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Cancer Radiothérapie . 13/HS1Oncoforum en UrologieMention de date : Mai 2009 Paru le : 01/05/2009 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierOncoforum en Urologie / Pierre Richaud in Cancer Radiothérapie, 13/HS1 (Mai 2009)
[article]
Titre : Oncoforum en Urologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Pierre Richaud ; Christophe Hennequin Année de publication : 2009 Article en page(s) : p; 1-7 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE CANCER THERAPEUTIQUE RADIOTHERAPIE:HORMONOTHERAPIE Résumé : Objectif :
Présenter sous forme de synthèse les principales nouveautés utiles à l'oncologie radiothérapeute dans le domaine du cancer de la prostate dans les derniers mois.
Méthodologie :
Revue des abstracts et communications lors des congrès internationaux 2008 (ASCO, ASTRO, AUA, EAU) ainsi que de la littérature internationale.
Résultats :
L'augmentation de l'incidence de la maladie sans augmentation de la mortalité doit inciter à définir avec attention les patients qui doivent bénéficier d'un traitement immédiat et ceux pour lesquels il est souhaitable de "gagner du temps". Cela se fera par une meilleure définition de facteurs pronostiques (peut être de l'utilisation de biomarqueurs plus discriminants) et passera par la proposition plus fréquente de l'option de surveillance active pour les patients atteints de cancer à faible risque avec des critères de sélection et de suivi. Pour les patients opérés d'un cancer de stade pT3 R1, la radiothérapie postopératoire est efficace mais le moment optimal où elle doit être délivrée reste à définir : immédiate dans tous les as ou différée (et très précoce) au moment de la remontée de la concentration sérique de PSA au dessus de 0,2 ng/ml. Dans les cancers localement évolués, l'association d'une radiothérapie à une hormonothérapie de longue durée fait considérablement mieux qu'une radiothérapie ou une hormonothérapie seule. Pour les patients atteints de cancer de haut risque, l'hormonothérapie associée à la radiothérapie doit être prolongée mais peut$être pour une durée qui devrait être modulées selon l'âge, l'état du patient, les risques métaboliques et en fonction de critères de cinétique de réponse au traitement. La valeur de l'escalade de dose dans ce groupe de patients atteints de cancer à haut risque en association avec l'hormonothérapie reste à préciser.
Conclusion :
Ces messages importants doivent inciter les oncologues radiothérapeutes à inclure le maximum de patients dans les essais thérapeutiques des groupes coopérateurs français.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40981
in Cancer Radiothérapie > 13/HS1 (Mai 2009) . - p; 1-7[article] Oncoforum en Urologie [texte imprimé] / Pierre Richaud ; Christophe Hennequin . - 2009 . - p; 1-7.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > 13/HS1 (Mai 2009) . - p; 1-7
Mots-clés : PROSTATE CANCER THERAPEUTIQUE RADIOTHERAPIE:HORMONOTHERAPIE Résumé : Objectif :
Présenter sous forme de synthèse les principales nouveautés utiles à l'oncologie radiothérapeute dans le domaine du cancer de la prostate dans les derniers mois.
Méthodologie :
Revue des abstracts et communications lors des congrès internationaux 2008 (ASCO, ASTRO, AUA, EAU) ainsi que de la littérature internationale.
Résultats :
L'augmentation de l'incidence de la maladie sans augmentation de la mortalité doit inciter à définir avec attention les patients qui doivent bénéficier d'un traitement immédiat et ceux pour lesquels il est souhaitable de "gagner du temps". Cela se fera par une meilleure définition de facteurs pronostiques (peut être de l'utilisation de biomarqueurs plus discriminants) et passera par la proposition plus fréquente de l'option de surveillance active pour les patients atteints de cancer à faible risque avec des critères de sélection et de suivi. Pour les patients opérés d'un cancer de stade pT3 R1, la radiothérapie postopératoire est efficace mais le moment optimal où elle doit être délivrée reste à définir : immédiate dans tous les as ou différée (et très précoce) au moment de la remontée de la concentration sérique de PSA au dessus de 0,2 ng/ml. Dans les cancers localement évolués, l'association d'une radiothérapie à une hormonothérapie de longue durée fait considérablement mieux qu'une radiothérapie ou une hormonothérapie seule. Pour les patients atteints de cancer de haut risque, l'hormonothérapie associée à la radiothérapie doit être prolongée mais peut$être pour une durée qui devrait être modulées selon l'âge, l'état du patient, les risques métaboliques et en fonction de critères de cinétique de réponse au traitement. La valeur de l'escalade de dose dans ce groupe de patients atteints de cancer à haut risque en association avec l'hormonothérapie reste à préciser.
Conclusion :
Ces messages importants doivent inciter les oncologues radiothérapeutes à inclure le maximum de patients dans les essais thérapeutiques des groupes coopérateurs français.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40981 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt