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Cancer Radiothérapie . Vol. 13, n° 1Mention de date : Janvier 2009Paru le : 01/01/2009 |
Exemplaires (1)
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierRadiochirurgie des malformations artérioveineuses cérébrales : élaboration d’un algorithme de prescription / N. Blanchard in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Radiochirurgie des malformations artérioveineuses cérébrales : élaboration d’un algorithme de prescription Titre original : Radiosurgery of cerebral arteriovenous malformations: A prescription algorithm Type de document : texte imprimé Auteurs : N. Blanchard ; V. Bernier ; R. Anxionnat ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 1-10 Langues : Français (fre) Mots-clés : MALFORMATION NECROSE RADIOCHIRURGIE Résumé : Objectif de l’étude :
Étudier des facteurs pronostiques d’oblitération et des facteurs prédictifs pour la radionécrose cérébrale dans l’objectif d’élaborer un algorithme de prescription du traitement des malformations artérioveineuses cérébrales par radiochirurgie.
Patients et méthodes :
Une radiochirurgie a été délivrée chez 179 patients, par arc thérapie (84 %), ou par des faisceaux fixes (16 %) de rayons X de 6 ou 10 MV, avec deux microcollimateurs. L’IRM a été utilisée pour rechercher une radionécrose, l’artériographie pour juger de l’évolution de la malformation artérioveineuse.
Résultats :
Une oblitération a été obtenue dans 82,7 % des cas avec un délai moyen de 3,1 ans. Les facteurs pronostiques étaient : forme simple du nidus (risque relatif [RR] = 2,8 ; p < 0,0001), moins de quatre embolisations avant la radiochirurgie (RR = 2,9 ; p < 0,0001), dose prescrite en périphérie d’au moins 18 Gy (RR = 2 ; p = 0,0002), nidus de moins de 8 cm3 (RR = 1,9 ; p = 0,0002) et moins de six positions de table (RR = 1,4 ; p = 0,05). Le taux de radionécrose était de 11,2 % ; son délai moyen de survenue de 18 mois. Les facteurs prédictifs étaient : traitement par faisceaux fixes (selon le logiciel RR = 9,1 ; p < 0,0001 et RR = 15,1 ; p = 0,01), patient âgé de moins de 30 ans (RR = 2,5 ; p = 0,04), profondeur de la malformation artérioveineuse cérébrale d’au moins 7 cm (RR = 7,6 ; p = 0,008), volume cérébral inclus dans l’isodose 12 Gy (V12 Gy) de 11 cm3 ou plus (RR = 7,8 ; p = 0,05).
Conclusion :
Un algorithme de prescription du traitement stéréotaxique des malformations artérioveineuses cérébrales a été réalisé en prenant en compte la dose prescrite à la périphérie (≥ 18 Gy) et le V12 Gy.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40933
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 1-10[article] Radiochirurgie des malformations artérioveineuses cérébrales : élaboration d’un algorithme de prescription = Radiosurgery of cerebral arteriovenous malformations: A prescription algorithm [texte imprimé] / N. Blanchard ; V. Bernier ; R. Anxionnat ; et al. . - 2009 . - p. 1-10.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 1-10
Mots-clés : MALFORMATION NECROSE RADIOCHIRURGIE Résumé : Objectif de l’étude :
Étudier des facteurs pronostiques d’oblitération et des facteurs prédictifs pour la radionécrose cérébrale dans l’objectif d’élaborer un algorithme de prescription du traitement des malformations artérioveineuses cérébrales par radiochirurgie.
Patients et méthodes :
Une radiochirurgie a été délivrée chez 179 patients, par arc thérapie (84 %), ou par des faisceaux fixes (16 %) de rayons X de 6 ou 10 MV, avec deux microcollimateurs. L’IRM a été utilisée pour rechercher une radionécrose, l’artériographie pour juger de l’évolution de la malformation artérioveineuse.
Résultats :
Une oblitération a été obtenue dans 82,7 % des cas avec un délai moyen de 3,1 ans. Les facteurs pronostiques étaient : forme simple du nidus (risque relatif [RR] = 2,8 ; p < 0,0001), moins de quatre embolisations avant la radiochirurgie (RR = 2,9 ; p < 0,0001), dose prescrite en périphérie d’au moins 18 Gy (RR = 2 ; p = 0,0002), nidus de moins de 8 cm3 (RR = 1,9 ; p = 0,0002) et moins de six positions de table (RR = 1,4 ; p = 0,05). Le taux de radionécrose était de 11,2 % ; son délai moyen de survenue de 18 mois. Les facteurs prédictifs étaient : traitement par faisceaux fixes (selon le logiciel RR = 9,1 ; p < 0,0001 et RR = 15,1 ; p = 0,01), patient âgé de moins de 30 ans (RR = 2,5 ; p = 0,04), profondeur de la malformation artérioveineuse cérébrale d’au moins 7 cm (RR = 7,6 ; p = 0,008), volume cérébral inclus dans l’isodose 12 Gy (V12 Gy) de 11 cm3 ou plus (RR = 7,8 ; p = 0,05).
Conclusion :
Un algorithme de prescription du traitement stéréotaxique des malformations artérioveineuses cérébrales a été réalisé en prenant en compte la dose prescrite à la périphérie (≥ 18 Gy) et le V12 Gy.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40933 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Intérêt de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes gastriques agressifs localisés / H. Ben Salah in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Intérêt de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes gastriques agressifs localisés Titre original : The value of radiotherapy in the treatment of aggressive and localised gastric lymphomas Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Ben Salah ; L. Ghorbel ; M.S. Krichen ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 11-16 Langues : Français (fre) Mots-clés : LYMPHOME RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer les résultats thérapeutiques des lymphomes gastriques localisés agressifs de pronostic favorable après chimiothérapie et radiothérapie.
Patients et méthodes :
Entre février 1993 et décembre 2004, neuf patients atteints de lymphome gastrique primitif localisé de haut grade ont été pris en charge par le comité lymphome du centre hospitalier universitaire de Sfax (Tunisie). Le sex-ratio était 1,5 et l’âge moyen de 44,9 ans. Le type histologique était un lymphome B à grandes cellules dans 100 % des cas. La maladie était selon la classification d’Ann Arbor modifiée de stade IE dans huit cas et de stade IIE dans un cas sans aucun facteur de pronostic défavorable. Le traitement a consisté en une chimiothérapie suivie d’une radiothérapie de l’estomac avec ou sans les aires ganglionnaires périgastrique à la dose de 40 Gy.
Résultats :
À la fin du traitement, tous les patients étaient en situation de rémission complète. Avec un recul moyen de 55,7 mois, un patient a été perdu de vue, les autres étaient en vie en situation de rémission complète. Aucune toxicité aiguë majeure n’a été rapportée. Au cours du suivi, aucun patient n’a souffert de toxicité tardive. Le taux de survie globale à cinq ans était de 100 %.
Conclusion :
L’association de radiothérapie et de chimiothérapie peut être proposée pour les lymphomes gastriques localisés de pronostic favorable, vu les résultats très satisfaisants en termes de contrôle de la maladie et de tolérance.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40934
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 11-16[article] Intérêt de la radiothérapie dans le traitement des lymphomes gastriques agressifs localisés = The value of radiotherapy in the treatment of aggressive and localised gastric lymphomas [texte imprimé] / H. Ben Salah ; L. Ghorbel ; M.S. Krichen ; et al. . - 2009 . - p. 11-16.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 11-16
Mots-clés : LYMPHOME RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer les résultats thérapeutiques des lymphomes gastriques localisés agressifs de pronostic favorable après chimiothérapie et radiothérapie.
Patients et méthodes :
Entre février 1993 et décembre 2004, neuf patients atteints de lymphome gastrique primitif localisé de haut grade ont été pris en charge par le comité lymphome du centre hospitalier universitaire de Sfax (Tunisie). Le sex-ratio était 1,5 et l’âge moyen de 44,9 ans. Le type histologique était un lymphome B à grandes cellules dans 100 % des cas. La maladie était selon la classification d’Ann Arbor modifiée de stade IE dans huit cas et de stade IIE dans un cas sans aucun facteur de pronostic défavorable. Le traitement a consisté en une chimiothérapie suivie d’une radiothérapie de l’estomac avec ou sans les aires ganglionnaires périgastrique à la dose de 40 Gy.
Résultats :
À la fin du traitement, tous les patients étaient en situation de rémission complète. Avec un recul moyen de 55,7 mois, un patient a été perdu de vue, les autres étaient en vie en situation de rémission complète. Aucune toxicité aiguë majeure n’a été rapportée. Au cours du suivi, aucun patient n’a souffert de toxicité tardive. Le taux de survie globale à cinq ans était de 100 %.
Conclusion :
L’association de radiothérapie et de chimiothérapie peut être proposée pour les lymphomes gastriques localisés de pronostic favorable, vu les résultats très satisfaisants en termes de contrôle de la maladie et de tolérance.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40934 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Les délais au diagnostic et à la mise en traitement n’altèrent pas les résultats des traitements délivrés aux patients atteints de glioblastome / G. Noël in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Les délais au diagnostic et à la mise en traitement n’altèrent pas les résultats des traitements délivrés aux patients atteints de glioblastome Titre original : Waiting times do not negatively modify outcome of patients with multiform glioblastoma Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Noël ; P. Quetin ; S. Heymann Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 17-23 Langues : Français (fre) Mots-clés : NEUROGLIOBLASTOME RADIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Étudier le rôle des délais d’attente chez les patients atteints d’un glioblastome et traités par irradiation adjuvante tridimensionnelle et évaluer le rôle d’une chimiothérapie adjuvante précédant la radiothérapie.
Patients et méthodes :
Nous avons analysé les dossiers de 93 patients atteints d’un glioblastome histologiquement prouvé. La chirurgie était considérée comme macroscopiquement complète dans 33 cas (35 %). La dose totale médiane d’irradiation était de 60 Gy (8–63) et la dose moyenne de 56 Gy. La dose par fraction était de 1,8 Gy (cinq cas), 2 Gy (76 cas) ou 2,7 Gy (13 cas). Quarante patients ont reçu une chimiothérapie avant la radiothérapie. Dans neuf cas, il s’agissait de carmustine dans le site opératoire (Gliadel®), dans 29 de témozolomide (témodal®) à la dose de 150 mg/m2 sur cinq jours, et dans deux cas d’une association de témozolomide et de cisplatine à la dose de 100 mg/m2. Ces derniers 31 patients ont reçu un seul cycle avant laradiothérapie.
Résultats :
L’âge médian des 56 hommes et 27 femmes était de 62,1 ans (7–82) et l’âge moyen de 59,2 ans. La durée médiane de surveillance était de neuf mois (1–49). Pour tous les patients, le délai médian entre les premiers signes et le début de traitement non chirurgical était de 68 jours (3–274) et le délai moyen de 81,9 jours. Pour les patients qui ont reçu la chimiothérapie de première intention, le délai médian était de 54 jours (3–221) et le délai moyen de 68,3 jours. Pour tous les patients, le délai médian entre la chirurgie et le début de la radiothérapie était de 46 jours (8–401, moyenne 59,3 jours), pour ceux qui n’ont pas reçu cette chimiothérapie, ils étaient respectivement de 46 jours (8–278) et 55,4 jours. Pour l’ensemble des patients, la durée médiane de contrôle local était de 14,5 mois. Les taux de contrôle local à six, 12, 18, et 24 mois étaient respectivement de 75,6 ± 4,6 %, 57,6 ± 6,2 %, 36,7 ± 8 % et 27,6 ± 8,2 %. En analyse multifactorielle, deux facteurs pronostiques indépendants favorables ont été mis en évidence, une exérèse macroscopiquement totale (RR [risque relatif] : 2,85 ; IC 95 % [intervalle de confiance à 95 % : 1,3–6,5], p = 0,012) et une dose d’irradiation supérieure ou égale à 60 Gy (RR : 3,14 ; IC 95 % : 1,5–6,6, p = 0,002). Pour l’ensemble des patients, la durée médiane de survie globale était de 14,3 mois. Les taux de survie globale à six, 12, 18, et 24 mois étaient respectivement de 84 ± 3,9 %, 55,1 ± 5,9 %, 34,2 ± 6,3 % et 30,4 ± 6,7 %. Aucun facteur pronostique indépendant favorable n’a été mis en évidence dans cette série.
Conclusion :
les durées d’attente entre les premiers signes et le début de traitement non chirurgical ou entre la chirurgie et les débuts de traitement n’étaient pas des facteurs pronostiques du contrôle local ni de la survie globale. Le fait de débuter le traitement par une chimiothérapie n’améliore pas les résultats comparativement à un début de traitement adjuvant par radiothérapie, même retardée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40935
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 17-23[article] Les délais au diagnostic et à la mise en traitement n’altèrent pas les résultats des traitements délivrés aux patients atteints de glioblastome = Waiting times do not negatively modify outcome of patients with multiform glioblastoma [texte imprimé] / G. Noël ; P. Quetin ; S. Heymann . - 2009 . - p. 17-23.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 17-23
Mots-clés : NEUROGLIOBLASTOME RADIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Étudier le rôle des délais d’attente chez les patients atteints d’un glioblastome et traités par irradiation adjuvante tridimensionnelle et évaluer le rôle d’une chimiothérapie adjuvante précédant la radiothérapie.
Patients et méthodes :
Nous avons analysé les dossiers de 93 patients atteints d’un glioblastome histologiquement prouvé. La chirurgie était considérée comme macroscopiquement complète dans 33 cas (35 %). La dose totale médiane d’irradiation était de 60 Gy (8–63) et la dose moyenne de 56 Gy. La dose par fraction était de 1,8 Gy (cinq cas), 2 Gy (76 cas) ou 2,7 Gy (13 cas). Quarante patients ont reçu une chimiothérapie avant la radiothérapie. Dans neuf cas, il s’agissait de carmustine dans le site opératoire (Gliadel®), dans 29 de témozolomide (témodal®) à la dose de 150 mg/m2 sur cinq jours, et dans deux cas d’une association de témozolomide et de cisplatine à la dose de 100 mg/m2. Ces derniers 31 patients ont reçu un seul cycle avant laradiothérapie.
Résultats :
L’âge médian des 56 hommes et 27 femmes était de 62,1 ans (7–82) et l’âge moyen de 59,2 ans. La durée médiane de surveillance était de neuf mois (1–49). Pour tous les patients, le délai médian entre les premiers signes et le début de traitement non chirurgical était de 68 jours (3–274) et le délai moyen de 81,9 jours. Pour les patients qui ont reçu la chimiothérapie de première intention, le délai médian était de 54 jours (3–221) et le délai moyen de 68,3 jours. Pour tous les patients, le délai médian entre la chirurgie et le début de la radiothérapie était de 46 jours (8–401, moyenne 59,3 jours), pour ceux qui n’ont pas reçu cette chimiothérapie, ils étaient respectivement de 46 jours (8–278) et 55,4 jours. Pour l’ensemble des patients, la durée médiane de contrôle local était de 14,5 mois. Les taux de contrôle local à six, 12, 18, et 24 mois étaient respectivement de 75,6 ± 4,6 %, 57,6 ± 6,2 %, 36,7 ± 8 % et 27,6 ± 8,2 %. En analyse multifactorielle, deux facteurs pronostiques indépendants favorables ont été mis en évidence, une exérèse macroscopiquement totale (RR [risque relatif] : 2,85 ; IC 95 % [intervalle de confiance à 95 % : 1,3–6,5], p = 0,012) et une dose d’irradiation supérieure ou égale à 60 Gy (RR : 3,14 ; IC 95 % : 1,5–6,6, p = 0,002). Pour l’ensemble des patients, la durée médiane de survie globale était de 14,3 mois. Les taux de survie globale à six, 12, 18, et 24 mois étaient respectivement de 84 ± 3,9 %, 55,1 ± 5,9 %, 34,2 ± 6,3 % et 30,4 ± 6,7 %. Aucun facteur pronostique indépendant favorable n’a été mis en évidence dans cette série.
Conclusion :
les durées d’attente entre les premiers signes et le début de traitement non chirurgical ou entre la chirurgie et les débuts de traitement n’étaient pas des facteurs pronostiques du contrôle local ni de la survie globale. Le fait de débuter le traitement par une chimiothérapie n’améliore pas les résultats comparativement à un début de traitement adjuvant par radiothérapie, même retardée.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40935 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Impact dosimétrique du blocage respiratoire dans le traitement du carcinome hépatocellulaire par irradiation de conformation / A. Kubas in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Impact dosimétrique du blocage respiratoire dans le traitement du carcinome hépatocellulaire par irradiation de conformation Titre original : Dosimetric impact of breath-hold in the treatment of hepatocellular carcinoma by conformal radiation therapy Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Kubas ; O. Chapet ; P. Merle ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 24-29 Langues : Français (fre) Mots-clés : HEPATOCARCINOME RADIOTHERAPIE CONFORMATIONNELLE RESPIRATION RADIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer l’impact dosimétrique du blocage respiratoire au cours d’une irradiation conformationnelle du carcinome hépatocellulaire (CHC) et déterminer la phase respiratoire optimale de traitement (expiration ou inspiration).
Patients et méthodes :
Deux scanographies ont été réalisées en inspiration et en expiration chez 20 patients atteints de carcinome hépatocellulaire. Le volume tumoral macroscopique a été délinéé sur l’acquisition en inspiration bloquée (GTVinsp) et celle en expiration bloquée (GTVexp). La fusion des deux volumes tumoraux macroscopiques a permis d’obtenir un volume tumoral macroscopique global (respiration libre). Le volume cible prévisionnel (PTV) était défini en rajoutant 1 cm autour de chaque volume tumoral macroscopique. Le foie, l’estomac, le duodénum, les deux reins, la moelle épinière et le cœur ont été délinéés. Trois plans dosimétriques ont été réalisés en expiration, inspiration et sur le volume cible prévisionnel global.
Résultats :
La réduction moyenne du volume de volume cible prévisionnel avec un blocage respiratoire était de 33,5 ± 11,9 % par rapport au volume cible prévisionnel en respiration libre. La réduction moyenne obtenue de 50%, V20, V30, V40 et V50 (volume recevant respectivement au moins 20, 30, 40 et 50 Gy) était autour de 4 % en faveur du blocage. La valeur moyenne des probabilités de complications des tissus sains (NTCP) pour le foie était de 8,9 % en respiration libre, de 4,5 % en expiration et de 3,2 % en inspiration. Une amélioration globale des paramètres dosimétriques des organes à risque a été observée avec un blocage respiratoire.
Conclusion :
Par rapport à la radiothérapie conformationnelle en respiration libre, le blocage respiratoire permet de diminuer le volume cible prévisionnel et les doses au foie sain et organes à risque. Le recours à cette modalité au cours des différentes techniques de radiothérapie (radiothérapie conformationnelle tridimenionnelle, RCMI et radiothérapie en conditions stéréotaxiques) peut être recommandé. Aucune phase du blocage respiratoire n’a démontré de supériorité.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40936
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 24-29[article] Impact dosimétrique du blocage respiratoire dans le traitement du carcinome hépatocellulaire par irradiation de conformation = Dosimetric impact of breath-hold in the treatment of hepatocellular carcinoma by conformal radiation therapy [texte imprimé] / A. Kubas ; O. Chapet ; P. Merle ; et al. . - 2009 . - p. 24-29.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 24-29
Mots-clés : HEPATOCARCINOME RADIOTHERAPIE CONFORMATIONNELLE RESPIRATION RADIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer l’impact dosimétrique du blocage respiratoire au cours d’une irradiation conformationnelle du carcinome hépatocellulaire (CHC) et déterminer la phase respiratoire optimale de traitement (expiration ou inspiration).
Patients et méthodes :
Deux scanographies ont été réalisées en inspiration et en expiration chez 20 patients atteints de carcinome hépatocellulaire. Le volume tumoral macroscopique a été délinéé sur l’acquisition en inspiration bloquée (GTVinsp) et celle en expiration bloquée (GTVexp). La fusion des deux volumes tumoraux macroscopiques a permis d’obtenir un volume tumoral macroscopique global (respiration libre). Le volume cible prévisionnel (PTV) était défini en rajoutant 1 cm autour de chaque volume tumoral macroscopique. Le foie, l’estomac, le duodénum, les deux reins, la moelle épinière et le cœur ont été délinéés. Trois plans dosimétriques ont été réalisés en expiration, inspiration et sur le volume cible prévisionnel global.
Résultats :
La réduction moyenne du volume de volume cible prévisionnel avec un blocage respiratoire était de 33,5 ± 11,9 % par rapport au volume cible prévisionnel en respiration libre. La réduction moyenne obtenue de 50%, V20, V30, V40 et V50 (volume recevant respectivement au moins 20, 30, 40 et 50 Gy) était autour de 4 % en faveur du blocage. La valeur moyenne des probabilités de complications des tissus sains (NTCP) pour le foie était de 8,9 % en respiration libre, de 4,5 % en expiration et de 3,2 % en inspiration. Une amélioration globale des paramètres dosimétriques des organes à risque a été observée avec un blocage respiratoire.
Conclusion :
Par rapport à la radiothérapie conformationnelle en respiration libre, le blocage respiratoire permet de diminuer le volume cible prévisionnel et les doses au foie sain et organes à risque. Le recours à cette modalité au cours des différentes techniques de radiothérapie (radiothérapie conformationnelle tridimenionnelle, RCMI et radiothérapie en conditions stéréotaxiques) peut être recommandé. Aucune phase du blocage respiratoire n’a démontré de supériorité.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40936 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Place de la radiothérapie dans le traitement du rétinoblastome : à propos de 40 cas / H. Frikha in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Place de la radiothérapie dans le traitement du rétinoblastome : à propos de 40 cas Titre original : Radiotherapy in the treatment of retinoblastoma: About 40 cases Type de document : texte imprimé Auteurs : H. Frikha ; N. Chaari ; C. Nasr ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 30-36 Langues : Français (fre) Mots-clés : RETINOBLASTOME RADIOTHERAPIE COMPLICATION Résumé : Objectif de l’étude :
Le but de ce travail était d’analyser les résultats et les complications de la radiothérapie dans le traitement du rétinoblastome.
Patients et méthodes :
Nous avons mené une étude rétrospective à partir des dossiers de 40 enfants irradiés pour un rétinoblastome à l’institut Salah-Azaiz entre 1994 et 2004. L’âge moyen des patients était de 36 mois (quatre à 132 mois). Il s’agissait de 16 filles et 24 garçons. Seize enfants étaient atteints bilatéralement et 24 unilatéralement. Au total, 20 yeux et 36 cavités orbitaires irradiés. Un seul enfant, atteint d’un rétinoblastome unilatéral de siège antérieur a été traité ruthénium 106. Les 39 autres enfants ont été traités par irradiation externe. Dans 20 cas, il s’agissait d’une irradiation à visée conservatrice et dans 36 d’une radiothérapie adjuvante postopératoire. Ces derniers, au nombre de 36, étaient atteints d’un rétinoblastome présentant au moins un facteur de risque de récidive noté dans le compte rendu histologique. Une dose moyenne 44 Gy a été délivrée à raison de cinq séances de 1,8 à 2 Gy par semaine. Cette radiothérapie a été associée à une chimiothérapie dans 24 cas.
Résultats :
Trente-cinq enfants ont été suivis régulièrement, en moyenne 53 mois (trois à 108 mois). Nous avons recensé quatre récidives intraorbitaires et sept disséminations métastiques chez neuf enfants. Le délai moyen de rechute était de dix mois (deux à 26). L’œil a été conservé et le champ visuel utile pour 18 des 20 yeux irradiés à visée conservatrice. La complication thérapeutique majeure a été le défaut de croissance des os de la face. Un sarcome osseux fémoral est survenu cinq ans après la fin de l’irradiation et la chimiothérapie.
Conclusion :
Si la radiothérapie offre l’avantage de la conservation fonctionnelle et de l’amélioration du taux de contrôle local, ses indications sont de plus en plus restreintes en faveur des autres moyens thérapeutiques (chimiothérapie, thermochimiothérapie) et ce compte tenu du risque iatrogène. Les nouvelles techniques de curiethérapie et de radiothérapie conformationnelle paraissent réduire considérablement ce risque.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40937
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 30-36[article] Place de la radiothérapie dans le traitement du rétinoblastome : à propos de 40 cas = Radiotherapy in the treatment of retinoblastoma: About 40 cases [texte imprimé] / H. Frikha ; N. Chaari ; C. Nasr ; et al. . - 2009 . - p. 30-36.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 30-36
Mots-clés : RETINOBLASTOME RADIOTHERAPIE COMPLICATION Résumé : Objectif de l’étude :
Le but de ce travail était d’analyser les résultats et les complications de la radiothérapie dans le traitement du rétinoblastome.
Patients et méthodes :
Nous avons mené une étude rétrospective à partir des dossiers de 40 enfants irradiés pour un rétinoblastome à l’institut Salah-Azaiz entre 1994 et 2004. L’âge moyen des patients était de 36 mois (quatre à 132 mois). Il s’agissait de 16 filles et 24 garçons. Seize enfants étaient atteints bilatéralement et 24 unilatéralement. Au total, 20 yeux et 36 cavités orbitaires irradiés. Un seul enfant, atteint d’un rétinoblastome unilatéral de siège antérieur a été traité ruthénium 106. Les 39 autres enfants ont été traités par irradiation externe. Dans 20 cas, il s’agissait d’une irradiation à visée conservatrice et dans 36 d’une radiothérapie adjuvante postopératoire. Ces derniers, au nombre de 36, étaient atteints d’un rétinoblastome présentant au moins un facteur de risque de récidive noté dans le compte rendu histologique. Une dose moyenne 44 Gy a été délivrée à raison de cinq séances de 1,8 à 2 Gy par semaine. Cette radiothérapie a été associée à une chimiothérapie dans 24 cas.
Résultats :
Trente-cinq enfants ont été suivis régulièrement, en moyenne 53 mois (trois à 108 mois). Nous avons recensé quatre récidives intraorbitaires et sept disséminations métastiques chez neuf enfants. Le délai moyen de rechute était de dix mois (deux à 26). L’œil a été conservé et le champ visuel utile pour 18 des 20 yeux irradiés à visée conservatrice. La complication thérapeutique majeure a été le défaut de croissance des os de la face. Un sarcome osseux fémoral est survenu cinq ans après la fin de l’irradiation et la chimiothérapie.
Conclusion :
Si la radiothérapie offre l’avantage de la conservation fonctionnelle et de l’amélioration du taux de contrôle local, ses indications sont de plus en plus restreintes en faveur des autres moyens thérapeutiques (chimiothérapie, thermochimiothérapie) et ce compte tenu du risque iatrogène. Les nouvelles techniques de curiethérapie et de radiothérapie conformationnelle paraissent réduire considérablement ce risque.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40937 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Carcinome colloïde pur du sein : étude anatomoclinique de sept cas / I. Chtourou in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Carcinome colloïde pur du sein : étude anatomoclinique de sept cas Titre original : Colloid carcinoma of the breast: Seven cases anatomoclinical study Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Chtourou ; S. Krichen Makni ; I. Bahri ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 37-41 Langues : Français (fre) Mots-clés : CARCINOME SEIN RADIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Le carcinome colloïde du sein est une forme histologique particulière caractérisée par la production de mucus extracellulaire. La forme pure, rarement rapportée est de meilleur pronostic que les autres types du cancer du sein. L’objectif de notre étude était de préciser les particularités anatomocliniques, ainsi que les facteurs de pronostic du carcinome colloïde pur du sein.
Patients et méthodes :
Nous rapportons une série de sept cas colligés sur une période de 11 ans (1993-2003) dans le laboratoire d’anatomie et de cytologie pathologiques de l’hôpital universitaire de Sfax. Une revue des dossiers cliniques avec étude immunohistochimique (récepteurs hormonaux, chromogranine, synaptophysine, Bcl2, Ki67, P53 et Her-2/neu [C-erbB-2]) a été réalisée dans tous les cas.
Résultats :
Le carcinome colloïde pur du sein représentait 0,5 % de l’ensemble des cancers du sein. L’âge moyen de nos patientes était de 69 ans. Au moment du diagnostic, quatre tumeurs étaient classées T4, une T3, deux T2, deux N1 et une N3 ; aucune patiente n’avait présenté de métastase (M0) selon la classification de pTNM. L’échomammographie montrait une masse à contours réguliers dans quatre cas. À l’étude anatomopathologique, une différentiation neuroendocrine a été retrouvée dans deux cas, toutes les tumeurs avaient présenté des récepteurs hormonaux positives (estrogène et progestérone), deux cas exprimaient la Bcl2 ; l’étude immunohistochimique était négative pour les autres anticorps. Une radiothérapie adjuvante a été réalisée pour toutes les patientes. La durée moyenne de suivi était de 33 mois ; l’évolution a été marquée par la survenue de métastases dans deux cas.
Conclusion :
Les carcinomes colloïdes purs du sein constituent une entité morphologique particulière qui mérite d’être individualisée ; la différenciation neuroendocrine de ces tumeurs doit être recherchée. Leur pronostic est relativement favorable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40938
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 37-41[article] Carcinome colloïde pur du sein : étude anatomoclinique de sept cas = Colloid carcinoma of the breast: Seven cases anatomoclinical study [texte imprimé] / I. Chtourou ; S. Krichen Makni ; I. Bahri ; et al. . - 2009 . - p. 37-41.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 37-41
Mots-clés : CARCINOME SEIN RADIOTHERAPIE Résumé : Objectif de l’étude :
Le carcinome colloïde du sein est une forme histologique particulière caractérisée par la production de mucus extracellulaire. La forme pure, rarement rapportée est de meilleur pronostic que les autres types du cancer du sein. L’objectif de notre étude était de préciser les particularités anatomocliniques, ainsi que les facteurs de pronostic du carcinome colloïde pur du sein.
Patients et méthodes :
Nous rapportons une série de sept cas colligés sur une période de 11 ans (1993-2003) dans le laboratoire d’anatomie et de cytologie pathologiques de l’hôpital universitaire de Sfax. Une revue des dossiers cliniques avec étude immunohistochimique (récepteurs hormonaux, chromogranine, synaptophysine, Bcl2, Ki67, P53 et Her-2/neu [C-erbB-2]) a été réalisée dans tous les cas.
Résultats :
Le carcinome colloïde pur du sein représentait 0,5 % de l’ensemble des cancers du sein. L’âge moyen de nos patientes était de 69 ans. Au moment du diagnostic, quatre tumeurs étaient classées T4, une T3, deux T2, deux N1 et une N3 ; aucune patiente n’avait présenté de métastase (M0) selon la classification de pTNM. L’échomammographie montrait une masse à contours réguliers dans quatre cas. À l’étude anatomopathologique, une différentiation neuroendocrine a été retrouvée dans deux cas, toutes les tumeurs avaient présenté des récepteurs hormonaux positives (estrogène et progestérone), deux cas exprimaient la Bcl2 ; l’étude immunohistochimique était négative pour les autres anticorps. Une radiothérapie adjuvante a été réalisée pour toutes les patientes. La durée moyenne de suivi était de 33 mois ; l’évolution a été marquée par la survenue de métastases dans deux cas.
Conclusion :
Les carcinomes colloïdes purs du sein constituent une entité morphologique particulière qui mérite d’être individualisée ; la différenciation neuroendocrine de ces tumeurs doit être recherchée. Leur pronostic est relativement favorable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40938 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Rôle de la radiothérapie dans l'ossification hétérotopique / E. Nasr in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Rôle de la radiothérapie dans l'ossification hétérotopique Titre original : Role of radiotherapy in heterotopic ossification Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Nasr ; R. Nehme ; I. Ghanem ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 42-46 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE OSSIFICATION Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer l’intérêt de la radiothérapie dans la prévention de l’ossification hétérotopique.
Patients et méthodes :
Vingt-deux patients âgés de 20 à 76 ans ont reçu une radiothérapie pour la prévention des ossifications hétérotopiques. Tous les patients ont reçu une radiothérapie postopératoire de 7 Gy par photons de 18 MV. Le délai entre la chirurgie et la radiothérapie a été de 24 heures chez 20 patients, 48 heures chez trois patients, 72 heures chez deux patients et 96 heures chez un patient. Les critères utilisés pour le suivi des patients étaient le stade radiologique (score de Brooker) et l’état fonctionnel de l’articulation avant et après la chirurgie. Parmi les 14 patients suivis, sept ont reçu une radiothérapie primaire et sept une radiothérapie secondaire.
Résultats :
La prophylaxie de l’ossification hétérotopique par radiothérapie a été efficace sur le plan radiologique chez 71,5 % des patients : 86 % dans le cas de prophylaxie primaire et 57 % en cas de prophylaxie secondaire. Aucun échec sur le plan fonctionnel n’a été noté. Aucun patient n’a eu des effets secondaires.
Conclusion :
La radiothérapie est efficace comme prophylaxie de l’ossification hétérotopique. Un plus grand nombre de patients est nécessaire pour pouvoir comparer nos résultats à ceux de la littérature.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40939
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 42-46[article] Rôle de la radiothérapie dans l'ossification hétérotopique = Role of radiotherapy in heterotopic ossification [texte imprimé] / E. Nasr ; R. Nehme ; I. Ghanem ; et al. . - 2009 . - p. 42-46.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 42-46
Mots-clés : RADIOTHERAPIE OSSIFICATION Résumé : Objectif de l’étude :
Évaluer l’intérêt de la radiothérapie dans la prévention de l’ossification hétérotopique.
Patients et méthodes :
Vingt-deux patients âgés de 20 à 76 ans ont reçu une radiothérapie pour la prévention des ossifications hétérotopiques. Tous les patients ont reçu une radiothérapie postopératoire de 7 Gy par photons de 18 MV. Le délai entre la chirurgie et la radiothérapie a été de 24 heures chez 20 patients, 48 heures chez trois patients, 72 heures chez deux patients et 96 heures chez un patient. Les critères utilisés pour le suivi des patients étaient le stade radiologique (score de Brooker) et l’état fonctionnel de l’articulation avant et après la chirurgie. Parmi les 14 patients suivis, sept ont reçu une radiothérapie primaire et sept une radiothérapie secondaire.
Résultats :
La prophylaxie de l’ossification hétérotopique par radiothérapie a été efficace sur le plan radiologique chez 71,5 % des patients : 86 % dans le cas de prophylaxie primaire et 57 % en cas de prophylaxie secondaire. Aucun échec sur le plan fonctionnel n’a été noté. Aucun patient n’a eu des effets secondaires.
Conclusion :
La radiothérapie est efficace comme prophylaxie de l’ossification hétérotopique. Un plus grand nombre de patients est nécessaire pour pouvoir comparer nos résultats à ceux de la littérature.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40939 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Les tumeurs à cellules de Merkel, rôle de la radiothérapie. Analyse de la littérature / S. Guihard in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Les tumeurs à cellules de Merkel, rôle de la radiothérapie. Analyse de la littérature Titre original : Merkel cell carcinoma, role of radiotherapy and literature review Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Guihard ; G. Noël Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 47-54 Langues : Français (fre) Mots-clés : CARCINOME RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE CHIRURGIE Résumé : Les tumeurs à cellules de Merkel sont des carcinomes endocrines agressifs et rares de la peau qui surviennent préférentiellement chez les personnes âgées. Ils se développent souvent à partir de zones cutanées exposées au soleil et leur incidence est en augmentation. Les constatations histologiques sont caractérisées par une architecture en travées de cellules rondes, de tailles moyennes, avec un cytoplasme clairsemé et leur diagnostic nécessite une étude immunohistochimique qui révèle des caractéristiques à la fois neuroendocrines et épithéliales. Le traitement local repose sur la chirurgie avec une large excision et la radiothérapie fait l’objet d’un consensus. Le traitement régional fait l’objet d’un débat dans la littérature, les faibles effectifs des séries rapportées ne permettent pas de recommander un traitement standardisé associant la chirurgie, la radiothérapie seule ou associée à la chimiothérapie. La chimiothérapie est proposée aux patients au stade métastatique. Par analogie, les substances utilisées dans le cancer pulmonaire à petites cellules sont les plus efficaces avec une prépondérance des polychimiothérapies à base de sels de platine. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40940
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 47-54[article] Les tumeurs à cellules de Merkel, rôle de la radiothérapie. Analyse de la littérature = Merkel cell carcinoma, role of radiotherapy and literature review [texte imprimé] / S. Guihard ; G. Noël . - 2009 . - p. 47-54.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 47-54
Mots-clés : CARCINOME RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE CHIRURGIE Résumé : Les tumeurs à cellules de Merkel sont des carcinomes endocrines agressifs et rares de la peau qui surviennent préférentiellement chez les personnes âgées. Ils se développent souvent à partir de zones cutanées exposées au soleil et leur incidence est en augmentation. Les constatations histologiques sont caractérisées par une architecture en travées de cellules rondes, de tailles moyennes, avec un cytoplasme clairsemé et leur diagnostic nécessite une étude immunohistochimique qui révèle des caractéristiques à la fois neuroendocrines et épithéliales. Le traitement local repose sur la chirurgie avec une large excision et la radiothérapie fait l’objet d’un consensus. Le traitement régional fait l’objet d’un débat dans la littérature, les faibles effectifs des séries rapportées ne permettent pas de recommander un traitement standardisé associant la chirurgie, la radiothérapie seule ou associée à la chimiothérapie. La chimiothérapie est proposée aux patients au stade métastatique. Par analogie, les substances utilisées dans le cancer pulmonaire à petites cellules sont les plus efficaces avec une prépondérance des polychimiothérapies à base de sels de platine. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40940 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Guide de bonne pratique pour la radiothérapie thoracique exclusive ou postopératoire des carcinomes non à petites cellules / I. Martel-Lafay in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Guide de bonne pratique pour la radiothérapie thoracique exclusive ou postopératoire des carcinomes non à petites cellules Titre original : Best practice guide for radiation therapy of non small cell bronchial cancers Type de document : texte imprimé Auteurs : I. Martel-Lafay ; P. Fourneret ; M. Ayadi Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 55-60 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE CARCINOME BRONCHE CANCER Résumé : L’objectif était la rédaction d’un document pratique destiné aux radiothérapeutes et aux radiophysiciens décrivant la technique d’irradiation d’un cancer bronchique non à petites cellules. Les bonnes pratiques concernent la prise en charge de patients atteints de cancer bronchique localisé au thorax et inopérables ou devant bénéficier d’une irradiation postopératoire. Le document a été développé selon une méthodologie visant à intégrer les données actuelles de la science à partir d’une analyse de la littérature sur le sujet et l’expertise de radiothérapeutes, radiophysiciens, pneumologues et méthodologistes de la région Rhône-Alpes. À partir des étapes nécessaires au bon déroulement d’une radiothérapie, les rédacteurs de ce document ont proposé des définitions communes concernant le centrage et le repérage de la zone à traiter, le calcul de la distribution de la dose, la préparation du patient au traitement, le traitement et la surveillance pendant le traitement. Les recommandations de ce guide ont pris en compte les particularités liées à la nature de la région traitée et plus particulièrement l’hétérogénéité pulmonaire, les mouvements respiratoires et la radiosensibilité du tissu pulmonaire sain. Même si l’aspect technique de la radiothérapie a été particulièrement développé, l’intérêt accordé à l’information du patient revêt toute son importance pour une prise en charge thérapeutique de qualité. Les auteurs du document ont souhaité que ce guide des bonnes pratiques, qui sera actualisé régulièrement, aide les radiothérapeutes et leur permette d’harmoniser leurs pratiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40941
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 55-60[article] Guide de bonne pratique pour la radiothérapie thoracique exclusive ou postopératoire des carcinomes non à petites cellules = Best practice guide for radiation therapy of non small cell bronchial cancers [texte imprimé] / I. Martel-Lafay ; P. Fourneret ; M. Ayadi . - 2009 . - p. 55-60.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 55-60
Mots-clés : RADIOTHERAPIE CARCINOME BRONCHE CANCER Résumé : L’objectif était la rédaction d’un document pratique destiné aux radiothérapeutes et aux radiophysiciens décrivant la technique d’irradiation d’un cancer bronchique non à petites cellules. Les bonnes pratiques concernent la prise en charge de patients atteints de cancer bronchique localisé au thorax et inopérables ou devant bénéficier d’une irradiation postopératoire. Le document a été développé selon une méthodologie visant à intégrer les données actuelles de la science à partir d’une analyse de la littérature sur le sujet et l’expertise de radiothérapeutes, radiophysiciens, pneumologues et méthodologistes de la région Rhône-Alpes. À partir des étapes nécessaires au bon déroulement d’une radiothérapie, les rédacteurs de ce document ont proposé des définitions communes concernant le centrage et le repérage de la zone à traiter, le calcul de la distribution de la dose, la préparation du patient au traitement, le traitement et la surveillance pendant le traitement. Les recommandations de ce guide ont pris en compte les particularités liées à la nature de la région traitée et plus particulièrement l’hétérogénéité pulmonaire, les mouvements respiratoires et la radiosensibilité du tissu pulmonaire sain. Même si l’aspect technique de la radiothérapie a été particulièrement développé, l’intérêt accordé à l’information du patient revêt toute son importance pour une prise en charge thérapeutique de qualité. Les auteurs du document ont souhaité que ce guide des bonnes pratiques, qui sera actualisé régulièrement, aide les radiothérapeutes et leur permette d’harmoniser leurs pratiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40941 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Lymphome de MALT du rectum : à propos d’un cas traité par irradiation / A. Amouri in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Lymphome de MALT du rectum : à propos d’un cas traité par irradiation Titre original : MALT lymphoma of the rectum: A case report treated by radiotherapy Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Amouri ; L. Chtourou ; L. Mnif ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 61-64 Langues : Français (fre) Mots-clés : RECTUM CANCER LYMPHOME Résumé : Le lymphome de type mucosa-associated lymphoid tissue (MALT) est une entité anatomoclinique distincte. Ce lymphome a été décrit dans différents sites anatomiques tels que l’estomac, la peau, la thyroïde, les glandes salivaires, les seins et l’arbre bronchopulmonaire. Cependant, la localisation rectocolique est extrêmement rare. À notre connaissance, une dizaine de cas ont été décrits dans la littérature. Nous rapportons le cas d’un lymphome de type MALT rectal traité par irradiation chez une femme de 46 ans. La patiente avait des rectorragies. La coloscopie montrait un gros pli, pseudonodulaire et ulcéré du rectum. L’examen histologique et immunohistochimique a montré un aspect typique d’un lymphome du MALT. La fibroscopie digestive haute avec biopsie montrait une gastrite chronique à Helicobacter pylori sans infiltration lymphomateuse. Le bilan d’extension, incluant une scanographie thoraco-abdomonopelvienne et une biopsie ostéomédullaire était normal. Il a été délivré une trithérapie dirigée contre l’H. pylori de sept jours, associant l’oméprazole, l’amoxicilline et le métronidazole. L’éradication a été confirmée par l’endoscopie digestive haute avec biopsie. Cependant, la coloscopie de contrôle après quatre mois de la fin du traitement a montré le même aspect endoscopique avec à la biopsie persistance de l’infiltrat lymphomateux. La maladie a été considérée comme non répondeuse au traitement d’éradication et une radiothérapie a été proposée. Celle-ci a délivré une dose de 34 Gy en quatre semaines. La rémission complète endoscopique et histologique a été confirmée deux mois après la fin du traitement. La surveillance endoscopique régulière n’a pas montré de rechute avec un recul de 12 mois. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40960
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 61-64[article] Lymphome de MALT du rectum : à propos d’un cas traité par irradiation = MALT lymphoma of the rectum: A case report treated by radiotherapy [texte imprimé] / A. Amouri ; L. Chtourou ; L. Mnif ; et al. . - 2009 . - p. 61-64.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 61-64
Mots-clés : RECTUM CANCER LYMPHOME Résumé : Le lymphome de type mucosa-associated lymphoid tissue (MALT) est une entité anatomoclinique distincte. Ce lymphome a été décrit dans différents sites anatomiques tels que l’estomac, la peau, la thyroïde, les glandes salivaires, les seins et l’arbre bronchopulmonaire. Cependant, la localisation rectocolique est extrêmement rare. À notre connaissance, une dizaine de cas ont été décrits dans la littérature. Nous rapportons le cas d’un lymphome de type MALT rectal traité par irradiation chez une femme de 46 ans. La patiente avait des rectorragies. La coloscopie montrait un gros pli, pseudonodulaire et ulcéré du rectum. L’examen histologique et immunohistochimique a montré un aspect typique d’un lymphome du MALT. La fibroscopie digestive haute avec biopsie montrait une gastrite chronique à Helicobacter pylori sans infiltration lymphomateuse. Le bilan d’extension, incluant une scanographie thoraco-abdomonopelvienne et une biopsie ostéomédullaire était normal. Il a été délivré une trithérapie dirigée contre l’H. pylori de sept jours, associant l’oméprazole, l’amoxicilline et le métronidazole. L’éradication a été confirmée par l’endoscopie digestive haute avec biopsie. Cependant, la coloscopie de contrôle après quatre mois de la fin du traitement a montré le même aspect endoscopique avec à la biopsie persistance de l’infiltrat lymphomateux. La maladie a été considérée comme non répondeuse au traitement d’éradication et une radiothérapie a été proposée. Celle-ci a délivré une dose de 34 Gy en quatre semaines. La rémission complète endoscopique et histologique a été confirmée deux mois après la fin du traitement. La surveillance endoscopique régulière n’a pas montré de rechute avec un recul de 12 mois. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40960 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Carcinome adénoïde kystique primitif du sein / Y. Sbitty in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Carcinome adénoïde kystique primitif du sein Titre original : Primary adenoid cystic carcinoma in breast Type de document : texte imprimé Auteurs : Y. Sbitty ; H. Kadiri ; M. Fetohi ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 65-68 Langues : Français (fre) Mots-clés : SEIN CANCER CARCINOME Résumé : Le carcinome adénoïde kystique ou cylindrome du sein est une variante rare de cancer du sein. Nous en rapportons deux nouvelles observations. Les patientes, âgées de 54 et 65 ans, ont consulté pour une mastodynie. L’examen clinique a montré des nodules, bien limités et douloureux. Sur la mammographie et l’échographie, il s’agissait de lésions volumineuses et bien limitées sans microcalcifications. Le diagnostic a été établi lors de l’examen anatomopathologique définitif avec immunohistochimie ou après relecture. Les deux patientes ont été traitées par mastectomie et irradiation adjuvante. Elles étaient en vie, de rémission complète à 29 et 36 mois. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40961
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 65-68[article] Carcinome adénoïde kystique primitif du sein = Primary adenoid cystic carcinoma in breast [texte imprimé] / Y. Sbitty ; H. Kadiri ; M. Fetohi ; et al. . - 2009 . - p. 65-68.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 65-68
Mots-clés : SEIN CANCER CARCINOME Résumé : Le carcinome adénoïde kystique ou cylindrome du sein est une variante rare de cancer du sein. Nous en rapportons deux nouvelles observations. Les patientes, âgées de 54 et 65 ans, ont consulté pour une mastodynie. L’examen clinique a montré des nodules, bien limités et douloureux. Sur la mammographie et l’échographie, il s’agissait de lésions volumineuses et bien limitées sans microcalcifications. Le diagnostic a été établi lors de l’examen anatomopathologique définitif avec immunohistochimie ou après relecture. Les deux patientes ont été traitées par mastectomie et irradiation adjuvante. Elles étaient en vie, de rémission complète à 29 et 36 mois. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40961 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Un cas rare de lymphome B diffus primitif de la prostate et revue de la littérature / C. Chargari in Cancer Radiothérapie, Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009)
[article]
Titre : Un cas rare de lymphome B diffus primitif de la prostate et revue de la littérature Titre original : A rare case of primitive prostatic large B-cell lymphoma and review of literature Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Chargari ; N. Gillion ; M. Ghalibafian ; et al. Année de publication : 2009 Article en page(s) : p. 69-71 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE CANCER LYMPHOME Résumé : L’atteinte prostatique au décours d’un lymphome malin non hodgkinien constitue une entité rare, associée le plus souvent à une atteinte extraprostatique. Nous rapportons le cas d’un patient de 72 ans, ayant présenté un lymphome B à grandes cellules primitif limité à la loge prostatique, découvert dans les suites d’une résection endo-uréthrale de prostate. L’association d’une chimiothérapie et d’une irradiation externe a permis l’obtention d’un contrôle local à long terme.
AbstractPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40962
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 69-71[article] Un cas rare de lymphome B diffus primitif de la prostate et revue de la littérature = A rare case of primitive prostatic large B-cell lymphoma and review of literature [texte imprimé] / C. Chargari ; N. Gillion ; M. Ghalibafian ; et al. . - 2009 . - p. 69-71.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 13, n° 1 (Janvier 2009) . - p. 69-71
Mots-clés : PROSTATE CANCER LYMPHOME Résumé : L’atteinte prostatique au décours d’un lymphome malin non hodgkinien constitue une entité rare, associée le plus souvent à une atteinte extraprostatique. Nous rapportons le cas d’un patient de 72 ans, ayant présenté un lymphome B à grandes cellules primitif limité à la loge prostatique, découvert dans les suites d’une résection endo-uréthrale de prostate. L’association d’une chimiothérapie et d’une irradiation externe a permis l’obtention d’un contrôle local à long terme.
AbstractPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40962 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt