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Cancer Radiothérapie . Vol. 12, n° 2Mention de date : Mars 2008Paru le : 01/03/2008 |
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[article]
Titre : L’irradiation pariétale est-elle justifiée après mastectomie et curage négatif ? Type de document : texte imprimé Auteurs : C.N. Ben Ammar ; L. Kochbati ; N. Chraeit ; et al. Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 73-77 Langues : Français (fre) Mots-clés : RADIOTHERAPIE THORAX MASTECTOMIE SEIN CANCER Résumé : Objectif :
La radiothérapie de la paroi thoracique est un standard en cas d’atteinte ganglionnaire axillaire. Son intérêt, quand les ganglions axillaires sont indemnes (N-), n’est pas bien établie mais elle est souvent indiquée dans les tumeurs centrales ou internes pour irradier la chaîne mammaire interne. L’objectif de cette étude était d’évaluer le risque de rechute locale en cas d’irradiation exclusive de la chaîne mammaire interne.
Patientes et méthodes :
Étude rétrospective d’une cohorte de 92 patientes d’âge médian de 50 ans (22–77 ans) suivies pour une tumeur centrale ou interne sans envahissement ganglionnaire axillaire après mastectomie et radiothérapie de la chaîne mammaire interne seule entre 1994 et 1998.
Résultats :
Le taux de récidive locale était 5 % (cinq cas). Les sites atteints étaient la cicatrice opératoire et la paroi thoracique. Le risque de récidive locale a été étudié en fonction de plusieurs facteurs pronostiques : l’âge, le statut hormonal (ménopause ou non), la taille tumorale, le grade histologique, les emboles lympho-vasculaires et le traitement systémique. Seuls l’âge inférieur ou égal à 40 ans et la taille tumorale supérieur à 20 mm semblaient être des facteurs pronostiques de rechute locale, sans atteindre la limite de la signification.
Conclusion :
L’irradiation pariétale après chirurgie radicale pourrait être justifiée pour les tumeurs de plus de 20 mm (T2) chez les jeunes femmes après un curage ganglionnaire axillaire n’ayant pas montré d’atteinte.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40925
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 73-77[article] L’irradiation pariétale est-elle justifiée après mastectomie et curage négatif ? [texte imprimé] / C.N. Ben Ammar ; L. Kochbati ; N. Chraeit ; et al. . - 2008 . - p. 73-77.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 73-77
Mots-clés : RADIOTHERAPIE THORAX MASTECTOMIE SEIN CANCER Résumé : Objectif :
La radiothérapie de la paroi thoracique est un standard en cas d’atteinte ganglionnaire axillaire. Son intérêt, quand les ganglions axillaires sont indemnes (N-), n’est pas bien établie mais elle est souvent indiquée dans les tumeurs centrales ou internes pour irradier la chaîne mammaire interne. L’objectif de cette étude était d’évaluer le risque de rechute locale en cas d’irradiation exclusive de la chaîne mammaire interne.
Patientes et méthodes :
Étude rétrospective d’une cohorte de 92 patientes d’âge médian de 50 ans (22–77 ans) suivies pour une tumeur centrale ou interne sans envahissement ganglionnaire axillaire après mastectomie et radiothérapie de la chaîne mammaire interne seule entre 1994 et 1998.
Résultats :
Le taux de récidive locale était 5 % (cinq cas). Les sites atteints étaient la cicatrice opératoire et la paroi thoracique. Le risque de récidive locale a été étudié en fonction de plusieurs facteurs pronostiques : l’âge, le statut hormonal (ménopause ou non), la taille tumorale, le grade histologique, les emboles lympho-vasculaires et le traitement systémique. Seuls l’âge inférieur ou égal à 40 ans et la taille tumorale supérieur à 20 mm semblaient être des facteurs pronostiques de rechute locale, sans atteindre la limite de la signification.
Conclusion :
L’irradiation pariétale après chirurgie radicale pourrait être justifiée pour les tumeurs de plus de 20 mm (T2) chez les jeunes femmes après un curage ganglionnaire axillaire n’ayant pas montré d’atteinte.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40925 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Disponible Radiothérapie conformationnelle à 76 Gy des cancers localisés de la prostate. Modalités thérapeutiques et résultats préliminaires / D. Pontvert in Cancer Radiothérapie, Vol. 12, n° 2 (Mars 2008)
[article]
Titre : Radiothérapie conformationnelle à 76 Gy des cancers localisés de la prostate. Modalités thérapeutiques et résultats préliminaires Type de document : texte imprimé Auteurs : D. Pontvert ; G. Gaboriaud ; T. Flam ; et al. Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 78-87 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOTHERAPIE CONFORMATIONNELLE TOXICITE Résumé : Objectif de l’étude :
Décrire les modalités thérapeutiques pour les cancers localisés de la prostate traités par irradiation conformationnelle de 76 Gy avec ou sans hormonothérapie. Évaluer les résultats préliminaires en termes de survie, de contrôle biochimique et de toxicité.
Patients et méthode :
Entre janvier 1998 et juin 2001, 321 patients atteints d’un cancer localisé de la prostate ont été irradiés à l’institut Curie. Pour cette étude, les tumeurs ont été stratifiées selon les trois groupes pronostiques du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center (1998) : favorable (23 %), intermédiaire (36,5 %), défavorable (40,5 %). Une privation androgénique, principalement néoadjuvante, inférieure ou égale à un an a été prescrite à 93,8 % des patients (72,6 % inférieure ou égale à six mois). Les doses d’irradiation prescrites dans les volumes cibles prévisionnels étaient les suivantes : prostate : 76 Gy ; vésicules séminales : 56 à 76 Gy ; ganglions pelviens : 44 Gy pour 16,8 % des patients.
Résultats :
La probabilité de survie actuarielle globale à cinq ans était de 94 % (intervalle de confiance à 95 % : 90–97 %). La durée médiane du suivi post-thérapeutique était de 36 mois (neuf à 66 mois). Les probabilités de survie actuarielle sans échec biochimique à 48 mois étaient statistiquement différentes entre les trois groupes pronostiques, que ce soit selon la définition de l’échec biologique proposée par le consensus de l’American Society for Therapeutic Radiology and Oncology (ASTRO) de 1997 ou celle du Fox Chase Cancer Center (FCCC) de 2000, respectivement 87 et 94 %, 78 et 84 %, 54 et 58 % dans les groupes favorable, intermédiaire et défavorable (p < 10−6 et p < 10−8). Au moment de notre étude, des saignements rectaux et vésicaux post-radiques tardifs ont été respectivement observés dans 17,4 et 13,6 % des cas. Selon une échelle de 1 à 4 adaptée des critères du M.D. Anderson Cancer Center, les rectorragies étaient de grade 1 (9,6 %), grade 2 (6,2 %) et grade 3 (1,6 %) ; les hématuries étaient de grade 2 (13 %) et grade 3 (0,6 %). L’analyse des facteurs de risque de rectorragie a mis en évidence une corrélation significative avec l’irradiation des ganglions pelviens pour les grades 2 et 3 (p = 0,02), et pour tous les grades, une corrélation avec une paroi rectale de petit volume (p = 0,03) et les pourcentages élevés de paroi rectale irradiée à doses élevées : 65, 70, 72 et 75 Gy (respectivement, p = 0,02, p = 0,01, p = 0,0007 et p = 0,003).
Conclusions :
Ces résultats sont comparables à ceux des séries publiées précédemment pour un suivi équivalent. L’impact de l’escalade de dose associée à une courte privation androgénique sur le contrôle local, la survie et les complications nécessitent un suivi de longue durée et une analyse approfondie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40926
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 78-87[article] Radiothérapie conformationnelle à 76 Gy des cancers localisés de la prostate. Modalités thérapeutiques et résultats préliminaires [texte imprimé] / D. Pontvert ; G. Gaboriaud ; T. Flam ; et al. . - 2008 . - p. 78-87.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 78-87
Mots-clés : PROSTATE CANCER RADIOTHERAPIE CONFORMATIONNELLE TOXICITE Résumé : Objectif de l’étude :
Décrire les modalités thérapeutiques pour les cancers localisés de la prostate traités par irradiation conformationnelle de 76 Gy avec ou sans hormonothérapie. Évaluer les résultats préliminaires en termes de survie, de contrôle biochimique et de toxicité.
Patients et méthode :
Entre janvier 1998 et juin 2001, 321 patients atteints d’un cancer localisé de la prostate ont été irradiés à l’institut Curie. Pour cette étude, les tumeurs ont été stratifiées selon les trois groupes pronostiques du Memorial Sloan-Kettering Cancer Center (1998) : favorable (23 %), intermédiaire (36,5 %), défavorable (40,5 %). Une privation androgénique, principalement néoadjuvante, inférieure ou égale à un an a été prescrite à 93,8 % des patients (72,6 % inférieure ou égale à six mois). Les doses d’irradiation prescrites dans les volumes cibles prévisionnels étaient les suivantes : prostate : 76 Gy ; vésicules séminales : 56 à 76 Gy ; ganglions pelviens : 44 Gy pour 16,8 % des patients.
Résultats :
La probabilité de survie actuarielle globale à cinq ans était de 94 % (intervalle de confiance à 95 % : 90–97 %). La durée médiane du suivi post-thérapeutique était de 36 mois (neuf à 66 mois). Les probabilités de survie actuarielle sans échec biochimique à 48 mois étaient statistiquement différentes entre les trois groupes pronostiques, que ce soit selon la définition de l’échec biologique proposée par le consensus de l’American Society for Therapeutic Radiology and Oncology (ASTRO) de 1997 ou celle du Fox Chase Cancer Center (FCCC) de 2000, respectivement 87 et 94 %, 78 et 84 %, 54 et 58 % dans les groupes favorable, intermédiaire et défavorable (p < 10−6 et p < 10−8). Au moment de notre étude, des saignements rectaux et vésicaux post-radiques tardifs ont été respectivement observés dans 17,4 et 13,6 % des cas. Selon une échelle de 1 à 4 adaptée des critères du M.D. Anderson Cancer Center, les rectorragies étaient de grade 1 (9,6 %), grade 2 (6,2 %) et grade 3 (1,6 %) ; les hématuries étaient de grade 2 (13 %) et grade 3 (0,6 %). L’analyse des facteurs de risque de rectorragie a mis en évidence une corrélation significative avec l’irradiation des ganglions pelviens pour les grades 2 et 3 (p = 0,02), et pour tous les grades, une corrélation avec une paroi rectale de petit volume (p = 0,03) et les pourcentages élevés de paroi rectale irradiée à doses élevées : 65, 70, 72 et 75 Gy (respectivement, p = 0,02, p = 0,01, p = 0,0007 et p = 0,003).
Conclusions :
Ces résultats sont comparables à ceux des séries publiées précédemment pour un suivi équivalent. L’impact de l’escalade de dose associée à une courte privation androgénique sur le contrôle local, la survie et les complications nécessitent un suivi de longue durée et une analyse approfondie.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40926 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Disponible Treatment of patients with unresectable squamous head and neck cancer with induction chemotherapy followed by hyperfractionated radiotherapy / R. Mesia in Cancer Radiothérapie, Vol. 12, n° 2 (Mars 2008)
[article]
Titre : Treatment of patients with unresectable squamous head and neck cancer with induction chemotherapy followed by hyperfractionated radiotherapy Titre original : Traitement de patients atteints d’un cancer irrésécable de la tête et du cou avec une chimiothérapie d’induction suivie d’une radiothérapie hyperfractionnée Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Mesia ; M. Majem ; M.P. Barretina Ginesta ; et al. Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 88-95 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : TETE CANCER COU RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : Objectif :
La contribution de la chimiothérapie d’induction, suivie de la radiothérapie hyperfractionnée dans le cancer irrésécable de la tête et du cou, a été évaluée dans une institution unique.
Patients et méthodes :
Dès mars 1994 jusqu’en juin 2000, tous les patients atteints d’un cancer irrésécable ont été traités par quatre cycles de cisplatine et 5-fluoro-uracile, suivis d’une radiothérapie hyperfractionnée. La résécabilité des tumeurs et sa réponse à la chimiothérapie ont été évaluées par un comité multidisciplinaire.
Résultats :
Quatre-vingt-dix-neuf patients ont été traités. Tous les patients étaient atteints d’un cancer de stade IV-MO : 67 T4, 88 N2–N3. La tumeur était située pour 62 oropharynx, 22 hypopharynx, huit dans la cavité buccale et sept dans le larynx. À la fin du traitement 61 tumeurs étaient en réponse complète, 17 réponse partiale, deux stable, dix en évolution et neuf n’ont été pas évalués. Avec 70 mois de suivi, en moyenne, le contrôle locorégional était sans maladie de 30,3 % (intervalle de confiance à 95 % : 21,9–38,6) et la survie globale de 21,6 % (CI 95 % : 13,4–29,8) à cinq ans. Les taux de contrôle locorégional et de survie globale sont notamment influencés par la réponse obtenue à la chimiothérapie d’induction. La toxicité grades 3–4, due à la chimiothérapie, a été la stomatite, mais il y a eu cinq malades avec un problème ischémique. La toxicité aiguë grades 3–4 en rapport avec la radiothérapie hyperfractionnée : 47 stomatites et 20 épithélites. La toxicité chronique en rapport avec la radiothérapie hyperfractionnée : six trachéotomies d’urgence provoquées par œdème du larynx, cinq pneumonies et une nécrose des tissus mous. Il y a eu huit décès par toxicité.
Conclusion :
La chimiothérapie d’induction suivie de la radiothérapie hyperfractionnée pourrait augmenter le taux de survie global dans les cancers irrésécables. Malgré cela, la radiothérapie hyperfractionnée s’est avérée toxique et son emploi reste d’intérêt discutable chez les patients dont la tumeur n’a pas répondu à la chimiothérapie d’induction, puisque la probabilité de contrôle à long terme est basse.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40927
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 88-95[article] Treatment of patients with unresectable squamous head and neck cancer with induction chemotherapy followed by hyperfractionated radiotherapy = Traitement de patients atteints d’un cancer irrésécable de la tête et du cou avec une chimiothérapie d’induction suivie d’une radiothérapie hyperfractionnée [texte imprimé] / R. Mesia ; M. Majem ; M.P. Barretina Ginesta ; et al. . - 2008 . - p. 88-95.
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 88-95
Mots-clés : TETE CANCER COU RADIOTHERAPIE CHIMIOTHERAPIE Résumé : Objectif :
La contribution de la chimiothérapie d’induction, suivie de la radiothérapie hyperfractionnée dans le cancer irrésécable de la tête et du cou, a été évaluée dans une institution unique.
Patients et méthodes :
Dès mars 1994 jusqu’en juin 2000, tous les patients atteints d’un cancer irrésécable ont été traités par quatre cycles de cisplatine et 5-fluoro-uracile, suivis d’une radiothérapie hyperfractionnée. La résécabilité des tumeurs et sa réponse à la chimiothérapie ont été évaluées par un comité multidisciplinaire.
Résultats :
Quatre-vingt-dix-neuf patients ont été traités. Tous les patients étaient atteints d’un cancer de stade IV-MO : 67 T4, 88 N2–N3. La tumeur était située pour 62 oropharynx, 22 hypopharynx, huit dans la cavité buccale et sept dans le larynx. À la fin du traitement 61 tumeurs étaient en réponse complète, 17 réponse partiale, deux stable, dix en évolution et neuf n’ont été pas évalués. Avec 70 mois de suivi, en moyenne, le contrôle locorégional était sans maladie de 30,3 % (intervalle de confiance à 95 % : 21,9–38,6) et la survie globale de 21,6 % (CI 95 % : 13,4–29,8) à cinq ans. Les taux de contrôle locorégional et de survie globale sont notamment influencés par la réponse obtenue à la chimiothérapie d’induction. La toxicité grades 3–4, due à la chimiothérapie, a été la stomatite, mais il y a eu cinq malades avec un problème ischémique. La toxicité aiguë grades 3–4 en rapport avec la radiothérapie hyperfractionnée : 47 stomatites et 20 épithélites. La toxicité chronique en rapport avec la radiothérapie hyperfractionnée : six trachéotomies d’urgence provoquées par œdème du larynx, cinq pneumonies et une nécrose des tissus mous. Il y a eu huit décès par toxicité.
Conclusion :
La chimiothérapie d’induction suivie de la radiothérapie hyperfractionnée pourrait augmenter le taux de survie global dans les cancers irrésécables. Malgré cela, la radiothérapie hyperfractionnée s’est avérée toxique et son emploi reste d’intérêt discutable chez les patients dont la tumeur n’a pas répondu à la chimiothérapie d’induction, puisque la probabilité de contrôle à long terme est basse.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40927 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Disponible The evolving role of radiation therapy in hepatocellular carcinoma / L.A. Dawson in Cancer Radiothérapie, Vol. 12, n° 2 (Mars 2008)
[article]
Titre : The evolving role of radiation therapy in hepatocellular carcinoma Titre original : Place de la radiothérapie dans le carcinome hépatocellulaire Type de document : texte imprimé Auteurs : L.A. Dawson Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 96-101 Langues : Anglais (eng) Mots-clés : RADIOTHERAPIE CONFORMATIONNELLE HEPATOCARCINOME HEPATITE hépatite radique Résumé : Les avancées de l’imagerie, qu’il s’agisse de la préparation ou de la réalisation, ont facilité la délivrance d’une radiothérapie conformationelle dans le carcinome hépatocellulaire. Quoique l’expérience accumulée de radiothérapie hépatique soit limitée, les technologies et les outils requis pour délivrer la radiothérapie en sécurité ont été rapidement mis au point. Diverse doses et fractionnements ont été utilisés pour irradier le carcinome hépatocellulaire et la radiothérapie été souvent utilisée en combinaison avec d’autres thérapeutiques, comme la chémo-embolisation artérielle hépatique. Les résultats obtenus avec la radiothérapie, exclusive ou en combinaison avec la chémo-embolisation, semblent meilleurs que ceux de la chémo-embolisation exclusive, mais des essais randomisés sont nécessaires. Le premier site de récidive après la radiothérapie est le plus souvent hépatique, à distance du volume irradié à forte dose, ce qui incite à proposer d’associer la radiothérapie et une thérapeutique régionale ou systémique. Étant donné la vascularisation du carcinome hépatocellulaire, la combinaison de la radiothérapie et d’une thérapeutique ciblée anti-VEGF pourrait aussi améliorer les résultats. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40928
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 96-101[article] The evolving role of radiation therapy in hepatocellular carcinoma = Place de la radiothérapie dans le carcinome hépatocellulaire [texte imprimé] / L.A. Dawson . - 2008 . - p. 96-101.
Langues : Anglais (eng)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 96-101
Mots-clés : RADIOTHERAPIE CONFORMATIONNELLE HEPATOCARCINOME HEPATITE hépatite radique Résumé : Les avancées de l’imagerie, qu’il s’agisse de la préparation ou de la réalisation, ont facilité la délivrance d’une radiothérapie conformationelle dans le carcinome hépatocellulaire. Quoique l’expérience accumulée de radiothérapie hépatique soit limitée, les technologies et les outils requis pour délivrer la radiothérapie en sécurité ont été rapidement mis au point. Diverse doses et fractionnements ont été utilisés pour irradier le carcinome hépatocellulaire et la radiothérapie été souvent utilisée en combinaison avec d’autres thérapeutiques, comme la chémo-embolisation artérielle hépatique. Les résultats obtenus avec la radiothérapie, exclusive ou en combinaison avec la chémo-embolisation, semblent meilleurs que ceux de la chémo-embolisation exclusive, mais des essais randomisés sont nécessaires. Le premier site de récidive après la radiothérapie est le plus souvent hépatique, à distance du volume irradié à forte dose, ce qui incite à proposer d’associer la radiothérapie et une thérapeutique régionale ou systémique. Étant donné la vascularisation du carcinome hépatocellulaire, la combinaison de la radiothérapie et d’une thérapeutique ciblée anti-VEGF pourrait aussi améliorer les résultats. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40928 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Disponible Impact dosimétrique des prothèses de hanche lors d’un traitement radiothérapeutique / R. Gschwind in Cancer Radiothérapie, Vol. 12, n° 2 (Mars 2008)
[article]
Titre : Impact dosimétrique des prothèses de hanche lors d’un traitement radiothérapeutique Titre original : Dosimetric influence of hip prosthesis during radiotherapeutic treatement Type de document : texte imprimé Auteurs : R. Gschwind ; E. Buffard ; H. Masset ; et al. Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 102-109 Langues : Français (fre) Mots-clés : HANCHE PROTHESE PLANIFICATION DES SOINS fantôme anthropomorphique RADIOTHERAPIE Résumé : La population vieillit et de plus en plus de patients traités pour un cancer du pelvis sont porteurs d’une prothèse de hanche. Les balistiques préconisées dans ce type de traitement doivent éviter le passage au travers de la prothèse, mais quelquefois le passage au travers de l’implant est inévitable. Il est donc fondamental dans ces conditions, de quantifier avec précision les modifications de dose engendrées par la présence de cet implant. Cette étude a eu donc pour objectif d’analyser par méthode de Monte Carlo ces changements à l’aide de modèles simples et complexes (fantômes anthropomorphiques) en tenant compte à la fois de la géométrie et de la composition de la prothèse et des revêtements. Puis, la méthodologie développée pour ce travail a été utilisée pour étudier le comportement d’un système de planification de traitement dans ce contexte extrême Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40929
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 102-109[article] Impact dosimétrique des prothèses de hanche lors d’un traitement radiothérapeutique = Dosimetric influence of hip prosthesis during radiotherapeutic treatement [texte imprimé] / R. Gschwind ; E. Buffard ; H. Masset ; et al. . - 2008 . - p. 102-109.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 102-109
Mots-clés : HANCHE PROTHESE PLANIFICATION DES SOINS fantôme anthropomorphique RADIOTHERAPIE Résumé : La population vieillit et de plus en plus de patients traités pour un cancer du pelvis sont porteurs d’une prothèse de hanche. Les balistiques préconisées dans ce type de traitement doivent éviter le passage au travers de la prothèse, mais quelquefois le passage au travers de l’implant est inévitable. Il est donc fondamental dans ces conditions, de quantifier avec précision les modifications de dose engendrées par la présence de cet implant. Cette étude a eu donc pour objectif d’analyser par méthode de Monte Carlo ces changements à l’aide de modèles simples et complexes (fantômes anthropomorphiques) en tenant compte à la fois de la géométrie et de la composition de la prothèse et des revêtements. Puis, la méthodologie développée pour ce travail a été utilisée pour étudier le comportement d’un système de planification de traitement dans ce contexte extrême Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40929 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Disponible Chimiothérapie des cancers des voies aérodigestives supérieures / L. Védrine in Cancer Radiothérapie, Vol. 12, n° 2 (Mars 2008)
[article]
Titre : Chimiothérapie des cancers des voies aérodigestives supérieures Titre original : Cancer chemotherapy of the upper aerodigestive tract Type de document : texte imprimé Auteurs : L. Védrine ; C. Chargari ; S. Le Moulec ; et al. Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 110-119 Langues : Français (fre) Mots-clés : TETE CANCER COU CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE THERAPEUTIQUE CIBLEE Résumé : Les cancers des voies aérodigestives supérieures représentent la sixième forme de cancer la plus fréquente en France et à travers le monde. Si les formes localisées peuvent être contrôlées à long terme dans deux tiers des cas par la chirurgie et/ou la radiothérapie, les formes localement évoluées ne sont accessibles à une guérison que dans un tiers des cas après l’association d’une radiothérapie et d’une chimiothérapie. Par ailleurs, avec une durée médiane de survie inférieure à six mois, l’évolution des tumeurs ORL métastatiques est redoutable, chez des patients au terrain médical souvent lourdement altéré par une exposition prolongée à l’alcool et au tabac. C’est dire l’impérieuse nécessité de mettre en œuvre des stratégies thérapeutiques adaptées à chaque patient et basées sur des niveaux de preuve d’efficacité satisfaisants. L’optimisation des protocoles de chimiothérapie existants et le développement de thérapeutiques nouvelles, en particulier des thérapies ciblées, restent également un objectif important dans l’espoir d’améliorer les résultats des traitements des cancers de la cavité buccale localement évolués et métastatiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40930
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 110-119[article] Chimiothérapie des cancers des voies aérodigestives supérieures = Cancer chemotherapy of the upper aerodigestive tract [texte imprimé] / L. Védrine ; C. Chargari ; S. Le Moulec ; et al. . - 2008 . - p. 110-119.
Langues : Français (fre)
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 110-119
Mots-clés : TETE CANCER COU CHIMIOTHERAPIE RADIOTHERAPIE THERAPEUTIQUE CIBLEE Résumé : Les cancers des voies aérodigestives supérieures représentent la sixième forme de cancer la plus fréquente en France et à travers le monde. Si les formes localisées peuvent être contrôlées à long terme dans deux tiers des cas par la chirurgie et/ou la radiothérapie, les formes localement évoluées ne sont accessibles à une guérison que dans un tiers des cas après l’association d’une radiothérapie et d’une chimiothérapie. Par ailleurs, avec une durée médiane de survie inférieure à six mois, l’évolution des tumeurs ORL métastatiques est redoutable, chez des patients au terrain médical souvent lourdement altéré par une exposition prolongée à l’alcool et au tabac. C’est dire l’impérieuse nécessité de mettre en œuvre des stratégies thérapeutiques adaptées à chaque patient et basées sur des niveaux de preuve d’efficacité satisfaisants. L’optimisation des protocoles de chimiothérapie existants et le développement de thérapeutiques nouvelles, en particulier des thérapies ciblées, restent également un objectif important dans l’espoir d’améliorer les résultats des traitements des cancers de la cavité buccale localement évolués et métastatiques. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40930 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Disponible Métastase intramammaire d'un cancer vulvaire : à propos d'un cas avec revue de la littérature / M. Khouchani in Cancer Radiothérapie, Vol. 12, n° 2 (Mars 2008)
[article]
Titre : Métastase intramammaire d'un cancer vulvaire : à propos d'un cas avec revue de la littérature Titre original : Breast metastasis from vulvar carcinoma : Case report and review of literature Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Khouchani ; N. Benchakroun ; A. Tahri ; et al. Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 120-125 Langues : Français (fre) Mots-clés : VULVE CANCER METASTASE SEIN Résumé : Le cancer vulvaire représente moins de 1 % de l’ensemble des cancers et 3 à 5 % des cancers génitaux de la femme. Il survient le plus souvent chez la femme âgée dans un contexte de carence estrogénique, habituellement précédé par des lésions précancéreuses. C’est un cancer souvent plurifocal et son extension se fait vers les ganglions lymphatiques régionaux. Il est rarement métastatique à distance. Nous rapportons le cas d’une patiente âgée de 42 ans ayant été suivie pour un carcinome épidermoïde vulvaire d’emblée métastatique dans les ganglions inguinaux traité par vulvectomie totale et curage ganglionnaire bilatéral suivis d’une radiothérapie externe du périnée et des ganglions inguinaux. Trois mois après la fin de son traitement, la patiente s’est présentée avec un nodule du sein gauche et un paquet ganglionnaire cervical droit. La biopsie des ganglions cervicaux droits a fait la preuve d’un carcinome épidermoïde. Le même type histologique a été retrouvé au niveau de l’examen extemporané puis sur la pièce de mastectomie de type Patey. L’origine du carcinome intramammaire a été attribuée à la vulve. Le traitement a consisté en une chimiothérapie type cyclophosphamide, adriblastine, cisplatine (CAP). Après trois cures de chimiothérapie, une réponse de plus de 75 % a été obtenue au niveau des ganglions cervicaux. La patiente est décédée dans un tableau de métastases cérébrales à 11 mois. Nous avons réalisé, à travers cette observation, une revue de la littérature concernant les particularités des formes métastatiques du carcinome épidermoïde vulvaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40931
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 120-125[article] Métastase intramammaire d'un cancer vulvaire : à propos d'un cas avec revue de la littérature = Breast metastasis from vulvar carcinoma : Case report and review of literature [texte imprimé] / M. Khouchani ; N. Benchakroun ; A. Tahri ; et al. . - 2008 . - p. 120-125.
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in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 120-125
Mots-clés : VULVE CANCER METASTASE SEIN Résumé : Le cancer vulvaire représente moins de 1 % de l’ensemble des cancers et 3 à 5 % des cancers génitaux de la femme. Il survient le plus souvent chez la femme âgée dans un contexte de carence estrogénique, habituellement précédé par des lésions précancéreuses. C’est un cancer souvent plurifocal et son extension se fait vers les ganglions lymphatiques régionaux. Il est rarement métastatique à distance. Nous rapportons le cas d’une patiente âgée de 42 ans ayant été suivie pour un carcinome épidermoïde vulvaire d’emblée métastatique dans les ganglions inguinaux traité par vulvectomie totale et curage ganglionnaire bilatéral suivis d’une radiothérapie externe du périnée et des ganglions inguinaux. Trois mois après la fin de son traitement, la patiente s’est présentée avec un nodule du sein gauche et un paquet ganglionnaire cervical droit. La biopsie des ganglions cervicaux droits a fait la preuve d’un carcinome épidermoïde. Le même type histologique a été retrouvé au niveau de l’examen extemporané puis sur la pièce de mastectomie de type Patey. L’origine du carcinome intramammaire a été attribuée à la vulve. Le traitement a consisté en une chimiothérapie type cyclophosphamide, adriblastine, cisplatine (CAP). Après trois cures de chimiothérapie, une réponse de plus de 75 % a été obtenue au niveau des ganglions cervicaux. La patiente est décédée dans un tableau de métastases cérébrales à 11 mois. Nous avons réalisé, à travers cette observation, une revue de la littérature concernant les particularités des formes métastatiques du carcinome épidermoïde vulvaire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40931 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Disponible Indication des agents stimulants l'erythropoiese (ASE) dans la prise en charge de l'anemie induite par la radiotherapie / Christian Marchal in Cancer Radiothérapie, Vol. 12, n° 2 (Mars 2008)
[article]
Titre : Indication des agents stimulants l'erythropoiese (ASE) dans la prise en charge de l'anemie induite par la radiotherapie Type de document : texte imprimé Auteurs : Christian Marchal ; Jean-Louis Misset ; Nicole Casadevall ; et al. Année de publication : 2008 Article en page(s) : p. 126-133 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANEMIE RADIOTHERAPIE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40932
in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 126-133[article] Indication des agents stimulants l'erythropoiese (ASE) dans la prise en charge de l'anemie induite par la radiotherapie [texte imprimé] / Christian Marchal ; Jean-Louis Misset ; Nicole Casadevall ; et al. . - 2008 . - p. 126-133.
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in Cancer Radiothérapie > Vol. 12, n° 2 (Mars 2008) . - p. 126-133
Mots-clés : ANEMIE RADIOTHERAPIE Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=40932 Réservation
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Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Disponible