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[article]
Titre : |
Ce que l’affaire «Furosémide Téva» ne nous dit pas |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
Année de publication : |
2013 |
Article en page(s) : |
p. 1334-1335 |
Langues : |
Français (fre) |
Résumé : |
Voilà une nouvelle émotion médicamenteuse française. Non pas un scandale mettant en cause la vigilance des autorités sanitaires mais bien une affaire avec ce qu’il faut de drame, de mystères et de coupable(s) à découvrir. L’affaire c’est le coupable, le scandale c’est le bouc émissaire. Celle-ci a pour nom : «Furosémide Téva». La marque : il n’y a rien de plus parlant pour une affaire touchant le médicament et la voie orale. Distilbène, Médiator, Vioxx, etc. Furosémide ? Certainement pas. Le dossier semble devoir être rangé dans une autre pièce de la grande bibliothèque des médicaments à problèmes. Résumons-le, du moins tel qu’il est connu à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Tout a commencé avec la découverte d’une erreur de conditionnement concernant deux spécialités de la filiale française de Téva, multinationale israélienne omniprésente dans le paysage du générique : Furosémide Téva et Zopiclone Téva. Du jamais vu, disent les plus vieux, dans le monde et dans l’histoire de la pharmacie : des boîtes contenant à la fois des comprimés de diurétiques et des comprimés de somnifères. Le hasard (mais est-ce le hasard ?) a voulu que ce soit des boîtes étiquetées Furosémide qui contiennent les comprimés de somnifères, et non l’inverse. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45085 |
in Revue médicale suisse > 391 (Juin 2013) . - p. 1334-1335
[article] Ce que l’affaire «Furosémide Téva» ne nous dit pas [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2013 . - p. 1334-1335. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 391 (Juin 2013) . - p. 1334-1335
Résumé : |
Voilà une nouvelle émotion médicamenteuse française. Non pas un scandale mettant en cause la vigilance des autorités sanitaires mais bien une affaire avec ce qu’il faut de drame, de mystères et de coupable(s) à découvrir. L’affaire c’est le coupable, le scandale c’est le bouc émissaire. Celle-ci a pour nom : «Furosémide Téva». La marque : il n’y a rien de plus parlant pour une affaire touchant le médicament et la voie orale. Distilbène, Médiator, Vioxx, etc. Furosémide ? Certainement pas. Le dossier semble devoir être rangé dans une autre pièce de la grande bibliothèque des médicaments à problèmes. Résumons-le, du moins tel qu’il est connu à l’heure où nous écrivons ces lignes.
Tout a commencé avec la découverte d’une erreur de conditionnement concernant deux spécialités de la filiale française de Téva, multinationale israélienne omniprésente dans le paysage du générique : Furosémide Téva et Zopiclone Téva. Du jamais vu, disent les plus vieux, dans le monde et dans l’histoire de la pharmacie : des boîtes contenant à la fois des comprimés de diurétiques et des comprimés de somnifères. Le hasard (mais est-ce le hasard ?) a voulu que ce soit des boîtes étiquetées Furosémide qui contiennent les comprimés de somnifères, et non l’inverse. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=45085 |
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