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Cancer Radiothérapie . Vol. 13, n° 2Mention de date : Avril 2009Paru le : 01/04/2009 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierCyberKnife® et chimiothérapie néoadjuvante pour les tumeurs du sein localement évoluées : résultats préliminaires / P.-Y. Bondiau in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
[article]
Titre : CyberKnife® et chimiothérapie néoadjuvante pour les tumeurs du sein localement évoluées : résultats préliminaires Type de document : texte imprimé Auteurs : P.-Y. Bondiau ; M. Lallemant ; P. Bahadoran ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 79-84 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE THORAX CANCER Résumé : Objectif de l’étude :
Le CyberKnife® permet de réaliser une radiothérapie stéréotaxique des tumeurs du thorax grâce à une précision et un système de suivi de la cible en temps réel dont le potentiel est établi pour le cancer du poumon classé T1-T2 N0. Cette technique n’a jamais été utilisée pour traiter des tumeurs du sein, mais présente un intérêt potentiel dans cette localisation.
Patientes et méthode :
Dans le but de définir l’intérêt du traitement des tumeurs du sein par CyberKnife®, nous avons construit une étude de phase I d’escalade de dose qui additionne un traitement néodjuvant associant CyberKnife® et chimiothérapie, afin de permettre un traitement conservateur pour certaines tumeurs du sein dont la chirurgie conservatrice ne peut être envisagée d’emblée. La chimiothérapie néoadjuvante comporte six cycles composés de trois cycles de docétaxel et trois 5-fluoro-uracile-épirubicine-cyclophosphamide (FEC). Le CyberKnife® est réalisé au cours du second cycle de chimiothérapie. La chirurgie du sein est réalisée six à huit semaines après le sixième cycle de chimiothérapie. L’objectif principal est de définir la dose maximum tolérée de la radiothérapie hypofractionnée concomitante à la chimiothérapie néoadjuvante pour les cancers du sein. La toxicité cutanée est le critère limitant l’étude. Les objectifs secondaires sont les résultats anatomopathologiques et la qualité de la chirurgie. Nous présentons les résultats préliminaires des trois premières patientes. Cette étude participe au programme hospitalier de recherche clinique (PHRC).
Résultats :
Aucune toxicité de grade I ou plus n’a été retrouvée. La chirurgie a pu être réalisée avec la qualité habituelle et sans complication particulière. L’anatomopathologiste a retrouvé une réponse complète, une lymphangite carcinomateuse et une réponse partielle.
Conclusion :
Ces résultats préliminaires sont encourageants mais doivent être confirmés. Nous poursuivons l’étude d’escalade de dose.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40973
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 79-84[article] CyberKnife® et chimiothérapie néoadjuvante pour les tumeurs du sein localement évoluées : résultats préliminaires [texte imprimé] / P.-Y. Bondiau ; M. Lallemant ; P. Bahadoran ; et al. . - 2009 . - p. 79-84.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 79-84
Mots-clés : SEIN CANCER CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE THORAX CANCER Résumé : Objectif de l’étude :
Le CyberKnife® permet de réaliser une radiothérapie stéréotaxique des tumeurs du thorax grâce à une précision et un système de suivi de la cible en temps réel dont le potentiel est établi pour le cancer du poumon classé T1-T2 N0. Cette technique n’a jamais été utilisée pour traiter des tumeurs du sein, mais présente un intérêt potentiel dans cette localisation.
Patientes et méthode :
Dans le but de définir l’intérêt du traitement des tumeurs du sein par CyberKnife®, nous avons construit une étude de phase I d’escalade de dose qui additionne un traitement néodjuvant associant CyberKnife® et chimiothérapie, afin de permettre un traitement conservateur pour certaines tumeurs du sein dont la chirurgie conservatrice ne peut être envisagée d’emblée. La chimiothérapie néoadjuvante comporte six cycles composés de trois cycles de docétaxel et trois 5-fluoro-uracile-épirubicine-cyclophosphamide (FEC). Le CyberKnife® est réalisé au cours du second cycle de chimiothérapie. La chirurgie du sein est réalisée six à huit semaines après le sixième cycle de chimiothérapie. L’objectif principal est de définir la dose maximum tolérée de la radiothérapie hypofractionnée concomitante à la chimiothérapie néoadjuvante pour les cancers du sein. La toxicité cutanée est le critère limitant l’étude. Les objectifs secondaires sont les résultats anatomopathologiques et la qualité de la chirurgie. Nous présentons les résultats préliminaires des trois premières patientes. Cette étude participe au programme hospitalier de recherche clinique (PHRC).
Résultats :
Aucune toxicité de grade I ou plus n’a été retrouvée. La chirurgie a pu être réalisée avec la qualité habituelle et sans complication particulière. L’anatomopathologiste a retrouvé une réponse complète, une lymphangite carcinomateuse et une réponse partielle.
Conclusion :
Ces résultats préliminaires sont encourageants mais doivent être confirmés. Nous poursuivons l’étude d’escalade de dose.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40973 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Tumeurs phyllodes du sein à propos de 53 cas / T. Bouhafa in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
[article]
Titre : Tumeurs phyllodes du sein à propos de 53 cas Titre original : Phyllodes tumors of the breast : Analysis of 53 patients Type de document : texte imprimé Auteurs : T. Bouhafa ; O. Masbah ; I. Bekkouch ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 85-91 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER CHIRURGIE RADIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Les tumeurs phyllodes du sein sont des tumeurs fibroépithéliales similaires aux adénofibromes, mais avec une composante prédominante de tissu conjonctif. Ce sont des tumeurs rares qui représentent 0,3 à 0,9 % des tumeurs du sein chez la femme. L’objectif de ce travail était de revoir les stratégies diagnostiques et thérapeutiques actuelles des tumeurs phyllodes tout en présentant notre expérience à l’Institut national d’oncologie de 1998 à 2006.
Patientes et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective des cas de tumeurs phyllodes colligés à l’Institut national d’oncologie de 1998 à 2006.
Résultats :
Cinquante-trois patientes ont été incluses dans notre étude, l’âge moyen au moment du diagnostic était de 37,2 ans (15–67), le délai moyen entre le premier signe et le diagnostic de 35 mois, la taille tumorale moyenne de 10,25 cm (1–30). Le diagnostic histologique était fondé dans la majorité des cas (78 %) sur une biopsie préopératoire et dans 22 % des cas sur l’examen extemporané peropératoire. Deux tumeurs étaient d’emblée métastatiques. Le traitement a consisté en une chirurgie suivie ou non d’une radiothérapie en fonction du grade des tumeurs. Dix tumeurs ont récidivé localement. Cinq patientes sont décédées.
Conclusion :
Les tumeurs phyllodes sont de diagnostic essentiellement histologique, leur traitement est surtout chirurgical, 13,6 à 20 % récidivent localement, la radiothérapie occupe une place primordiale comme traitement adjuvant, elle permet de diminuer le taux de récidive locale, mais non celui de survie. La chimiothérapie semble avoir une place mal définie. Le pronostic est basé sur les caractères histologiques de la composante conjonctive tissulaire de ces tumeurs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40974
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 85-91[article] Tumeurs phyllodes du sein à propos de 53 cas = Phyllodes tumors of the breast : Analysis of 53 patients [texte imprimé] / T. Bouhafa ; O. Masbah ; I. Bekkouch ; et al. . - 2009 . - p. 85-91.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 85-91
Mots-clés : SEIN CANCER CHIRURGIE RADIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Les tumeurs phyllodes du sein sont des tumeurs fibroépithéliales similaires aux adénofibromes, mais avec une composante prédominante de tissu conjonctif. Ce sont des tumeurs rares qui représentent 0,3 à 0,9 % des tumeurs du sein chez la femme. L’objectif de ce travail était de revoir les stratégies diagnostiques et thérapeutiques actuelles des tumeurs phyllodes tout en présentant notre expérience à l’Institut national d’oncologie de 1998 à 2006.
Patientes et méthodes :
Il s’agit d’une étude rétrospective des cas de tumeurs phyllodes colligés à l’Institut national d’oncologie de 1998 à 2006.
Résultats :
Cinquante-trois patientes ont été incluses dans notre étude, l’âge moyen au moment du diagnostic était de 37,2 ans (15–67), le délai moyen entre le premier signe et le diagnostic de 35 mois, la taille tumorale moyenne de 10,25 cm (1–30). Le diagnostic histologique était fondé dans la majorité des cas (78 %) sur une biopsie préopératoire et dans 22 % des cas sur l’examen extemporané peropératoire. Deux tumeurs étaient d’emblée métastatiques. Le traitement a consisté en une chirurgie suivie ou non d’une radiothérapie en fonction du grade des tumeurs. Dix tumeurs ont récidivé localement. Cinq patientes sont décédées.
Conclusion :
Les tumeurs phyllodes sont de diagnostic essentiellement histologique, leur traitement est surtout chirurgical, 13,6 à 20 % récidivent localement, la radiothérapie occupe une place primordiale comme traitement adjuvant, elle permet de diminuer le taux de récidive locale, mais non celui de survie. La chimiothérapie semble avoir une place mal définie. Le pronostic est basé sur les caractères histologiques de la composante conjonctive tissulaire de ces tumeurs.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40974 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La radiothérapie mammaire hypofractionnée en 13 séances, parfaite tolérance ou réaction cutanée décalée ? Étude prospective de l’institut Curie / M. Botti in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
[article]
Titre : La radiothérapie mammaire hypofractionnée en 13 séances, parfaite tolérance ou réaction cutanée décalée ? Étude prospective de l’institut Curie Titre original : Hypofractionated breast radiotherapy in 13 fractions, perfect tolerance or delayed early reaction? Prospective study of Curie Institute Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Botti ; Y.M. Kirova ; R. Dendale ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 92-96 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE PEAU Résumé : Objectif :
Évaluer les réactions cutanées aiguës d’un schéma d’irradiation adjuvante hypofractionnée du sein et leur délai d’apparition.
Patientes et méthodes :
Un recueil prospectif de toutes les observations des patientes traitées pour un cancer du sein par irradiation du sein de 42,9 Gy en 13 fractions et cinq semaines a été effectué au sein du département de radiothérapie. Les réactions cutanées aiguës de 81 patientes ont été évaluées au cours d’un examen clinique hebdomadaire selon le National Cancer Institute-Common Toxicity Criteria scoring system, version 3. Les facteurs favorisants tels que le tabagisme, l’obésité et le diabète ont également été recueillis.
Résultats :
Les 81 patientes, âgées de 40 à 83 ans (médiane : 70 ans), ont toutes bénéficié d’une irradiation du sein après chirurgie conservatrice de 42,9 Gy en 13 fractions et cinq semaines sans irradiation des aires ganglionnaires. Aucune patiente n’a reçu en concomitance de chimiothérapie, ni d’hormonothérapie. Dix-sept patientes on été traitées en décubitus dorsal et 64 (79 %) en décubitus latéral avec une technique isocentrique précédemment décrite. Durant la radiothérapie, il a été observé une radiodermite de grade 1 chez 34 patientes (42 %) et aucune chez 47 patientes (58 %). À la consultation de fin de traitement, il y avait 66 radiodermites (81 %), dont 59 de grade I et sept de grade II. Quinze patientes (19 %) n’avaient aucune réaction cutanée. La tolérance cutanée immédiate de ce schéma hypofractionné a donc été considérée comme excellente, mais dans les deux semaines après la fin de l’irradiation, 20 patientes (25 %) ont demandé à être vues en consultation en urgence par un oncologue radiothérapeute du fait d’une aggravation des effets secondaires cutanés. Toutes ont été examinées par leur oncologue radiothérapeute et/ou une infirmière. Neuf d’entre eux avaient une radiodermite de grade I et 11 de grade II, avec nécessité de soins locaux. Une consultation systématique a été instaurée dix à 14 jours après la fin de la radiothérapie pour les patientes irradiées selon ce schéma.
Conclusion :
L’efficacité et la bonne tolérance du schéma d’irradiation adjuvante du sein de 42,9 Gy en 13 fractions ont déjà été prouvées. Le suivi prospectif de ce groupe homogène de patientes a mis en évidence la possibilité de réactions cutanées aiguës retardées. Une consultation complémentaire au décours du traitement semble nécessaire pour diagnostiquer et traiter ces réactions.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40975
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 92-96[article] La radiothérapie mammaire hypofractionnée en 13 séances, parfaite tolérance ou réaction cutanée décalée ? Étude prospective de l’institut Curie = Hypofractionated breast radiotherapy in 13 fractions, perfect tolerance or delayed early reaction? Prospective study of Curie Institute [texte imprimé] / M. Botti ; Y.M. Kirova ; R. Dendale ; et al. . - 2009 . - p. 92-96.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 92-96
Mots-clés : SEIN CANCER RADIOTHERAPIE PEAU Résumé : Objectif :
Évaluer les réactions cutanées aiguës d’un schéma d’irradiation adjuvante hypofractionnée du sein et leur délai d’apparition.
Patientes et méthodes :
Un recueil prospectif de toutes les observations des patientes traitées pour un cancer du sein par irradiation du sein de 42,9 Gy en 13 fractions et cinq semaines a été effectué au sein du département de radiothérapie. Les réactions cutanées aiguës de 81 patientes ont été évaluées au cours d’un examen clinique hebdomadaire selon le National Cancer Institute-Common Toxicity Criteria scoring system, version 3. Les facteurs favorisants tels que le tabagisme, l’obésité et le diabète ont également été recueillis.
Résultats :
Les 81 patientes, âgées de 40 à 83 ans (médiane : 70 ans), ont toutes bénéficié d’une irradiation du sein après chirurgie conservatrice de 42,9 Gy en 13 fractions et cinq semaines sans irradiation des aires ganglionnaires. Aucune patiente n’a reçu en concomitance de chimiothérapie, ni d’hormonothérapie. Dix-sept patientes on été traitées en décubitus dorsal et 64 (79 %) en décubitus latéral avec une technique isocentrique précédemment décrite. Durant la radiothérapie, il a été observé une radiodermite de grade 1 chez 34 patientes (42 %) et aucune chez 47 patientes (58 %). À la consultation de fin de traitement, il y avait 66 radiodermites (81 %), dont 59 de grade I et sept de grade II. Quinze patientes (19 %) n’avaient aucune réaction cutanée. La tolérance cutanée immédiate de ce schéma hypofractionné a donc été considérée comme excellente, mais dans les deux semaines après la fin de l’irradiation, 20 patientes (25 %) ont demandé à être vues en consultation en urgence par un oncologue radiothérapeute du fait d’une aggravation des effets secondaires cutanés. Toutes ont été examinées par leur oncologue radiothérapeute et/ou une infirmière. Neuf d’entre eux avaient une radiodermite de grade I et 11 de grade II, avec nécessité de soins locaux. Une consultation systématique a été instaurée dix à 14 jours après la fin de la radiothérapie pour les patientes irradiées selon ce schéma.
Conclusion :
L’efficacité et la bonne tolérance du schéma d’irradiation adjuvante du sein de 42,9 Gy en 13 fractions ont déjà été prouvées. Le suivi prospectif de ce groupe homogène de patientes a mis en évidence la possibilité de réactions cutanées aiguës retardées. Une consultation complémentaire au décours du traitement semble nécessaire pour diagnostiquer et traiter ces réactions.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40975 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prise en charge des effets dermatologiques sous erlotinib. Résultats de l'étude PRECEDE : Description of erlotinib-related skin effects management in France. Results of the PRECEDE study / N. Janus in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
[article]
Titre : Prise en charge des effets dermatologiques sous erlotinib. Résultats de l'étude PRECEDE : Description of erlotinib-related skin effects management in France. Results of the PRECEDE study Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Janus ; V. Launay-Vacher ; C. Robert ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 97-102 Langues : Français (fre) Mots-clés : PEAU DERMATOLOGIE CANCER THERAPEUTIQUE Résumé : Introduction :
Les effets dermatologiques sont les événements indésirables les plus fréquents de l’erlotinib (Tarceva®). Toutefois, il n’existe à ce jour aucune recommandation précise sur la prise en charge préventive ou curative de ces effets chez les patients traités par erlotinib. L’étude « Prise en charge des effets dermatologiques sous erlotinib » (PRECEDE) avait pour objectif de décrire la prise en charge actuelle des effets dermatologiques induits par erlotinib (erlotinib-related skin effects [ERSE]) en France.
Patients et méthodes :
L’étude PRECEDE est un observatoire national rétrospectif qui a inclus tous les patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules ayant été traités par erlotinib de janvier 2005 à décembre 2007 dans l’un des sept centres participants. Toutes les données relatives aux traitements préventifs et curatifs ont été relevées dans le dossier médical des patients.
Résultats :
Deux cent trente-quatre patients ont été inclus dans l’étude ; 48,7 % d’entre eux ont reçu une information sur la possible survenue d’un effet dermatologique induit par erlotinib, 15,8 % se sont vus prescrire une ordonnance de médicament à prendre en cas d’effet dermatologique induit par erlotinib et 65,0 % des patients ont eu un tel effet qui, dans la majorité des cas (86,2 %), a été réversible avec ou sans traitement. Chez les 85 patients traités avec succès, 178 prescriptions composées de 35 médicaments différents ont été dénombrées.
Conclusion :
Les effets dermatologiques induits par erlotinib sont fréquents, mais régressent dans la plupart des cas avec ou sans traitement. Toutefois, il existe une grande diversité de médicaments utilisée pour traiter ces événements indésirables, démontrant ainsi que des recommandations plus précises sur la prise en charge de ces événements sont nécessaires afin de les prévenir et de les traiter efficacement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40976
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 97-102[article] Prise en charge des effets dermatologiques sous erlotinib. Résultats de l'étude PRECEDE : Description of erlotinib-related skin effects management in France. Results of the PRECEDE study [texte imprimé] / N. Janus ; V. Launay-Vacher ; C. Robert ; et al. . - 2009 . - p. 97-102.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 97-102
Mots-clés : PEAU DERMATOLOGIE CANCER THERAPEUTIQUE Résumé : Introduction :
Les effets dermatologiques sont les événements indésirables les plus fréquents de l’erlotinib (Tarceva®). Toutefois, il n’existe à ce jour aucune recommandation précise sur la prise en charge préventive ou curative de ces effets chez les patients traités par erlotinib. L’étude « Prise en charge des effets dermatologiques sous erlotinib » (PRECEDE) avait pour objectif de décrire la prise en charge actuelle des effets dermatologiques induits par erlotinib (erlotinib-related skin effects [ERSE]) en France.
Patients et méthodes :
L’étude PRECEDE est un observatoire national rétrospectif qui a inclus tous les patients atteints de cancer du poumon non à petites cellules ayant été traités par erlotinib de janvier 2005 à décembre 2007 dans l’un des sept centres participants. Toutes les données relatives aux traitements préventifs et curatifs ont été relevées dans le dossier médical des patients.
Résultats :
Deux cent trente-quatre patients ont été inclus dans l’étude ; 48,7 % d’entre eux ont reçu une information sur la possible survenue d’un effet dermatologique induit par erlotinib, 15,8 % se sont vus prescrire une ordonnance de médicament à prendre en cas d’effet dermatologique induit par erlotinib et 65,0 % des patients ont eu un tel effet qui, dans la majorité des cas (86,2 %), a été réversible avec ou sans traitement. Chez les 85 patients traités avec succès, 178 prescriptions composées de 35 médicaments différents ont été dénombrées.
Conclusion :
Les effets dermatologiques induits par erlotinib sont fréquents, mais régressent dans la plupart des cas avec ou sans traitement. Toutefois, il existe une grande diversité de médicaments utilisée pour traiter ces événements indésirables, démontrant ainsi que des recommandations plus précises sur la prise en charge de ces événements sont nécessaires afin de les prévenir et de les traiter efficacement.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40976 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Male breast cancer : A retrospective analysis : Cancer du sein chez l'homme : une analyse rétrospective / A. Yoney in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
[article]
Titre : Male breast cancer : A retrospective analysis : Cancer du sein chez l'homme : une analyse rétrospective Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Yoney ; A. Kucuk Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 103-107 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER HOMME RADIOTHERAPIE MASTECTOMIE Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer les résultats du traitement chez des hommes atteints de cancer du sein en termes de contrôle local et de survie globale, et de rechercher les facteurs pronostiques de la survie.
Patients et méthodes :
Les dossiers de 39 hommes atteints de cancer du sein ont été étudiés rétrospectivement pour évaluer la prise en charge. Il s’agissait de 94,8 % de carcinomes canalaires invasifs, de 2,6 % de carcinomes papillaires invasifs et de 2,6 % de carcinomes lobulaires invasifs, respectivement de stades I, II, III et IV dans 12,8, 46,2, 30,7 et 10,3 % des cas. Après l’opération, 7,7 % des patients ont reçu une radiothérapie complétée ou non d’une hormonothérapie, 22,8 % une chimiothérapie, 61,8 % une chimioradiothérapie complétée ou non d’une hormonothérapie et 7,7 % une hormonothérapie.
Résultats :
Le taux de dissémination métastatique à distance était de 36 % et celui de récidive locale de 5 %. Toutes les récidives locales et les métastases à distance sont survenues dans les deux premières années. Les taux de survie sans maladie et de survie globale étaient respectivement à cinq ans de 65,8 et 80,1 %. En analyse unifactorielle, les facteurs pronostiques significatifs de survie globale étaient l’atteinte ganglionnaire (p = 0,00001), le stade (p = 0,0098) et l’âge (p = 0,03) ; la radiothérapie (p = 0,6849) et le diamètre tumoral (p = 0,4439) ne l’étaient pas. L’atteinte ganglionnaire était associée à une diminution significative des taux de survie globale (p = 0,004) et sans maladie (p = 0,014) en analyse multifactorielle.
Conclusion :
La radiothérapie postopératoire s’est avérée efficace en termes de contrôle local, puisqu’une seule récidive locale a été observée mais n’a pas eu d’effet sur la survie globale et la survie sans maladie. L’atteinte ganglionnaire était associée à une diminution significative des taux de survie sans maladie et de survie globale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40977
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 103-107[article] Male breast cancer : A retrospective analysis : Cancer du sein chez l'homme : une analyse rétrospective [texte imprimé] / A. Yoney ; A. Kucuk . - 2009 . - p. 103-107.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 103-107
Mots-clés : SEIN CANCER HOMME RADIOTHERAPIE MASTECTOMIE Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer les résultats du traitement chez des hommes atteints de cancer du sein en termes de contrôle local et de survie globale, et de rechercher les facteurs pronostiques de la survie.
Patients et méthodes :
Les dossiers de 39 hommes atteints de cancer du sein ont été étudiés rétrospectivement pour évaluer la prise en charge. Il s’agissait de 94,8 % de carcinomes canalaires invasifs, de 2,6 % de carcinomes papillaires invasifs et de 2,6 % de carcinomes lobulaires invasifs, respectivement de stades I, II, III et IV dans 12,8, 46,2, 30,7 et 10,3 % des cas. Après l’opération, 7,7 % des patients ont reçu une radiothérapie complétée ou non d’une hormonothérapie, 22,8 % une chimiothérapie, 61,8 % une chimioradiothérapie complétée ou non d’une hormonothérapie et 7,7 % une hormonothérapie.
Résultats :
Le taux de dissémination métastatique à distance était de 36 % et celui de récidive locale de 5 %. Toutes les récidives locales et les métastases à distance sont survenues dans les deux premières années. Les taux de survie sans maladie et de survie globale étaient respectivement à cinq ans de 65,8 et 80,1 %. En analyse unifactorielle, les facteurs pronostiques significatifs de survie globale étaient l’atteinte ganglionnaire (p = 0,00001), le stade (p = 0,0098) et l’âge (p = 0,03) ; la radiothérapie (p = 0,6849) et le diamètre tumoral (p = 0,4439) ne l’étaient pas. L’atteinte ganglionnaire était associée à une diminution significative des taux de survie globale (p = 0,004) et sans maladie (p = 0,014) en analyse multifactorielle.
Conclusion :
La radiothérapie postopératoire s’est avérée efficace en termes de contrôle local, puisqu’une seule récidive locale a été observée mais n’a pas eu d’effet sur la survie globale et la survie sans maladie. L’atteinte ganglionnaire était associée à une diminution significative des taux de survie sans maladie et de survie globale.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40977 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Impact dosimétrique du mouvement 2D d'une plateforme simulant la respiration lors d'un traitement en mode dynamique / H. Masset in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
[article]
Titre : Impact dosimétrique du mouvement 2D d'une plateforme simulant la respiration lors d'un traitement en mode dynamique Titre original : Dosimetric impact of the 2D motion of a platform simulating breathing during a dynamic mode treatment Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Masset ; J.-L. Dumas ; R. Gschwind ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 108-113 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE RESPIRATION ARTIFICIELLE MOUVEMENT RESPIRATION DOSIMETRIE Résumé : Les techniques d’asservissement respiratoire en radiothérapie externe conduisent à une meilleure prise en compte du mouvement de la tumeur lié à la respiration lors du traitement du patient. En effet, ce mouvement entraîne des incertitudes dosimétriques, notamment lors d’un traitement avec des faisceaux en mode dynamique (radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité, filtre dynamique…). Comme le mouvement tumoral est complexe et s’effectue dans différentes directions de l’espace, une plateforme dynamique se déplaçant dans un ou deux plans a été conçue. Cet article aborde les aspects techniques de conception et de fonctionnement de ce prototype. Une étude des conséquences dosimétriques du mouvement respiratoire sur un et deux plans lors d’un traitement avec des faisceaux en mode dynamique sans asservissement respiratoire est présentée. Des films ont été irradiés en faisant varier les débits avec des champs filtrés à différentes vitesses de déplacement des mâchoires. Les pénombres des faisceaux d’irradiation ont été comparées au cas statique et se sont révélées deux fois plus larges dans la plupart des cas. Les résultats ont mis en évidence les contributions des composantes longitudinale et axiale du mouvement sur la forme de la distribution de dose. Ces mesures ont été complétées par celles de l’indice γ pour estimer la marge interne. De plus, cette plateforme bidimensionnelle s’avère être un outil prometteur dans la chaîne de traitement en asservissement respiratoire car elle offre la possibilité de tester la synchronisation du système real-time position management (RPM) en mode fluoroscopique sur un système d’imagerie embarqué et permettrait de résoudre les temps de réaction du système. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40978
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 108-113[article] Impact dosimétrique du mouvement 2D d'une plateforme simulant la respiration lors d'un traitement en mode dynamique = Dosimetric impact of the 2D motion of a platform simulating breathing during a dynamic mode treatment [texte imprimé] / H. Masset ; J.-L. Dumas ; R. Gschwind ; et al. . - 2009 . - p. 108-113.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 108-113
Mots-clés : RADIOTHERAPIE RESPIRATION ARTIFICIELLE MOUVEMENT RESPIRATION DOSIMETRIE Résumé : Les techniques d’asservissement respiratoire en radiothérapie externe conduisent à une meilleure prise en compte du mouvement de la tumeur lié à la respiration lors du traitement du patient. En effet, ce mouvement entraîne des incertitudes dosimétriques, notamment lors d’un traitement avec des faisceaux en mode dynamique (radiothérapie conformationnelle avec modulation d’intensité, filtre dynamique…). Comme le mouvement tumoral est complexe et s’effectue dans différentes directions de l’espace, une plateforme dynamique se déplaçant dans un ou deux plans a été conçue. Cet article aborde les aspects techniques de conception et de fonctionnement de ce prototype. Une étude des conséquences dosimétriques du mouvement respiratoire sur un et deux plans lors d’un traitement avec des faisceaux en mode dynamique sans asservissement respiratoire est présentée. Des films ont été irradiés en faisant varier les débits avec des champs filtrés à différentes vitesses de déplacement des mâchoires. Les pénombres des faisceaux d’irradiation ont été comparées au cas statique et se sont révélées deux fois plus larges dans la plupart des cas. Les résultats ont mis en évidence les contributions des composantes longitudinale et axiale du mouvement sur la forme de la distribution de dose. Ces mesures ont été complétées par celles de l’indice γ pour estimer la marge interne. De plus, cette plateforme bidimensionnelle s’avère être un outil prometteur dans la chaîne de traitement en asservissement respiratoire car elle offre la possibilité de tester la synchronisation du système real-time position management (RPM) en mode fluoroscopique sur un système d’imagerie embarqué et permettrait de résoudre les temps de réaction du système. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40978 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt État des lieux des associations chimioradiothérapeutiques et place potentielle des thérapies ciblées dans les cancers bronchiques non à petites cellules / C. Chargari in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
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Titre : État des lieux des associations chimioradiothérapeutiques et place potentielle des thérapies ciblées dans les cancers bronchiques non à petites cellules Titre original : State of the art in chemoradiotherapy combinations and potential role in targeting therapy approaches in nonsmall cell lung cancer Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Chargari ; E. Deutsch ; C. Le Péchoux ; N. Magné Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 114-122 Langues : Français (fre) Mots-clés : BRONCHE CANCER CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE THERAPEUTIQUE CIBLEE Résumé : Forts d’un rationnel préclinique démontré, les protocoles de chimioradiothérapie concomitante ont permis d’améliorer significativement le devenir des patients atteints d’un carcinome bronchique non à petites cellules. Cependant, le pronostic est resté très défavorable, motivant l’essor considérable dont ont bénéficié les thérapies ciblées en association à la radiothérapie. Une connaissance plus approfondie des mécanismes biologiques de l’oncogenèse a permis d’identifier de nouvelles cibles thérapeutiques, pour lesquelles une interaction spécifique laisse entrevoir une modulation pharmacologique de la radiosensibilité par, entre autres, le bouleversement du paysage apoptotique. Deux modalités d’inhibition de la voie du REGF ont été développées : les anticorps monoclonaux et les inhibiteurs de la tyrosine kinase. Leur évaluation clinique en oncologie thoracique combinée à la radiothérapie en est à ses débuts. Autre voie de recherche, l’inhibition de l’antiangiogenèse illustre les perspectives thérapeutiques à venir mais également l’absolue nécessité d’évaluations cliniques prudentes, notamment dans son association avec la radiothérapie. Avec le développement des stratégies du ciblage multiple, de nouvelles modalités d’optimisation de la radiothérapie apparaissent et nous offrent des perspectives encourageantes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40979
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 114-122[article] État des lieux des associations chimioradiothérapeutiques et place potentielle des thérapies ciblées dans les cancers bronchiques non à petites cellules = State of the art in chemoradiotherapy combinations and potential role in targeting therapy approaches in nonsmall cell lung cancer [texte imprimé] / C. Chargari ; E. Deutsch ; C. Le Péchoux ; N. Magné . - 2009 . - p. 114-122.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 114-122
Mots-clés : BRONCHE CANCER CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE THERAPEUTIQUE CIBLEE Résumé : Forts d’un rationnel préclinique démontré, les protocoles de chimioradiothérapie concomitante ont permis d’améliorer significativement le devenir des patients atteints d’un carcinome bronchique non à petites cellules. Cependant, le pronostic est resté très défavorable, motivant l’essor considérable dont ont bénéficié les thérapies ciblées en association à la radiothérapie. Une connaissance plus approfondie des mécanismes biologiques de l’oncogenèse a permis d’identifier de nouvelles cibles thérapeutiques, pour lesquelles une interaction spécifique laisse entrevoir une modulation pharmacologique de la radiosensibilité par, entre autres, le bouleversement du paysage apoptotique. Deux modalités d’inhibition de la voie du REGF ont été développées : les anticorps monoclonaux et les inhibiteurs de la tyrosine kinase. Leur évaluation clinique en oncologie thoracique combinée à la radiothérapie en est à ses débuts. Autre voie de recherche, l’inhibition de l’antiangiogenèse illustre les perspectives thérapeutiques à venir mais également l’absolue nécessité d’évaluations cliniques prudentes, notamment dans son association avec la radiothérapie. Avec le développement des stratégies du ciblage multiple, de nouvelles modalités d’optimisation de la radiothérapie apparaissent et nous offrent des perspectives encourageantes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40979 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt The integration of chemoradiation in the care of patient with localized pancreatic cancer / C.H. Crane in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 2 (Avril 2009)
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Titre : The integration of chemoradiation in the care of patient with localized pancreatic cancer Titre original : La chimioradiothérapie dans la prise en charge du cancer du pancréas localisé Type de document : texte imprimé Auteurs : C.H. Crane ; G. Varadhachary ; S.H. Settle ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 123-143 Langues : Français (fre) Mots-clés : CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE PANCREAS CANCER THERAPEUTIQUE Résumé : La chimioradiothérapie est controversée dans la prise en charge du cancer du pancréas localisé. Quoique les essais randomisés aient montré que la chimioradiothérapie augmente la durée médiane de survie chez les patients atteints de cancer localement évolué ou réséqué, d’autres ont plus récemment remis en question le rôle de la chimioradiothérapie au profit de la chimiothérapie. Le taux élevé de récidives/tumeurs non stérilisées observé dans tous les essais de traitements adjuvants reflète probablement l’inclusion de patients chez qui la résection a été incomplète. La conséquence en est un pronostic similaire à celui des tumeurs localement évoluées, qui ne sont pas réséquées, ce qui en rend l’interprétation des essais difficile. Un staging plus précis et une sélection plus rigoureuse des patients qui doivent être opérés sont nécessaires. Les clés d’une meilleure intégration de la radiothérapie dans la prise en charge des cancers localisés du pancréas sont donc une bonne sélection, un protocole bien séquencé et des volumes plus petits. Une stratégie consistant à délivrer d’abord une chimiothérapie puis une chimioradiothérapie bien tolérée augmente le bénéfice de ces deux options thérapeutiques, qui sont en fait complémentaires, à la fois en situation adjuvante et pour des tumeurs localement évoluées. Nous discutons ici le rationnel de cette approche thérapeutique aussi bien que des essais de radiothérapie en cours, ayant pour objectif d’améliorer les résultats par le biais de thérapeutiques ciblées ou de chimioradiothérapies néoadjuvantes dans les cancers du pancréas apparaissant plus ou moins complètement résécables à la vue de l’imagerie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40980
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 123-143[article] The integration of chemoradiation in the care of patient with localized pancreatic cancer = La chimioradiothérapie dans la prise en charge du cancer du pancréas localisé [texte imprimé] / C.H. Crane ; G. Varadhachary ; S.H. Settle ; et al. . - 2009 . - p. 123-143.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 2 (Avril 2009) . - p. 123-143
Mots-clés : CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE PANCREAS CANCER THERAPEUTIQUE Résumé : La chimioradiothérapie est controversée dans la prise en charge du cancer du pancréas localisé. Quoique les essais randomisés aient montré que la chimioradiothérapie augmente la durée médiane de survie chez les patients atteints de cancer localement évolué ou réséqué, d’autres ont plus récemment remis en question le rôle de la chimioradiothérapie au profit de la chimiothérapie. Le taux élevé de récidives/tumeurs non stérilisées observé dans tous les essais de traitements adjuvants reflète probablement l’inclusion de patients chez qui la résection a été incomplète. La conséquence en est un pronostic similaire à celui des tumeurs localement évoluées, qui ne sont pas réséquées, ce qui en rend l’interprétation des essais difficile. Un staging plus précis et une sélection plus rigoureuse des patients qui doivent être opérés sont nécessaires. Les clés d’une meilleure intégration de la radiothérapie dans la prise en charge des cancers localisés du pancréas sont donc une bonne sélection, un protocole bien séquencé et des volumes plus petits. Une stratégie consistant à délivrer d’abord une chimiothérapie puis une chimioradiothérapie bien tolérée augmente le bénéfice de ces deux options thérapeutiques, qui sont en fait complémentaires, à la fois en situation adjuvante et pour des tumeurs localement évoluées. Nous discutons ici le rationnel de cette approche thérapeutique aussi bien que des essais de radiothérapie en cours, ayant pour objectif d’améliorer les résultats par le biais de thérapeutiques ciblées ou de chimioradiothérapies néoadjuvantes dans les cancers du pancréas apparaissant plus ou moins complètement résécables à la vue de l’imagerie. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40980 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt