[article] inAnesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 169-174
Titre : |
Pré-habilitation, réhabilitation ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Anne Freynet ; Pierre Grandet ; Olivier Joannes-Boyau ; Alexandre Ouattara |
Année de publication : |
2018 |
Article en page(s) : |
p. 169-174 |
Note générale : |
Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.007 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
SOINS POSTOPERATOIRES REANIMATION POSTOPERATOIRE KINESITHERAPIE NEUROMYOPATHIE |
Résumé : |
La pré-habilitation permet une optimisation des patients considérés à haut risque de complications postopératoires. Elle prend en compte quatre dimensions : médicale, fonctionnelle, nutritionnelle et psychologique. Des bénéfices ont été montrés, même si l’expression de recommandations est difficile quant aux programmes à appliquer, du fait de leur hétérogénéité. La réhabilitation précoce, quant à elle, s’adresse à tous les patients de réanimation, et plus spécifiquement à ceux présentant une neuromyopathie de réanimation. Elle permet une baisse de la durée de ventilation mécanique, de la durée d’hospitalisation et du delirium. Elle facilite la récupération musculaire, la distance au test de marche de 6minutes, et la qualité de vie. Elle doit être précoce, tout en étant anticipée. Les moyens utilisés sont nombreux et variés. Le masseur-kinésithérapeute doit choisir les moyens pertinents en fonction de la situation de réveil et fonctionnelle du patient, tout en respectant les éventuelles contre-indications. Ainsi, la pré-habilitation et la réhabilitation ont un même objectif : améliorer l’état fonctionnel du patient, tout en évaluant les bénéfices et risques pour le patient. Une prise en charge personnalisée est essentielle pour permettre une meilleure implication des soignants, mais surtout du patient. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57306 |
[article] Pré-habilitation, réhabilitation ? [texte imprimé] / Anne Freynet ; Pierre Grandet ; Olivier Joannes-Boyau ; Alexandre Ouattara . - 2018 . - p. 169-174. Doi : 10.1016/j.anrea.2017.12.007 Langues : Français ( fre) in Anesthésie & Réanimation > Vol. 4, n° 2 (Mars 2018) . - p. 169-174
Mots-clés : |
SOINS POSTOPERATOIRES REANIMATION POSTOPERATOIRE KINESITHERAPIE NEUROMYOPATHIE |
Résumé : |
La pré-habilitation permet une optimisation des patients considérés à haut risque de complications postopératoires. Elle prend en compte quatre dimensions : médicale, fonctionnelle, nutritionnelle et psychologique. Des bénéfices ont été montrés, même si l’expression de recommandations est difficile quant aux programmes à appliquer, du fait de leur hétérogénéité. La réhabilitation précoce, quant à elle, s’adresse à tous les patients de réanimation, et plus spécifiquement à ceux présentant une neuromyopathie de réanimation. Elle permet une baisse de la durée de ventilation mécanique, de la durée d’hospitalisation et du delirium. Elle facilite la récupération musculaire, la distance au test de marche de 6minutes, et la qualité de vie. Elle doit être précoce, tout en étant anticipée. Les moyens utilisés sont nombreux et variés. Le masseur-kinésithérapeute doit choisir les moyens pertinents en fonction de la situation de réveil et fonctionnelle du patient, tout en respectant les éventuelles contre-indications. Ainsi, la pré-habilitation et la réhabilitation ont un même objectif : améliorer l’état fonctionnel du patient, tout en évaluant les bénéfices et risques pour le patient. Une prise en charge personnalisée est essentielle pour permettre une meilleure implication des soignants, mais surtout du patient. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57306 |
|  |