Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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[article]
Titre : |
Patient à bout de souffle : morphine, oxygène ou les deux ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Paul Janssens |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 229-230 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
L’insuffisance respiratoire a un impact marqué sur la qualité de vie des patients affectés.1 Les données disponibles dans la littérature concernent surtout les patients souffrant de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Ainsi, on rapporte que 94% des patients atteints de BPCO sévère (définie par un volume expiratoire maximum seconde (VEMS) < 30% du prédit) souffrent de dyspnée, 71% se sentent adynamiques ou fatigués, 40% environ souffrent de troubles dysthymiques (états dépressifs et/ou anxieux).1 Dans l’étude classique de McSweeny et coll., validant les bienfaits de l’oxygénothérapie au long cours lors de BPCO sévère, 42% des patients inclus souffraient de troubles dépressifs (vs 9% dans une population témoin).2 Les patients se décrivaient souvent comme tendus, fatigués, sans énergie, déprimés, et parfois confus. Le pronostic de ces cas est souvent sombre, et tout à fait comparable à celui de patients oncologiques. Ainsi, la mortalité de patients souffrant de BPCO sévère et hospitalisés pour exacerbation aiguë est de 22 à 43% à un an. Pourtant, peu d’insuffisants respiratoires font l’objet d’une prise en charge systématique par des spécialistes en soins palliatifs. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46503 |
in Revue médicale suisse > 371 (Janvier 2013) . - p. 229-230
[article] Patient à bout de souffle : morphine, oxygène ou les deux ? [texte imprimé] / Jean-Paul Janssens . - 2013 . - p. 229-230. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 371 (Janvier 2013) . - p. 229-230
Résumé : |
L’insuffisance respiratoire a un impact marqué sur la qualité de vie des patients affectés.1 Les données disponibles dans la littérature concernent surtout les patients souffrant de bronchopneumopathie chronique obstructive (BPCO). Ainsi, on rapporte que 94% des patients atteints de BPCO sévère (définie par un volume expiratoire maximum seconde (VEMS) < 30% du prédit) souffrent de dyspnée, 71% se sentent adynamiques ou fatigués, 40% environ souffrent de troubles dysthymiques (états dépressifs et/ou anxieux).1 Dans l’étude classique de McSweeny et coll., validant les bienfaits de l’oxygénothérapie au long cours lors de BPCO sévère, 42% des patients inclus souffraient de troubles dépressifs (vs 9% dans une population témoin).2 Les patients se décrivaient souvent comme tendus, fatigués, sans énergie, déprimés, et parfois confus. Le pronostic de ces cas est souvent sombre, et tout à fait comparable à celui de patients oncologiques. Ainsi, la mortalité de patients souffrant de BPCO sévère et hospitalisés pour exacerbation aiguë est de 22 à 43% à un an. Pourtant, peu d’insuffisants respiratoires font l’objet d’une prise en charge systématique par des spécialistes en soins palliatifs. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=46503 |
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