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Auteur Frédéric Heymans |
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Ouverture des voies aériennes en cas d’intubation impossible : la cricothyrotomie ou coniotomie / Frédéric Heymans in Revue médicale suisse, 533 (Octobre 2016)
[article]
Titre : Ouverture des voies aériennes en cas d’intubation impossible : la cricothyrotomie ou coniotomie Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Heymans ; Pavel Dulguerov Année de publication : 2016 Article en page(s) : p. 1658-1660 Langues : Français (fre) Mots-clés : CRICOTHYREOTOMIE URGENCE Résumé : En cas d’intubation ou d’oxygénation impossible suite à une obstruction haute des voies aériennes, une cricothyrotomie est indiquée, appelée aussi « coniotomie ». C’est une procédure relativement simple et sûre, qui peut sauver la vie et ne nécessite qu’une lame, un tuyau et son doigt. Elle peut donc être réalisée n’importe où. Tout médecin devrait être capable de la réaliser. Des dispositifs ingénieux ont été inventés pour tenter d’en améliorer le taux de succès ; au contraire, ils compliquent la tâche et engendrent un taux d’échecs double avec des lésions associées, comme décrit dans notre étude comparative. Le but de cet article est de rappeler la technique de la coniotomie et mettre en confiance les médecins qui ne seraient pas familiers avec l’usage d’un bistouri. Nous recommandons l’utilisation d’un doigt, l’index, pour faciliter la procédure.
IntroductionAu même titre qu’on admet que tout chirurgien devrait savoir faire une trachéotomie, tout médecin devrait savoir faire une « cricothyrotomie » ou « coniotomie ». Ce geste, simple et rapide, peut sauver des vies en situation d’urgence suite à une obstruction des voies aériennes supérieures par un corps étranger pharyngo-laryngé non expulsable par une manœuvre de Heimlich, un œdème de Quincke, une épiglottite, un abcès profond du cou, un traumatisme cervico-facial, etc.Le geste peut être fait sur la voie publique, au cabinet médical ou encore lors d’une visite à domicile, puisqu’il ne nécessite aucun instrument particulier, sinon une lame coupante. Or, on trouve aujourd’hui sur le marché toutes sortes d’équipements sophistiqués, censés faciliter le geste. Mais sont-ils vraiment nécessaires ? Facilitent-ils vraiment le geste ? Tout médecin devrait-il en disposer, avoir un set à son cabinet, un autre dans sa voiture et encore un à son domicile, juste au cas où… ?Les buts d...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42755
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1658-1660[article] Ouverture des voies aériennes en cas d’intubation impossible : la cricothyrotomie ou coniotomie [texte imprimé] / Frédéric Heymans ; Pavel Dulguerov . - 2016 . - p. 1658-1660.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 533 (Octobre 2016) . - p. 1658-1660
Mots-clés : CRICOTHYREOTOMIE URGENCE Résumé : En cas d’intubation ou d’oxygénation impossible suite à une obstruction haute des voies aériennes, une cricothyrotomie est indiquée, appelée aussi « coniotomie ». C’est une procédure relativement simple et sûre, qui peut sauver la vie et ne nécessite qu’une lame, un tuyau et son doigt. Elle peut donc être réalisée n’importe où. Tout médecin devrait être capable de la réaliser. Des dispositifs ingénieux ont été inventés pour tenter d’en améliorer le taux de succès ; au contraire, ils compliquent la tâche et engendrent un taux d’échecs double avec des lésions associées, comme décrit dans notre étude comparative. Le but de cet article est de rappeler la technique de la coniotomie et mettre en confiance les médecins qui ne seraient pas familiers avec l’usage d’un bistouri. Nous recommandons l’utilisation d’un doigt, l’index, pour faciliter la procédure.
IntroductionAu même titre qu’on admet que tout chirurgien devrait savoir faire une trachéotomie, tout médecin devrait savoir faire une « cricothyrotomie » ou « coniotomie ». Ce geste, simple et rapide, peut sauver des vies en situation d’urgence suite à une obstruction des voies aériennes supérieures par un corps étranger pharyngo-laryngé non expulsable par une manœuvre de Heimlich, un œdème de Quincke, une épiglottite, un abcès profond du cou, un traumatisme cervico-facial, etc.Le geste peut être fait sur la voie publique, au cabinet médical ou encore lors d’une visite à domicile, puisqu’il ne nécessite aucun instrument particulier, sinon une lame coupante. Or, on trouve aujourd’hui sur le marché toutes sortes d’équipements sophistiqués, censés faciliter le geste. Mais sont-ils vraiment nécessaires ? Facilitent-ils vraiment le geste ? Tout médecin devrait-il en disposer, avoir un set à son cabinet, un autre dans sa voiture et encore un à son domicile, juste au cas où… ?Les buts d...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=42755 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revue Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Réserve Exclu du prêt Relation de cause à effet : et si «oui», et si «non», ... sur la base de quels critères ? / Frédéric Heymans in Revue médicale suisse, 356 (Octobre 2012)
[article]
Titre : Relation de cause à effet : et si «oui», et si «non», ... sur la base de quels critères ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Frédéric Heymans ; K. Nicoucar ; Jean-Philippe Guyot Année de publication : 2012 Article en page(s) : p. 1881-1883 Langues : Français (fre) Résumé : Une patiente consulte quatre jours après l’installation soudaine d’un vertige rotatoire persistant. On diagnostique une neuronite vestibulaire gauche. Au cours des investigations, on découvre un méningiome de la fosse postérieure controlatérale. Une relation entre les deux pathologies est-elle possible ? L’étiologie des atteintes vestibulaires périphériques reste mal comprise dans la majorité des cas. Des signes de souffrance des cellules entourant les organes sensoriels ont été mis en évidence à l’examen post mortem de l’oreille interne de patients ayant présenté un déficit vestibulaire brusque. Un «stress biologique» pourrait être à l’origine de cette souffrance et pourrait être induit par une lésion distante. Il y a donc peut-être un lien entre le déficit vestibulaire gauche et la masse de la fosse postérieure droite, découverte considérée comme fortuite, dans un premier temps. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47286
in Revue médicale suisse > 356 (Octobre 2012) . - p. 1881-1883[article] Relation de cause à effet : et si «oui», et si «non», ... sur la base de quels critères ? [texte imprimé] / Frédéric Heymans ; K. Nicoucar ; Jean-Philippe Guyot . - 2012 . - p. 1881-1883.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 356 (Octobre 2012) . - p. 1881-1883
Résumé : Une patiente consulte quatre jours après l’installation soudaine d’un vertige rotatoire persistant. On diagnostique une neuronite vestibulaire gauche. Au cours des investigations, on découvre un méningiome de la fosse postérieure controlatérale. Une relation entre les deux pathologies est-elle possible ? L’étiologie des atteintes vestibulaires périphériques reste mal comprise dans la majorité des cas. Des signes de souffrance des cellules entourant les organes sensoriels ont été mis en évidence à l’examen post mortem de l’oreille interne de patients ayant présenté un déficit vestibulaire brusque. Un «stress biologique» pourrait être à l’origine de cette souffrance et pourrait être induit par une lésion distante. Il y a donc peut-être un lien entre le déficit vestibulaire gauche et la masse de la fosse postérieure droite, découverte considérée comme fortuite, dans un premier temps. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=47286 Exemplaires (1)
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