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Revue médicale suisse . 497UrologieMention de date : Décembre 2015 Paru le : 02/12/2015 |
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Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierThérapie de deuxième et troisième lignes pour la prise en charge de la dysfonction érectile / Marco Boldini in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Thérapie de deuxième et troisième lignes pour la prise en charge de la dysfonction érectile Type de document : texte imprimé Auteurs : Marco Boldini ; Patrice Jichlinski ; Laurent Vaucher Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2265-2269 Langues : Français (fre) Mots-clés : ERECTION TROUBLE Résumé : Dans cet article à l’intention des médecins de premier recours, nous résumons les stratégies thérapeutiques de deuxième et troisième lignes pour la prise en charge de la dysfonction érectile, en mettant aussi l’accent sur les erreurs fréquentes qui peuvent se reproduire lors de la prise du traitement médicamenteux de première ligne.Certaines solutions de deuxième intention peuvent aussi être envisagées directement chez les patients présentant des contre-indications à l’utilisation des inhibiteurs de la PDE5. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36263
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2265-2269[article] Thérapie de deuxième et troisième lignes pour la prise en charge de la dysfonction érectile [texte imprimé] / Marco Boldini ; Patrice Jichlinski ; Laurent Vaucher . - 2015 . - p.2265-2269.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2265-2269
Mots-clés : ERECTION TROUBLE Résumé : Dans cet article à l’intention des médecins de premier recours, nous résumons les stratégies thérapeutiques de deuxième et troisième lignes pour la prise en charge de la dysfonction érectile, en mettant aussi l’accent sur les erreurs fréquentes qui peuvent se reproduire lors de la prise du traitement médicamenteux de première ligne.Certaines solutions de deuxième intention peuvent aussi être envisagées directement chez les patients présentant des contre-indications à l’utilisation des inhibiteurs de la PDE5. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36263 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Douleurs et tuméfactions scrotales : prise en charge initiale diagnostique et thérapeutique par le généraliste / Matthieu Mengin in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Douleurs et tuméfactions scrotales : prise en charge initiale diagnostique et thérapeutique par le généraliste Type de document : texte imprimé Auteurs : Matthieu Mengin ; Arachk De Gorski ; Christophe E. Iselin Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2270-2273 Langues : Français (fre) Mots-clés : TESTICULE DOULEUR ORCHIEPIDIDYMITE HYDROCELE BOURSE PATHOLOGIE VARICOCELE Résumé : Bien que le problème soit le plus souvent spécifiquement urologique, la douleur et/ou la tuméfaction scrotale n’est pas exceptionnelle dans une consultation de médecine générale. Hormis la torsion testiculaire, qui relève le plus souvent d’une prise en charge dans un service d’urgences, la tumeur testiculaire, l’orchi-épididymite, l’hydrocèle ou spermatocèle, ainsi que la varicocèle sont quatre diagnostics fréquents. Le but de cet article est d’aider le médecin de premier recours à identifier et initialiser la prise en charge des pathologies scrotales fréquentes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36264
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2270-2273[article] Douleurs et tuméfactions scrotales : prise en charge initiale diagnostique et thérapeutique par le généraliste [texte imprimé] / Matthieu Mengin ; Arachk De Gorski ; Christophe E. Iselin . - 2015 . - p.2270-2273.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2270-2273
Mots-clés : TESTICULE DOULEUR ORCHIEPIDIDYMITE HYDROCELE BOURSE PATHOLOGIE VARICOCELE Résumé : Bien que le problème soit le plus souvent spécifiquement urologique, la douleur et/ou la tuméfaction scrotale n’est pas exceptionnelle dans une consultation de médecine générale. Hormis la torsion testiculaire, qui relève le plus souvent d’une prise en charge dans un service d’urgences, la tumeur testiculaire, l’orchi-épididymite, l’hydrocèle ou spermatocèle, ainsi que la varicocèle sont quatre diagnostics fréquents. Le but de cet article est d’aider le médecin de premier recours à identifier et initialiser la prise en charge des pathologies scrotales fréquentes. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36264 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Inégalité des sexes face au cancer en urologie / Ilaria Lucca in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Inégalité des sexes face au cancer en urologie Type de document : texte imprimé Auteurs : Ilaria Lucca ; Massimo Valerio ; Patrice Jichlinski Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2276-2280 Langues : Français (fre) Mots-clés : REIN CANCER VESSIE CANCER HOMME FEMME Résumé : Le but de cette revue est de résumer l’état des connaissances actuelles concernant les inégalités liées au sexe face aux cancers urologiques. Il existe une différence significative d’incidence du cancer de la vessie et du rein, en défaveur des hommes. En effet, un homme a trois fois plus de risque de développer un cancer de la vessie qu’une femme, mais le sexe féminin représente un facteur de risque indépendant pour la récidive et la progression du cancer urothélial. Au moment du diagnostic, un homme présente habituellement un cancer du rein plus avancé qu’une femme. Ces différences sont expliquées partiellement par la consommation de tabac, les hormones sexuelles et les différences génétiques et socio-récréationnelles. Le sexe devrait être pris en considération dans l’information au patient et dans les décisions cliniques du praticien. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36265
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2276-2280[article] Inégalité des sexes face au cancer en urologie [texte imprimé] / Ilaria Lucca ; Massimo Valerio ; Patrice Jichlinski . - 2015 . - p.2276-2280.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2276-2280
Mots-clés : REIN CANCER VESSIE CANCER HOMME FEMME Résumé : Le but de cette revue est de résumer l’état des connaissances actuelles concernant les inégalités liées au sexe face aux cancers urologiques. Il existe une différence significative d’incidence du cancer de la vessie et du rein, en défaveur des hommes. En effet, un homme a trois fois plus de risque de développer un cancer de la vessie qu’une femme, mais le sexe féminin représente un facteur de risque indépendant pour la récidive et la progression du cancer urothélial. Au moment du diagnostic, un homme présente habituellement un cancer du rein plus avancé qu’une femme. Ces différences sont expliquées partiellement par la consommation de tabac, les hormones sexuelles et les différences génétiques et socio-récréationnelles. Le sexe devrait être pris en considération dans l’information au patient et dans les décisions cliniques du praticien. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36265 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Nouvelles approches dans le traitement des tumeurs non invasives de la vessie / Caroline Carera Sager in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Nouvelles approches dans le traitement des tumeurs non invasives de la vessie Type de document : texte imprimé Auteurs : Caroline Carera Sager ; Daniel A. Benamran ; Gregory Wirth Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2281-2284 Langues : Français (fre) Mots-clés : VESSIE CANCER VESSIE CANCER THERAPEUTIQUE Résumé : Ne s’étendant que jusqu’à la sous-muqueuse, les tumeurs superficielles de la vessie (pTis, pTa et pT1) sont initialement traitées par résection endoscopique. Selon leurs risques de récidive et de progression, elles bénéficient de traitements complémentaires par instillations intravésicales d’agents cytotoxiques et immuno-modulateurs. Plusieurs nouveaux traitements sont en évaluation, dont de nouvelles souches de BCG génétiquement modifiées ainsi que de nouvelles techniques d’administration de la chimiothérapie, qui semblent améliorer le pronostic oncologique. Vu l’importante prévalence du cancer de la vessie non invasif et de la morbidité qu’il induit, il est vraisemblable que ces nouvelles thérapeutiques se généraliseront dans le futur. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36266
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2281-2284[article] Nouvelles approches dans le traitement des tumeurs non invasives de la vessie [texte imprimé] / Caroline Carera Sager ; Daniel A. Benamran ; Gregory Wirth . - 2015 . - p.2281-2284.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2281-2284
Mots-clés : VESSIE CANCER VESSIE CANCER THERAPEUTIQUE Résumé : Ne s’étendant que jusqu’à la sous-muqueuse, les tumeurs superficielles de la vessie (pTis, pTa et pT1) sont initialement traitées par résection endoscopique. Selon leurs risques de récidive et de progression, elles bénéficient de traitements complémentaires par instillations intravésicales d’agents cytotoxiques et immuno-modulateurs. Plusieurs nouveaux traitements sont en évaluation, dont de nouvelles souches de BCG génétiquement modifiées ainsi que de nouvelles techniques d’administration de la chimiothérapie, qui semblent améliorer le pronostic oncologique. Vu l’importante prévalence du cancer de la vessie non invasif et de la morbidité qu’il induit, il est vraisemblable que ces nouvelles thérapeutiques se généraliseront dans le futur. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36266 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Biopsies de la prostate en 2015 : quelle biopsie pour quel patient ? / Rodolfo Burruni in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Biopsies de la prostate en 2015 : quelle biopsie pour quel patient ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Rodolfo Burruni ; Yannick Cerantola ; Jean-Yves Meuwly Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2288-2292 Langues : Français (fre) Mots-clés : PROSTATE BIOPSIE PROSTATIQUE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE Résumé : L’adoption de l’IRM dans le parcours diagnostique a déterminé la transition des biopsies aléatoires aux biopsies ciblées vers les lésions visibles à l’imagerie. L’utilisation de logiciels rendant possible la fusion d’images IRM et échographiques permet d’améliorer significativement la précision diagnostique de ces biopsies. De plus, pour déterminer l’éligibilité d’un patient à une thérapie focale, davantage de précision diagnostique est requise au niveau de toute la glande ; par conséquent, des biopsies avec une densité d’échantillonnage plus élevée par voie transpérinéale peuvent être proposées.Les nouvelles techniques de biopsie de la prostate permettent une prise en charge personnalisée grâce à une meilleure caractérisation de l’agressivité et de l’extension locale du cancer de la prostate. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36267
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2288-2292[article] Biopsies de la prostate en 2015 : quelle biopsie pour quel patient ? [texte imprimé] / Rodolfo Burruni ; Yannick Cerantola ; Jean-Yves Meuwly . - 2015 . - p.2288-2292.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2288-2292
Mots-clés : PROSTATE BIOPSIE PROSTATIQUE RESONANCE MAGNETIQUE NUCLEAIRE Résumé : L’adoption de l’IRM dans le parcours diagnostique a déterminé la transition des biopsies aléatoires aux biopsies ciblées vers les lésions visibles à l’imagerie. L’utilisation de logiciels rendant possible la fusion d’images IRM et échographiques permet d’améliorer significativement la précision diagnostique de ces biopsies. De plus, pour déterminer l’éligibilité d’un patient à une thérapie focale, davantage de précision diagnostique est requise au niveau de toute la glande ; par conséquent, des biopsies avec une densité d’échantillonnage plus élevée par voie transpérinéale peuvent être proposées.Les nouvelles techniques de biopsie de la prostate permettent une prise en charge personnalisée grâce à une meilleure caractérisation de l’agressivité et de l’extension locale du cancer de la prostate. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36267 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Que faire face à une dilatation pyélocalicielle? / Sanjeev Vamadevan in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Que faire face à une dilatation pyélocalicielle? Type de document : texte imprimé Auteurs : Sanjeev Vamadevan ; Jacques Klein ; Christophe E. Iselin Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2293-2297 Langues : Français (fre) Mots-clés : URETERE OBSTRUCTION COLIQUE NEPHRETIQUE Résumé : De par sa longueur et son diamètre restreint, l’uretère est exposé à un risque obstructif élevé au gré de pathologies extrêmement variables. En raison d’une activité péristaltique remarquable, caractérisée par une moyenne de six ondes par minute, la conséquence clinique est aiguë si l’obstacle s’installe subitement. Le signe radiologique d’appel est la dilatation pyélocalicielle, largement répertoriée dans le système médical occidental, eu égard à l’abondance d’imageries pratiquées. De la situation aiguë à la découverte fortuite, sa compréhension doit être approfondie du fait de l’impact potentiel symptomatique immédiat sous forme de colique néphrétique pouvant être associée à un sepsis, ainsi qu’à long terme sur la fonction rénale.Cet article a pour but d’aider le médecin de premier recours à initier son diagnostic et son traitement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36268
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2293-2297[article] Que faire face à une dilatation pyélocalicielle? [texte imprimé] / Sanjeev Vamadevan ; Jacques Klein ; Christophe E. Iselin . - 2015 . - p.2293-2297.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2293-2297
Mots-clés : URETERE OBSTRUCTION COLIQUE NEPHRETIQUE Résumé : De par sa longueur et son diamètre restreint, l’uretère est exposé à un risque obstructif élevé au gré de pathologies extrêmement variables. En raison d’une activité péristaltique remarquable, caractérisée par une moyenne de six ondes par minute, la conséquence clinique est aiguë si l’obstacle s’installe subitement. Le signe radiologique d’appel est la dilatation pyélocalicielle, largement répertoriée dans le système médical occidental, eu égard à l’abondance d’imageries pratiquées. De la situation aiguë à la découverte fortuite, sa compréhension doit être approfondie du fait de l’impact potentiel symptomatique immédiat sous forme de colique néphrétique pouvant être associée à un sepsis, ainsi qu’à long terme sur la fonction rénale.Cet article a pour but d’aider le médecin de premier recours à initier son diagnostic et son traitement. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36268 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Prévention de l’état de stress post-traumatique : efficacité des interventions pharmacologiques ? / Kayole Kazadi in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Prévention de l’état de stress post-traumatique : efficacité des interventions pharmacologiques ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Kayole Kazadi ; Laurent Michaud ; Isabelle Peytremann-Bridevaux Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2300 Langues : Français (fre) Mots-clés : STRESS TRAUMATISME MEDICAMENT Résumé : Cette rubrique présente les résultats d’une revue systématique récente telle que publiée dans la Cochrane Library (www.thecochranelibrary.com). Volontairement limité à un champ de recherche circonscrit, cet article reflète l’état actuel des connaissances de ce domaine. Il ne s’agit donc pas de recommandations pour guider la prise en charge d’une problématique clinique considérée dans sa globalité (guidelines). Les auteurs de ce résumé se basent sur la revue systématique et ne remettent pas en question le choix des articles inclus dans la revue.Question cliniqueUn patient de 34 ans vous consulte. Lors d’une sortie en ville, il y a une semaine, il a été menacé au couteau. Il a craint pour sa vie. Depuis, il y repense sans cesse de manière envahissante, évite d’aller en ville et ne montre plus d’intérêt au travail. Il se plaint par ailleurs de réveils nocturnes et d’une irritabilité permanente.Une prescription médicamenteuse pourrait-elle efficacement prévenir une évolution vers l’éta... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36269
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2300[article] Prévention de l’état de stress post-traumatique : efficacité des interventions pharmacologiques ? [texte imprimé] / Kayole Kazadi ; Laurent Michaud ; Isabelle Peytremann-Bridevaux . - 2015 . - p.2300.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2300
Mots-clés : STRESS TRAUMATISME MEDICAMENT Résumé : Cette rubrique présente les résultats d’une revue systématique récente telle que publiée dans la Cochrane Library (www.thecochranelibrary.com). Volontairement limité à un champ de recherche circonscrit, cet article reflète l’état actuel des connaissances de ce domaine. Il ne s’agit donc pas de recommandations pour guider la prise en charge d’une problématique clinique considérée dans sa globalité (guidelines). Les auteurs de ce résumé se basent sur la revue systématique et ne remettent pas en question le choix des articles inclus dans la revue.Question cliniqueUn patient de 34 ans vous consulte. Lors d’une sortie en ville, il y a une semaine, il a été menacé au couteau. Il a craint pour sa vie. Depuis, il y repense sans cesse de manière envahissante, évite d’aller en ville et ne montre plus d’intérêt au travail. Il se plaint par ailleurs de réveils nocturnes et d’une irritabilité permanente.Une prescription médicamenteuse pourrait-elle efficacement prévenir une évolution vers l’éta... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36269 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Etat de stress post-traumatique: quel type de psychothérapie proposer? / Laurent Michaud in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Etat de stress post-traumatique: quel type de psychothérapie proposer? Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Michaud ; Kayole Kazadi ; Isabelle Peytremann-Bridevaux Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2301 Langues : Français (fre) Mots-clés : STRESS TRAUMATISME PSYCHOTHERAPIE Résumé : Cette rubrique présente les résultats d’une revue systématique récente telle que publiée dans la Cochrane Library (www.thecochranelibrary.com). Volontairement limité à un champ de recherche circonscrit, cet article reflète l’état actuel des connaissances de ce domaine. Il ne s’agit donc pas de recommandations pour guider la prise en charge d’une problématique clinique considérée dans sa globalité (guidelines). Les auteurs de ce résumé se basent sur la revue systématique et ne remettent pas en question le choix des articles inclus dans la revue.Question cliniqueUn requérant d’asile érythréen de 30 ans vous consulte. Lors de son parcours migratoire, il y a deux ans, il a été torturé et a vu mourir des compagnons. Durant la consultation, il décrit des flash-back réguliers et n’arrive plus à se rappeler certains éléments de sa migration. Même dans sa communauté d’origine, il lui arrive de se sentir étranger. Par ailleurs, il sursaute au moindre bruit, ce qui l’épuise, et il pense ne pa... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36270
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2301[article] Etat de stress post-traumatique: quel type de psychothérapie proposer? [texte imprimé] / Laurent Michaud ; Kayole Kazadi ; Isabelle Peytremann-Bridevaux . - 2015 . - p.2301.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2301
Mots-clés : STRESS TRAUMATISME PSYCHOTHERAPIE Résumé : Cette rubrique présente les résultats d’une revue systématique récente telle que publiée dans la Cochrane Library (www.thecochranelibrary.com). Volontairement limité à un champ de recherche circonscrit, cet article reflète l’état actuel des connaissances de ce domaine. Il ne s’agit donc pas de recommandations pour guider la prise en charge d’une problématique clinique considérée dans sa globalité (guidelines). Les auteurs de ce résumé se basent sur la revue systématique et ne remettent pas en question le choix des articles inclus dans la revue.Question cliniqueUn requérant d’asile érythréen de 30 ans vous consulte. Lors de son parcours migratoire, il y a deux ans, il a été torturé et a vu mourir des compagnons. Durant la consultation, il décrit des flash-back réguliers et n’arrive plus à se rappeler certains éléments de sa migration. Même dans sa communauté d’origine, il lui arrive de se sentir étranger. Par ailleurs, il sursaute au moindre bruit, ce qui l’épuise, et il pense ne pa... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36270 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt VIH : La France autorise et remboursera intégralement le Truvada prophylactique / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : VIH : La France autorise et remboursera intégralement le Truvada prophylactique Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2302-2302 Langues : Français (fre) Mots-clés : SIDA SIDA THERAPEUTIQUE FRANCE Résumé : Marisol Touraine, ministre de la Santé, vient d’annoncer que le gouvernement français allait donner un feu vert à l’utilisation du Truvada dans le cadre d’une stratégie prophylaxique préexposition (PrEP) et que ces prescriptions seraient prises en charge à 100% « au début de l’année 2016 ». Cette annonce a aussitôt été doublement saluée : par les associations qui militaient en ce sens et par les spécialistes qui avaient participé à l’essai clinique mené sur ce thème. Plusieurs « acteurs français de la lutte contre le VIH » (parmi lesquels Françoise Barré Sinoussi, France Lert, Bruno Spire, Pierre Marie Girard, Christine Katlama, Gilles Pialoux, Yazdan Yazdanpanah, Willy Rozenbaum) avaient récemment cosigné une lettre adressée à la ministre de la Santé « pour accélérer l’autorisation de la PrEP ».La ministre française de la Santé a fait cette annonce le 23 novembre devant l’Assemblée nationale, lors de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. « Je suis favora... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36271
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2302-2302[article] VIH : La France autorise et remboursera intégralement le Truvada prophylactique [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2015 . - p.2302-2302.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2302-2302
Mots-clés : SIDA SIDA THERAPEUTIQUE FRANCE Résumé : Marisol Touraine, ministre de la Santé, vient d’annoncer que le gouvernement français allait donner un feu vert à l’utilisation du Truvada dans le cadre d’une stratégie prophylaxique préexposition (PrEP) et que ces prescriptions seraient prises en charge à 100% « au début de l’année 2016 ». Cette annonce a aussitôt été doublement saluée : par les associations qui militaient en ce sens et par les spécialistes qui avaient participé à l’essai clinique mené sur ce thème. Plusieurs « acteurs français de la lutte contre le VIH » (parmi lesquels Françoise Barré Sinoussi, France Lert, Bruno Spire, Pierre Marie Girard, Christine Katlama, Gilles Pialoux, Yazdan Yazdanpanah, Willy Rozenbaum) avaient récemment cosigné une lettre adressée à la ministre de la Santé « pour accélérer l’autorisation de la PrEP ».La ministre française de la Santé a fait cette annonce le 23 novembre devant l’Assemblée nationale, lors de l’examen du projet de loi de financement de la Sécurité sociale. « Je suis favora... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36271 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Les premiers enseignements de la réponse hospitalière aux «attentats de Paris» / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Les premiers enseignements de la réponse hospitalière aux «attentats de Paris» Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2304-2305 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDECINE DE CATASTROPHE FRANCE Résumé : Face au développement des actions terroristes, quelles sont, quelles seront, les réactions des structures sanitaires du Vieux Continent ? C’est là une question médicale mais aussi politique ; un sujet de santé publique en lien direct avec la confiance que les citoyens des Etats démocratiques peuvent avoir dans leur organisation sociale et politique. La médecine est ici aux côtés de la police et de la justice – comme elle peut être, ailleurs, avec les forces armées. De ce point de vue, après les attentats de Madrid (2004) et de Londres (2005), la réaction des médecins et des soignants de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) après les attentats du vendredi 13 novembre (130 morts) est riche d’enseignements.Ce jour-là, Martin Hirsch, directeur général de l’AP-HP a déclenché le « Plan blanc » à 22h30 dans les trente-neuf éta blissements de ce groupe. En pratique, deux dispositifs coordonnés d’accueil des blessés ont été mis en place : un dispositif de « médecine de catastroph... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36272
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2304-2305[article] Les premiers enseignements de la réponse hospitalière aux «attentats de Paris» [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2015 . - p.2304-2305.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2304-2305
Mots-clés : MEDECINE DE CATASTROPHE FRANCE Résumé : Face au développement des actions terroristes, quelles sont, quelles seront, les réactions des structures sanitaires du Vieux Continent ? C’est là une question médicale mais aussi politique ; un sujet de santé publique en lien direct avec la confiance que les citoyens des Etats démocratiques peuvent avoir dans leur organisation sociale et politique. La médecine est ici aux côtés de la police et de la justice – comme elle peut être, ailleurs, avec les forces armées. De ce point de vue, après les attentats de Madrid (2004) et de Londres (2005), la réaction des médecins et des soignants de l’Assistance Publique-Hôpitaux de Paris (AP-HP) après les attentats du vendredi 13 novembre (130 morts) est riche d’enseignements.Ce jour-là, Martin Hirsch, directeur général de l’AP-HP a déclenché le « Plan blanc » à 22h30 dans les trente-neuf éta blissements de ce groupe. En pratique, deux dispositifs coordonnés d’accueil des blessés ont été mis en place : un dispositif de « médecine de catastroph... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36272 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Vendredi 13 novembre, 9H12, simulation terroriste au Samu de Paris / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Vendredi 13 novembre, 9H12, simulation terroriste au Samu de Paris Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2306-2307 Langues : Français (fre) Mots-clés : MEDECINE DE CATASTROPHE FRANCE PLAN CATASTROPHE Résumé : « Ce n’était qu’une coïncidence. Au risque de décevoir les conspirationnistes, soulignez bien que ce n’est qu’une coïncidence », nous répète le Dr Nicolas Poirot, médecin au Samu de Paris. Le Dr Poirot est encore sous le coup de ce qu’il a vécu et vu dans la nuit du 13 au 14 novembre. Le Pr Pierre Carli, son patron, renchérit : « Aucun coup de fil secret, aucun message codé, mais la démonstration que nous anticipons en permanence sur les risques majeurs auxquels nous sommes en permanence exposés. »Un jour prochain, la direction générale de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris communiquera dans le détail sur le travail exemplaire accompli en urgence extrême par l’ensemble des soignants dans cette horrible nuit du 13 au 14 novembre. Un travail qui, du fait de la coïncidence dont parle le Dr Poirot, avait commencé dès la matinée du vendredi 13 avec un exercice de simulation-préparation programmé depuis près de trois mois.« Tout a commencé à 9h12 pour se finir à 11h40, précise celui... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36273
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2306-2307[article] Vendredi 13 novembre, 9H12, simulation terroriste au Samu de Paris [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2015 . - p.2306-2307.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2306-2307
Mots-clés : MEDECINE DE CATASTROPHE FRANCE PLAN CATASTROPHE Résumé : « Ce n’était qu’une coïncidence. Au risque de décevoir les conspirationnistes, soulignez bien que ce n’est qu’une coïncidence », nous répète le Dr Nicolas Poirot, médecin au Samu de Paris. Le Dr Poirot est encore sous le coup de ce qu’il a vécu et vu dans la nuit du 13 au 14 novembre. Le Pr Pierre Carli, son patron, renchérit : « Aucun coup de fil secret, aucun message codé, mais la démonstration que nous anticipons en permanence sur les risques majeurs auxquels nous sommes en permanence exposés. »Un jour prochain, la direction générale de l’Assistance publique-Hôpitaux de Paris communiquera dans le détail sur le travail exemplaire accompli en urgence extrême par l’ensemble des soignants dans cette horrible nuit du 13 au 14 novembre. Un travail qui, du fait de la coïncidence dont parle le Dr Poirot, avait commencé dès la matinée du vendredi 13 avec un exercice de simulation-préparation programmé depuis près de trois mois.« Tout a commencé à 9h12 pour se finir à 11h40, précise celui... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36273 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Secret médical, la fin? / Bertrand Kiefer in Revue médicale suisse, 497 (Décembre 2015)
[article]
Titre : Secret médical, la fin? Type de document : texte imprimé Auteurs : Bertrand Kiefer Année de publication : 2015 Article en page(s) : p.2308 Langues : Français (fre) Mots-clés : SECRET MEDICAL Résumé :
«La fin de la vie privée » : c’était l’affirmation qui servait de titre à un ensemble d’articles publiés au début de l’année par la revue Nature. On y trouvait des phrases du genre : « Certains chercheurs du domaine médical reconnaissent qu’il devient presque impossible de garder la confidentialité des données des patients ». On apprenait d’autres vérités plutôt dégrisantes. Par exemple, que l’anonymisation des données ne sert plus à grand chose puisqu’il suffit de quelques recoupements entre des bases anonymisées pour retrouver n’importe quelle personne. Et que, donc, la distinction entre les données personnelles et les autres, que nous laissons sans le savoir derrière nous, n’a plus grand sens.
Ce que décrit ce dossier de Nature, c’est une prolifération de l’écosystème des données qui a dépassé les prévisions. Déplacements, domaines d’intérêt, relations, achats, habitudes, paramètres de santé : plus rien n’échappe à la digitalisation. Surtout, la collecte, le croisement et l’analyse de données se pratiquent à une telle échelle et sont désormais si perfectionnés qu’ils font surgir de nouveaux savoirs et une multitude de comparaisons concernant chaque individu, chaque groupe et l’humanité dans son ensemble. Parfois, nous acceptons que nos données soient utilisées dans un cadre précis. Mais la réalité montre que le consentement est de plus en plus un amusement destiné à distraire la galerie démocratique. Les données confiées à un système sont mélangées à quantité d’autres pour, à la fin, produire une information très éloignée du but de départ.
Tout cela est vrai. Mais est-ce la fin de la vie privée ? Faut-il rendre les armes alors que le combat s’annonce d’une importance majeure ? Non, bien sûr. Ce qui nous distingue, nous les humains, plus encore que la technique, c’est notre esprit critique. Certes, les bouleversements du big data nous obligent à redéfinir ce qui doit être protégé de notre vie privée. Certains aspects de la confidentialité ont définitivement disparu, emportés dans les flots du big data. Mais justement : de cela, il nous faut commencer à définir les conséquences. Pour ensuite organiser de nouveaux systèmes d’opacité, de secret, donc de liberté. Il faut, autrement dit, apprendre à résister aux messages des grandes entreprises de l’information – et, de plus en plus, des Etats – affirmant que les innombrables avantages de la révolution des données ne pourront se manifester que si toutes les barrières tombent.
Bref, il y a urgence à penser les rôles respectifs du secret et de la transparence. A comprendre, par exemple, comment ils sont liés à une conception de l’humain. Nos données sont désormais, qu’on le veuille ou non, métabolisées dans le gigantesque organisme du big data, qui ensuite recrache nos caractéristiques et comportements, en des sortes d’avatars profilés, catégorisés, et dont le futur semble déterminé. Se pose donc la question : tout cela marche-t-il parce que l’humain et son environnement sont digitalisables de part en part et peuvent être considérés comme de simples produits d’algorithmes ? Ou l’information totale sur tous n’est-elle qu’un fantasme, une idéologie de domination qui finit par faire croire aux sujets dont elle est issue qu’ils sont des objets ? En tout cas, un nouvel ordre se met en place, qui accorde plus d’importance à ce qui se voit et se maîtrise qu’à ce qui est intime ou exprimé par un langage métaphorique.
En plus d’être une gigantesque entreprise technologique, le big data est aussi une machine à fabriquer du mythe. En particulier celui d’une information qui serait utile en elle-même, par un effet de transparence et de prédiction. Et ce mythe étend sa fascination sur l’époque. C’est ainsi que les gouvernements de plusieurs cantons romands veulent en finir avec le secret portant sur les informations obtenues lors d’une consultation médicale. Ils sont persuadés que si le secret était mis à plat chez les individus suspects, la sécurité publique y gagnerait. Certains politiciens pensent aussi qu’il faudrait obliger les médecins à dénoncer les conducteurs professionnels alcooliques ou dépressifs. Et bientôt, probablement, exiger d’eux de devenir les fournisseurs de données sensibles d’un système de société basé sur l’information totale.
Absurde concession à l’esprit du temps. C’est l’envers qu’il faut viser. Le big data cherche l’omniscience ? Justement, rien n’importe autant que de « sanctuariser » quelques pratiques comme la relation soignant-soigné, où l’humain est considéré sans jugement, sans a priori, selon ses besoins. Cette sanctuarisation, qui passe probablement par une mise à l’écart de toute digitalisation, devrait être inscrite dans la loi. Certains aspects liés à l’intimité de l’individu et à sa vulnérabilité révélés lors de la relation thérapeutique ne servent à rien dès lors qu’ils sont transmis, sinon à abîmer leur source.
De même, nous devrions exiger des lois qu’elles interdisent que des données obtenues dans un cadre médical puissent être retournées contre les intérêts des patients. D’une manière générale, les données devraient appartenir à ceux dont elles sont issues. Pour le moment, devant les défis du big data et les enjeux de protection de la vie privée, la Suisse se montre d’une extrême frilosité législative.
Diminution du domaine de la vie privée, affaiblissement du secret médical, cela veut dire : pouvoir accru de certains individus qui ont accès à l’intime des autres. D’où la question : qui surveille ceux qui savent ou observent ? Dans le cas des gouverments qui exigent de connaître la dangerosité des détenus : qui contrôle ceux qui interprètent la connaissance ? Pour le big data qui décode la vie privée, qui décide de l’orientation des algorithmes, des développements à mener ? Où se trouve le centre et les motifs du commandement ? S’agit-il du profit de quelques-uns ? D’une banale volonté de pouvoir, mais portée par de nouveaux moyens ? Ou d’utopies non démocratiquement discutées ? A tout cela, il est temps de s’intéresser. La lumière doit porter sur les intentions de ceux qui collectent les données bien plus que sur ceux qui les donnent.
Ce que sait le médecin, c’est que le sujet humain ne cesse de travestir la réalité et de se mentir, de fabriquer du faux avec du vrai et du vrai avec du faux. Et que c’est non seulement son droit, mais surtout une forme de langage. L’intime est un lieu de pure liberté, de complexité. Mais il ne faudrait pas que la possibilité du langage décalé, du jeu avec le réel, devienne l’apanage des seuls surveillants, des quelques-uns qui ont la possibilité de rester hors du panoptique absolu qui se met en place.
Dans toutes les tentatives de rupture, par des moyens politiques et légaux, du secret médical, on trouve le même fantasme que dans le projet du big data : prévoir le comportement des individus. Mais voilà le problème : les individus restent malgré tout imprévisibles. D’ailleurs, cette imprévisibilité est l’un des buts de la médecine. Car elle est la condition de la liberté. L’enjeu d’une lutte pour la préservation du secret, c’est de protéger non seulement les intérêts de chacun, mais aussi de permettre à la vulnérabilité de s’exprimer, d’être un objet de soins, de partage et d’aide.
Dans l’affirmation du secret, il y a donc un projet anthropologique, une vision de l’homme comme système non entièrement calculable et prévisible.
Le secret revient à affirmer : quelque chose en l’humain résiste à la transparence de l’information. Quelque chose a le droit de résister. Et c’est pour ça que le big data, dans sa colossale dimension commerciale, déteste le secret.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36274
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2308[article] Secret médical, la fin? [texte imprimé] / Bertrand Kiefer . - 2015 . - p.2308.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 497 (Décembre 2015) . - p.2308
Mots-clés : SECRET MEDICAL Résumé :
«La fin de la vie privée » : c’était l’affirmation qui servait de titre à un ensemble d’articles publiés au début de l’année par la revue Nature. On y trouvait des phrases du genre : « Certains chercheurs du domaine médical reconnaissent qu’il devient presque impossible de garder la confidentialité des données des patients ». On apprenait d’autres vérités plutôt dégrisantes. Par exemple, que l’anonymisation des données ne sert plus à grand chose puisqu’il suffit de quelques recoupements entre des bases anonymisées pour retrouver n’importe quelle personne. Et que, donc, la distinction entre les données personnelles et les autres, que nous laissons sans le savoir derrière nous, n’a plus grand sens.
Ce que décrit ce dossier de Nature, c’est une prolifération de l’écosystème des données qui a dépassé les prévisions. Déplacements, domaines d’intérêt, relations, achats, habitudes, paramètres de santé : plus rien n’échappe à la digitalisation. Surtout, la collecte, le croisement et l’analyse de données se pratiquent à une telle échelle et sont désormais si perfectionnés qu’ils font surgir de nouveaux savoirs et une multitude de comparaisons concernant chaque individu, chaque groupe et l’humanité dans son ensemble. Parfois, nous acceptons que nos données soient utilisées dans un cadre précis. Mais la réalité montre que le consentement est de plus en plus un amusement destiné à distraire la galerie démocratique. Les données confiées à un système sont mélangées à quantité d’autres pour, à la fin, produire une information très éloignée du but de départ.
Tout cela est vrai. Mais est-ce la fin de la vie privée ? Faut-il rendre les armes alors que le combat s’annonce d’une importance majeure ? Non, bien sûr. Ce qui nous distingue, nous les humains, plus encore que la technique, c’est notre esprit critique. Certes, les bouleversements du big data nous obligent à redéfinir ce qui doit être protégé de notre vie privée. Certains aspects de la confidentialité ont définitivement disparu, emportés dans les flots du big data. Mais justement : de cela, il nous faut commencer à définir les conséquences. Pour ensuite organiser de nouveaux systèmes d’opacité, de secret, donc de liberté. Il faut, autrement dit, apprendre à résister aux messages des grandes entreprises de l’information – et, de plus en plus, des Etats – affirmant que les innombrables avantages de la révolution des données ne pourront se manifester que si toutes les barrières tombent.
Bref, il y a urgence à penser les rôles respectifs du secret et de la transparence. A comprendre, par exemple, comment ils sont liés à une conception de l’humain. Nos données sont désormais, qu’on le veuille ou non, métabolisées dans le gigantesque organisme du big data, qui ensuite recrache nos caractéristiques et comportements, en des sortes d’avatars profilés, catégorisés, et dont le futur semble déterminé. Se pose donc la question : tout cela marche-t-il parce que l’humain et son environnement sont digitalisables de part en part et peuvent être considérés comme de simples produits d’algorithmes ? Ou l’information totale sur tous n’est-elle qu’un fantasme, une idéologie de domination qui finit par faire croire aux sujets dont elle est issue qu’ils sont des objets ? En tout cas, un nouvel ordre se met en place, qui accorde plus d’importance à ce qui se voit et se maîtrise qu’à ce qui est intime ou exprimé par un langage métaphorique.
En plus d’être une gigantesque entreprise technologique, le big data est aussi une machine à fabriquer du mythe. En particulier celui d’une information qui serait utile en elle-même, par un effet de transparence et de prédiction. Et ce mythe étend sa fascination sur l’époque. C’est ainsi que les gouvernements de plusieurs cantons romands veulent en finir avec le secret portant sur les informations obtenues lors d’une consultation médicale. Ils sont persuadés que si le secret était mis à plat chez les individus suspects, la sécurité publique y gagnerait. Certains politiciens pensent aussi qu’il faudrait obliger les médecins à dénoncer les conducteurs professionnels alcooliques ou dépressifs. Et bientôt, probablement, exiger d’eux de devenir les fournisseurs de données sensibles d’un système de société basé sur l’information totale.
Absurde concession à l’esprit du temps. C’est l’envers qu’il faut viser. Le big data cherche l’omniscience ? Justement, rien n’importe autant que de « sanctuariser » quelques pratiques comme la relation soignant-soigné, où l’humain est considéré sans jugement, sans a priori, selon ses besoins. Cette sanctuarisation, qui passe probablement par une mise à l’écart de toute digitalisation, devrait être inscrite dans la loi. Certains aspects liés à l’intimité de l’individu et à sa vulnérabilité révélés lors de la relation thérapeutique ne servent à rien dès lors qu’ils sont transmis, sinon à abîmer leur source.
De même, nous devrions exiger des lois qu’elles interdisent que des données obtenues dans un cadre médical puissent être retournées contre les intérêts des patients. D’une manière générale, les données devraient appartenir à ceux dont elles sont issues. Pour le moment, devant les défis du big data et les enjeux de protection de la vie privée, la Suisse se montre d’une extrême frilosité législative.
Diminution du domaine de la vie privée, affaiblissement du secret médical, cela veut dire : pouvoir accru de certains individus qui ont accès à l’intime des autres. D’où la question : qui surveille ceux qui savent ou observent ? Dans le cas des gouverments qui exigent de connaître la dangerosité des détenus : qui contrôle ceux qui interprètent la connaissance ? Pour le big data qui décode la vie privée, qui décide de l’orientation des algorithmes, des développements à mener ? Où se trouve le centre et les motifs du commandement ? S’agit-il du profit de quelques-uns ? D’une banale volonté de pouvoir, mais portée par de nouveaux moyens ? Ou d’utopies non démocratiquement discutées ? A tout cela, il est temps de s’intéresser. La lumière doit porter sur les intentions de ceux qui collectent les données bien plus que sur ceux qui les donnent.
Ce que sait le médecin, c’est que le sujet humain ne cesse de travestir la réalité et de se mentir, de fabriquer du faux avec du vrai et du vrai avec du faux. Et que c’est non seulement son droit, mais surtout une forme de langage. L’intime est un lieu de pure liberté, de complexité. Mais il ne faudrait pas que la possibilité du langage décalé, du jeu avec le réel, devienne l’apanage des seuls surveillants, des quelques-uns qui ont la possibilité de rester hors du panoptique absolu qui se met en place.
Dans toutes les tentatives de rupture, par des moyens politiques et légaux, du secret médical, on trouve le même fantasme que dans le projet du big data : prévoir le comportement des individus. Mais voilà le problème : les individus restent malgré tout imprévisibles. D’ailleurs, cette imprévisibilité est l’un des buts de la médecine. Car elle est la condition de la liberté. L’enjeu d’une lutte pour la préservation du secret, c’est de protéger non seulement les intérêts de chacun, mais aussi de permettre à la vulnérabilité de s’exprimer, d’être un objet de soins, de partage et d’aide.
Dans l’affirmation du secret, il y a donc un projet anthropologique, une vision de l’homme comme système non entièrement calculable et prévisible.
Le secret revient à affirmer : quelque chose en l’humain résiste à la transparence de l’information. Quelque chose a le droit de résister. Et c’est pour ça que le big data, dans sa colossale dimension commerciale, déteste le secret.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36274 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt