[article] 
inRevue médicale suisse > 500-501 (Janvier 2016) . - p.39-43

Titre :	Gynécologie. Introduction en Suisse des analyses sur le patrimoine génétique de l’embryon : progrès ou dérive ?
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Nicole Fournet-Irion ; Olivier Irion
Année de publication :	2016
Article en page(s) :	p.39-43
Langues :	Français (fre)
Résumé :	La loi sur la procréation médicalement assistée (LPMA) a été modifiée dans le but d’autoriser le diagnostic préimplantatoire (DPI). Le DPI est pratiqué depuis vingt ans, la Suisse étant l’un des derniers pays d’Europe à l’interdire. Cela contraint les couples porteurs d’une maladie héréditaire grave et les couples infertiles qui présentent des échecs d’implantation ou des fausses-couches à répétition à se rendre à l’étranger pour avoir accès aux traitements appropriés.Malgré le récent plébiscite du changement de la Constitution, la nouvelle LPMA ne peut pas entrer en vigueur car les opposants ont lancé un référendum dans le but de revenir à une loi plus restrictive. Si cette démarche aboutit, les couples concernés se retrouveront avec une loi scientifiquement obsolète qui ne leur permettra pas un traitement adéquat et humainement juste.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36305

[article] Gynécologie. Introduction en Suisse des analyses sur le patrimoine génétique de l’embryon : progrès ou dérive ? [texte imprimé] / Nicole Fournet-Irion ; Olivier Irion . - 2016 . - p.39-43.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 500-501 (Janvier 2016) . - p.39-43

Résumé :

La loi sur la procréation médicalement assistée (LPMA) a été modifiée dans le but d’autoriser le diagnostic préimplantatoire (DPI). Le DPI est pratiqué depuis vingt ans, la Suisse étant l’un des derniers pays d’Europe à l’interdire. Cela contraint les couples porteurs d’une maladie héréditaire grave et les couples infertiles qui présentent des échecs d’implantation ou des fausses-couches à répétition à se rendre à l’étranger pour avoir accès aux traitements appropriés.Malgré le récent plébiscite du changement de la Constitution, la nouvelle LPMA ne peut pas entrer en vigueur car les opposants ont lancé un référendum dans le but de revenir à une loi plus restrictive. Si cette démarche aboutit, les couples concernés se retrouveront avec une loi scientifiquement obsolète qui ne leur permettra pas un traitement adéquat et humainement juste.

Permalink :

http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36305