[article] 
inLa revue du praticien > Vol. 70, n° 1 (Janvier 2020) . - p. 90

Titre :	Politique de vaccination contre les infections à papillomavirus humains en France et dans le monde : en France, la couverture vaccinale demeure très insuffisante
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Elisabeth Nicand, Auteur
Année de publication :	2020
Article en page(s) :	p. 90
Note générale :	Cet article fait partie du dossier : Vaccination contre les papillomavirus
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Vaccins antipapillomavirus
Résumé :	Depuis la disponibilité des vaccins Gardasil et Cervarix en 2007, puis Gardasil 9 en 2016, la prévention des maladies liées aux infections par les papillomavirus à haut risque se fait par la vaccination des jeunes filles de 11 à 19 ans et des hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes jusqu'à l'âge de 26 ans. Cette politique vaccinale s'est heurtée à une forte réticence, avec pour conséquence une couverture vaccinale très insuffisante par rapport à l'objectif fixé à 60 %. Les pays ayant une couverture vaccinale élevée ont mis en évidence un impact direct de cette vaccination sur l'incidence d des lésions précancéreuses du col de l'utérus. L'inquiétude vis-à-vis de la tolérance des vaccins, le défaut d'information pour les médecins de 1re ligne et le public ont participé à l'hésitation vaccinale.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66886

[article] Politique de vaccination contre les infections à papillomavirus humains en France et dans le monde : en France, la couverture vaccinale demeure très insuffisante [texte imprimé] / Elisabeth Nicand, Auteur . - 2020 . - p. 90.
Cet article fait partie du dossier : Vaccination contre les papillomavirus
Langues : Français (fre)
in La revue du praticien > Vol. 70, n° 1 (Janvier 2020) . - p. 90

Mots-clés :	Vaccins antipapillomavirus
Résumé :	Depuis la disponibilité des vaccins Gardasil et Cervarix en 2007, puis Gardasil 9 en 2016, la prévention des maladies liées aux infections par les papillomavirus à haut risque se fait par la vaccination des jeunes filles de 11 à 19 ans et des hommes ayant des relations sexuelles avec les hommes jusqu'à l'âge de 26 ans. Cette politique vaccinale s'est heurtée à une forte réticence, avec pour conséquence une couverture vaccinale très insuffisante par rapport à l'objectif fixé à 60 %. Les pays ayant une couverture vaccinale élevée ont mis en évidence un impact direct de cette vaccination sur l'incidence d des lésions précancéreuses du col de l'utérus. L'inquiétude vis-à-vis de la tolérance des vaccins, le défaut d'information pour les médecins de 1re ligne et le public ont participé à l'hésitation vaccinale.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=66886