Titre :	L'usure des soignants
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Jean-Luc Dubreucq
Note générale :	Extrait de "Nouvelles du Comité International Catholique des Infirmières et Assistantes Médico-sociales. Nouvelles du CICIAMS", n° 2-3, 1989, p. 41-46.
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	Médecine -- Histoire  ÉPUISEMENT PROFESSIONNEL  SOUFFRANCE  PERSONNEL DE SANTÉ  INFIRMIER  INFIRMIÈRE  MÉDECIN
Index. décimale :	10.3a - 94 Histoire de la médecine et des soins infirmiers - Histoire
Résumé :	Évoquer la souffrance des soignants n'est guère habituel. Il suffit pour s'en convaincre de considérer le nombre encore assez restreint des publications consacrées à ce sujet. Une telle discrétion peut surprendre, car on s'accorde généralement à reconnaître un caractère pénible à ce métier, en particulier dans les situations où le soignant est confronté d'une manière répétée, voire continue, à des malades dont beaucoup ne survivront pas, ne guériront pas de façon satisfaisante ou encore dont l'état mental ou physique se dégradera progressivement et inexorablement. Face à ces corps meurtris, à ces existences définitivement mutilées, à ces vies psychique et affectives plus ou moins réduites à néant, face à la proximité constante de la souffrance et de la mort, le soignant n'est-il pas, lui aussi, un être en souffrance ?
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=54775

L'usure des soignants [texte imprimé] / Jean-Luc Dubreucq . - [s.d.].
Extrait de "Nouvelles du Comité International Catholique des Infirmières et Assistantes Médico-sociales. Nouvelles du CICIAMS", n° 2-3, 1989, p. 41-46.
Langues : Français (fre)

Mots-clés :	Médecine -- Histoire  ÉPUISEMENT PROFESSIONNEL  SOUFFRANCE  PERSONNEL DE SANTÉ  INFIRMIER  INFIRMIÈRE  MÉDECIN
Index. décimale :	10.3a - 94 Histoire de la médecine et des soins infirmiers - Histoire
Résumé :	Évoquer la souffrance des soignants n'est guère habituel. Il suffit pour s'en convaincre de considérer le nombre encore assez restreint des publications consacrées à ce sujet. Une telle discrétion peut surprendre, car on s'accorde généralement à reconnaître un caractère pénible à ce métier, en particulier dans les situations où le soignant est confronté d'une manière répétée, voire continue, à des malades dont beaucoup ne survivront pas, ne guériront pas de façon satisfaisante ou encore dont l'état mental ou physique se dégradera progressivement et inexorablement. Face à ces corps meurtris, à ces existences définitivement mutilées, à ces vies psychique et affectives plus ou moins réduites à néant, face à la proximité constante de la souffrance et de la mort, le soignant n'est-il pas, lui aussi, un être en souffrance ?
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