[article] 
inRevue médicale suisse > 605 (Mai 2018) . - p. 944-948

Titre :	Diagnostic de schistosomiase urinaire par l'identification de miracidiums de 'Schistosoma Haematobium'
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Laura Zanisi ; Pietro Benedetto Faré ; Gabriele Poncini
Année de publication :	2018
Article en page(s) :	p. 944-948
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	SCHISTOSOMIASE  MIGRANT
Résumé :	Encore rarement diagnostiquée en Suisse, la schistosomiase urinaire est commune dans les régions d’origine des migrants, telles que l’Afrique subsaharienne et le Moyen-Orient. La reconnaissance précoce de cette condition, même si asymptomatique, est essentielle en raison du risque augmenté de transmission du VIH et, en l’absence de traitement, du risque d’infertilité et de développement d’un cancer de la vessie. La schistosomiase urinaire doit être surtout suspectée en cas d’hématurie terminale et d’éosinophilie chez un patient potentiellement exposé à l’eau douce dans les zones endémiques. Le diagnostic repose sur l’identification à l’examen microscopique des œufs ou des miracidiums (une forme plus rare du cycle de vie du schistosome) dans l’urine. Le traitement est le praziquantel, 40 mg/kg en dose unique à répéter après un mois.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58432

[article] Diagnostic de schistosomiase urinaire par l'identification de miracidiums de 'Schistosoma Haematobium' [texte imprimé] / Laura Zanisi ; Pietro Benedetto Faré ; Gabriele Poncini . - 2018 . - p. 944-948.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 605 (Mai 2018) . - p. 944-948

Mots-clés :	SCHISTOSOMIASE  MIGRANT
Résumé :	Encore rarement diagnostiquée en Suisse, la schistosomiase urinaire est commune dans les régions d’origine des migrants, telles que l’Afrique subsaharienne et le Moyen-Orient. La reconnaissance précoce de cette condition, même si asymptomatique, est essentielle en raison du risque augmenté de transmission du VIH et, en l’absence de traitement, du risque d’infertilité et de développement d’un cancer de la vessie. La schistosomiase urinaire doit être surtout suspectée en cas d’hématurie terminale et d’éosinophilie chez un patient potentiellement exposé à l’eau douce dans les zones endémiques. Le diagnostic repose sur l’identification à l’examen microscopique des œufs ou des miracidiums (une forme plus rare du cycle de vie du schistosome) dans l’urine. Le traitement est le praziquantel, 40 mg/kg en dose unique à répéter après un mois.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58432