Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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[article]
Titre : |
Stratégies actuelles de dépistage du cancer du sein : obtenir une meilleure participation des femmes pour abaisser encore la mortalité |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Corinne Balleyguier ; Édith Borcoman ; Marie Attard ; Julia Arfi Rouche ; Michael Majer ; Leila Haddag-Miliani ; Suzette Delaloge |
Année de publication : |
2020 |
Article en page(s) : |
p. 722-725 |
Note générale : |
Issu du dossier "Cancer du sein (hors métastases)" |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
SEIN CANCER DÉPISTAGE MAMMOGRAPHIE ÉCHOGRAPHIE IRM (IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE) |
Résumé : |
Le dépistage organisé en France est généralisé à l'ensemble des département français depuis 2004. Il repose sur la mammographie en premier lieu pour les femmes âgées de 50 à 74 ans. En France, la particularité est que le radiologue est présent sur place dès la première lecture. Il doit également réaliser un examen clinique des seins, et peut si nécessaire proposer un bilan diagnostique immédiatement, comme une échographie. Les clichés normaux sont ensuite transmis à la structure de gestion départementale pour une seconde lecture. Le résultat de la seconde lecture est transmis ensuite par courrier à la femme dans un délai de 15 jours au maximum. Dans la plupart des autres pays d'Europe, le radiologue n'est pas présent lors de la première lecture. En France coexiste également un dépistage individuel pour les femmes de moins de 50 ans ou de plus de 74 ans. Il est actuellement démontré que le d&épistage par mammographie du cancer du sein permet de baiser la mortalité du cancer du sein de 20 à 35 % selon les études, en moyenne 21 %, mais il est nécessaire d'obtenir une participation suffisante des femmes, estimée à plus de 70 %. En France, la participation globale à ces deux dépistages avoisine les 65 % mais n'est que de 50 % pour le dépistage organisé, ce qui est insuffisant. D'autres modalités de dépistage, comme l'imagerie par résonance magnétique mammaire annuelle à partir de 30 ans, peuvent être proposées chez les femmes à très haut risque de cancer du sein, comme celles ayant mutations génétiques de types BRCA1 ou BRCA2. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68579 |
in La revue du praticien > Vol. 70, n° 7 (Septembre 2020) . - p. 722-725
[article] Stratégies actuelles de dépistage du cancer du sein : obtenir une meilleure participation des femmes pour abaisser encore la mortalité [texte imprimé] / Corinne Balleyguier ; Édith Borcoman ; Marie Attard ; Julia Arfi Rouche ; Michael Majer ; Leila Haddag-Miliani ; Suzette Delaloge . - 2020 . - p. 722-725. Issu du dossier "Cancer du sein (hors métastases)" Langues : Français ( fre) in La revue du praticien > Vol. 70, n° 7 (Septembre 2020) . - p. 722-725
Mots-clés : |
SEIN CANCER DÉPISTAGE MAMMOGRAPHIE ÉCHOGRAPHIE IRM (IMAGERIE PAR RÉSONANCE MAGNÉTIQUE) |
Résumé : |
Le dépistage organisé en France est généralisé à l'ensemble des département français depuis 2004. Il repose sur la mammographie en premier lieu pour les femmes âgées de 50 à 74 ans. En France, la particularité est que le radiologue est présent sur place dès la première lecture. Il doit également réaliser un examen clinique des seins, et peut si nécessaire proposer un bilan diagnostique immédiatement, comme une échographie. Les clichés normaux sont ensuite transmis à la structure de gestion départementale pour une seconde lecture. Le résultat de la seconde lecture est transmis ensuite par courrier à la femme dans un délai de 15 jours au maximum. Dans la plupart des autres pays d'Europe, le radiologue n'est pas présent lors de la première lecture. En France coexiste également un dépistage individuel pour les femmes de moins de 50 ans ou de plus de 74 ans. Il est actuellement démontré que le d&épistage par mammographie du cancer du sein permet de baiser la mortalité du cancer du sein de 20 à 35 % selon les études, en moyenne 21 %, mais il est nécessaire d'obtenir une participation suffisante des femmes, estimée à plus de 70 %. En France, la participation globale à ces deux dépistages avoisine les 65 % mais n'est que de 50 % pour le dépistage organisé, ce qui est insuffisant. D'autres modalités de dépistage, comme l'imagerie par résonance magnétique mammaire annuelle à partir de 30 ans, peuvent être proposées chez les femmes à très haut risque de cancer du sein, comme celles ayant mutations génétiques de types BRCA1 ou BRCA2. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=68579 |
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