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[article]
| Titre : |
Décès "internetement" certifiés : la France piétine |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
| Année de publication : |
2012 |
| Article en page(s) : |
p. 340-341 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Résumé : |
Ce n’est pas encore un succès ; on espère que cela ne deviendra pas un fiasco. Depuis près de cinq ans, la France est le premier pays à disposer d’un système permettant à chaque médecin en exercice de procéder à une certification électronique des décès. Or, cet outil moderne et performant de veille sanitaire (élaboré après la canicule meurtrière d’août 2003) est boudé par une grande majorité de ceux qui pourrait l’utiliser. Tel est l’amer constat qui vient d’être dressé dans le premier numéro de 2012 du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) par un groupe de spécialistes de l’Institut national français de veille sanitaire (InVS) et du Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès de l’Inserm dirigé par Eric Jougla. Cinq ans plus tard, seuls 5% des décès sont recensés via cette technique. Peut-on savoir pourquoi ? |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49613 |
in Revue médicale suisse > 327 (février 2012) . - p. 340-341
[article] Décès "internetement" certifiés : la France piétine [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2012 . - p. 340-341. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 327 (février 2012) . - p. 340-341
| Résumé : |
Ce n’est pas encore un succès ; on espère que cela ne deviendra pas un fiasco. Depuis près de cinq ans, la France est le premier pays à disposer d’un système permettant à chaque médecin en exercice de procéder à une certification électronique des décès. Or, cet outil moderne et performant de veille sanitaire (élaboré après la canicule meurtrière d’août 2003) est boudé par une grande majorité de ceux qui pourrait l’utiliser. Tel est l’amer constat qui vient d’être dressé dans le premier numéro de 2012 du Bulletin épidémiologique hebdomadaire (BEH) par un groupe de spécialistes de l’Institut national français de veille sanitaire (InVS) et du Centre d’épidémiologie sur les causes médicales de décès de l’Inserm dirigé par Eric Jougla. Cinq ans plus tard, seuls 5% des décès sont recensés via cette technique. Peut-on savoir pourquoi ? |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=49613 |
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