[article] 
inRevue médicale suisse > 403 (Octobre 2013) . - p. 1943-1949

Titre :	Dépistage du cancer ovarien dans la population générale
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Patrice Mathevet ; Jean-François Delaloye
Année de publication :	2013
Article en page(s) :	p. 1943-1949
Note générale :	Si l’incidence du cancer ovarien est faible, sa mortalité est très élevée, du fait d’un diagnostic habituel à un stade avancé. Il semble intéressant de détecter ce cancer à un stade précoce. La clinique est peu spécifique, aussi différents outils ont été évalués. La procédure de dépistage la plus efficace associe le dosage du CA-125 et, en cas d’anomalie, l’échographie. L’application de ce principe à de larges populations a été menée dans deux grandes études. L’étude PLCO a donné des résultats négatifs : dans le groupe dépisté, pas de réduction de la mortalité par cancer ovarien et par contre morbidité chirurgicale accrue. Les résultats de l’étude UKCTOCS ne seront connus que dans deux ans.Les données les plus récentes ne permettent pas d’envisager la réalisation d’un dépistage des tumeurs de l’ovaire en population générale, et ceci en raison de l’histoire naturelle des tumeurs ovariennes.
Langues :	Français (fre)
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44910

[article] Dépistage du cancer ovarien dans la population générale [texte imprimé] / Patrice Mathevet ; Jean-François Delaloye . - 2013 . - p. 1943-1949.
Si l’incidence du cancer ovarien est faible, sa mortalité est très élevée, du fait d’un diagnostic habituel à un stade avancé. Il semble intéressant de détecter ce cancer à un stade précoce. La clinique est peu spécifique, aussi différents outils ont été évalués. La procédure de dépistage la plus efficace associe le dosage du CA-125 et, en cas d’anomalie, l’échographie. L’application de ce principe à de larges populations a été menée dans deux grandes études. L’étude PLCO a donné des résultats négatifs : dans le groupe dépisté, pas de réduction de la mortalité par cancer ovarien et par contre morbidité chirurgicale accrue. Les résultats de l’étude UKCTOCS ne seront connus que dans deux ans.Les données les plus récentes ne permettent pas d’envisager la réalisation d’un dépistage des tumeurs de l’ovaire en population générale, et ceci en raison de l’histoire naturelle des tumeurs ovariennes.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 403 (Octobre 2013) . - p. 1943-1949

Permalink :

http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=44910