Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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La bibliothèque sera fermée le mardi 10 juin dès 11h30 et ainsi que le lundi 23 juin.
Les locaux 140 et 240 seront, comme toujours, mis à votre disposition pour l'étude.
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
[article]
Titre : |
Impact dosimétrique de la pose d'un espaceur rectal dans le traitement de cancer de la prostate localisé par irradiation en conditions stéréotaxiques |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
M. Ung, Auteur |
Année de publication : |
2021 |
Article en page(s) : |
p. 237-241 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Objectif de l’étude
La radiothérapie stéréotaxique dans le traitement du cancer de la prostate localisé est pourvoyeuse de toxicités rectales, qui peut être réduite en utilisant un espaceur rectal. L’objectif de cette étude rétrospective était de démontrer la faisabilité d’une implantation sous anesthésie locale et l’utilité d’un espaceur dans la réduction de la dose dans la paroi rectale.
Matériel et méthodes
Nous avons recueilli les données de l’ensemble des patients atteints d’un adénocarcinome de la prostate localisé traité par irradiation stéréotaxique de 40Gy (en cinq fractions) entre 2018 et 2020. Un espaceur (SpaceOAR®) a été mis en place en fonction de la disponibilité du dispositif. Nous avons relevé des indicateurs dosimétriques concernant le volume cible et les organes à risque. Les valeurs continues ont été représentées par leurs moyennes et comparées avec un test de Mann–Whitney.
Résultats
Parmi les 35 patients d’une moyenne d’âge de 75 ans, 17 ont bénéficié de la pose d’un espaceur rectal, sans complication lors de l’implantation, permettant un espacement moyen de 10mm. Les fortes doses dans la paroi rectale étaient significativement plus basses avec l’espaceur (volume recevant 38 Gy et plus [V38] : 0,39 cm3 contre 0,72 cm3 ; p=0,02). Il y avait une tendance à une meilleure couverture du volume cible prévisionnel (PTV) avec l’espaceur (p=0,07). Les doses reçues par la paroi vésicale étaient similaires entre les deux groupes.
Conclusion
L’implantation sous anesthésie locale d’un espaceur rectal est faisable, et s’accompagne d’une diminution de la dose dans le rectum, avec une meilleure couverture du PTV. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70795 |
in Cancer Radiothérapie > 25/3 (Mai 2021) . - p. 237-241
[article] Impact dosimétrique de la pose d'un espaceur rectal dans le traitement de cancer de la prostate localisé par irradiation en conditions stéréotaxiques [texte imprimé] / M. Ung, Auteur . - 2021 . - p. 237-241. Langues : Français ( fre) in Cancer Radiothérapie > 25/3 (Mai 2021) . - p. 237-241
Résumé : |
Objectif de l’étude
La radiothérapie stéréotaxique dans le traitement du cancer de la prostate localisé est pourvoyeuse de toxicités rectales, qui peut être réduite en utilisant un espaceur rectal. L’objectif de cette étude rétrospective était de démontrer la faisabilité d’une implantation sous anesthésie locale et l’utilité d’un espaceur dans la réduction de la dose dans la paroi rectale.
Matériel et méthodes
Nous avons recueilli les données de l’ensemble des patients atteints d’un adénocarcinome de la prostate localisé traité par irradiation stéréotaxique de 40Gy (en cinq fractions) entre 2018 et 2020. Un espaceur (SpaceOAR®) a été mis en place en fonction de la disponibilité du dispositif. Nous avons relevé des indicateurs dosimétriques concernant le volume cible et les organes à risque. Les valeurs continues ont été représentées par leurs moyennes et comparées avec un test de Mann–Whitney.
Résultats
Parmi les 35 patients d’une moyenne d’âge de 75 ans, 17 ont bénéficié de la pose d’un espaceur rectal, sans complication lors de l’implantation, permettant un espacement moyen de 10mm. Les fortes doses dans la paroi rectale étaient significativement plus basses avec l’espaceur (volume recevant 38 Gy et plus [V38] : 0,39 cm3 contre 0,72 cm3 ; p=0,02). Il y avait une tendance à une meilleure couverture du volume cible prévisionnel (PTV) avec l’espaceur (p=0,07). Les doses reçues par la paroi vésicale étaient similaires entre les deux groupes.
Conclusion
L’implantation sous anesthésie locale d’un espaceur rectal est faisable, et s’accompagne d’une diminution de la dose dans le rectum, avec une meilleure couverture du PTV. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=70795 |
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