[article] 
inRevue médicale suisse > 595 (Février 2018) . - p. 414-417

Titre :	Acide urique : coupable d'une mystérieuse néphropathie aiguë et complice de la maladie rénale chronique ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Antoine Humbert ; Fabien Stucker
Année de publication :	2018
Article en page(s) :	p. 414-417
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	REIN  ACIDE URIQUE  MALADIE CHRONIQUE  NEPHROPATHIE
Résumé :	L’acide urique est bien connu comme agent pathogène de la goutte et de certains calculs rénaux. Son implication, aussi bien dans des modèles aigus que chroniques de maladies rénales, a été l’objet de plusieurs développements récents. La néphropathie mésoaméricaine est en effet responsable de plus de 20 000 décès ces dernières années, principalement chez des jeunes agriculteurs qui récoltent la canne à sucre. Il semble que la production massive d’acide urique lors d’épisodes répétés d’hypovolémie soit un facteur déterminant. Par ailleurs, des données tendent à démontrer que l’acide urique est un facteur de risque indépendant dans le développement et la progression de la maladie rénale chronique, ouvrant la voie à de potentielles implications thérapeutiques.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57139

[article] Acide urique : coupable d'une mystérieuse néphropathie aiguë et complice de la maladie rénale chronique ? [texte imprimé] / Antoine Humbert ; Fabien Stucker . - 2018 . - p. 414-417.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 595 (Février 2018) . - p. 414-417

Mots-clés :	REIN  ACIDE URIQUE  MALADIE CHRONIQUE  NEPHROPATHIE
Résumé :	L’acide urique est bien connu comme agent pathogène de la goutte et de certains calculs rénaux. Son implication, aussi bien dans des modèles aigus que chroniques de maladies rénales, a été l’objet de plusieurs développements récents. La néphropathie mésoaméricaine est en effet responsable de plus de 20 000 décès ces dernières années, principalement chez des jeunes agriculteurs qui récoltent la canne à sucre. Il semble que la production massive d’acide urique lors d’épisodes répétés d’hypovolémie soit un facteur déterminant. Par ailleurs, des données tendent à démontrer que l’acide urique est un facteur de risque indépendant dans le développement et la progression de la maladie rénale chronique, ouvrant la voie à de potentielles implications thérapeutiques.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=57139