protocoles de radiothérapie guidée par l’image et premières données cliniques [texte imprimé] / D. Lefkopoulos ; Aurélie Isambert . - 2009 . - p. 341-344.
Editorial
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 341-344
Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE MEDICALE CONTROLE QUALITE DOSIMETRIE PROTOCOLE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41020 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Contrôle de qualité d'un système de tomographie conique de basse énergie (kV) / M. Marguet in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Contrôle de qualité d'un système de tomographie conique de basse énergie (kV) Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Marguet ; V. Bodez Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 345-352 Langues : Français (fre) Mots-clés : CONTROLE QUALITE TOMOSCINTIGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude :
Ce travail présente la mise en œuvre et les résultats d’un programme d’assurance qualité mensuel de tomographie conique (CBCT) de basse énergie (kV) embarqué On-Board Imager® (OBI, Varian™).
Matériel et méthodes :
Tout d’abord, la précision et la stabilité géométrique du matériel et des fonctions logicielles ont été évaluées au moyen du fantôme Marker®. La justesse de la coïncidence entre l’isocentre de traitement et celui du système d’imagerie ainsi que la justesse de l’application du recalage d’images acquises par tomographie conique de basse énergie et par la scanographie de référence ont été mesurées. Ensuite, la qualité des images acquises par tomographie conique de basse énergie a été évaluée à l’aide du fantôme Catphan® 504 et du logiciel ArtiScan® (Aquilab™) pour les deux modalités d’acquisition possibles, full-fan et half-fan.
Résultats :
La position de l’isocentre du système d’imagerie et l’application du recalage d’images étaient dans une tolérance de 2,0 mm. En ce qui concerne la qualité de l’image acquise par tomographie conique de basse énergie, le bruit, l’uniformité, la constance et la linéarité des unités Hounsfield, la distorsion géométrique, la résolution à haut contraste étaient dans les tolérances recommandées par le constructeur pour les deux modes full-fan et half-fan. Seule la résolution à bas contraste pour le mode half-fan ne respectait pas la préconisation du fabricant.
Conclusion :
Les tests mis en place ont permis de définir les caractéristiques initiales du système et leur suivi au cours du temps. La stabilité de l’OBI® a été démontrée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41021
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 345-352[article] Contrôle de qualité d'un système de tomographie conique de basse énergie (kV) [texte imprimé] / M. Marguet ; V. Bodez . - 2009 . - p. 345-352.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 345-352
Mots-clés : CONTROLE QUALITE TOMOSCINTIGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude :
Ce travail présente la mise en œuvre et les résultats d’un programme d’assurance qualité mensuel de tomographie conique (CBCT) de basse énergie (kV) embarqué On-Board Imager® (OBI, Varian™).
Matériel et méthodes :
Tout d’abord, la précision et la stabilité géométrique du matériel et des fonctions logicielles ont été évaluées au moyen du fantôme Marker®. La justesse de la coïncidence entre l’isocentre de traitement et celui du système d’imagerie ainsi que la justesse de l’application du recalage d’images acquises par tomographie conique de basse énergie et par la scanographie de référence ont été mesurées. Ensuite, la qualité des images acquises par tomographie conique de basse énergie a été évaluée à l’aide du fantôme Catphan® 504 et du logiciel ArtiScan® (Aquilab™) pour les deux modalités d’acquisition possibles, full-fan et half-fan.
Résultats :
La position de l’isocentre du système d’imagerie et l’application du recalage d’images étaient dans une tolérance de 2,0 mm. En ce qui concerne la qualité de l’image acquise par tomographie conique de basse énergie, le bruit, l’uniformité, la constance et la linéarité des unités Hounsfield, la distorsion géométrique, la résolution à haut contraste étaient dans les tolérances recommandées par le constructeur pour les deux modes full-fan et half-fan. Seule la résolution à bas contraste pour le mode half-fan ne respectait pas la préconisation du fabricant.
Conclusion :
Les tests mis en place ont permis de définir les caractéristiques initiales du système et leur suivi au cours du temps. La stabilité de l’OBI® a été démontrée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41021 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Radiothérapie des cancers de la prostate : évaluation in vivo de la dose délivrée par tomographie conique de basse énergie (kV) / G. Marinello in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Radiothérapie des cancers de la prostate : évaluation in vivo de la dose délivrée par tomographie conique de basse énergie (kV) Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Marinello ; J.-P. Mege ; M.-C. Besse ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 353-357 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOTHERAPIE TOMOSCINTIGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude :
Investiguer si l’utilisation régulière de la tomographie conique augmente notablement la dose délivrée à la tumeur et aux tissus sains environnants.
Matériel et méthodes :
Les images ont été réalisées avec un tomographe conique de basse énergie – Varian™ (OBI™ version 1.3, 645 à 650 projections en 370° pour acquérir l’image) et les patients irradiés à distance source–tumeur : 100 cm. Les mesures ont été effectuées in vivo en plaçant des dosimètres radio-thermoluminescents (DTL) Harshaw-TLD700H à la peau (axes antéropostérieur et latéraux passant par le centre de rotation) et un quatrième groupe sous la table à l’aide d’un rétrolaser. Les dosimètres radio-thermoluminescents ont été étalonnés à l’énergie effective du tomographe conique et la méthode validée sur fantôme anthropomorphique dans lequel on a aussi inséré des films Gafchromic EBT.
Résultats :
L’étude sur fantôme a montré que la distribution des doses dépend de la position du fantôme par rapport à l’axe et que les doses mesurées par dosimètres radiothermoluminescents et films (en bon accord) étaient maximales sur l’axe antéropostérieur. La moyenne arithmétique des doses mesurées à la peau était égale, ou à peine supérieure, aux doses mesurées à mi-épaisseur et à la position du rectum, organe à risque. Les doses moyennes mesurées in vivo effectuées sur les cinq premiers patients (125 kV) étaient de 5,8 ± 0,1 à 7,3 ± 0,2 cGy sur l’axe antéropostérieur. Les doses cutanées latérales étaient de 3,4 ± 0,2 à 4,5 ± 0,2 cGy.
Conclusion :
La dose délivrée par tomographie conique de basse énergie n’est pas négligeable lorsque ces acquisitions sont répétées en nombre. Elle est à prendre en compte, mais une incertitude demeure sur la valeur de l’efficacité biologique relative (EBR) à appliquer pour les corrections.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41022
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 353-357[article] Radiothérapie des cancers de la prostate : évaluation in vivo de la dose délivrée par tomographie conique de basse énergie (kV) [texte imprimé] / G. Marinello ; J.-P. Mege ; M.-C. Besse ; et al. . - 2009 . - p. 353-357.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 353-357
Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOTHERAPIE TOMOSCINTIGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude :
Investiguer si l’utilisation régulière de la tomographie conique augmente notablement la dose délivrée à la tumeur et aux tissus sains environnants.
Matériel et méthodes :
Les images ont été réalisées avec un tomographe conique de basse énergie – Varian™ (OBI™ version 1.3, 645 à 650 projections en 370° pour acquérir l’image) et les patients irradiés à distance source–tumeur : 100 cm. Les mesures ont été effectuées in vivo en plaçant des dosimètres radio-thermoluminescents (DTL) Harshaw-TLD700H à la peau (axes antéropostérieur et latéraux passant par le centre de rotation) et un quatrième groupe sous la table à l’aide d’un rétrolaser. Les dosimètres radio-thermoluminescents ont été étalonnés à l’énergie effective du tomographe conique et la méthode validée sur fantôme anthropomorphique dans lequel on a aussi inséré des films Gafchromic EBT.
Résultats :
L’étude sur fantôme a montré que la distribution des doses dépend de la position du fantôme par rapport à l’axe et que les doses mesurées par dosimètres radiothermoluminescents et films (en bon accord) étaient maximales sur l’axe antéropostérieur. La moyenne arithmétique des doses mesurées à la peau était égale, ou à peine supérieure, aux doses mesurées à mi-épaisseur et à la position du rectum, organe à risque. Les doses moyennes mesurées in vivo effectuées sur les cinq premiers patients (125 kV) étaient de 5,8 ± 0,1 à 7,3 ± 0,2 cGy sur l’axe antéropostérieur. Les doses cutanées latérales étaient de 3,4 ± 0,2 à 4,5 ± 0,2 cGy.
Conclusion :
La dose délivrée par tomographie conique de basse énergie n’est pas négligeable lorsque ces acquisitions sont répétées en nombre. Elle est à prendre en compte, mais une incertitude demeure sur la valeur de l’efficacité biologique relative (EBR) à appliquer pour les corrections.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41022 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Dose délivrée au patient lors de l'acquisition d'images par tomographie conique de haute énergie / I.H. Ferreira ; A. Bossi ; et al. in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Dose délivrée au patient lors de l'acquisition d'images par tomographie conique de haute énergie Type de document : texte imprimé Auteurs : I.H. Ferreira ; A. Bossi ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 358-364 Langues : Français (fre) Mots-clés : DOSIMETRIE TOMOSCINTIGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude :
Étudier la dose délivrée lors de l’acquisition d’images par le système d’imagerie par tomographie conique de haute énergie (MVCBCT) MVision® embarqué sur un accélérateur Oncor Impression® (Siemens™).
Matériel et méthodes :
L’acquisition d’images par tomographie conique de haute énergie a été modélisée dans un système de planification de traitement par 67 faisceaux de photons de 6 MV. Une étude a été réalisée afin de : comparer les doses calculée et mesurée au centre d’un fantôme cylindrique ; comparer les distributions de dose calculée et mesurée dans le fantôme Alderson-Rando pelvis ; étudier l’influence de l’acquisition d’images par tomographie conique de haute énergie, pour le repositionnement d’un patient traité pour un cancer prostatique par irradiation conformationnelle tridimensionnelle de 74 Gy, sur les histogrammes dose–volume (HDV) pour le traitement et sept tomographies coniques de haute énergie (j1–3 puis chaque semaine) et pour le traitement et 37 tomographies coniques de haute énergie (une par jour de traitement).
Résultats :
L’écart entre les doses calculée et mesurée au centre du fantôme cylindrique était inférieur à 3 %. Un écart maximum de 7 % entre la distribution de dose calculée dans le fantôme Rando et les doses mesurées normalisées à l’isocentre des faisceaux a été observé (écart moyen inférieur à 4 %). La dose délivrée à l’isocentre était de l’ordre de 3,7 cGy pour un protocole « 5 unités moniteur », avec une dose maximale de l’ordre de 6 cGy. Dans le cas du patient considéré, la réalisation de 37 tomographies coniques de haute énergie correspondait à une dose moyenne additionnelle au volume-cible prévisionnel (PTV) de 1,2 Gy pour un protocole « 5 unités moniteur », avec une influence significative sur les histogrammes dose–volume.
Conclusion :
Au regard de cette étude, il apparaît que les doses délivrées lors d’une utilisation fréquente de la tomographie conique de haute énergie doivent être obligatoirement prises en compte par l’oncologue radiothérapeute dans l’évaluation de la dose thérapeutique délivrée au volume-cible et aux organes à risque.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41023
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 358-364[article] Dose délivrée au patient lors de l'acquisition d'images par tomographie conique de haute énergie [texte imprimé] / I.H. Ferreira ; A. Bossi ; et al. . - 2009 . - p. 358-364.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 358-364
Mots-clés : DOSIMETRIE TOMOSCINTIGRAPHIE Résumé : Objectif de l’étude :
Étudier la dose délivrée lors de l’acquisition d’images par le système d’imagerie par tomographie conique de haute énergie (MVCBCT) MVision® embarqué sur un accélérateur Oncor Impression® (Siemens™).
Matériel et méthodes :
L’acquisition d’images par tomographie conique de haute énergie a été modélisée dans un système de planification de traitement par 67 faisceaux de photons de 6 MV. Une étude a été réalisée afin de : comparer les doses calculée et mesurée au centre d’un fantôme cylindrique ; comparer les distributions de dose calculée et mesurée dans le fantôme Alderson-Rando pelvis ; étudier l’influence de l’acquisition d’images par tomographie conique de haute énergie, pour le repositionnement d’un patient traité pour un cancer prostatique par irradiation conformationnelle tridimensionnelle de 74 Gy, sur les histogrammes dose–volume (HDV) pour le traitement et sept tomographies coniques de haute énergie (j1–3 puis chaque semaine) et pour le traitement et 37 tomographies coniques de haute énergie (une par jour de traitement).
Résultats :
L’écart entre les doses calculée et mesurée au centre du fantôme cylindrique était inférieur à 3 %. Un écart maximum de 7 % entre la distribution de dose calculée dans le fantôme Rando et les doses mesurées normalisées à l’isocentre des faisceaux a été observé (écart moyen inférieur à 4 %). La dose délivrée à l’isocentre était de l’ordre de 3,7 cGy pour un protocole « 5 unités moniteur », avec une dose maximale de l’ordre de 6 cGy. Dans le cas du patient considéré, la réalisation de 37 tomographies coniques de haute énergie correspondait à une dose moyenne additionnelle au volume-cible prévisionnel (PTV) de 1,2 Gy pour un protocole « 5 unités moniteur », avec une influence significative sur les histogrammes dose–volume.
Conclusion :
Au regard de cette étude, il apparaît que les doses délivrées lors d’une utilisation fréquente de la tomographie conique de haute énergie doivent être obligatoirement prises en compte par l’oncologue radiothérapeute dans l’évaluation de la dose thérapeutique délivrée au volume-cible et aux organes à risque.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41023 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Bénéfice volumétrique de la radiothérapie guidée par l'image dans les cancers prostatiques : marges et cartogarphies de probabilité de présence / G. Cazoulat in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Bénéfice volumétrique de la radiothérapie guidée par l'image dans les cancers prostatiques : marges et cartogarphies de probabilité de présence Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Cazoulat ; R. De Crevoisier ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 365-374 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE INTERVENTIONNELLE PROSTATE CANCER THERAPEUTIQUE: Résumé : Objectifs :
Quantifier les variations anatomiques de la prostate et des vésicules séminales pour proposer des marges appropriées intégrant les variations anatomiques intrapelviennes. Quantifier sur le plan volumétrique l’apport d’un recalage prostatique en radiothérapie guidée par l’image (IGRT).
Patients et méthodes :
Vingt patients, irradiés pour un cancer de la prostate à une dose totale de 70 Gy, ont eu chacun un examen tomodensitométrique de planification et huit tomodensitométries, une par semaine, en cours d’irradiation. Après délinéation manuelle, les tomodensitométries hebdomadaires ont été recalées sur la tomodensitométrie de planification selon trois modalités : un recalage cutané (sur billes radioopaques), un recalage sur le squelette pelvien et un recalage sur la prostate. Pour chaque patient et chaque modalité de recalage, les déplacements de la prostate ont été quantifiés et des matrices de probabilité de présence de la prostate et des vésicules séminales ont été établies. Les volumes englobant différentes probabilités minimales de présence ont été comparés entre les trois modalités de recalage.
Résultats :
Pour la prostate, les déplacements intrapelviens (mesurés après recalage osseux) se traduisaient par une erreur systématique, une erreur aléatoire et une amplitude maximale respectivement de : 2,5 mm, 2,7 mm et 16,5 mm dans l’axe antéropostérieur ; 2,7 mm, 2,4 mm et 11,4 mm dans l’axe crâniospinal et 0,5 mm, 0,8 mm et 3,3 mm latéralement. Les marges correspondantes, calculées selon van Herk (probabilité que 90 % des patients aient leur prostate inclus dans l’isodose 95 %), étaient respectivement de : 8 mm, 8,3 mm et 1,9 mm. Pour la prostate, une certitude de présence (100 %) correspondait en moyenne à 37 %, 50 % ou 61 % du volume prostatique selon la modalité de recalage. Pour les vésicules séminales, ces volumes correspondaient à 8 %, 14 % et 18 %.
Conclusion :
Sans guidage par l’image, des marges prostatiques postérieures de 5 mm sont insuffisantes et devraient être supérieures à 8 mm. Le recalage prostatique par l’image permet de presque doubler le volume ayant une certitude de présence de la prostate et des vésicules séminales par rapport à un recalage cutané. Les déformations des vésicules séminales nécessiteraient soit un élargissement des marges (simple), soit une nouvelle planification (complexe, non réaliste).Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41024
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 365-374[article] Bénéfice volumétrique de la radiothérapie guidée par l'image dans les cancers prostatiques : marges et cartogarphies de probabilité de présence [texte imprimé] / G. Cazoulat ; R. De Crevoisier ; et al. . - 2009 . - p. 365-374.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 365-374
Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE INTERVENTIONNELLE PROSTATE CANCER THERAPEUTIQUE: Résumé : Objectifs :
Quantifier les variations anatomiques de la prostate et des vésicules séminales pour proposer des marges appropriées intégrant les variations anatomiques intrapelviennes. Quantifier sur le plan volumétrique l’apport d’un recalage prostatique en radiothérapie guidée par l’image (IGRT).
Patients et méthodes :
Vingt patients, irradiés pour un cancer de la prostate à une dose totale de 70 Gy, ont eu chacun un examen tomodensitométrique de planification et huit tomodensitométries, une par semaine, en cours d’irradiation. Après délinéation manuelle, les tomodensitométries hebdomadaires ont été recalées sur la tomodensitométrie de planification selon trois modalités : un recalage cutané (sur billes radioopaques), un recalage sur le squelette pelvien et un recalage sur la prostate. Pour chaque patient et chaque modalité de recalage, les déplacements de la prostate ont été quantifiés et des matrices de probabilité de présence de la prostate et des vésicules séminales ont été établies. Les volumes englobant différentes probabilités minimales de présence ont été comparés entre les trois modalités de recalage.
Résultats :
Pour la prostate, les déplacements intrapelviens (mesurés après recalage osseux) se traduisaient par une erreur systématique, une erreur aléatoire et une amplitude maximale respectivement de : 2,5 mm, 2,7 mm et 16,5 mm dans l’axe antéropostérieur ; 2,7 mm, 2,4 mm et 11,4 mm dans l’axe crâniospinal et 0,5 mm, 0,8 mm et 3,3 mm latéralement. Les marges correspondantes, calculées selon van Herk (probabilité que 90 % des patients aient leur prostate inclus dans l’isodose 95 %), étaient respectivement de : 8 mm, 8,3 mm et 1,9 mm. Pour la prostate, une certitude de présence (100 %) correspondait en moyenne à 37 %, 50 % ou 61 % du volume prostatique selon la modalité de recalage. Pour les vésicules séminales, ces volumes correspondaient à 8 %, 14 % et 18 %.
Conclusion :
Sans guidage par l’image, des marges prostatiques postérieures de 5 mm sont insuffisantes et devraient être supérieures à 8 mm. Le recalage prostatique par l’image permet de presque doubler le volume ayant une certitude de présence de la prostate et des vésicules séminales par rapport à un recalage cutané. Les déformations des vésicules séminales nécessiteraient soit un élargissement des marges (simple), soit une nouvelle planification (complexe, non réaliste).Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41024 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Système d’imagerie par tomographie conique de basse énergie (kV)de Varian™ : expérience de Montauban / P. Dudouet in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Système d’imagerie par tomographie conique de basse énergie (kV)de Varian™ : expérience de Montauban Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Dudouet ; C. Boutry ; G. Mounié ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 375-383 Langues : Français (fre) Mots-clés : IMAGERIE MEDICALE TOMOSCINTIGRAPHIE PROSTATE CANCER Résumé : Objectif de l’étude :
Décrire l’utilisation de l’imagerie embarquée par tomographie conique de basse énergie (CBCT kV) sur un accélérateur de particules Varian Clinac 2100™ dans le cas d’un patient traité pour un cancer prostatique.
Matériels et méthodes :
Une étude volumétrique et dosimétrique a été réalisée en 2006 à l’aide de plusieurs indices avec la plateforme logicielle Artiview® (Aquilab™) pour neuf patients et 76 tomographies coniques de basse énergie avec contours des organes cibles et à risque. Dans un second temps, les histogrammes dose–volume (HDV) réalisés pour un patient traité en 2007 par irradiation conformationnelle avec modulation d’intensité ont été comparés avec les données de l’étude de 2006. Des règles hygiénodiététiques strictes ont été établies avec recalage quotidien prostate sur prostate en 2007, alors qu’en 2006, le recalage était uniquement osseux.
Résultats :
Analyse 2006 : l’analyse montre une grande variabilité en dimension des organes étudiés. Les vésicules séminales sont fortement influencées par les organes adjacents, les écarts constatés pour la prostate sont en rapport avec les incertitudes de délinéation, essentiellement au niveau de l’apex. Un décalage interséances a été observé pour le rectum, la vessie et les vésicules séminales. La part de volume prostatique non englobé par le volume cible prévisionnel (PTV) ne représentait que 2,5 %. Le volume des vésicules séminales se retrouvait en dehors du PTV dans 35 % des cas. L’indice de conformation tumorale (ICT) était dans 22 % des cas inférieurs à 97,5 %. L’analyse du déplacement du barycentre de la prostate au cours du traitement montrait une variation supérieure à 5 mm dans le sens antéropostérieur. Cela a conduit, notamment, à la mise en place de contentions adaptées et de règle hygiénodiététiques pour le patient, appliquées pour l’étude de 2007. Depuis avril 2007, la plupart de nos patients sont traités avec modulation d’intensité pour la seconde phase d’irradiation concernant la prostate seule. L’analyse comparative des histogrammes dose–volume a montré une grande dispersion pour les patients de 2006 mais non pour ceux de 2007.
Conclusions :
La RCMI couplée au guidage par l’image doit nous amener à revoir nos marges de PTV. Nous insisterons sur l’importance des règles strictes hygiénodiététiques pour lutter contre la distention rectale, source d’échec thérapeutique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41025
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 375-383[article] Système d’imagerie par tomographie conique de basse énergie (kV)de Varian™ : expérience de Montauban [texte imprimé] / P. Dudouet ; C. Boutry ; G. Mounié ; et al. . - 2009 . - p. 375-383.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 375-383
Mots-clés : IMAGERIE MEDICALE TOMOSCINTIGRAPHIE PROSTATE CANCER Résumé : Objectif de l’étude :
Décrire l’utilisation de l’imagerie embarquée par tomographie conique de basse énergie (CBCT kV) sur un accélérateur de particules Varian Clinac 2100™ dans le cas d’un patient traité pour un cancer prostatique.
Matériels et méthodes :
Une étude volumétrique et dosimétrique a été réalisée en 2006 à l’aide de plusieurs indices avec la plateforme logicielle Artiview® (Aquilab™) pour neuf patients et 76 tomographies coniques de basse énergie avec contours des organes cibles et à risque. Dans un second temps, les histogrammes dose–volume (HDV) réalisés pour un patient traité en 2007 par irradiation conformationnelle avec modulation d’intensité ont été comparés avec les données de l’étude de 2006. Des règles hygiénodiététiques strictes ont été établies avec recalage quotidien prostate sur prostate en 2007, alors qu’en 2006, le recalage était uniquement osseux.
Résultats :
Analyse 2006 : l’analyse montre une grande variabilité en dimension des organes étudiés. Les vésicules séminales sont fortement influencées par les organes adjacents, les écarts constatés pour la prostate sont en rapport avec les incertitudes de délinéation, essentiellement au niveau de l’apex. Un décalage interséances a été observé pour le rectum, la vessie et les vésicules séminales. La part de volume prostatique non englobé par le volume cible prévisionnel (PTV) ne représentait que 2,5 %. Le volume des vésicules séminales se retrouvait en dehors du PTV dans 35 % des cas. L’indice de conformation tumorale (ICT) était dans 22 % des cas inférieurs à 97,5 %. L’analyse du déplacement du barycentre de la prostate au cours du traitement montrait une variation supérieure à 5 mm dans le sens antéropostérieur. Cela a conduit, notamment, à la mise en place de contentions adaptées et de règle hygiénodiététiques pour le patient, appliquées pour l’étude de 2007. Depuis avril 2007, la plupart de nos patients sont traités avec modulation d’intensité pour la seconde phase d’irradiation concernant la prostate seule. L’analyse comparative des histogrammes dose–volume a montré une grande dispersion pour les patients de 2006 mais non pour ceux de 2007.
Conclusions :
La RCMI couplée au guidage par l’image doit nous amener à revoir nos marges de PTV. Nous insisterons sur l’importance des règles strictes hygiénodiététiques pour lutter contre la distention rectale, source d’échec thérapeutique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41025 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Radiothérapie guidée par l’image avec le Cone Beam CT kV (Elekta™) : expérience du centre Léon-Bérard / P. Pommier in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Radiothérapie guidée par l’image avec le Cone Beam CT kV (Elekta™) : expérience du centre Léon-Bérard Type de document : texte imprimé Auteurs : P. Pommier ; F. Gassa ; F. Lafay ; L. Claude Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 384-390 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE INTERVENIONNELLE PROSTATE CANCER POUMON CANCER Résumé : La radiothérapie guidée par l’image (IGRT) utilisant la tomographie conique de base énergie (Cone Beam CT kV [CBCT-kV]) d’Elekta™ a été mise en place au centre Léon-Bérard en novembre 2006. La procédure thérapeutique est décrite et détaillée pour la radiothérapie guidée par l’image des cancers de la prostate et la radiothérapie en conditions stéréotaxiques des cancers pulmonaires non à petites cellules. La tomographie conique de basse énergie est utilisée en routine pour la radiothérapie en conditions stéréotaxiques, certains cancers de l’enfant, les cancers de la prostate, les tumeurs cérébrales primitives et les cancers ORL sans irradiation ganglionnaire. De 35 à 40 patients sont traités quotidiennement sur une période de 11 heures. Les procédures d’acquisition et d’analyse des images sont détaillées. La tomographie conique de basse énergie a permis d’identifier environ 10 % de patients traités pour un cancer de la prostate pour lesquels un positionnement bidimensionnel osseux seul aurait conduit à une distribution de dose non acceptable pour au moins une séance. La radiothérapie en conditions stéréotaxiques est réalisée en routine pour les tumeurs bronchiques non à petites cellules périphériques inopérables. La simplicité de mise en place de la tomographie conique de basse énergie et les bénéfices cliniques attendus devraient conduire à une diffusion rapide de cette technologie. Des évaluations médicoéconomiques multicentriques (comparatives avec le Cyberknife® pour la radiothérapie en conditions stéréotaxiques thoracique) sont en cours. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41026
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 384-390[article] Radiothérapie guidée par l’image avec le Cone Beam CT kV (Elekta™) : expérience du centre Léon-Bérard [texte imprimé] / P. Pommier ; F. Gassa ; F. Lafay ; L. Claude . - 2009 . - p. 384-390.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 384-390
Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE INTERVENIONNELLE PROSTATE CANCER POUMON CANCER Résumé : La radiothérapie guidée par l’image (IGRT) utilisant la tomographie conique de base énergie (Cone Beam CT kV [CBCT-kV]) d’Elekta™ a été mise en place au centre Léon-Bérard en novembre 2006. La procédure thérapeutique est décrite et détaillée pour la radiothérapie guidée par l’image des cancers de la prostate et la radiothérapie en conditions stéréotaxiques des cancers pulmonaires non à petites cellules. La tomographie conique de basse énergie est utilisée en routine pour la radiothérapie en conditions stéréotaxiques, certains cancers de l’enfant, les cancers de la prostate, les tumeurs cérébrales primitives et les cancers ORL sans irradiation ganglionnaire. De 35 à 40 patients sont traités quotidiennement sur une période de 11 heures. Les procédures d’acquisition et d’analyse des images sont détaillées. La tomographie conique de basse énergie a permis d’identifier environ 10 % de patients traités pour un cancer de la prostate pour lesquels un positionnement bidimensionnel osseux seul aurait conduit à une distribution de dose non acceptable pour au moins une séance. La radiothérapie en conditions stéréotaxiques est réalisée en routine pour les tumeurs bronchiques non à petites cellules périphériques inopérables. La simplicité de mise en place de la tomographie conique de basse énergie et les bénéfices cliniques attendus devraient conduire à une diffusion rapide de cette technologie. Des évaluations médicoéconomiques multicentriques (comparatives avec le Cyberknife® pour la radiothérapie en conditions stéréotaxiques thoracique) sont en cours. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41026 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Le CyberKnife® : expérience du centre Oscar-Lambret / T. Lacornerie in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Le CyberKnife® : expérience du centre Oscar-Lambret Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Lacornerie ; X. Mirabel ; E. Lartigau Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 391-398 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE Résumé : Les traitements par CyberKnife® ont démarré au centre Oscar-Lambret de Lille en juin 2007. Le programme s’est centré sur le traitement d’indications ciblées : réirradiations de tumeurs de la sphère ORL, irradiation de tumeurs hépatiques, dont les résultats préliminaires sont présentés. Le système comprend plusieurs modes de repositionnement des cibles fixes et de suivi des cibles mobiles avec la respiration. À chacun de ces modes est associé un contrôle de qualité spécifique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41027
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 391-398[article] Le CyberKnife® : expérience du centre Oscar-Lambret [texte imprimé] / T. Lacornerie ; X. Mirabel ; E. Lartigau . - 2009 . - p. 391-398.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 391-398
Mots-clés : RADIOTHERAPIE Résumé : Les traitements par CyberKnife® ont démarré au centre Oscar-Lambret de Lille en juin 2007. Le programme s’est centré sur le traitement d’indications ciblées : réirradiations de tumeurs de la sphère ORL, irradiation de tumeurs hépatiques, dont les résultats préliminaires sont présentés. Le système comprend plusieurs modes de repositionnement des cibles fixes et de suivi des cibles mobiles avec la respiration. À chacun de ces modes est associé un contrôle de qualité spécifique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41027 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Quelle radiothérapie guidée par l’image pour quels patients? Expérience concomitante de l’utilisation de trois dispositifs d’imagerie de repositionnement dans le cas du cancer de la prostate / G. Delpon in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Quelle radiothérapie guidée par l’image pour quels patients? Expérience concomitante de l’utilisation de trois dispositifs d’imagerie de repositionnement dans le cas du cancer de la prostate Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Delpon ; C. Llagostera ; M. Le Blanc ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 399-407 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE INTERVENTIONNELLE PROSTATE CANCER Résumé : Introduction :
L’objectif de cet article est de rapporter l’expérience acquise au centre de lutte contre le cancer Nantes-Atlantique de la radiothérapie guidée par l’image à travers l’utilisation de trois dispositifs d’imagerie de repositionnement, l’ExacTrac® (BrainLAB™), l’OBI-CBCT (Varian™) et le MVCT (Tomotherapy Inc™), dans le cadre de la prise en charge de patients traités par irradiation externe pour un cancer de la prostate.
Matériel et méthodes :
Pour chacun des systèmes présentés, la technique d’irradiation a été décrite, ainsi que le protocole d’imagerie associé. Une étude sur les décalages effectués à chaque session d’imagerie a été menée. Avec le système ExacTrac®, une comparaison a été faite selon que les décalages réalisés quotidiennement étaient calculés sur les structures anatomiques ou sur les positions d’implants radio-opaques intraprostatiques pour huit patients. De plus, en considérant les décalages moyens sur toute la durée d’un traitement, l’impact dosimétrique des décalages a été estimé. Pour le système OBI-CBCT, deux modalités d’imagerie ont été utilisées, soit deux images orthogonales de basse énergie (kV–kV), soit une tomographie conique (CBCT). Jusqu’à présent, quelle que soit la modalité, le recalage a toujours été effectué sur les repères osseux. Les décalages appliqués ont été comparés pour 26 patients. Enfin, pour la tomographie conique de haute énergie (MVCT), une imagerie quotidienne a été systématiquement réalisée pour tous les patients. La valeur moyenne des décalages relevés après cinq séances a été calculée. Pour le reste des séances, pour 12 patients, l’écart à cette valeur a été calculé pour montrer la pertinence ou non d’une imagerie quotidienne.
Résultats et conclusion :
Ce travail a permis de rapporter l’intégration des dispositifs de repositionnement dans le service de radiothérapie. Il montre également les perspectives offertes par ces différents systèmes. Ils autorisent au minimum d’assurer un repositionnement quotidien, et ils laissent entrevoir la future possibilité de réaliser des radiothérapies guidées par la dose.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41028
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 399-407[article] Quelle radiothérapie guidée par l’image pour quels patients? Expérience concomitante de l’utilisation de trois dispositifs d’imagerie de repositionnement dans le cas du cancer de la prostate [texte imprimé] / G. Delpon ; C. Llagostera ; M. Le Blanc ; et al. . - 2009 . - p. 399-407.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 399-407
Mots-clés : RADIOTHERAPIE IMAGERIE INTERVENTIONNELLE PROSTATE CANCER Résumé : Introduction :
L’objectif de cet article est de rapporter l’expérience acquise au centre de lutte contre le cancer Nantes-Atlantique de la radiothérapie guidée par l’image à travers l’utilisation de trois dispositifs d’imagerie de repositionnement, l’ExacTrac® (BrainLAB™), l’OBI-CBCT (Varian™) et le MVCT (Tomotherapy Inc™), dans le cadre de la prise en charge de patients traités par irradiation externe pour un cancer de la prostate.
Matériel et méthodes :
Pour chacun des systèmes présentés, la technique d’irradiation a été décrite, ainsi que le protocole d’imagerie associé. Une étude sur les décalages effectués à chaque session d’imagerie a été menée. Avec le système ExacTrac®, une comparaison a été faite selon que les décalages réalisés quotidiennement étaient calculés sur les structures anatomiques ou sur les positions d’implants radio-opaques intraprostatiques pour huit patients. De plus, en considérant les décalages moyens sur toute la durée d’un traitement, l’impact dosimétrique des décalages a été estimé. Pour le système OBI-CBCT, deux modalités d’imagerie ont été utilisées, soit deux images orthogonales de basse énergie (kV–kV), soit une tomographie conique (CBCT). Jusqu’à présent, quelle que soit la modalité, le recalage a toujours été effectué sur les repères osseux. Les décalages appliqués ont été comparés pour 26 patients. Enfin, pour la tomographie conique de haute énergie (MVCT), une imagerie quotidienne a été systématiquement réalisée pour tous les patients. La valeur moyenne des décalages relevés après cinq séances a été calculée. Pour le reste des séances, pour 12 patients, l’écart à cette valeur a été calculé pour montrer la pertinence ou non d’une imagerie quotidienne.
Résultats et conclusion :
Ce travail a permis de rapporter l’intégration des dispositifs de repositionnement dans le service de radiothérapie. Il montre également les perspectives offertes par ces différents systèmes. Ils autorisent au minimum d’assurer un repositionnement quotidien, et ils laissent entrevoir la future possibilité de réaliser des radiothérapies guidées par la dose.
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Radiothérapie de conformation avec modulation d'intensité dans le cancer de la prostate : vers un nouveau standard / D. Azria in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Radiothérapie de conformation avec modulation d'intensité dans le cancer de la prostate : vers un nouveau standard Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Azria ; N. Aillères ; C. Llacer Moscardo ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 409-415 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE PROSTATE CANCER Résumé : La radiothérapie représente une arme thérapeutique indiscutable dans les cancers localisés de la prostate. Les progrès techniques, notamment avec l’avènement de la radiothérapie de conformation, ont permis de délivrer des doses élevées au volume cible en contribuant ainsi à une amélioration des taux de contrôle local et de survie sans récidive. Une étape supplémentaire dans le rapport entre la dose délivrée aux volumes cibles et aux organes critiques a été franchie par l’utilisation de la radiothérapie de conformation avec modulation d’intensité (RCMI). La RCMI associe à la radiothérapie de conformation deux concepts récents permettant une optimisation informatique des traitements : la planification dosimétrique inverse et la modulation de l’intensité des faisceaux pendant l’irradiation. Cet article présente les avancées techniques et cliniques de la RCMI et les différentes applications dans le cancer de la prostate. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41029
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 409-415[article] Radiothérapie de conformation avec modulation d'intensité dans le cancer de la prostate : vers un nouveau standard [texte imprimé] / D. Azria ; N. Aillères ; C. Llacer Moscardo ; et al. . - 2009 . - p. 409-415.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 409-415
Mots-clés : RADIOTHERAPIE PROSTATE CANCER Résumé : La radiothérapie représente une arme thérapeutique indiscutable dans les cancers localisés de la prostate. Les progrès techniques, notamment avec l’avènement de la radiothérapie de conformation, ont permis de délivrer des doses élevées au volume cible en contribuant ainsi à une amélioration des taux de contrôle local et de survie sans récidive. Une étape supplémentaire dans le rapport entre la dose délivrée aux volumes cibles et aux organes critiques a été franchie par l’utilisation de la radiothérapie de conformation avec modulation d’intensité (RCMI). La RCMI associe à la radiothérapie de conformation deux concepts récents permettant une optimisation informatique des traitements : la planification dosimétrique inverse et la modulation de l’intensité des faisceaux pendant l’irradiation. Cet article présente les avancées techniques et cliniques de la RCMI et les différentes applications dans le cancer de la prostate. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41029 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt L'irradiation pelvienne est-elle toujours justifiée dans le traitement des cancers de la prostate par irradiation exclusive ? / O. Chapet in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : L'irradiation pelvienne est-elle toujours justifiée dans le traitement des cancers de la prostate par irradiation exclusive ? Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Chapet ; D. Azria ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 416-422 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOTHERAPIE GANGLION PELVIS Résumé : Le cancer de prostate s’accompagne d’un risque d’envahissement ganglionnaire qui augmente avec le stade clinique, le score de Gleason et la concentration sérique de PSA. Dès que le risque d’atteinte ganglionnaire atteignait 15 %, il a été proposé d’associer une irradiation pelvienne à l’irradiation de la prostate malgré l’augmentation potentielle du risque de toxicité urinaire et digestive. Les résultats d’études récentes semblent cependant remettre en cause cette approche thérapeutique. Cette revue de la littérature se propose d’évaluer si l’irradiation pelvienne à toujours une place dans le traitement des cancers de la prostate par irradiation exclusive. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41030
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 416-422[article] L'irradiation pelvienne est-elle toujours justifiée dans le traitement des cancers de la prostate par irradiation exclusive ? [texte imprimé] / O. Chapet ; D. Azria ; et al. . - 2009 . - p. 416-422.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 416-422
Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOTHERAPIE GANGLION PELVIS Résumé : Le cancer de prostate s’accompagne d’un risque d’envahissement ganglionnaire qui augmente avec le stade clinique, le score de Gleason et la concentration sérique de PSA. Dès que le risque d’atteinte ganglionnaire atteignait 15 %, il a été proposé d’associer une irradiation pelvienne à l’irradiation de la prostate malgré l’augmentation potentielle du risque de toxicité urinaire et digestive. Les résultats d’études récentes semblent cependant remettre en cause cette approche thérapeutique. Cette revue de la littérature se propose d’évaluer si l’irradiation pelvienne à toujours une place dans le traitement des cancers de la prostate par irradiation exclusive. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41030 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Quel avenir pour la radiothérapie peropératoire ? in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Quel avenir pour la radiothérapie peropératoire ? Type de document : texte imprimé Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 423-427 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE SOINS PEROPERATOIRES Résumé : La radiothérapie peropératoire, dont les premières publications ont été faites au Japon il y a une quarantaine d’années puis aux États-Unis, en Europe et en France dix ans plus tard, a été pratiquée avec des électrons avec des techniques assez uniformes, mais dans des indications très diverses selon les équipes. Par sa contribution à l’augmentation de la dose totale, elle permet d’espérer une amélioration du contrôle local et par son épargne des tissus sains, une réduction du taux des complications radiques. Après une période de tentative dans des domaines multiples visant à tester l’utilité et la faisabilité de la radiothérapie peropératoire, on observe une phase de stabilisation des indications : évolutions premières ou récidivantes de tumeurs digestives, gynécologiques, des sarcomes rétropéritonéaux. Plus récemment, le développement du concept de radiothérapie partielle dans le cancer du sein a permis l’utilisation de la radiothérapie peropératoire dans cette tumeur avec des indications plus nombreuses du fait de sa fréquence. Des études de phase II ont évalué cette technique soit en boost soit en radiothérapie exclusive non-fractionnée pendant la procédure chirurgicale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41031
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 423-427[article] Quel avenir pour la radiothérapie peropératoire ? [texte imprimé] . - 2009 . - p. 423-427.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 423-427
Mots-clés : RADIOTHERAPIE SOINS PEROPERATOIRES Résumé : La radiothérapie peropératoire, dont les premières publications ont été faites au Japon il y a une quarantaine d’années puis aux États-Unis, en Europe et en France dix ans plus tard, a été pratiquée avec des électrons avec des techniques assez uniformes, mais dans des indications très diverses selon les équipes. Par sa contribution à l’augmentation de la dose totale, elle permet d’espérer une amélioration du contrôle local et par son épargne des tissus sains, une réduction du taux des complications radiques. Après une période de tentative dans des domaines multiples visant à tester l’utilité et la faisabilité de la radiothérapie peropératoire, on observe une phase de stabilisation des indications : évolutions premières ou récidivantes de tumeurs digestives, gynécologiques, des sarcomes rétropéritonéaux. Plus récemment, le développement du concept de radiothérapie partielle dans le cancer du sein a permis l’utilisation de la radiothérapie peropératoire dans cette tumeur avec des indications plus nombreuses du fait de sa fréquence. Des études de phase II ont évalué cette technique soit en boost soit en radiothérapie exclusive non-fractionnée pendant la procédure chirurgicale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41031 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Irradiation corporelle totale : présent et avenir / T. Zilli in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Irradiation corporelle totale : présent et avenir Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Zilli ; R. Miralbell ; M. Ozsahin Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 428-433 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE MOELLE OSSEUSE GREFFE Résumé : L’irradiation corporelle totale fait désormais partie intégrante du conditionnement précédant la greffe de moelle osseuse dans le cadre du traitement des hémopathies malignes. Différentes études randomisées ont démontré que les résultats cliniques obtenus par l’association d’irradiation corporelle totale et de cyclophosphamide sont également prometteurs, voire dans certains cas supérieurs aux régimes de conditionnement associant uniquement des chimiothérapies. Malgré les avancées thérapeutiques des dernières années et l’amélioration de la probabilité de survie à long terme, ce type de conditionnement reste lié à un taux relativement important des toxicité aiguë et surtout tardive. Dans cet article, nous évaluons d’abord les indications de l’irradiation corporelle totale dans la pratique clinique actuelle, pour ensuite analyser les progrès techniques qui se sont faits récemment dans ce domaine. Nous nous focalisons aussi sur l’hypothèse d’effectuer une irradiation sélective des organes hématopoïétiques ou lymphoïdes par une modulation d’intensité, en analysant ses contraintes techniques ainsi que les résultats préliminaires en termes de toxicité à court et à long terme. Avec ces progrès technologiques, la toxicité secondaire à l’irradiation corporelle totale peut en conséquence ne plus être un facteur limitant dans les protocoles de conditionnement actuellement en vigueur, permettant, par exemple, une expansion de l’indication à ce type de traitement à d’autres maladies et à des patients de plus de 50 ans, ainsi qu’une possible escalade de dose. Toutefois, il s’agit encore de données provisoires qui méritent une validation dans des études cliniques afin d’évaluer l’impact dans le contrôle de la maladie ainsi que la toxicité à long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41032
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 428-433[article] Irradiation corporelle totale : présent et avenir [texte imprimé] / T. Zilli ; R. Miralbell ; M. Ozsahin . - 2009 . - p. 428-433.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 428-433
Mots-clés : RADIOTHERAPIE MOELLE OSSEUSE GREFFE Résumé : L’irradiation corporelle totale fait désormais partie intégrante du conditionnement précédant la greffe de moelle osseuse dans le cadre du traitement des hémopathies malignes. Différentes études randomisées ont démontré que les résultats cliniques obtenus par l’association d’irradiation corporelle totale et de cyclophosphamide sont également prometteurs, voire dans certains cas supérieurs aux régimes de conditionnement associant uniquement des chimiothérapies. Malgré les avancées thérapeutiques des dernières années et l’amélioration de la probabilité de survie à long terme, ce type de conditionnement reste lié à un taux relativement important des toxicité aiguë et surtout tardive. Dans cet article, nous évaluons d’abord les indications de l’irradiation corporelle totale dans la pratique clinique actuelle, pour ensuite analyser les progrès techniques qui se sont faits récemment dans ce domaine. Nous nous focalisons aussi sur l’hypothèse d’effectuer une irradiation sélective des organes hématopoïétiques ou lymphoïdes par une modulation d’intensité, en analysant ses contraintes techniques ainsi que les résultats préliminaires en termes de toxicité à court et à long terme. Avec ces progrès technologiques, la toxicité secondaire à l’irradiation corporelle totale peut en conséquence ne plus être un facteur limitant dans les protocoles de conditionnement actuellement en vigueur, permettant, par exemple, une expansion de l’indication à ce type de traitement à d’autres maladies et à des patients de plus de 50 ans, ainsi qu’une possible escalade de dose. Toutefois, il s’agit encore de données provisoires qui méritent une validation dans des études cliniques afin d’évaluer l’impact dans le contrôle de la maladie ainsi que la toxicité à long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41032 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge adjuvante des cancers invasifs du sein : les techniques de radiothérapie modifient-elles les taux de contrôle local et de survie ? / D. Azria in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Prise en charge adjuvante des cancers invasifs du sein : les techniques de radiothérapie modifient-elles les taux de contrôle local et de survie ? Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Azria ; C. Hennequin Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 434-445 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE MASTECTOMIE DOSIMETRIE RESPIRATION PREVENTION TOXICITE Résumé : Le traitement classique comprenant une radiothérapie de l’ensemble du sein de 50 Gy et un complément d’irradiation du lit de tumorectomie reste le standard. Après mastectomie, l’irradiation de toutes les patientes dont les ganglions axillaires sont atteints semble légitime. Les modifications de la technique font intervenir plusieurs paramètres, dont la dose par fraction, avec la publication de différentes études d’hypofractionnement accéléré à volume constant. Une population atteinte de cancer à très faible risque de récidive pourrait en bénéficier. Dans un volume réduit, l’hypofractionnement accéléré fait encore partie de la recherche clinique et plusieurs méthodes sont en cours d’évaluation, dont la radiothérapie peropératoire, la curiethérapie, la technique du Mammosite®, la radiothérapie externe partielle. Le développement des nouvelles techniques, dont la modulation d’intensité, permettrait de réduire le taux d’épidermite exsudative. L’asservissement à la respiration permet de réduire les doses délivrées aux tissus sains, notamment le cœur, le poumon et les côtes. Enfin, la biologie permettra d’identifier les patientes à risque de toxicité importante et d’adapter la technique afin d’optimiser l’indice thérapeutique à long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41033
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 434-445[article] Prise en charge adjuvante des cancers invasifs du sein : les techniques de radiothérapie modifient-elles les taux de contrôle local et de survie ? [texte imprimé] / D. Azria ; C. Hennequin . - 2009 . - p. 434-445.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 434-445
Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE MASTECTOMIE DOSIMETRIE RESPIRATION PREVENTION TOXICITE Résumé : Le traitement classique comprenant une radiothérapie de l’ensemble du sein de 50 Gy et un complément d’irradiation du lit de tumorectomie reste le standard. Après mastectomie, l’irradiation de toutes les patientes dont les ganglions axillaires sont atteints semble légitime. Les modifications de la technique font intervenir plusieurs paramètres, dont la dose par fraction, avec la publication de différentes études d’hypofractionnement accéléré à volume constant. Une population atteinte de cancer à très faible risque de récidive pourrait en bénéficier. Dans un volume réduit, l’hypofractionnement accéléré fait encore partie de la recherche clinique et plusieurs méthodes sont en cours d’évaluation, dont la radiothérapie peropératoire, la curiethérapie, la technique du Mammosite®, la radiothérapie externe partielle. Le développement des nouvelles techniques, dont la modulation d’intensité, permettrait de réduire le taux d’épidermite exsudative. L’asservissement à la respiration permet de réduire les doses délivrées aux tissus sains, notamment le cœur, le poumon et les côtes. Enfin, la biologie permettra d’identifier les patientes à risque de toxicité importante et d’adapter la technique afin d’optimiser l’indice thérapeutique à long terme. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41033 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Evaluation par tomodensitométrie du repositionnement en radiothérapie stéréotaxique fractionnée cérébrale / D. Pasquier in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Evaluation par tomodensitométrie du repositionnement en radiothérapie stéréotaxique fractionnée cérébrale Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Pasquier ; F. Dubus ; B. Castelain ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 446-450 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE STEREOTAXIE RADIOCHIRURGIE CONTENTION POSITIONNEMENT Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer par tomodensitométrie le repositionnement en utilisant le masque Brain Lab™ avec le support dentaire standard en radiothérapie stéréotaxique cérébrale fractionnée dans le cadre d’un programme soutien aux thérapeutiques innovantes et coûteuses (Stic).
Patients et méthodes :
Trois marqueurs métalliques millimétriques ont été disposés sur le masque afin de déterminer un isocentre. Une tomodensitométrie de contrôle a été réalisée avant ou après l’une des trois séances de traitement ; au total, 50 tomodensitométries de planification et de contrôle ont été réalisées chez 25 patients. Le recalage des images des deux examens permettait de calculer le déplacement de l’isocentre. Le déplacement total du centre du volume cible prévisionnel (PTV) était calculé d’après sa position relative par rapport à l’isocentre (vecteur tridimensionnel).
Résultats :
Les translations moyennes (± écart-type) de l’isocentre en prenant en compte la direction étaient respectivement de −0,01 ± 0,7, −0,2 ± 1,3 et 0,07 ± 0,5 mm selon les axes médiolatéral, crâniocaudal et antéropostérieur. Les rotations moyennes (± écart-type) étaient respectivement de −0,02 ± 0,6, −0,08 ± 0,3 et −0,1 ± 0,3 degré selon les axes médiolatéral, crâniocaudal et antéropostérieur. Le déplacement moyen du volume cible prévisionnel était de 1,8 ± 1,5 mm. Son déplacement était inférieur à 2 et 3 mm chez respectivement 19 et 23 des 25 patients.
Conclusion :
Nos résultats sont comparables à ceux retrouvés dans la littérature et paraissent reproductibles avec le support dentaire standard.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41034
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 446-450[article] Evaluation par tomodensitométrie du repositionnement en radiothérapie stéréotaxique fractionnée cérébrale [texte imprimé] / D. Pasquier ; F. Dubus ; B. Castelain ; et al. . - 2009 . - p. 446-450.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 446-450
Mots-clés : RADIOTHERAPIE STEREOTAXIE RADIOCHIRURGIE CONTENTION POSITIONNEMENT Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer par tomodensitométrie le repositionnement en utilisant le masque Brain Lab™ avec le support dentaire standard en radiothérapie stéréotaxique cérébrale fractionnée dans le cadre d’un programme soutien aux thérapeutiques innovantes et coûteuses (Stic).
Patients et méthodes :
Trois marqueurs métalliques millimétriques ont été disposés sur le masque afin de déterminer un isocentre. Une tomodensitométrie de contrôle a été réalisée avant ou après l’une des trois séances de traitement ; au total, 50 tomodensitométries de planification et de contrôle ont été réalisées chez 25 patients. Le recalage des images des deux examens permettait de calculer le déplacement de l’isocentre. Le déplacement total du centre du volume cible prévisionnel (PTV) était calculé d’après sa position relative par rapport à l’isocentre (vecteur tridimensionnel).
Résultats :
Les translations moyennes (± écart-type) de l’isocentre en prenant en compte la direction étaient respectivement de −0,01 ± 0,7, −0,2 ± 1,3 et 0,07 ± 0,5 mm selon les axes médiolatéral, crâniocaudal et antéropostérieur. Les rotations moyennes (± écart-type) étaient respectivement de −0,02 ± 0,6, −0,08 ± 0,3 et −0,1 ± 0,3 degré selon les axes médiolatéral, crâniocaudal et antéropostérieur. Le déplacement moyen du volume cible prévisionnel était de 1,8 ± 1,5 mm. Son déplacement était inférieur à 2 et 3 mm chez respectivement 19 et 23 des 25 patients.
Conclusion :
Nos résultats sont comparables à ceux retrouvés dans la littérature et paraissent reproductibles avec le support dentaire standard.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41034 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Deux cas de tumeurs osseuses à cellules géantes du rachis et revue de la littérature / T. Chekrine in Cancer Radiothérapie, 13/5 (Septembre 2009)
[article]
Titre : Deux cas de tumeurs osseuses à cellules géantes du rachis et revue de la littérature Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Chekrine ; N. Tawfiq ; Z. Bourhaleb ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 451-454 Langues : Français (fre) Mots-clés : OS TUMEUR RADIOTHERAPIE RACHIS Résumé : Les tumeurs osseuses à cellules géantes sont relativement rares, le plus souvent bénignes, caractérisées par leur agressivité locale. Nous rapportons deux cas de tumeur osseuse à cellules géantes rachidienne, un chez une femme de 51 ans et l’autre chez un adolescent de 14 dans un tableau de douleurs rachidiennes et de compression médullaire. L’examen scanographique/remnographique lombaire a montré un processus ostéolytique soufflant la corticale du corps et de l’arc postérieur de L5 dans le premier cas, un comblement du canal de conjugaison et un processus vertébrocanalaire de D6–D7 avec compression médullaire dans le second. Le diagnostic a été confirmé par examen histologique de les deux cas. Une irradiation externe de 45 Gy de L4, L5 et du sacrum délivrée dans le premier cas et de 40 Gy de D4 à D9 avec un complément 6 Gy de D5 à D8 dans le second cas. Les deux patients sont en vie sans évolution de leur maladie avec des reculs de cinq ans et 18 mois. La radiothérapie peut être proposée comme traitement de référence pour les cas de tumeur osseuse à cellules géantes non résécable ou lorsque la chirurgie serait responsable d’un déficit fonctionnel majeur. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41035
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 451-454[article] Deux cas de tumeurs osseuses à cellules géantes du rachis et revue de la littérature [texte imprimé] / T. Chekrine ; N. Tawfiq ; Z. Bourhaleb ; et al. . - 2009 . - p. 451-454.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/5 (Septembre 2009) . - p. 451-454
Mots-clés : OS TUMEUR RADIOTHERAPIE RACHIS Résumé : Les tumeurs osseuses à cellules géantes sont relativement rares, le plus souvent bénignes, caractérisées par leur agressivité locale. Nous rapportons deux cas de tumeur osseuse à cellules géantes rachidienne, un chez une femme de 51 ans et l’autre chez un adolescent de 14 dans un tableau de douleurs rachidiennes et de compression médullaire. L’examen scanographique/remnographique lombaire a montré un processus ostéolytique soufflant la corticale du corps et de l’arc postérieur de L5 dans le premier cas, un comblement du canal de conjugaison et un processus vertébrocanalaire de D6–D7 avec compression médullaire dans le second. Le diagnostic a été confirmé par examen histologique de les deux cas. Une irradiation externe de 45 Gy de L4, L5 et du sacrum délivrée dans le premier cas et de 40 Gy de D4 à D9 avec un complément 6 Gy de D5 à D8 dans le second cas. Les deux patients sont en vie sans évolution de leur maladie avec des reculs de cinq ans et 18 mois. La radiothérapie peut être proposée comme traitement de référence pour les cas de tumeur osseuse à cellules géantes non résécable ou lorsque la chirurgie serait responsable d’un déficit fonctionnel majeur. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41035 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt