Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
[article]
Titre : |
Enquête concernant le retentissement des alertes médiatiques sur la pilule |
Type de document : |
texte imprimé |
Auteurs : |
C. Davitian, Auteur ; A. Benachi, Auteur ; et al., Auteur |
Année de publication : |
2015 |
Article en page(s) : |
p. 233-239 |
Langues : |
Français (fre) |
Mots-clés : |
Interruption légale de grossesse Peur Avortement provoqué Presse Contraceptifs oraux / effets indésirables Avortement provoqué / statistiques et données numériques |
Résumé : |
Introduction
La fin de l?année 2012 a été marquée par des alertes médiatiques sur les contraceptions hormonales combinées (CHC) et des plaintes de patientes contre les laboratoires commercialisant ces pilules. Nous nous sommes interrogés sur l?impact de ces annonces sur le nombre d?interruptions volontaires de grossesse (IVG).
Patientes et méthode
Étude prospective évaluant le nombre de femmes ayant demandé une IVG et qui déclaraient spontanément que cet échec de contraception était survenu suite à un arrêt de leur contraception orale parce qu?elles avaient eu peur des informations véhiculées dans les médias.
Résultats
Onze centres sur 16 ont répondu à l?enquête totalisant 2300 IVG sur cette période dont 98 (4,2 %) pour des grossesses survenues suite à un arrêt de contraception que les femmes déclaraient comme une conséquence des alertes médiatiques. L?âge moyen était de 26ans. Ces grossesses avaient débuté dans 4 cas (6 %) en décembre 2012, soit 3 mois après le début de l?alerte, dans 11 cas (16 %) en janvier, dans 24 cas (36 %) en février et dans 18 cas (27 %) en mars 2013, soit 4 à 6 mois après. Les CHC interrompues par « peur » des informations véhiculées dans les médias étaient de 2e génération dans 7 cas (10 %), de 3e génération dans 17 cas (25 %), de 4e génération dans 32 cas (48 %) ou microprogestative dans 2 cas (3 %).
Conclusion
Les demandes d?IVG de femmes déclarant avoir interrompu leur contraception par peur des informations véhiculées dans les médias ont représenté 4 % des IVG entre le 18/02/2013 et le 30/04/2013. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35449 |
in La revue Sage-femme > vol.14, 6 (Décembre 2015) . - p. 233-239
[article] Enquête concernant le retentissement des alertes médiatiques sur la pilule [texte imprimé] / C. Davitian, Auteur ; A. Benachi, Auteur ; et al., Auteur . - 2015 . - p. 233-239. Langues : Français ( fre) in La revue Sage-femme > vol.14, 6 (Décembre 2015) . - p. 233-239
Mots-clés : |
Interruption légale de grossesse Peur Avortement provoqué Presse Contraceptifs oraux / effets indésirables Avortement provoqué / statistiques et données numériques |
Résumé : |
Introduction
La fin de l?année 2012 a été marquée par des alertes médiatiques sur les contraceptions hormonales combinées (CHC) et des plaintes de patientes contre les laboratoires commercialisant ces pilules. Nous nous sommes interrogés sur l?impact de ces annonces sur le nombre d?interruptions volontaires de grossesse (IVG).
Patientes et méthode
Étude prospective évaluant le nombre de femmes ayant demandé une IVG et qui déclaraient spontanément que cet échec de contraception était survenu suite à un arrêt de leur contraception orale parce qu?elles avaient eu peur des informations véhiculées dans les médias.
Résultats
Onze centres sur 16 ont répondu à l?enquête totalisant 2300 IVG sur cette période dont 98 (4,2 %) pour des grossesses survenues suite à un arrêt de contraception que les femmes déclaraient comme une conséquence des alertes médiatiques. L?âge moyen était de 26ans. Ces grossesses avaient débuté dans 4 cas (6 %) en décembre 2012, soit 3 mois après le début de l?alerte, dans 11 cas (16 %) en janvier, dans 24 cas (36 %) en février et dans 18 cas (27 %) en mars 2013, soit 4 à 6 mois après. Les CHC interrompues par « peur » des informations véhiculées dans les médias étaient de 2e génération dans 7 cas (10 %), de 3e génération dans 17 cas (25 %), de 4e génération dans 32 cas (48 %) ou microprogestative dans 2 cas (3 %).
Conclusion
Les demandes d?IVG de femmes déclarant avoir interrompu leur contraception par peur des informations véhiculées dans les médias ont représenté 4 % des IVG entre le 18/02/2013 et le 30/04/2013. |
Permalink : |
http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=35449 |
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Exemplaires (1)
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