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HELHa - Paramédical.
[article]
Titre : |
Les OS des personnes infectées par le VIH sont-ils si fragiles ? |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Emmanuel Biver ; L. Ciaffi ; René Rizzoli ; Alexandra Calmy |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 1246-1250 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Le retentissement osseux de l’infection par le VIH est désormais bien établi, avec une prévalence élevée de l’ostéoporose et de l’ostéopénie et une augmentation du risque fracturaire, allant jusqu’à un facteur 5 pour les fractures de hanche. Au-delà des facteurs de risque habituels fréquemment rencontrés dans cette population, l’infection par le VIH en elle-même et les traitements antirétroviraux, en particulier le ténofovir, participent à la physiopathologie de cette perte osseuse. Le fréquent déficit en vitamine D y contribue également et doit être corrigé. L’anamnèse des facteurs de risque, l’algorithme FRAX et l’ostéodensitométrie permettent d’évaluer ce risque. Le traitement chez les patients à risque osseux avéré repose sur les mêmes principes que dans la population générale, avec les bisphosphonates en première intention. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45087 |
in Revue médicale suisse > 390 (Juin 2013) . - p. 1246-1250
[article] Les OS des personnes infectées par le VIH sont-ils si fragiles ? [texte imprimé] / Emmanuel Biver ; L. Ciaffi ; René Rizzoli ; Alexandra Calmy . - 2013 . - p. 1246-1250. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 390 (Juin 2013) . - p. 1246-1250
Résumé : |
Le retentissement osseux de l’infection par le VIH est désormais bien établi, avec une prévalence élevée de l’ostéoporose et de l’ostéopénie et une augmentation du risque fracturaire, allant jusqu’à un facteur 5 pour les fractures de hanche. Au-delà des facteurs de risque habituels fréquemment rencontrés dans cette population, l’infection par le VIH en elle-même et les traitements antirétroviraux, en particulier le ténofovir, participent à la physiopathologie de cette perte osseuse. Le fréquent déficit en vitamine D y contribue également et doit être corrigé. L’anamnèse des facteurs de risque, l’algorithme FRAX et l’ostéodensitométrie permettent d’évaluer ce risque. Le traitement chez les patients à risque osseux avéré repose sur les mêmes principes que dans la population générale, avec les bisphosphonates en première intention. |
Permalink : |
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| ![Les OS des personnes infectées par le VIH sont-ils si fragiles ? vignette](http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/getimage.php?url_image=http%3A%2F%2Fimages-eu.amazon.com%2Fimages%2FP%2F%21%21isbn%21%21.08.MZZZZZZZ.jpg¬icecode=&vigurl=https%3A%2F%2Fwww.revmed.ch%2Fvar%2Fsite%2Fstorage%2Fimages%2Frms%2F2018%2Frms-n-590%2F2078933-2-fre-CH%2FRMS-N-590_i320.jpg) |
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