Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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[article]
| Titre : |
Du droit des femmes à disposer pleinement de leurs ovocytes |
| Type de document : |
texte imprimé |
| Auteurs : |
Jean-Yves Nau |
| Année de publication : |
2013 |
| Article en page(s) : |
p.164-165 |
| Langues : |
Français (fre) |
| Mots-clés : |
FEMME DROIT OVOCYTE ETHIQUE |
| Résumé : |
Les optimistes se réjouiront, les pessimistes chroniques y verront une nouvelle tentation luciférienne dans cette vallée sans fin de larmes. Quant à tous les autres, ils chercheront raisonnablement à séparer le vrai bon grain de la méchante ivraie. Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) vient de donner son feu vert à ce qu’il nomme «l’autoconservation sociétale des ovocytes». Mieux, il dénonce le «chantage» que l’on impose aux femmes dans un pays qui se targue d’avoir l’une des plus belles architectures éthiques qui soit. C’est là, sans conteste, une nouvelle étape dans ce qui apparaît bien, décidément, comme le fil rouge de la problématique de notre bioéthique : la liberté croissante de disposer de son corps. Et plus précisément, pour ce qui est de la médecine, des éléments qui le constituent. |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37893 |
in Revue médicale suisse > 369 (Janvier 2013) . - p.164-165
[article] Du droit des femmes à disposer pleinement de leurs ovocytes [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2013 . - p.164-165. Langues : Français ( fre) in Revue médicale suisse > 369 (Janvier 2013) . - p.164-165
| Mots-clés : |
FEMME DROIT OVOCYTE ETHIQUE |
| Résumé : |
Les optimistes se réjouiront, les pessimistes chroniques y verront une nouvelle tentation luciférienne dans cette vallée sans fin de larmes. Quant à tous les autres, ils chercheront raisonnablement à séparer le vrai bon grain de la méchante ivraie. Le Collège national des gynécologues et obstétriciens français (CNGOF) vient de donner son feu vert à ce qu’il nomme «l’autoconservation sociétale des ovocytes». Mieux, il dénonce le «chantage» que l’on impose aux femmes dans un pays qui se targue d’avoir l’une des plus belles architectures éthiques qui soit. C’est là, sans conteste, une nouvelle étape dans ce qui apparaît bien, décidément, comme le fil rouge de la problématique de notre bioéthique : la liberté croissante de disposer de son corps. Et plus précisément, pour ce qui est de la médecine, des éléments qui le constituent. |
| Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=37893 |
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