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Cancer Radiothérapie . 13/4Mention de date : Juillet 2009Paru le : 01/07/2009 |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierLa prévention du cancer et la relation dose-effet : l'effet cancérogène des rayonnements ionisants / M. Tubiana in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : La prévention du cancer et la relation dose-effet : l'effet cancérogène des rayonnements ionisants Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Tubiana Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 238-258 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANCEROGENESE RADIOTHERAPIE COMPLICATION PREVENTION CANCER Résumé : L’accroissement récent des connaissances sur la cancérogenèse conduit à une remise en question de la stratégie de prévention des cancers car celle-ci doit être fondée sur des données robustes sous peine de perdre sa crédibilité. Depuis deux décennies, on sait que la lésion initiale du génome, qui résulte généralement d’une mutation (phase d’initiation), n’a pas l’importance qu’on lui accordait, elle donnait aux mutagènes extrinsèques un rôle primordial qui est discutable. En effet, l’oxygène au cours de son métabolisme dans la cellule donne naissance à des espèces actives qui sont des mutagènes puissants. Pour lutter contre elles, il existe des mécanismes de défense à l’échelle cellulaire (neutralisation des radicaux oxydatifs, réparation de l’ADN, élimination des cellules mutantes principalement par apoptose) qui sont très efficaces contre les autres agents mutagènes quand la quantité de cancérogène est faible, mais dont l’efficacité diminue quand cette quantité augmente. La seconde phase, dite de promotion, a une importance clé. Les agents promoteurs, soit comme les hormones, stimulent la prolifération, soit causent une surmortalité qui accélère indirectement la prolifération cellulaire (cytotoxiques physiques ou chimiques, virus, bactéries), soit enfin perturbent la signalisation intercellulaire. Au cours de cette phase, s’accumulent dans une même lignée cellulaire des altérations du génome qui graduellement affaiblissent les mécanismes de contrôle de la prolifération et d’élimination des cellules anormales. La promotion se termine quand les cellules précancéreuses sont devenues capables de se multiplier de façon autonome, ce qui résulte à la fois de l’acquisition de nouvelles propriétés par les cellules précancéreuses et de défaillances des systèmes de contrôle de leur prolifération à l’échelle du tissu et du microenvironnement. En effet, la prolifération des cellules initiées se heurte au contrôle de la prolifération qu’exercent les cellules saines voisines par contact direct ou par l’intermédiaire de cytokines. Ces défenses s’affaiblissent en cas de désorganisation tissulaire et peuvent être contournées ou surmontées par les mutations des cellules précancéreuses. Pendant la phase de progression, les cellules devenues autonomes acquièrent la capacité d’envahir les tissus sains, de résister à l’anoxie et de susciter une angiogenèse. Ce processus très long, de plusieurs décennies, mais qui peut être accéléré dans diverses circonstances, est fondé sur l’effet cumulatif d’une série de lésions spécifiques du génome. Contrairement à ce que l’on croyait, le cancer n’est pas le résultat d’une seule altération majeure du génome ; il apparaît que c’est plutôt la conséquence de l’effet cumulatif d’une série d’altérations distinctes. Les radiations ionisantes agissent d’abord comme des mutagènes, elles se heurtent donc aux mécanismes de défense cellulaires dont l’efficacité diminue quand la dose augmente, ce qui explique que l’effet mutagène (par unité de dose) augmente avec la dose et le débit de dose. Elles agissent aussi en stimulant la prolifération cellulaire (pour remplacer les cellules tuées) et en désorganisant les tissus. Contrairement à ce qui est souvent dit, il n’existe aucune preuve scientifique de l’hypothèse selon laquelle toute dose, si faible fut-elle, peut causer un cancer. Cette assertion est fondée sur la relation linéaire sans seuil dont la validité est contestable d’autant qu’elle surestime l’effet des faibles doses et sous-estime celui des fortes doses. Au contraire, les données biologiques suggèrent qu’en dessous d’une certaine dose, l’efficacité des mécanismes de défense est telle que le risque de cancérogenèse est très faible et pourrait être négligé. C’est le fondement du concept de seuil pratique. Il faut dans chaque situation estimer, de façon aussi rigoureuse que possible, le rapport bénéfice potentiel sur risque putatif. Toute surestimation du risque introduit un biais qui peut avoir des conséquences nocives. L’étude de malades traités par radiothérapie (plus d’un million par an dans l’ensemble des pays industrialisés) a un double intérêt : permettre de mieux comprendre la cancérogenèse en fonction de la dose et de réduire, grâce à des mesures appropriées, le risque de second cancer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41006
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 238-258[article] La prévention du cancer et la relation dose-effet : l'effet cancérogène des rayonnements ionisants [texte imprimé] / M. Tubiana . - 2009 . - p. 238-258.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 238-258
Mots-clés : CANCEROGENESE RADIOTHERAPIE COMPLICATION PREVENTION CANCER Résumé : L’accroissement récent des connaissances sur la cancérogenèse conduit à une remise en question de la stratégie de prévention des cancers car celle-ci doit être fondée sur des données robustes sous peine de perdre sa crédibilité. Depuis deux décennies, on sait que la lésion initiale du génome, qui résulte généralement d’une mutation (phase d’initiation), n’a pas l’importance qu’on lui accordait, elle donnait aux mutagènes extrinsèques un rôle primordial qui est discutable. En effet, l’oxygène au cours de son métabolisme dans la cellule donne naissance à des espèces actives qui sont des mutagènes puissants. Pour lutter contre elles, il existe des mécanismes de défense à l’échelle cellulaire (neutralisation des radicaux oxydatifs, réparation de l’ADN, élimination des cellules mutantes principalement par apoptose) qui sont très efficaces contre les autres agents mutagènes quand la quantité de cancérogène est faible, mais dont l’efficacité diminue quand cette quantité augmente. La seconde phase, dite de promotion, a une importance clé. Les agents promoteurs, soit comme les hormones, stimulent la prolifération, soit causent une surmortalité qui accélère indirectement la prolifération cellulaire (cytotoxiques physiques ou chimiques, virus, bactéries), soit enfin perturbent la signalisation intercellulaire. Au cours de cette phase, s’accumulent dans une même lignée cellulaire des altérations du génome qui graduellement affaiblissent les mécanismes de contrôle de la prolifération et d’élimination des cellules anormales. La promotion se termine quand les cellules précancéreuses sont devenues capables de se multiplier de façon autonome, ce qui résulte à la fois de l’acquisition de nouvelles propriétés par les cellules précancéreuses et de défaillances des systèmes de contrôle de leur prolifération à l’échelle du tissu et du microenvironnement. En effet, la prolifération des cellules initiées se heurte au contrôle de la prolifération qu’exercent les cellules saines voisines par contact direct ou par l’intermédiaire de cytokines. Ces défenses s’affaiblissent en cas de désorganisation tissulaire et peuvent être contournées ou surmontées par les mutations des cellules précancéreuses. Pendant la phase de progression, les cellules devenues autonomes acquièrent la capacité d’envahir les tissus sains, de résister à l’anoxie et de susciter une angiogenèse. Ce processus très long, de plusieurs décennies, mais qui peut être accéléré dans diverses circonstances, est fondé sur l’effet cumulatif d’une série de lésions spécifiques du génome. Contrairement à ce que l’on croyait, le cancer n’est pas le résultat d’une seule altération majeure du génome ; il apparaît que c’est plutôt la conséquence de l’effet cumulatif d’une série d’altérations distinctes. Les radiations ionisantes agissent d’abord comme des mutagènes, elles se heurtent donc aux mécanismes de défense cellulaires dont l’efficacité diminue quand la dose augmente, ce qui explique que l’effet mutagène (par unité de dose) augmente avec la dose et le débit de dose. Elles agissent aussi en stimulant la prolifération cellulaire (pour remplacer les cellules tuées) et en désorganisant les tissus. Contrairement à ce qui est souvent dit, il n’existe aucune preuve scientifique de l’hypothèse selon laquelle toute dose, si faible fut-elle, peut causer un cancer. Cette assertion est fondée sur la relation linéaire sans seuil dont la validité est contestable d’autant qu’elle surestime l’effet des faibles doses et sous-estime celui des fortes doses. Au contraire, les données biologiques suggèrent qu’en dessous d’une certaine dose, l’efficacité des mécanismes de défense est telle que le risque de cancérogenèse est très faible et pourrait être négligé. C’est le fondement du concept de seuil pratique. Il faut dans chaque situation estimer, de façon aussi rigoureuse que possible, le rapport bénéfice potentiel sur risque putatif. Toute surestimation du risque introduit un biais qui peut avoir des conséquences nocives. L’étude de malades traités par radiothérapie (plus d’un million par an dans l’ensemble des pays industrialisés) a un double intérêt : permettre de mieux comprendre la cancérogenèse en fonction de la dose et de réduire, grâce à des mesures appropriées, le risque de second cancer. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41006 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Intérêt des applications cutanées en cours de radiothérapie pour la prévention et le traitement des épithéliites radio-induites / C. Chargari in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Intérêt des applications cutanées en cours de radiothérapie pour la prévention et le traitement des épithéliites radio-induites Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Chargari ; I. Fromantin ; Y.M. Kirova Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 259-266 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE TOXICITE PEAU PREVENTION DERMATOLOGIE Résumé : La toxicité cutanée radio-induite constitue un problème quotidien, dont la prise en charge curative ou préventive est marquée par une grande hétérogénéité. La présente revue de la littérature vise à souligner l’absolue nécessité de rester circonspect quant au bénéfice des applications cutanées en cours de radiothérapie. Elle intègre les principales données bibliographiques publiées en langue anglaise ou française et indexées dans Pubmed© Medline©. Malgré le rationnel préclinique dont dispose l’Aloe vera, son utilisation prophylactique n’a pas montré d’intérêt. La trolamine n’a pas davantage fait la preuve de son efficacité en situation préventive. La supériorité du Calendula officinalis sur la trolamine a été démontrée dans le cadre d’un essai randomisé de phase III dans la prévention des radioépithéliites. En situation curative, l’intérêt du sucrafalte n’est pas démontré. Certaines données suggèrent une efficacité des dermocorticoïdes sur l’érythème et le prurit. L’acide hyaluronique a donné des résultats encourageants sous la forme du MA S065D ou du ialugen. Enfin, les pansements à l’argent pourraient réduire l’intensité de certaines réactions cutanées et accélérer la cicatrisation des lésions radio-induites. Compte tenu des nombreuses incertitudes de la littérature et de leurs contradictions, plusieurs attitudes sont donc justifiables. De nouveaux topiques sont en cours d’évaluation. Il est en effet impératif de poursuivre les investigations afin d’espérer lever les incertitude actuelles et harmoniser les pratiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41007
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 259-266[article] Intérêt des applications cutanées en cours de radiothérapie pour la prévention et le traitement des épithéliites radio-induites [texte imprimé] / C. Chargari ; I. Fromantin ; Y.M. Kirova . - 2009 . - p. 259-266.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 259-266
Mots-clés : RADIOTHERAPIE TOXICITE PEAU PREVENTION DERMATOLOGIE Résumé : La toxicité cutanée radio-induite constitue un problème quotidien, dont la prise en charge curative ou préventive est marquée par une grande hétérogénéité. La présente revue de la littérature vise à souligner l’absolue nécessité de rester circonspect quant au bénéfice des applications cutanées en cours de radiothérapie. Elle intègre les principales données bibliographiques publiées en langue anglaise ou française et indexées dans Pubmed© Medline©. Malgré le rationnel préclinique dont dispose l’Aloe vera, son utilisation prophylactique n’a pas montré d’intérêt. La trolamine n’a pas davantage fait la preuve de son efficacité en situation préventive. La supériorité du Calendula officinalis sur la trolamine a été démontrée dans le cadre d’un essai randomisé de phase III dans la prévention des radioépithéliites. En situation curative, l’intérêt du sucrafalte n’est pas démontré. Certaines données suggèrent une efficacité des dermocorticoïdes sur l’érythème et le prurit. L’acide hyaluronique a donné des résultats encourageants sous la forme du MA S065D ou du ialugen. Enfin, les pansements à l’argent pourraient réduire l’intensité de certaines réactions cutanées et accélérer la cicatrisation des lésions radio-induites. Compte tenu des nombreuses incertitudes de la littérature et de leurs contradictions, plusieurs attitudes sont donc justifiables. De nouveaux topiques sont en cours d’évaluation. Il est en effet impératif de poursuivre les investigations afin d’espérer lever les incertitude actuelles et harmoniser les pratiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41007 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Radiothérapie de rattrapage pour récidive biochimique après prostatectomie : comparaison entre les définitions de récidive biochimique de l'Astro et de Phoenix / L. Quéro in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Radiothérapie de rattrapage pour récidive biochimique après prostatectomie : comparaison entre les définitions de récidive biochimique de l'Astro et de Phoenix Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Quéro ; P. Mongiat-Artus ; V. Ravery ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 267-275 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE PROSTATECTOMIE Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluation de la probabilité de survie sans rechute biochimique après radiothérapie de rattrapage selon les définitions de l’American society for therapeutic radiology and oncology (Astro) et de Phoenix, chez des patients ayant une persistance ou une élévation secondaire de la concentration sérique de PSA, après prostatectomie pour un cancer de la prostate.
Patients et méthodes :
Analyse rétrospective des dossiers de 59 patients traités entre 1990 et 2003 par irradiation pour une récidive biochimique après prostatectomie. Il a été délivré une dose médiane de 66 Gy dans le lit de prostatectomie par radiothérapie bidimensionnelle ou tridimensionnelle. Le critère principal de jugement de l’efficacité était la probabilité de survie sans rechute biochimique selon les définitions de l’Astro et de Phoenix (nadir + 2 ng/ml).
Résultats :
Avec un suivi médian de 38 mois, la probabilité de survie sans rechute biochimique à trois ans était selon les critères de l’Astro de 60 %, elle était de 72 % selon la définition de Phoenix. Selon l’analyse unifactorielle, une concentration sérique de PSA ≥ 1 ng/ml avant la radiothérapie et un envahissement des vésicules séminales étaient associés à un risque de récidive biochimique. Selon l’analyse multifactorielle, seule une concentration sérique de PSA ≥ 1 ng/ml avant la radiothérapie reste prédictive pour une récidive biochimique, quelle que soit la définition.
Conclusion :
La radiothérapie de rattrapage est un traitement efficace après prostatectomie, que l’on utilise la définition de l’Astro ou celle de Phoenix. Seule une concentration sérique de PSA ≥ 1 ng/ml avant la radiothérapie est prédictive pour la récidive biochimique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41008
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 267-275[article] Radiothérapie de rattrapage pour récidive biochimique après prostatectomie : comparaison entre les définitions de récidive biochimique de l'Astro et de Phoenix [texte imprimé] / L. Quéro ; P. Mongiat-Artus ; V. Ravery ; et al. . - 2009 . - p. 267-275.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 267-275
Mots-clés : RADIOTHERAPIE PROSTATECTOMIE Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluation de la probabilité de survie sans rechute biochimique après radiothérapie de rattrapage selon les définitions de l’American society for therapeutic radiology and oncology (Astro) et de Phoenix, chez des patients ayant une persistance ou une élévation secondaire de la concentration sérique de PSA, après prostatectomie pour un cancer de la prostate.
Patients et méthodes :
Analyse rétrospective des dossiers de 59 patients traités entre 1990 et 2003 par irradiation pour une récidive biochimique après prostatectomie. Il a été délivré une dose médiane de 66 Gy dans le lit de prostatectomie par radiothérapie bidimensionnelle ou tridimensionnelle. Le critère principal de jugement de l’efficacité était la probabilité de survie sans rechute biochimique selon les définitions de l’Astro et de Phoenix (nadir + 2 ng/ml).
Résultats :
Avec un suivi médian de 38 mois, la probabilité de survie sans rechute biochimique à trois ans était selon les critères de l’Astro de 60 %, elle était de 72 % selon la définition de Phoenix. Selon l’analyse unifactorielle, une concentration sérique de PSA ≥ 1 ng/ml avant la radiothérapie et un envahissement des vésicules séminales étaient associés à un risque de récidive biochimique. Selon l’analyse multifactorielle, seule une concentration sérique de PSA ≥ 1 ng/ml avant la radiothérapie reste prédictive pour une récidive biochimique, quelle que soit la définition.
Conclusion :
La radiothérapie de rattrapage est un traitement efficace après prostatectomie, que l’on utilise la définition de l’Astro ou celle de Phoenix. Seule une concentration sérique de PSA ≥ 1 ng/ml avant la radiothérapie est prédictive pour la récidive biochimique.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41008 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Évaluation monocentrique de la tolérance de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie / Y.M. Kirova in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Évaluation monocentrique de la tolérance de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Y.M. Kirova ; L. Caussa ; B. Granger ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p.276-280 Langues : Français (fre) Mots-clés : RAFIOTHERAPIE SEIN CANCER TOXICITE Résumé : Objectif de l’étude :
Étude prospective monocentrique de la tolérance cutanée et cardiaque de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie pour le cancer du sein.
Patientes et méthodes :
De février 2004 à janvier 2007, 57 patientes ont reçu l’association concomitante de trastuzumab et d‘une radiothérapie normalement fractionnée du sein ou de la paroi, avec ou sans les aires ganglionnaires. La fraction d’éjection du ventricule gauche, mesurée avant l’administration de trastuzumab, avant celle de la radiothérapie, après la radiothérapie puis tous les quatre à six mois par échographie ou scintigraphie, était normale si d’au moins 50 % ou considérée comme telle par le cardiologue. Toute fraction d’éjection du ventricule gauche devait être normale avant l’administration de trastuzumab. La toxicité cutanée a été évaluée selon la Common Terminology Criteria for Adverse Events, version 3.0. L’âge médian était de 49 ans (25–80). La chimiothérapie comportait des anthracyclines dans 84 % des cas, pour une dose totale de 300 mg/m2. Toutes les patientes sauf une, irradiée une fois par semaine, ont reçu le trastuzumab toutes les trois semaines à la dose de 8 mg/kg puis 6 mg/kg, pour une durée médiane de 12 mois (2–33). La chaîne mammaire interne a été irradiée dans 88 % des cas.
Résultats :
La fraction d’éjection du ventricule gauche était normale avant la radiothérapie pour 54 patientes (100 %, trois données manquantes), après la radiothérapie pour 56 (98 %, aucune donnée manquante) et aux dernières nouvelles pour 53 (95 %, une donnée manquante). L’épidermite a été cotée de grade 0, 1 ou 2 pour respectivement deux, 44 et 11 patientes. Pour les 27 patientes vues après six mois, la toxicité cutanée a été cotée de grade 0, 1 et 2 chez respectivement 22, quatre et une.
Conclusion :
Avec une technique adaptée, la tolérance cutanée et cardiaque précoce de l’association de trastuzumab et de radiothérapie s’est avérée bonne. Le suivi plus long d’un plus grand nombre de patientes reste cependant indispensable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41009
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p.276-280[article] Évaluation monocentrique de la tolérance de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie [texte imprimé] / Y.M. Kirova ; L. Caussa ; B. Granger ; et al. . - 2009 . - p.276-280.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p.276-280
Mots-clés : RAFIOTHERAPIE SEIN CANCER TOXICITE Résumé : Objectif de l’étude :
Étude prospective monocentrique de la tolérance cutanée et cardiaque de l’association concomitante de trastuzumab et de radiothérapie pour le cancer du sein.
Patientes et méthodes :
De février 2004 à janvier 2007, 57 patientes ont reçu l’association concomitante de trastuzumab et d‘une radiothérapie normalement fractionnée du sein ou de la paroi, avec ou sans les aires ganglionnaires. La fraction d’éjection du ventricule gauche, mesurée avant l’administration de trastuzumab, avant celle de la radiothérapie, après la radiothérapie puis tous les quatre à six mois par échographie ou scintigraphie, était normale si d’au moins 50 % ou considérée comme telle par le cardiologue. Toute fraction d’éjection du ventricule gauche devait être normale avant l’administration de trastuzumab. La toxicité cutanée a été évaluée selon la Common Terminology Criteria for Adverse Events, version 3.0. L’âge médian était de 49 ans (25–80). La chimiothérapie comportait des anthracyclines dans 84 % des cas, pour une dose totale de 300 mg/m2. Toutes les patientes sauf une, irradiée une fois par semaine, ont reçu le trastuzumab toutes les trois semaines à la dose de 8 mg/kg puis 6 mg/kg, pour une durée médiane de 12 mois (2–33). La chaîne mammaire interne a été irradiée dans 88 % des cas.
Résultats :
La fraction d’éjection du ventricule gauche était normale avant la radiothérapie pour 54 patientes (100 %, trois données manquantes), après la radiothérapie pour 56 (98 %, aucune donnée manquante) et aux dernières nouvelles pour 53 (95 %, une donnée manquante). L’épidermite a été cotée de grade 0, 1 ou 2 pour respectivement deux, 44 et 11 patientes. Pour les 27 patientes vues après six mois, la toxicité cutanée a été cotée de grade 0, 1 et 2 chez respectivement 22, quatre et une.
Conclusion :
Avec une technique adaptée, la tolérance cutanée et cardiaque précoce de l’association de trastuzumab et de radiothérapie s’est avérée bonne. Le suivi plus long d’un plus grand nombre de patientes reste cependant indispensable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41009 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Evaluation du coût de la radiothérapie asservie à la respiration dans le cadre d'un projet Stic / R. Remonnay in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Evaluation du coût de la radiothérapie asservie à la respiration dans le cadre d'un projet Stic Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Remonnay ; M. Morelle ; P. Giraud ; M.-O. Carrère Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 281-290 Langues : Français (fre) Mots-clés : ECONOMIE SANITAIRE RADIOTHERAPIE RESPIRATION POUMON CANCER SEIN CANCER Résumé : Objectif :
Cette étude avait pour objet d’évaluer les conséquences de la mise en place de l’asservissement respiratoire sur le coût de production de la radiothérapie, par rapport à la radiothérapie conformationnelle sans asservissement respiratoire (groupe témoin) dans les cancers bronchopulmonaires et les cancers mammaires. L’aspect tarifaire a également été étudié.
Matériel et méthodes :
Une étude longitudinale, multicentrique, et non randomisée a été conduite dans le cadre d’un projet Stic (programme de soutien aux thérapeutiques innovantes et coûteuses). Parmi les 20 établissements participant à l’évaluation clinique, huit centres « référents » participaient au volet économique au sein duquel ont été évalués les coûts de personnel, d’équipements, de maintenance et de consommables.
Résultats :
Trois cent soixante-cinq patients ont été inclus sur deux ans pour le volet économique, correspondant à 197 radiothérapies sans asservissement respiratoire et 168 avec. Les patients traités en période d’apprentissage (n = 27) ont été écartés de la comparaison avec le groupe témoin. L’asservissement respiratoire en routine entraînait un surcoût par traitement avec les techniques de blocage de la respiration respectivement de 1256 € et 996 € pour le poumon et le sein et de 1807 € et 1510 € pour le poumon et le sein avec la technique de synchronisation respiratoire. L’utilisation de l’asservissement respiratoire consommait des ressources supplémentaires principalement au niveau des séances avec une surmobilisation du personnel et des équipements.
Conclusion :
L’estimation des coûts complets du traitement a mis en lumière l’inadaptation de la tarification pour l’innovation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41010
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 281-290[article] Evaluation du coût de la radiothérapie asservie à la respiration dans le cadre d'un projet Stic [texte imprimé] / R. Remonnay ; M. Morelle ; P. Giraud ; M.-O. Carrère . - 2009 . - p. 281-290.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 281-290
Mots-clés : ECONOMIE SANITAIRE RADIOTHERAPIE RESPIRATION POUMON CANCER SEIN CANCER Résumé : Objectif :
Cette étude avait pour objet d’évaluer les conséquences de la mise en place de l’asservissement respiratoire sur le coût de production de la radiothérapie, par rapport à la radiothérapie conformationnelle sans asservissement respiratoire (groupe témoin) dans les cancers bronchopulmonaires et les cancers mammaires. L’aspect tarifaire a également été étudié.
Matériel et méthodes :
Une étude longitudinale, multicentrique, et non randomisée a été conduite dans le cadre d’un projet Stic (programme de soutien aux thérapeutiques innovantes et coûteuses). Parmi les 20 établissements participant à l’évaluation clinique, huit centres « référents » participaient au volet économique au sein duquel ont été évalués les coûts de personnel, d’équipements, de maintenance et de consommables.
Résultats :
Trois cent soixante-cinq patients ont été inclus sur deux ans pour le volet économique, correspondant à 197 radiothérapies sans asservissement respiratoire et 168 avec. Les patients traités en période d’apprentissage (n = 27) ont été écartés de la comparaison avec le groupe témoin. L’asservissement respiratoire en routine entraînait un surcoût par traitement avec les techniques de blocage de la respiration respectivement de 1256 € et 996 € pour le poumon et le sein et de 1807 € et 1510 € pour le poumon et le sein avec la technique de synchronisation respiratoire. L’utilisation de l’asservissement respiratoire consommait des ressources supplémentaires principalement au niveau des séances avec une surmobilisation du personnel et des équipements.
Conclusion :
L’estimation des coûts complets du traitement a mis en lumière l’inadaptation de la tarification pour l’innovation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41010 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie / Y.M. Kirova in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie Type de document : texte imprimé Auteurs : Y.M. Kirova ; Z. Bourhaleb ; S. Alran ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 291-297 Langues : Français (fre) Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE CARCINOME Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer rétrospectivement les résultats thérapeutiques obtenus chez des patientes atteintes d’un carcinome du col utérin classé selon les recommandations de la Fédération de gynécologie obstétrique (Figo) IB2, IIA ou IIB après chimioradiothérapie avec du cisplatine puis une curiethérapie et enfin une hystérectomie radicale élargie.
Patientes et méthodes :
Les 70 patientes, d’âge médian 46 ans, ont été traitées à l’institut Curie entre août 1995 et août 2005. La probabilité de survie a été estimée selon la méthode de Kaplan-Meier. Les comparaisons de survie ont été évaluées par le test de log-rank.
Résultats :
L’examen anatomopathologique a montré que la réponse locorégionale était complète dans 56 % des cas (n = 39). Une tumeur résiduelle microscopique centropelvienne a été retrouvée chez 28 patientes (40 %), sous la forme d’un carcinome in situ dans tous les cas, à l’exception d’un. Chez neuf patientes, il y avait aussi un résidu paramétrial. Le curage ganglionnaire a montré que les ganglions étaient atteints dans 20 % des cas (14/70), soit 11 % (8/55) si le cancer avait été classé N0, 40 % (6/15) si N1 (p = 0,03). Chez 11 patientes sur 14, l’atteinte ganglionnaire était associée à un résidu tumoral centro- et latéropelvien. Le suivi médian était de 40 mois (8–141). La probabilité de survie était à trois ans est de 77 % (intervalle de confiance à 95 % : 66–89 %), celles d’échec locorégional et de dissémination métastatique, respectivement, de 9,5 % (2–16 %) et 24 % (13–34 %).
Conclusion :
Le traitement du carcinome du col utérin localement évolué nécessite de nouvelles approches multidisciplinaires diagnostiques et thérapeutiques utilisant de nouvelles armes thérapeutiques afin d’améliorer la probabilité de survie et la tolérance au traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41011
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 291-297[article] Chimioradiothérapie concomitante préopératoire dans les carcinomes du col utérin de stades IB2 à IIB : expériecne de l'institut Curie [texte imprimé] / Y.M. Kirova ; Z. Bourhaleb ; S. Alran ; et al. . - 2009 . - p. 291-297.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 291-297
Mots-clés : COL UTERIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE CARCINOME Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer rétrospectivement les résultats thérapeutiques obtenus chez des patientes atteintes d’un carcinome du col utérin classé selon les recommandations de la Fédération de gynécologie obstétrique (Figo) IB2, IIA ou IIB après chimioradiothérapie avec du cisplatine puis une curiethérapie et enfin une hystérectomie radicale élargie.
Patientes et méthodes :
Les 70 patientes, d’âge médian 46 ans, ont été traitées à l’institut Curie entre août 1995 et août 2005. La probabilité de survie a été estimée selon la méthode de Kaplan-Meier. Les comparaisons de survie ont été évaluées par le test de log-rank.
Résultats :
L’examen anatomopathologique a montré que la réponse locorégionale était complète dans 56 % des cas (n = 39). Une tumeur résiduelle microscopique centropelvienne a été retrouvée chez 28 patientes (40 %), sous la forme d’un carcinome in situ dans tous les cas, à l’exception d’un. Chez neuf patientes, il y avait aussi un résidu paramétrial. Le curage ganglionnaire a montré que les ganglions étaient atteints dans 20 % des cas (14/70), soit 11 % (8/55) si le cancer avait été classé N0, 40 % (6/15) si N1 (p = 0,03). Chez 11 patientes sur 14, l’atteinte ganglionnaire était associée à un résidu tumoral centro- et latéropelvien. Le suivi médian était de 40 mois (8–141). La probabilité de survie était à trois ans est de 77 % (intervalle de confiance à 95 % : 66–89 %), celles d’échec locorégional et de dissémination métastatique, respectivement, de 9,5 % (2–16 %) et 24 % (13–34 %).
Conclusion :
Le traitement du carcinome du col utérin localement évolué nécessite de nouvelles approches multidisciplinaires diagnostiques et thérapeutiques utilisant de nouvelles armes thérapeutiques afin d’améliorer la probabilité de survie et la tolérance au traitement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41011 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Feasibility of high-dose three-dimensional radiation therapy in the treatment of localised non-small-cell lung cancer / A. Bellière in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Feasibility of high-dose three-dimensional radiation therapy in the treatment of localised non-small-cell lung cancer Titre original : Irradiation conformationelle de haute dose dans les cancers bronchiques non à petites cellules localement évolués : étude de faisabilité Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Bellière ; N. Girard ; O. Chapet ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 298-304 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE BRONCHE CANCER TOXICITE DOSIMETRIE Résumé : Objectif de l’étude :
La chimioradiothérapie est le traitement standard des cancers bronchiques non à petites cellules inopérables et/ou non résécables de stade IIIA/B. L’escalade des doses d’irradiation, utilisant les techniques d’irradiation conformationelle a pour objectif d’améliorer les taux de contrôle local chez ces patients.
Patients et méthodes :
Nous avons conduit une analyse rétrospective des dossiers de patients atteints de cancer bronchique non à petites cellules non résécables et traités par irradiation conformationelle standard à la dose totale de 74 Gy.
Résultats :
Cinquante patients (41 hommes et 9 femmes) ont été inclus. Au total, 35 (70 %) patients ont reçu la dose prévue de 74 Gy. Le traitement a été interrompu dans 30 % des cas à des doses totales inférieures, du fait d’une toxicité limitante. Une chimiothérapie d’induction a été délivrée à 39 (78 %) patients. Les huit (16 %) patients ayant souffert d’une toxicité pulmonaire aiguë de grade 3 ou 4 étaient atteints d’une affection pulmonaire préexistante, avec un volume maximal expiratoire seconde (VEMS) de moins de 1,6 L et ont été traités avec un V20 pulmonaire (volume recevant 20 Gy et plus) d’au moins 25 %. Trois (6 %) patients ont souffert d’une toxicité cardiaque aiguë.
Conclusion :
Cette étude montre la faisabilité d’une chimioradiothérapie à la dose totale de 74 Gy en cas de cancer bronchique non à petites cellules localement évolué. Le V20 pulmonaire et cardiaque est associé à un risque de toxicité élevé. La toxicité cardiaque est difficile à évaluer, du fait de la survenue possible d’événements tardifs, pour lesquels la responsabilité de la radiothérapie pourrait être sous-estimée. Une évaluation précise de la fonction cardiaque pourrait permettre une sélection des patients éligibles pour une radiothérapie de haute dose, dans le cadre d’essais contrôlés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41012
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 298-304[article] Feasibility of high-dose three-dimensional radiation therapy in the treatment of localised non-small-cell lung cancer = Irradiation conformationelle de haute dose dans les cancers bronchiques non à petites cellules localement évolués : étude de faisabilité [texte imprimé] / A. Bellière ; N. Girard ; O. Chapet ; et al. . - 2009 . - p. 298-304.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 298-304
Mots-clés : RADIOTHERAPIE BRONCHE CANCER TOXICITE DOSIMETRIE Résumé : Objectif de l’étude :
La chimioradiothérapie est le traitement standard des cancers bronchiques non à petites cellules inopérables et/ou non résécables de stade IIIA/B. L’escalade des doses d’irradiation, utilisant les techniques d’irradiation conformationelle a pour objectif d’améliorer les taux de contrôle local chez ces patients.
Patients et méthodes :
Nous avons conduit une analyse rétrospective des dossiers de patients atteints de cancer bronchique non à petites cellules non résécables et traités par irradiation conformationelle standard à la dose totale de 74 Gy.
Résultats :
Cinquante patients (41 hommes et 9 femmes) ont été inclus. Au total, 35 (70 %) patients ont reçu la dose prévue de 74 Gy. Le traitement a été interrompu dans 30 % des cas à des doses totales inférieures, du fait d’une toxicité limitante. Une chimiothérapie d’induction a été délivrée à 39 (78 %) patients. Les huit (16 %) patients ayant souffert d’une toxicité pulmonaire aiguë de grade 3 ou 4 étaient atteints d’une affection pulmonaire préexistante, avec un volume maximal expiratoire seconde (VEMS) de moins de 1,6 L et ont été traités avec un V20 pulmonaire (volume recevant 20 Gy et plus) d’au moins 25 %. Trois (6 %) patients ont souffert d’une toxicité cardiaque aiguë.
Conclusion :
Cette étude montre la faisabilité d’une chimioradiothérapie à la dose totale de 74 Gy en cas de cancer bronchique non à petites cellules localement évolué. Le V20 pulmonaire et cardiaque est associé à un risque de toxicité élevé. La toxicité cardiaque est difficile à évaluer, du fait de la survenue possible d’événements tardifs, pour lesquels la responsabilité de la radiothérapie pourrait être sous-estimée. Une évaluation précise de la fonction cardiaque pourrait permettre une sélection des patients éligibles pour une radiothérapie de haute dose, dans le cadre d’essais contrôlés.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41012 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge des tumeurs phyllodes malignes du sein : l'expérience de l'institut Curie / S. Haberer in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Prise en charge des tumeurs phyllodes malignes du sein : l'expérience de l'institut Curie Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Haberer ; M. Laé ; V. Seegers ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 305-312 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHÉRAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
La rareté des tumeurs phyllodes malignes du sein (ou tumeur phyllode de grade 3) et le caractère débattu de leur prise en charge justifie la réalisation d’études rétrospectives des pratiques institutionnelles.
Patientes et méthodes :
Étude rétrospective avec relecture anatomopathologique des dossiers des 25 patientes traitées à l’institut Curie entre 1969 et 2006 pour une tumeur phyllode maligne, non métastatique d’emblée. Le suivi médian était de 65 mois (7–257 mois).
Résultats :
L’âge médian lors du diagnostic était de 52 ans (20–64 ans). La chirurgie a été conservatrice (tumorectomie) chez cinq patientes (20 %). Les marges étaient larges (> 10 mm), étroites, envahies ou inconnues chez respectivement 17 (68 %), trois (12 %), trois (12 %) et deux (8 %) patientes. La taille tumorale médiane était de 65 mm (12–250 mm). Une radiothérapie postopératoire a été délivrée à sept patientes (deux après tumorectomie, cinq après mastectomie) et une chimiothérapie adjuvante à base d’anthracyclines à 13 patientes (52 %). Le taux de survie globale à cinq ans était de 91 % (intervalle de confiance à 95 % : 80–100 %). Cinq patientes (20 %) ont été atteintes de métastases (dont une après chimiothérapie) et trois (12 %) de rechute locorégionale (une après tumorectomie et marge inconnue sans radiothérapie, deux après mastectomie et tranches de section atteintes et radiothérapie).
Conclusion :
Le traitement des tumeurs phyllodes malignes non métastatiques repose sur une chirurgie large (≥ 10 mm) qui, dans des cas sélectionnés, peut être conservatrice. La détermination des places respectives des traitements adjuvants systémiques et de la radiothérapie nécessite la poursuite d’études cliniques mais aussi la recherche de nouveaux facteurs pronostiques et prédictifs pour la sensibilité tumorale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41013
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 305-312[article] Prise en charge des tumeurs phyllodes malignes du sein : l'expérience de l'institut Curie [texte imprimé] / S. Haberer ; M. Laé ; V. Seegers ; et al. . - 2009 . - p. 305-312.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 305-312
Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHÉRAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
La rareté des tumeurs phyllodes malignes du sein (ou tumeur phyllode de grade 3) et le caractère débattu de leur prise en charge justifie la réalisation d’études rétrospectives des pratiques institutionnelles.
Patientes et méthodes :
Étude rétrospective avec relecture anatomopathologique des dossiers des 25 patientes traitées à l’institut Curie entre 1969 et 2006 pour une tumeur phyllode maligne, non métastatique d’emblée. Le suivi médian était de 65 mois (7–257 mois).
Résultats :
L’âge médian lors du diagnostic était de 52 ans (20–64 ans). La chirurgie a été conservatrice (tumorectomie) chez cinq patientes (20 %). Les marges étaient larges (> 10 mm), étroites, envahies ou inconnues chez respectivement 17 (68 %), trois (12 %), trois (12 %) et deux (8 %) patientes. La taille tumorale médiane était de 65 mm (12–250 mm). Une radiothérapie postopératoire a été délivrée à sept patientes (deux après tumorectomie, cinq après mastectomie) et une chimiothérapie adjuvante à base d’anthracyclines à 13 patientes (52 %). Le taux de survie globale à cinq ans était de 91 % (intervalle de confiance à 95 % : 80–100 %). Cinq patientes (20 %) ont été atteintes de métastases (dont une après chimiothérapie) et trois (12 %) de rechute locorégionale (une après tumorectomie et marge inconnue sans radiothérapie, deux après mastectomie et tranches de section atteintes et radiothérapie).
Conclusion :
Le traitement des tumeurs phyllodes malignes non métastatiques repose sur une chirurgie large (≥ 10 mm) qui, dans des cas sélectionnés, peut être conservatrice. La détermination des places respectives des traitements adjuvants systémiques et de la radiothérapie nécessite la poursuite d’études cliniques mais aussi la recherche de nouveaux facteurs pronostiques et prédictifs pour la sensibilité tumorale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41013 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt L'apport de la tomographie par émission de positons au FDG pour la radiothérapie : résultats de l'évaluation économique du Stic "TEP et radiothérapie" / R. Remonnay in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : L'apport de la tomographie par émission de positons au FDG pour la radiothérapie : résultats de l'évaluation économique du Stic "TEP et radiothérapie" Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Remonnay ; M. Morelle ; F. Giammarile ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 313-317 Langues : Français (fre) Mots-clés : HODGKIN MALADIE THERAPEUTIQUE POUMON CANCER ECONOMIE SANITAIRE Résumé : Cette étude avait pour objectif l’évaluation des coûts induits ou évités par l’utilisation de la tomographie par émission de positons (TEP) en complément de la scanographie de planification pour le choix de la stratégie thérapeutique et l’optimisation de la balistique de radiothérapie dans les cancers pulmonaires et la maladie de Hodgkin. Une étude prospective, multicentrique, non randomisée a été conduite dans neuf centres. L’oncologue radiothérapeute prenait successivement deux décisions de traitement sur la base de la seule scanographie, puis des informations supplémentaires apportées par la TEP. Ces deux décisions étaient ensuite comparées. Les coûts directs liés à l’utilisation de la TEP et à ses conséquences sur le traitement de radiothérapie ont été évalués selon la technique du microcosting, les examens supplémentaires et les modifications du traitement ont été valorisés sur la base tarifaire. Les données économiques étaient disponibles pour 209 patients (97 maladies de Hodgkin et 112 carcinomes bronchiques non à petites cellules). Le coût moyen d’une TEP atteignait 800 euros (dont la moitié pour le FDG). Les modifications du traitement ont concerné 10 % des traitements des maladies de Hodgkin avec un impact faible sur le coût du traitement et 40 % des traitements des carcinomes bronchiques non à petites cellules, avec une réduction du coût moyen de traitement de plus de 500 euros. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41014
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 313-317[article] L'apport de la tomographie par émission de positons au FDG pour la radiothérapie : résultats de l'évaluation économique du Stic "TEP et radiothérapie" [texte imprimé] / R. Remonnay ; M. Morelle ; F. Giammarile ; et al. . - 2009 . - p. 313-317.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 313-317
Mots-clés : HODGKIN MALADIE THERAPEUTIQUE POUMON CANCER ECONOMIE SANITAIRE Résumé : Cette étude avait pour objectif l’évaluation des coûts induits ou évités par l’utilisation de la tomographie par émission de positons (TEP) en complément de la scanographie de planification pour le choix de la stratégie thérapeutique et l’optimisation de la balistique de radiothérapie dans les cancers pulmonaires et la maladie de Hodgkin. Une étude prospective, multicentrique, non randomisée a été conduite dans neuf centres. L’oncologue radiothérapeute prenait successivement deux décisions de traitement sur la base de la seule scanographie, puis des informations supplémentaires apportées par la TEP. Ces deux décisions étaient ensuite comparées. Les coûts directs liés à l’utilisation de la TEP et à ses conséquences sur le traitement de radiothérapie ont été évalués selon la technique du microcosting, les examens supplémentaires et les modifications du traitement ont été valorisés sur la base tarifaire. Les données économiques étaient disponibles pour 209 patients (97 maladies de Hodgkin et 112 carcinomes bronchiques non à petites cellules). Le coût moyen d’une TEP atteignait 800 euros (dont la moitié pour le FDG). Les modifications du traitement ont concerné 10 % des traitements des maladies de Hodgkin avec un impact faible sur le coût du traitement et 40 % des traitements des carcinomes bronchiques non à petites cellules, avec une réduction du coût moyen de traitement de plus de 500 euros. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41014 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Contrôle de qualité en curiethérapie de débit de dose pulsé / Y. Métayer in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Contrôle de qualité en curiethérapie de débit de dose pulsé Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Métayer ; P. Meyer ; C. Brunaud ; D. Peiffert Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 318-322 Langues : Français (fre) Mots-clés : CURIETHERAPIE COL UTERIN CANCER CONTROLE QUALITE Résumé : Une étude prospective multicentrique concernant la curiethérapie pulsée de bas débit de dose (PDR) a été conduite sur deux ans (2005/2006) dans 20 centres français, dans le cadre d’un programme de soutien aux techniques innovantes coûteuses intitulé Stic-PDR et soutenu par le ministère français de la Santé. Les 850 patientes incluses ont reçu une curiethérapie classique (bidimensionnelle) ou innovante (tridimensionnelle) pour un cancer du col de l’utérus (425 dans chaque bras). Les principaux objectifs de cette étude étaient d’évaluer le coût de la curiethérapie de débit pulsé avec optimisation par rapport aux traitements traditionnels et d’évaluer les complications et le contrôle local. Un programme commun de contrôle de qualité a été mis en place par les physiciens des différents centres, concernant le logiciel de planification de traitement, les changements de source, le projecteur et les paramètres techniques du déroulement du traitement du patient. Cette note présente la liste de ces contrôles, ainsi que leur périodicité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41015
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 318-322[article] Contrôle de qualité en curiethérapie de débit de dose pulsé [texte imprimé] / Y. Métayer ; P. Meyer ; C. Brunaud ; D. Peiffert . - 2009 . - p. 318-322.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 318-322
Mots-clés : CURIETHERAPIE COL UTERIN CANCER CONTROLE QUALITE Résumé : Une étude prospective multicentrique concernant la curiethérapie pulsée de bas débit de dose (PDR) a été conduite sur deux ans (2005/2006) dans 20 centres français, dans le cadre d’un programme de soutien aux techniques innovantes coûteuses intitulé Stic-PDR et soutenu par le ministère français de la Santé. Les 850 patientes incluses ont reçu une curiethérapie classique (bidimensionnelle) ou innovante (tridimensionnelle) pour un cancer du col de l’utérus (425 dans chaque bras). Les principaux objectifs de cette étude étaient d’évaluer le coût de la curiethérapie de débit pulsé avec optimisation par rapport aux traitements traditionnels et d’évaluer les complications et le contrôle local. Un programme commun de contrôle de qualité a été mis en place par les physiciens des différents centres, concernant le logiciel de planification de traitement, les changements de source, le projecteur et les paramètres techniques du déroulement du traitement du patient. Cette note présente la liste de ces contrôles, ainsi que leur périodicité. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41015 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Carcinome adénoïde kystique du sein / R. Kallel in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Carcinome adénoïde kystique du sein Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Kallel ; I. Bahri Zouari ; N. Gouiaa ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 323-328 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER CARCINOME THERAPEUTIQUE Résumé : Le carcinome adénoïde kystique du sein est une tumeur rare, il représente environ 0,1 % des cancers mammaires. Il atteint surtout la région péri-aréolaire et il touche essentiellement la femme à partir de 60 ans. La symptomatologie clinique ainsi que l’aspect radiologique sont non spécifiques et font souvent évoquer une tumeur bénigne. Son diagnostic préopératoire peut être guidé par l’examen cytologique. L’aspect histologique est caractéristique mais prête à confusion avec d’autres cancers mammaires, essentiellement le carcinome cribriforme intracanalaire ou infiltrant, d’où l’intérêt des techniques d’histochimie et d’immunohistochimie. Le traitement est encore mal établi. Il consiste en une tumorectomie complétée par une radiothérapie ou en une mastectomie d’emblée. Comparé aux autres localisations, le pronostic du carcinome adénoïde kystique du sein est très favorable, les récidives sont rares et les métastases ganglionnaires et à distance sont exceptionnelles. L’objectif de ce travail était de préciser les particularités épidémiologiques, anatomocliniques et thérapeutiques ainsi que le pronostic de ce type rare de tumeur mammaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41016
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 323-328[article] Carcinome adénoïde kystique du sein [texte imprimé] / R. Kallel ; I. Bahri Zouari ; N. Gouiaa ; et al. . - 2009 . - p. 323-328.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 323-328
Mots-clés : SEIN CANCER CARCINOME THERAPEUTIQUE Résumé : Le carcinome adénoïde kystique du sein est une tumeur rare, il représente environ 0,1 % des cancers mammaires. Il atteint surtout la région péri-aréolaire et il touche essentiellement la femme à partir de 60 ans. La symptomatologie clinique ainsi que l’aspect radiologique sont non spécifiques et font souvent évoquer une tumeur bénigne. Son diagnostic préopératoire peut être guidé par l’examen cytologique. L’aspect histologique est caractéristique mais prête à confusion avec d’autres cancers mammaires, essentiellement le carcinome cribriforme intracanalaire ou infiltrant, d’où l’intérêt des techniques d’histochimie et d’immunohistochimie. Le traitement est encore mal établi. Il consiste en une tumorectomie complétée par une radiothérapie ou en une mastectomie d’emblée. Comparé aux autres localisations, le pronostic du carcinome adénoïde kystique du sein est très favorable, les récidives sont rares et les métastases ganglionnaires et à distance sont exceptionnelles. L’objectif de ce travail était de préciser les particularités épidémiologiques, anatomocliniques et thérapeutiques ainsi que le pronostic de ce type rare de tumeur mammaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41016 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Chimioradiothérapie de rattrapage pour métastases médiastinales et pleuroplumonaires d'un cancer du canal anal / M.-V. Moreau in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Chimioradiothérapie de rattrapage pour métastases médiastinales et pleuroplumonaires d'un cancer du canal anal Type de document : texte imprimé Auteurs : M.-V. Moreau ; L. Tournier-Rangeard ; M.-C. Kaminsky ; D. Peiffert Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 329-332 Langues : Français (fre) Mots-clés : CANAL ANAL CANCER CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE METASTASE CURIETHERAPIE Résumé : Une femme de 57 ans, qui a été atteinte trois ans après une chimioradiothérapie complétée d’une curiethérapie pour un carcinome épidermoïde du canal anal de métastases médiastinales et pleuropulmonaires, est actuellement en situation de rémission complète 50 mois après une chimioradiothérapie de rattrapage. Cette observation montre l’intérêt d’un traitement de rattrapage à visée curative en situation métastatique du cancer du canal anal lorsque l’extension de la maladie et l’état général le permettent. Elle illustre par ailleurs la radiosensiblité des cancers du canal anal, y compris en situation métastatique, et soulève l’intérêt diagnostique d’une morpho-TEP en complément des examens cliniques et paracliniques jusque-là utilisés pour l’évaluation de la réponse au traitement et la recherche d’une rechute tumorale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41017
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 329-332[article] Chimioradiothérapie de rattrapage pour métastases médiastinales et pleuroplumonaires d'un cancer du canal anal [texte imprimé] / M.-V. Moreau ; L. Tournier-Rangeard ; M.-C. Kaminsky ; D. Peiffert . - 2009 . - p. 329-332.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 329-332
Mots-clés : CANAL ANAL CANCER CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE METASTASE CURIETHERAPIE Résumé : Une femme de 57 ans, qui a été atteinte trois ans après une chimioradiothérapie complétée d’une curiethérapie pour un carcinome épidermoïde du canal anal de métastases médiastinales et pleuropulmonaires, est actuellement en situation de rémission complète 50 mois après une chimioradiothérapie de rattrapage. Cette observation montre l’intérêt d’un traitement de rattrapage à visée curative en situation métastatique du cancer du canal anal lorsque l’extension de la maladie et l’état général le permettent. Elle illustre par ailleurs la radiosensiblité des cancers du canal anal, y compris en situation métastatique, et soulève l’intérêt diagnostique d’une morpho-TEP en complément des examens cliniques et paracliniques jusque-là utilisés pour l’évaluation de la réponse au traitement et la recherche d’une rechute tumorale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41017 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Cancer du sein négligé et localement évolué : quelle réalité ? Réflexion à propos de deux cas sur l’optimisation de la prise en charge multidisciplinaire / L. Monnier in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Cancer du sein négligé et localement évolué : quelle réalité ? Réflexion à propos de deux cas sur l’optimisation de la prise en charge multidisciplinaire Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Monnier ; C. Even ; P.H. Cottu ; Y.M. Kirova Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 333-336 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE NEGLIGENCE Résumé : Le standard thérapeutique chez les patientes atteintes d’un cancer du sein localement évolué est un traitement médical, chimiothérapie ou hormonothérapie, suivi d’une chirurgie et/ou d’une radiothérapie locorégionale. La radiothérapie est souvent peu sollicitée et souvent trop tard car on ne propose le traitement locorégional qu’en cas de réponse ou de stabilité après traitement médical. Cette constatation est la même en cas de dissémination métastatique malgré l’importance du contrôle locorégional sur l’évolution de la maladie globale et de la qualité de vie. Deux cas d’un cancer du sein négligé non opérable lors du diagnostic sont rapportés avec une bonne réponse locorégionale après radiothérapie et chimiothérapie. L’objectif de ce travail était de rapporter objectivement les deux cas cliniques et d’engager une discussion sur la stratégie optimale de la prise en charge locorégionale de ces formes particulières. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41018
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 333-336[article] Cancer du sein négligé et localement évolué : quelle réalité ? Réflexion à propos de deux cas sur l’optimisation de la prise en charge multidisciplinaire [texte imprimé] / L. Monnier ; C. Even ; P.H. Cottu ; Y.M. Kirova . - 2009 . - p. 333-336.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 333-336
Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE NEGLIGENCE Résumé : Le standard thérapeutique chez les patientes atteintes d’un cancer du sein localement évolué est un traitement médical, chimiothérapie ou hormonothérapie, suivi d’une chirurgie et/ou d’une radiothérapie locorégionale. La radiothérapie est souvent peu sollicitée et souvent trop tard car on ne propose le traitement locorégional qu’en cas de réponse ou de stabilité après traitement médical. Cette constatation est la même en cas de dissémination métastatique malgré l’importance du contrôle locorégional sur l’évolution de la maladie globale et de la qualité de vie. Deux cas d’un cancer du sein négligé non opérable lors du diagnostic sont rapportés avec une bonne réponse locorégionale après radiothérapie et chimiothérapie. L’objectif de ce travail était de rapporter objectivement les deux cas cliniques et d’engager une discussion sur la stratégie optimale de la prise en charge locorégionale de ces formes particulières. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41018 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Histoplasmose sacrée dix ans après un lymphome non hodgkinien du sacrum : à propos d’un cas / E.M. Tazi in Cancer Radiothérapie, 13/4 (Juillet 2009)
[article]
Titre : Histoplasmose sacrée dix ans après un lymphome non hodgkinien du sacrum : à propos d’un cas Type de document : texte imprimé Auteurs : E.M. Tazi ; I. Essadi ; K. Serraj ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 337-339 Langues : Français (fre) Mots-clés : OS PATHOLOGIE Résumé : La localisation osseuse de l’histoplasmose est rare. C’est une infection parasitaire due à Histoplasma capsulatum, touchant surtout les sujets immunodéprimés. Le diagnostic est difficile, nécessitant le recours à une étude mycologique et histopathologique. À travers cette observation, nous rapportons une séquence rarissime, celle du développement d’une histoplasmose sacrée chez un patient traité il y a dix ans pour un lymphome malin non hodgkinien du sacrum en rémission complète. La présentation clinique et radiologique suggérait une rechute lymphomateuse mais l’étude anatomopathologique était en faveur d’une histoplasmose. Un traitement antifongique a été entrepris avec une évolution favorable. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41019
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 337-339[article] Histoplasmose sacrée dix ans après un lymphome non hodgkinien du sacrum : à propos d’un cas [texte imprimé] / E.M. Tazi ; I. Essadi ; K. Serraj ; et al. . - 2009 . - p. 337-339.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/4 (Juillet 2009) . - p. 337-339
Mots-clés : OS PATHOLOGIE Résumé : La localisation osseuse de l’histoplasmose est rare. C’est une infection parasitaire due à Histoplasma capsulatum, touchant surtout les sujets immunodéprimés. Le diagnostic est difficile, nécessitant le recours à une étude mycologique et histopathologique. À travers cette observation, nous rapportons une séquence rarissime, celle du développement d’une histoplasmose sacrée chez un patient traité il y a dix ans pour un lymphome malin non hodgkinien du sacrum en rémission complète. La présentation clinique et radiologique suggérait une rechute lymphomateuse mais l’étude anatomopathologique était en faveur d’une histoplasmose. Un traitement antifongique a été entrepris avec une évolution favorable. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=41019 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt