[article] 
inRevue médicale suisse > 492 (Octobre 2015) . - p.1999-2003

Titre :	Actualités sur le dépistage et la prévention des infections à VPH dans le cadre des cancers du col utérin
Type de document :	texte imprimé
Auteurs :	Patrice Mathevet ; Martine Jacot-Guillarmod
Année de publication :	2015
Article en page(s) :	p.1999-2003
Langues :	Français (fre)
Mots-clés :	UTERUS CANCER  VACCINATION
Résumé :	La relation causale entre les virus du papillome humain (VPH) et le cancer du col utérin impacte sa prévention et son dépistage.Les bénéfices du vaccin préventif contre le VPH apparaissent dans la population générale. Son absence de dangerosité est établie. Aussi, ce vaccin est proposé aussi bien aux filles qu’aux garçons. La commercialisation d’un vaccin nonavalent va majorer son activité préventive.Dès à présent, des sociétés savantes proposent un test VPH en première ligne du dépistage du cancer du col utérin après 30-35 ans à la place de la cytologie. Lors de test négatif, l’espacement des dépistages irait jusqu’à cinq ans. Lors de test positif, la cytologie est utilisée pour le triage des patientes, mais d’autres tests sont en cours d’évaluation.Cependant, au vu de l’efficacité vaccinale, les modalités futures et surtout le rapport coût/bénéfice du dépistage devraient être remis en question.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36115

[article] Actualités sur le dépistage et la prévention des infections à VPH dans le cadre des cancers du col utérin [texte imprimé] / Patrice Mathevet ; Martine Jacot-Guillarmod . - 2015 . - p.1999-2003.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 492 (Octobre 2015) . - p.1999-2003

Mots-clés :	UTERUS CANCER  VACCINATION
Résumé :	La relation causale entre les virus du papillome humain (VPH) et le cancer du col utérin impacte sa prévention et son dépistage.Les bénéfices du vaccin préventif contre le VPH apparaissent dans la population générale. Son absence de dangerosité est établie. Aussi, ce vaccin est proposé aussi bien aux filles qu’aux garçons. La commercialisation d’un vaccin nonavalent va majorer son activité préventive.Dès à présent, des sociétés savantes proposent un test VPH en première ligne du dépistage du cancer du col utérin après 30-35 ans à la place de la cytologie. Lors de test négatif, l’espacement des dépistages irait jusqu’à cinq ans. Lors de test positif, la cytologie est utilisée pour le triage des patientes, mais d’autres tests sont en cours d’évaluation.Cependant, au vu de l’efficacité vaccinale, les modalités futures et surtout le rapport coût/bénéfice du dépistage devraient être remis en question.
Permalink :	http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=36115