[article] 
inRevue médicale suisse > 695 (27 mai 2020) . - p. 1086-1091

Titre :	Immunothérapie par inhibiteurs de points de contrôle immunitaire et toxicité dermatologique
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Pierre-François Simand ; Grégoire Berthod ; Laurent Parmentier ; Sandro Anchisi
Année de publication :	2020
Article en page(s) :	p. 1086-1091
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	CANCER THÉRAPEUTIQUE  COMPLICATION  TOXICITÉ  DERMATOLOGIE  PEAU  IMMUNOTHÉRAPIE
Résumé :	Les toxicités cutanées sont les effets indésirables les plus fréquents des inhibiteurs des points de contrôle immunitaire, que ce soit avec les anti-Programmed Cell Death 1, les anti-Cytotoxic T Lymphocyte Antigen-4 ou les nouveaux anti-Programmed Cell Death-Ligand 1. Ils surviennent chez plus d’un patient sur trois, et ce quel que soit le cancer traité. Ils se manifestent le plus souvent par un rash maculopapuleux limité au niveau du tronc et des membres et un prurit. Des toxidermies graves (syndromes de Lyell, de Stevens-Johnson ou d’hypersensibilité médicamenteuse) ainsi que des dermatoses autoimmunes (maladies bulleuses, lupus érythémateux disséminé) sont plus rares, mais leur reconnaissance et leur prise en charge précoces sont essentielles. Une évaluation multidisciplinaire est, dans ces cas, souvent indispensable pour une prise en charge optimale de la toxicité et ne pas prétériter la poursuite du traitement.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67630

[article] Immunothérapie par inhibiteurs de points de contrôle immunitaire et toxicité dermatologique [texte imprimé] / Pierre-François Simand ; Grégoire Berthod ; Laurent Parmentier ; Sandro Anchisi . - 2020 . - p. 1086-1091.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 695 (27 mai 2020) . - p. 1086-1091

Mots-clés :	CANCER THÉRAPEUTIQUE  COMPLICATION  TOXICITÉ  DERMATOLOGIE  PEAU  IMMUNOTHÉRAPIE
Résumé :	Les toxicités cutanées sont les effets indésirables les plus fréquents des inhibiteurs des points de contrôle immunitaire, que ce soit avec les anti-Programmed Cell Death 1, les anti-Cytotoxic T Lymphocyte Antigen-4 ou les nouveaux anti-Programmed Cell Death-Ligand 1. Ils surviennent chez plus d’un patient sur trois, et ce quel que soit le cancer traité. Ils se manifestent le plus souvent par un rash maculopapuleux limité au niveau du tronc et des membres et un prurit. Des toxidermies graves (syndromes de Lyell, de Stevens-Johnson ou d’hypersensibilité médicamenteuse) ainsi que des dermatoses autoimmunes (maladies bulleuses, lupus érythémateux disséminé) sont plus rares, mais leur reconnaissance et leur prise en charge précoces sont essentielles. Une évaluation multidisciplinaire est, dans ces cas, souvent indispensable pour une prise en charge optimale de la toxicité et ne pas prétériter la poursuite du traitement.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67630