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Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation . vol. 31, n° 10Bulletin N°vol. 31, n° 10Paru le : 01/10/2012 |
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Revue | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Réserve | Exclu du prêt |
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Ajouter le résultat dans votre panierÀ propos des paramètres de sécurité des pompes d'analgésie contrôlée par le patient (PCA) / G. Terrier ; N. Lecour ; B. Sardin in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : À propos des paramètres de sécurité des pompes d'analgésie contrôlée par le patient (PCA) Type de document : texte imprimé Auteurs : G. Terrier ; N. Lecour ; B. Sardin ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 813-817 Langues : Français (fre) Mots-clés : POMPE D'ANALGESIE SECURITE PATIENT Résumé : À l'occasion de la prescription d?une patient-controlled analgesia [PCA], la programmation par l'infirmière n?a pu être réalisée. Un nombre maximal de bolus (Bmax) était prescrit alors que seule une dose cumulée maximale était programmable. La prescription était pourtant conforme aux recommandations de la Société française d?accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) et de la Société française d?anesthésie réanimation (Sfar). À partir de la prescription, une dose cumulée maximale (Dcmax) était calculée. Une simulation mettait en évidence les quatre inconvénients de ce paramètre de sécurité. La Dcmax ne permet pas de contrôler le nombre de bolus et expose donc à un risque de surdosage. Lorsque la Dcmax est atteinte, le débit continu est stoppé réalisant un hiatus thérapeutique pouvant être à l'origine de la réapparition de douleurs. La reprise de l'administration des antalgiques impose une reprogrammation de la pompe d'où un risque d'erreur de programmation. Le déclenchement de l'alarme sonore impose une intervention humaine. Enfin, la prévisibilité de l'administration du médicament est aléatoire. Inversement, le Bmax est une limite : lorsque le Bmax est atteint, aucun bolus supplémentaire ne peut être délivré, mais le débit continu ne s?en trouve pas affecté. Les deux paramètres ne sont pas interchangeables. Pourtant, cette opposition marquée reste ignorée. Il n'existe pas d'étude comparant Bmax et Dcmax en termes d?avantages, d'inconvénients ou d'efficacité. Les recommandations de la Sfap et de la Sfar sont peu précises, mais semblent préférer le Bmax. En pratique, le choix du Bmax ou du Dcmax se trouve conditionné par le matériel disponible. La majorité des pompes PCA proposent un Dcmax. Ce parti pris des fabricants et des distributeurs n?est justifié par aucun argument scientifique ni aucune norme industrielle ou de commercialisation. Cette diversité du matériel ne favorise pas la standardisation des prescriptions qui est un des facteurs reconnus d'une meilleure sécurité des PCA. En ligne : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0750765812003620 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27151
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 813-817[article] À propos des paramètres de sécurité des pompes d'analgésie contrôlée par le patient (PCA) [texte imprimé] / G. Terrier ; N. Lecour ; B. Sardin ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 813-817.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 813-817
Mots-clés : POMPE D'ANALGESIE SECURITE PATIENT Résumé : À l'occasion de la prescription d?une patient-controlled analgesia [PCA], la programmation par l'infirmière n?a pu être réalisée. Un nombre maximal de bolus (Bmax) était prescrit alors que seule une dose cumulée maximale était programmable. La prescription était pourtant conforme aux recommandations de la Société française d?accompagnement et de soins palliatifs (Sfap) et de la Société française d?anesthésie réanimation (Sfar). À partir de la prescription, une dose cumulée maximale (Dcmax) était calculée. Une simulation mettait en évidence les quatre inconvénients de ce paramètre de sécurité. La Dcmax ne permet pas de contrôler le nombre de bolus et expose donc à un risque de surdosage. Lorsque la Dcmax est atteinte, le débit continu est stoppé réalisant un hiatus thérapeutique pouvant être à l'origine de la réapparition de douleurs. La reprise de l'administration des antalgiques impose une reprogrammation de la pompe d'où un risque d'erreur de programmation. Le déclenchement de l'alarme sonore impose une intervention humaine. Enfin, la prévisibilité de l'administration du médicament est aléatoire. Inversement, le Bmax est une limite : lorsque le Bmax est atteint, aucun bolus supplémentaire ne peut être délivré, mais le débit continu ne s?en trouve pas affecté. Les deux paramètres ne sont pas interchangeables. Pourtant, cette opposition marquée reste ignorée. Il n'existe pas d'étude comparant Bmax et Dcmax en termes d?avantages, d'inconvénients ou d'efficacité. Les recommandations de la Sfap et de la Sfar sont peu précises, mais semblent préférer le Bmax. En pratique, le choix du Bmax ou du Dcmax se trouve conditionné par le matériel disponible. La majorité des pompes PCA proposent un Dcmax. Ce parti pris des fabricants et des distributeurs n?est justifié par aucun argument scientifique ni aucune norme industrielle ou de commercialisation. Cette diversité du matériel ne favorise pas la standardisation des prescriptions qui est un des facteurs reconnus d'une meilleure sécurité des PCA. En ligne : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0750765812003620 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27151 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Anticoagulation et syndrome des antiphospholipides : attention à la catastrophe / J.-C. Lega ; P.-E. Danin ; C. Le Jeune in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Anticoagulation et syndrome des antiphospholipides : attention à la catastrophe Type de document : texte imprimé Auteurs : J.-C. Lega ; P.-E. Danin ; C. Le Jeune ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 806-809 Langues : Français (fre) Mots-clés : ANTICORPS COAGULATION ANTICOAGULANT Résumé : Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) associe des épisodes de thromboses vasculaires à la présence d?un anticorps antiphospholipide, et indique un traitement anticoagulant au long cours. Cette maladie peut évoluer vers un syndrome catastrophique des antiphospholipides (CAPS), véritable tableau de défaillance multiviscérale dont le taux de mortalité reste élevé. Nous présentons ici le cas d?une patiente porteuse d?un SAPL ayant présenté un CAPS après l?interruption de son traitement anticoagulant pour hémorragie digestive. Une prise en charge spécifique et agressive, associant corticothérapie, échanges plasmatiques et héparinothérapie curative, a permis une évolution favorable. En ligne : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0750765812003073 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27154
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 806-809[article] Anticoagulation et syndrome des antiphospholipides : attention à la catastrophe [texte imprimé] / J.-C. Lega ; P.-E. Danin ; C. Le Jeune ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 806-809.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 806-809
Mots-clés : ANTICORPS COAGULATION ANTICOAGULANT Résumé : Le syndrome des antiphospholipides (SAPL) associe des épisodes de thromboses vasculaires à la présence d?un anticorps antiphospholipide, et indique un traitement anticoagulant au long cours. Cette maladie peut évoluer vers un syndrome catastrophique des antiphospholipides (CAPS), véritable tableau de défaillance multiviscérale dont le taux de mortalité reste élevé. Nous présentons ici le cas d?une patiente porteuse d?un SAPL ayant présenté un CAPS après l?interruption de son traitement anticoagulant pour hémorragie digestive. Une prise en charge spécifique et agressive, associant corticothérapie, échanges plasmatiques et héparinothérapie curative, a permis une évolution favorable. En ligne : http://www.sciencedirect.com/science/article/pii/S0750765812003073 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27154 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Échographie pleuropulmonaire : applications cliniques et perspectives en réanimation / E. Hammad ; C. Arbelot ; L. Zieleskiewicz in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Échographie pleuropulmonaire : applications cliniques et perspectives en réanimation Type de document : texte imprimé Auteurs : E. Hammad ; C. Arbelot ; L. Zieleskiewicz ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 793-801 Langues : Français (fre) Mots-clés : EPANCHEMENT PLEURAL ECHOGRAPHIE POUMON Résumé : Objectif: décrire les applications cliniques et les perspectives offertes par l'échographie pulmonaire en réanimation.
Méthodologie : rappel de la sémiologie échographique pulmonaire et synthèse des données publiées durant les cinq dernières années sur l'utilisation de l'échographie pleuropulmonaire en réanimation. La base de données Pubmed a été utilisée. Les études cliniques publiées en langue française ou anglaise ont été analysées.
Synthèse des données : l'échographie permet le diagnostic et la quantification des épanchements pleuraux. En cas d'admission d'un patient en détresse respiratoire aiguë d'origine médicale ou traumatique, elle participe au diagnostic étiologique, à la mise en route des traitements et à la surveillance de leur efficacité. Elle représente une aide à la prise en charge des pneumonies et des patients ayant un syndrome de détresse respiratoire aiguë. L?étude de l’œdème interstitiel apporte des informations hémodynamiques dont le rôle mérite d?être évalué. Conclusion : l'échographie pulmonaire est une technique d'imagerie simple, non invasive, non irradiante et rapidement disponible. Elle apporte des informations au lit du patient hospitalisé en réanimation. L'impact de cette technique sur le pronostic mérite d'être évalué dans de futures études.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27161
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 793-801[article] Échographie pleuropulmonaire : applications cliniques et perspectives en réanimation [texte imprimé] / E. Hammad ; C. Arbelot ; L. Zieleskiewicz ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 793-801.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 793-801
Mots-clés : EPANCHEMENT PLEURAL ECHOGRAPHIE POUMON Résumé : Objectif: décrire les applications cliniques et les perspectives offertes par l'échographie pulmonaire en réanimation.
Méthodologie : rappel de la sémiologie échographique pulmonaire et synthèse des données publiées durant les cinq dernières années sur l'utilisation de l'échographie pleuropulmonaire en réanimation. La base de données Pubmed a été utilisée. Les études cliniques publiées en langue française ou anglaise ont été analysées.
Synthèse des données : l'échographie permet le diagnostic et la quantification des épanchements pleuraux. En cas d'admission d'un patient en détresse respiratoire aiguë d'origine médicale ou traumatique, elle participe au diagnostic étiologique, à la mise en route des traitements et à la surveillance de leur efficacité. Elle représente une aide à la prise en charge des pneumonies et des patients ayant un syndrome de détresse respiratoire aiguë. L?étude de l’œdème interstitiel apporte des informations hémodynamiques dont le rôle mérite d?être évalué. Conclusion : l'échographie pulmonaire est une technique d'imagerie simple, non invasive, non irradiante et rapidement disponible. Elle apporte des informations au lit du patient hospitalisé en réanimation. L'impact de cette technique sur le pronostic mérite d'être évalué dans de futures études.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27161 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Embolie amniotique : à propos de l'issue favorable d'un cas avec arrêt cardiaque inaugural et CIVD précoce compliquée d?un hémopéritoine d?origine iatrogène et d'un saignement sur un adénome hépatique / F. Pachy ; J.-D. Ricard ; E. Falzone in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Embolie amniotique : à propos de l'issue favorable d'un cas avec arrêt cardiaque inaugural et CIVD précoce compliquée d?un hémopéritoine d?origine iatrogène et d'un saignement sur un adénome hépatique Type de document : texte imprimé Auteurs : F. Pachy ; J.-D. Ricard ; E. Falzone ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 802-805 Langues : Français (fre) Mots-clés : ADENOME GROSSESSE EMBOLIE HEPATIQUE HEMORRAGIE JUMEAU Résumé : L'embolie amniotique est une complication grave de la grossesse, relativement rare et de diagnostic difficile. Elle est cependant la deuxième cause de mortalité maternelle. Nous relatons ici le cas d'une patiente de 32 ans ayant bénéficié d'une césarienne programmée compliquée d'une embolie amniotique avec arrêt cardiaque. La présence d?une coagulation intravasculaire disséminée majeure a favorisé l'apparition d'un hématome rétropéritonéal d'origine iatrogène sur une tentative de pose de cathéter veineux fémoral et celle d?un hémopéritoine sur saignement d'un adénome hépatique. Le diagnostic d'embolie amniotique a été conforté par la présence de cellules amniotiques dans le lavage bronchoalvéolaire. La patiente a survécu sans séquelles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27163
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 802-805[article] Embolie amniotique : à propos de l'issue favorable d'un cas avec arrêt cardiaque inaugural et CIVD précoce compliquée d?un hémopéritoine d?origine iatrogène et d'un saignement sur un adénome hépatique [texte imprimé] / F. Pachy ; J.-D. Ricard ; E. Falzone ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 802-805.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 802-805
Mots-clés : ADENOME GROSSESSE EMBOLIE HEPATIQUE HEMORRAGIE JUMEAU Résumé : L'embolie amniotique est une complication grave de la grossesse, relativement rare et de diagnostic difficile. Elle est cependant la deuxième cause de mortalité maternelle. Nous relatons ici le cas d'une patiente de 32 ans ayant bénéficié d'une césarienne programmée compliquée d'une embolie amniotique avec arrêt cardiaque. La présence d?une coagulation intravasculaire disséminée majeure a favorisé l'apparition d'un hématome rétropéritonéal d'origine iatrogène sur une tentative de pose de cathéter veineux fémoral et celle d?un hémopéritoine sur saignement d'un adénome hépatique. Le diagnostic d'embolie amniotique a été conforté par la présence de cellules amniotiques dans le lavage bronchoalvéolaire. La patiente a survécu sans séquelles. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27163 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Évaluation des pratiques professionnelles de la prise en charge de la douleur postopératoire à court, moyen et long terme / A. Alves ; F. Roudot-Thoraval ; M. Binhas in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Évaluation des pratiques professionnelles de la prise en charge de la douleur postopératoire à court, moyen et long terme Type de document : texte imprimé Auteurs : A. Alves ; F. Roudot-Thoraval ; M. Binhas ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 818-820 Langues : Français (fre) Mots-clés : QUALITE DOULEUR POSTOPERATOIRE Résumé : Objectifs : évaluer les pratiques professionnelles sur la prise en charge de la douleur postopératoire (DPO).
Méthodes : quatre audits dans sept services de chirurgie à deux ans d'intervalle. Neuf critères de qualité recherchés dans chaque dossier. Un score de qualité par service (SDS) calculé à partir du nombre de critères présents dans chaque dossier parmi dix dossiers tirés au sort dans chaque service (SDSmax = 90). Formations ciblées réalisées entre chaque audit dans les services ayant un SDS supérieur ou égal à 45.
Résultats : en 2005, trois services avaient un SDS inférieur ou égal à 45. Entre 2005 et 2007 et entre 2007 et 2009, sept et six services respectivement ont augmenté leur score dont un de façon significative (SDS > 45 en 2007 et 2009 dans les sept services). Entre 2009 et 2012, le SDS a diminué dans six services, dont deux de façon significative. Diminution significative des critères suivants : prescriptions antalgiques conformes (100 % versus 53 % ; p = 0,027), respect des prescriptions des paliers I et II (96 % versus 80 % ; p = 0,041) respect des prescriptions de morphine (90 % versus 76 % ; p = 0,039) surveillance des effets secondaires (87 % versus 29 % ; p = 0,027).
Conclusion : des audits réguliers sont nécessaires pour détecter les variations de qualité de prise en charge de la DPO. La diminution de la qualité des pratiques lors du dernier audit peut s'expliquer par l'absence de formation pendant quatre ans et par le fonctionnement des infirmiers par pôle et non plus par service ainsi que par le morcellement des tâches des anesthésistes sur plusieurs services.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27167
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 818-820[article] Évaluation des pratiques professionnelles de la prise en charge de la douleur postopératoire à court, moyen et long terme [texte imprimé] / A. Alves ; F. Roudot-Thoraval ; M. Binhas ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 818-820.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 818-820
Mots-clés : QUALITE DOULEUR POSTOPERATOIRE Résumé : Objectifs : évaluer les pratiques professionnelles sur la prise en charge de la douleur postopératoire (DPO).
Méthodes : quatre audits dans sept services de chirurgie à deux ans d'intervalle. Neuf critères de qualité recherchés dans chaque dossier. Un score de qualité par service (SDS) calculé à partir du nombre de critères présents dans chaque dossier parmi dix dossiers tirés au sort dans chaque service (SDSmax = 90). Formations ciblées réalisées entre chaque audit dans les services ayant un SDS supérieur ou égal à 45.
Résultats : en 2005, trois services avaient un SDS inférieur ou égal à 45. Entre 2005 et 2007 et entre 2007 et 2009, sept et six services respectivement ont augmenté leur score dont un de façon significative (SDS > 45 en 2007 et 2009 dans les sept services). Entre 2009 et 2012, le SDS a diminué dans six services, dont deux de façon significative. Diminution significative des critères suivants : prescriptions antalgiques conformes (100 % versus 53 % ; p = 0,027), respect des prescriptions des paliers I et II (96 % versus 80 % ; p = 0,041) respect des prescriptions de morphine (90 % versus 76 % ; p = 0,039) surveillance des effets secondaires (87 % versus 29 % ; p = 0,027).
Conclusion : des audits réguliers sont nécessaires pour détecter les variations de qualité de prise en charge de la DPO. La diminution de la qualité des pratiques lors du dernier audit peut s'expliquer par l'absence de formation pendant quatre ans et par le fonctionnement des infirmiers par pôle et non plus par service ainsi que par le morcellement des tâches des anesthésistes sur plusieurs services.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27167 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Feu d'un patient au bloc opératoire : sommes-nous prêts à gérer ce type d'incident ? Résultats d'une enquête faite auprès des médecins anesthésistes-réanimateurs lorrains / G. De Saint Maurice ; R. Albaladejo ; P.P. Crumière in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Feu d'un patient au bloc opératoire : sommes-nous prêts à gérer ce type d'incident ? Résultats d'une enquête faite auprès des médecins anesthésistes-réanimateurs lorrains Type de document : texte imprimé Auteurs : G. De Saint Maurice ; R. Albaladejo ; P.P. Crumière ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p .773-777 Langues : Français (fre) Mots-clés : BLOC OPERATOIRE INCENDIE SECURITE Résumé : Objectif : évaluer les connaissances des médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR) lorrains vis-à-vis du risque de feu au bloc opératoire ou sur un patient.
Type d'étude Enquête transversale effectuée par questionnaire envoyé par voie postale.
Méthode: un questionnaire de 22 items a été envoyé à tous les MAR de la région Lorraine entre janvier et mars 2011.
Résultats Cent vingt-huit MAR ont répondu (taux de participation : 36 %). Soixante-deux pour cent n'avaient pas participé à une formation sur la sécurité incendie. La moitié (51 %) ne savait pas situer, de mémoire, l'extincteur dans le bloc opératoire où ils exercent quotidiennement. Soixante-trois pour cent ignoraient l?existence de la note de l'Afssaps rappelant les mises en garde et précautions d'emploi des antiseptiques alcooliques en présence d'un bistouri électrique. Soixante-cinq pour cent commettaient au moins une erreur dans la hiérarchisation des différents modes d'administration de l'oxygène vis-à-vis du risque de feu. Seuls 48 % étaient capables d'identifier les chirurgies les plus à risque de feux. En cas de chirurgie à haut risque de feu, 40 % ne savaient pas qu'une FiO2 inférieure à 30 % était préconisée, 43 % qu?il était interdit d'utiliser du protoxyde d'azote (N2O) et 32 % qu?il fallait respecter un temps de séchage après utilisation d'une solution antiseptique alcoolique. Concernant, en revanche, la gestion d'un feu, la majorité des réponses était correcte. Enfin 97 % des MAR interrogés souhaitaient être mieux informés.
Conclusion : notre enquête souligne le manque de connaissances des anesthésistes vis-à-vis du risque de feu sur ou dans un patient.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27169
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p .773-777[article] Feu d'un patient au bloc opératoire : sommes-nous prêts à gérer ce type d'incident ? Résultats d'une enquête faite auprès des médecins anesthésistes-réanimateurs lorrains [texte imprimé] / G. De Saint Maurice ; R. Albaladejo ; P.P. Crumière ; et al., Auteur . - 2012 . - p .773-777.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p .773-777
Mots-clés : BLOC OPERATOIRE INCENDIE SECURITE Résumé : Objectif : évaluer les connaissances des médecins anesthésistes-réanimateurs (MAR) lorrains vis-à-vis du risque de feu au bloc opératoire ou sur un patient.
Type d'étude Enquête transversale effectuée par questionnaire envoyé par voie postale.
Méthode: un questionnaire de 22 items a été envoyé à tous les MAR de la région Lorraine entre janvier et mars 2011.
Résultats Cent vingt-huit MAR ont répondu (taux de participation : 36 %). Soixante-deux pour cent n'avaient pas participé à une formation sur la sécurité incendie. La moitié (51 %) ne savait pas situer, de mémoire, l'extincteur dans le bloc opératoire où ils exercent quotidiennement. Soixante-trois pour cent ignoraient l?existence de la note de l'Afssaps rappelant les mises en garde et précautions d'emploi des antiseptiques alcooliques en présence d'un bistouri électrique. Soixante-cinq pour cent commettaient au moins une erreur dans la hiérarchisation des différents modes d'administration de l'oxygène vis-à-vis du risque de feu. Seuls 48 % étaient capables d'identifier les chirurgies les plus à risque de feux. En cas de chirurgie à haut risque de feu, 40 % ne savaient pas qu'une FiO2 inférieure à 30 % était préconisée, 43 % qu?il était interdit d'utiliser du protoxyde d'azote (N2O) et 32 % qu?il fallait respecter un temps de séchage après utilisation d'une solution antiseptique alcoolique. Concernant, en revanche, la gestion d'un feu, la majorité des réponses était correcte. Enfin 97 % des MAR interrogés souhaitaient être mieux informés.
Conclusion : notre enquête souligne le manque de connaissances des anesthésistes vis-à-vis du risque de feu sur ou dans un patient.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27169 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Impact clinique et économique d'une politique de contrôle de la sédation par protocole dans un service de réanimation médicochirurgicale / C. Esquirole ; L. Tran-Marsalla ; H. Quintard in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Impact clinique et économique d'une politique de contrôle de la sédation par protocole dans un service de réanimation médicochirurgicale Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Esquirole ; L. Tran-Marsalla ; H. Quintard ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 778-782 Langues : Français (fre) Mots-clés : COUT PROTOCOLE REANIMATION SEDATION Résumé : Objectif : depuis la dernière conférence de consensus commune Sfar/SRLF sur la gestion de la sédation en réanimation, l'utilisation de protocoles s'est développée dans nos services. Différentes études ont déjà démontré l'effet positif d'une telle politique conduisant à une diminution de la durée de ventilation et d'hospitalisation en réanimation. Nous avons voulu évaluer l'impact économique d'une telle procédure sur un service de réanimation polyvalente.
Type d'étude : grâce aux données PMSI, nous avons comparé rétrospectivement l?économie induite avant et après la mise en place d'un protocole de sédation dans notre service de réanimation polyvalente.
Méthode : l'évaluation économique a tenu compte de l'économie en produit de sédation, mais également de l'effet financier induit par la diminution de la durée de ventilation et de séjour. Nous avons comparé les années 2007 et 2009, soit un an avant et un an après la mise en place de protocole.
Résultats : le nombre de patients et leurs caractéristiques sont restés stable sur les deux années. Nous décrivons une diminution significative de notre durée de ventilation (8,8 vs 8,4; p < 0,05) sur la période étudiée, sans effet sur notre durée de séjour (11,4 vs 11,7; ns). Nous décrivons une économie globale de 38 772 euros entre ces deux années, répartie en 11 412 euros sur le budget produits de sédation et 27 360 euros induits par la diminution de la durée de ventilation. Conclusion : la mise en place de procédure de gestion de la sédation sur un service de réanimation polyvalente est associée à un impact clinique, mais également économique avec une diminution franche des dépenses induites par la sédation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27173
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 778-782[article] Impact clinique et économique d'une politique de contrôle de la sédation par protocole dans un service de réanimation médicochirurgicale [texte imprimé] / C. Esquirole ; L. Tran-Marsalla ; H. Quintard ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 778-782.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 778-782
Mots-clés : COUT PROTOCOLE REANIMATION SEDATION Résumé : Objectif : depuis la dernière conférence de consensus commune Sfar/SRLF sur la gestion de la sédation en réanimation, l'utilisation de protocoles s'est développée dans nos services. Différentes études ont déjà démontré l'effet positif d'une telle politique conduisant à une diminution de la durée de ventilation et d'hospitalisation en réanimation. Nous avons voulu évaluer l'impact économique d'une telle procédure sur un service de réanimation polyvalente.
Type d'étude : grâce aux données PMSI, nous avons comparé rétrospectivement l?économie induite avant et après la mise en place d'un protocole de sédation dans notre service de réanimation polyvalente.
Méthode : l'évaluation économique a tenu compte de l'économie en produit de sédation, mais également de l'effet financier induit par la diminution de la durée de ventilation et de séjour. Nous avons comparé les années 2007 et 2009, soit un an avant et un an après la mise en place de protocole.
Résultats : le nombre de patients et leurs caractéristiques sont restés stable sur les deux années. Nous décrivons une diminution significative de notre durée de ventilation (8,8 vs 8,4; p < 0,05) sur la période étudiée, sans effet sur notre durée de séjour (11,4 vs 11,7; ns). Nous décrivons une économie globale de 38 772 euros entre ces deux années, répartie en 11 412 euros sur le budget produits de sédation et 27 360 euros induits par la diminution de la durée de ventilation. Conclusion : la mise en place de procédure de gestion de la sédation sur un service de réanimation polyvalente est associée à un impact clinique, mais également économique avec une diminution franche des dépenses induites par la sédation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27173 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt La température de conservation du cisatracurium ne modifie pas le délai d'action : étude randomisée, en double insu / S. Suzanne ; E. Lorne ; D. Nuzzo in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : La température de conservation du cisatracurium ne modifie pas le délai d'action : étude randomisée, en double insu Type de document : texte imprimé Auteurs : S. Suzanne ; E. Lorne ; D. Nuzzo ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 783-787 Langues : Français (fre) Mots-clés : CURARE TEMPERATURE INTUBATION TRACHEALE MONITORAGE Résumé : Objectifs : comme la dégradation du cisatracurium ne semble pas affectée par la mise à température ambiante, la conservation se fait le plus souvent dans ces conditions, contrairement aux recommandations de stockage à 4 °C. Aucune étude clinique n'a étudié l'effet d'un stockage à température ambiante sur le délai d'action du cisatracurium. L'objectif était de comparer le délai d'action du cisatracurium, à la dose de 0,15 mg/kg, selon que celui-ci était conservé au froid (entre 2 et 8 °C) ou à température ambiante.
Type d'étude : étude prospective, monocentrique, contrôlée, randomisée et en double insu.
Patients et méthode: trente patients ont été randomisés en deux groupes selon la température de conservation du cisatracurium. Le critère de jugement principal était le délai d?installation du bloc neuromusculaire. Résultats Le délai d?action moyen du cisatracurium a été de 235 (180-292) secondes dans le groupe « ambiant » et de 240 (210-292) secondes dans le groupe « froid » (p = 0,51). Aucune différence dans le délai d'action du cisatracurium n'a été retrouvée selon que celui-ci était conservé à température ambiante depuis une, deux ou trois semaines. Les conditions d'intubation ont été excellentes dans 100 % des cas après obtention d'une curarisation complète. Conclusion : cette étude montre que la conservation du cisatracurium à température ambiante pour des durées inférieures ou égales à 21 jours n'a pas d'effet sur son délai d'action. La forte variabilité interindividuelle du délai d'action du cisatracurium peut être monitorée pour permettre des conditions d'intubation optimales.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27178
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 783-787[article] La température de conservation du cisatracurium ne modifie pas le délai d'action : étude randomisée, en double insu [texte imprimé] / S. Suzanne ; E. Lorne ; D. Nuzzo ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 783-787.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 783-787
Mots-clés : CURARE TEMPERATURE INTUBATION TRACHEALE MONITORAGE Résumé : Objectifs : comme la dégradation du cisatracurium ne semble pas affectée par la mise à température ambiante, la conservation se fait le plus souvent dans ces conditions, contrairement aux recommandations de stockage à 4 °C. Aucune étude clinique n'a étudié l'effet d'un stockage à température ambiante sur le délai d'action du cisatracurium. L'objectif était de comparer le délai d'action du cisatracurium, à la dose de 0,15 mg/kg, selon que celui-ci était conservé au froid (entre 2 et 8 °C) ou à température ambiante.
Type d'étude : étude prospective, monocentrique, contrôlée, randomisée et en double insu.
Patients et méthode: trente patients ont été randomisés en deux groupes selon la température de conservation du cisatracurium. Le critère de jugement principal était le délai d?installation du bloc neuromusculaire. Résultats Le délai d?action moyen du cisatracurium a été de 235 (180-292) secondes dans le groupe « ambiant » et de 240 (210-292) secondes dans le groupe « froid » (p = 0,51). Aucune différence dans le délai d'action du cisatracurium n'a été retrouvée selon que celui-ci était conservé à température ambiante depuis une, deux ou trois semaines. Les conditions d'intubation ont été excellentes dans 100 % des cas après obtention d'une curarisation complète. Conclusion : cette étude montre que la conservation du cisatracurium à température ambiante pour des durées inférieures ou égales à 21 jours n'a pas d'effet sur son délai d'action. La forte variabilité interindividuelle du délai d'action du cisatracurium peut être monitorée pour permettre des conditions d'intubation optimales.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27178 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Rachianesthésie continue et hypertension artérielle pulmonaire / O. Fourcade ; O. Lairez ; L. Lonjaret in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Rachianesthésie continue et hypertension artérielle pulmonaire Type de document : texte imprimé Auteurs : O. Fourcade ; O. Lairez ; L. Lonjaret ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 810-812 Langues : Français (fre) Mots-clés : RACHIANESTHESIE HYPERTENSION ARTERIELLE PULMONAIRE FRACTURE FEMUR Résumé : Nous rapportons l'utilisation de la rachianesthésie continue (RAC) chez une patiente victime d?une fracture du col du fémur et présentant une hypertension artérielle pulmonaire (HTAP). L'évaluation préopératoire, la technique d'anesthésie et le monitorage peropératoire sont discutés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27185
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 810-812[article] Rachianesthésie continue et hypertension artérielle pulmonaire [texte imprimé] / O. Fourcade ; O. Lairez ; L. Lonjaret ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 810-812.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 810-812
Mots-clés : RACHIANESTHESIE HYPERTENSION ARTERIELLE PULMONAIRE FRACTURE FEMUR Résumé : Nous rapportons l'utilisation de la rachianesthésie continue (RAC) chez une patiente victime d?une fracture du col du fémur et présentant une hypertension artérielle pulmonaire (HTAP). L'évaluation préopératoire, la technique d'anesthésie et le monitorage peropératoire sont discutés. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27185 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Variation de kaliémie après une induction en séquence rapide avec la succinylcholine chez les patients de réanimation / C. Fleureau ; V. Perrier ; F. Megret in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation, vol. 31, n° 10 ([01/10/2012])
[article]
Titre : Variation de kaliémie après une induction en séquence rapide avec la succinylcholine chez les patients de réanimation Type de document : texte imprimé Auteurs : C. Fleureau ; V. Perrier ; F. Megret ; et al., Auteur Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 788-792 Langues : Français (fre) Mots-clés : KALIEMIE SUCCINYLCHOLINE REANIMATION Résumé : Chez les patients de réanimation, le risque d'hyperkaliémie secondaire à l'injection de succinylcholine est accru et pourrait impliquer une surexpression des récepteurs nicotiniques favorisée, entre autres, par l'immobilisation prolongée. Nous avons testé l'hypothèse que l'induction en séquence rapide avec la succinylcholine induit une augmentation de la kaliémie dont l'amplitude est influencée par la durée de séjour en réanimation préalable à l'injection.
Type d'étude : prospective, observationnelle.
Patients et méthodes : après accord du comité de protection des personnes, 36 patients consécutifs ayant séjourné au moins 24 heures en réanimation et recevant de la succinylcholine (1 mg/kg) en vue d'une intubation ont été inclus. Les critères de non-inclusion étaient une hyperkaliémie préalable (>5 mmol/L), l'âge inférieur à 18 ans et une contre-indication à la succinylcholine. La kaliémie était mesurée avant, cinq (T5) et 30 (T30) minutes après l'injection.
Résultats : la succinylcholine était associée à une augmentation significative et transitoire de la kaliémie à T5. La variation médiane était de 0,45 (0,20?0,80) mmol/L. Une relation significative a été observée entre l'amplitude de variation à T5 et la durée de séjour en réanimation préalable à l'injection de succinylcholine (r = 0,37, p < 0,05). Un délai seuil de 12 jours (courbe ROC) permettait de discriminer les patients présentant une variation de kaliémie à T5 > 1,5 mmol/L avec une sensibilité de 86 % et une spécificité de 69 %. Conclusion La succinylcholine induit une augmentation transitoire de la kaliémie chez les patients de réanimation dont l'amplitude semble être influencée par la durée de séjour en réanimation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27211
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 788-792[article] Variation de kaliémie après une induction en séquence rapide avec la succinylcholine chez les patients de réanimation [texte imprimé] / C. Fleureau ; V. Perrier ; F. Megret ; et al., Auteur . - 2012 . - p. 788-792.
Langues : Français (fre)
in Annales Françaises d'Anesthésie et de Réanimation > vol. 31, n° 10 [01/10/2012] . - p. 788-792
Mots-clés : KALIEMIE SUCCINYLCHOLINE REANIMATION Résumé : Chez les patients de réanimation, le risque d'hyperkaliémie secondaire à l'injection de succinylcholine est accru et pourrait impliquer une surexpression des récepteurs nicotiniques favorisée, entre autres, par l'immobilisation prolongée. Nous avons testé l'hypothèse que l'induction en séquence rapide avec la succinylcholine induit une augmentation de la kaliémie dont l'amplitude est influencée par la durée de séjour en réanimation préalable à l'injection.
Type d'étude : prospective, observationnelle.
Patients et méthodes : après accord du comité de protection des personnes, 36 patients consécutifs ayant séjourné au moins 24 heures en réanimation et recevant de la succinylcholine (1 mg/kg) en vue d'une intubation ont été inclus. Les critères de non-inclusion étaient une hyperkaliémie préalable (>5 mmol/L), l'âge inférieur à 18 ans et une contre-indication à la succinylcholine. La kaliémie était mesurée avant, cinq (T5) et 30 (T30) minutes après l'injection.
Résultats : la succinylcholine était associée à une augmentation significative et transitoire de la kaliémie à T5. La variation médiane était de 0,45 (0,20?0,80) mmol/L. Une relation significative a été observée entre l'amplitude de variation à T5 et la durée de séjour en réanimation préalable à l'injection de succinylcholine (r = 0,37, p < 0,05). Un délai seuil de 12 jours (courbe ROC) permettait de discriminer les patients présentant une variation de kaliémie à T5 > 1,5 mmol/L avec une sensibilité de 86 % et une spécificité de 69 %. Conclusion La succinylcholine induit une augmentation transitoire de la kaliémie chez les patients de réanimation dont l'amplitude semble être influencée par la durée de séjour en réanimation.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=27211 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt