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La revue de gériatrie . Tome 38, n° 9Prise en charge non médicamenteuse des patients atteints de maladie d'AlzheimerMention de date : Novembre 2013 Paru le : 01/11/2013 |
[n° ou bulletin]
[n° ou bulletin]
Tome 38, n° 9 - Novembre 2013 - Prise en charge non médicamenteuse des patients atteints de maladie d'Alzheimer [texte imprimé] . - 2013. Langues : Français (fre)
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REVUES | Revue | CePaS - Centre du Patrimoine Santé | CePaS - Centre du Patrimoine Santé | Consultable sur demande auprès des documentalistes Exclu du prêt |
Dépouillements
Ajouter le résultat dans votre panierEtude de la consommation de neuroleptiques au Doyenné / J. Tavernier in La revue de gériatrie, Tome 38, n° 9 (Novembre 2013)
[article]
Titre : Etude de la consommation de neuroleptiques au Doyenné Type de document : texte imprimé Auteurs : J. Tavernier, Auteur ; Régis Giet, Auteur ; Hélène Dupont, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p.673-678 Langues : Français (fre) Mots-clés : Neuroleptique Personne âgée Médicament Résumé : Résumé___________________________________________
Contexte : Les troubles du comportement de résidents souffrant de pathologie démentielle sont à la source de prescriptions de neuroleptiques en EHPAD. Les bonnes pratiques gériatriques incitent à en limiter l’usage. C’est une des missions du médecin coordonnateur.
Objectif : Le suivi régulier et argumenté de la prescription et de la consommation des neuroleptiques, la synthèse en équipe et le contact direct avec le médecin traitant peuvent orienter à la baisse les prescriptions de neuroleptiques en EHPAD. Cette étude a pour objectif d’évaluer l’impact d’un tel suivi effectué par le médecin coordonnateur sur le nombre de résidents sous neuroleptiques dans notre établissement.
Méthode : Analyse comparative des prescriptions de neuroleptiques entre 2011 et 2012, avec évaluation dunombre de résidents sous neuroleptiques au Doyenné.
Résultats : Baisse significative de la consommation des neuroleptiques d’une année sur l’autre. Fruit d’un travail constant de l’équipe de coordination. Cependant cette action trouve ses limites dans l’adhésion des médecins libéraux à une démarche pluridisciplinaire, à une formation gériatrique régulièrement mise à jour, à une sensibilité aux problèmes de santé publique. La structure actuelle du système de soins ne parait pas adaptée à la prise en charge des personnes âgées en EHPAD.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84456
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p.673-678[article] Etude de la consommation de neuroleptiques au Doyenné [texte imprimé] / J. Tavernier, Auteur ; Régis Giet, Auteur ; Hélène Dupont, Auteur . - 2013 . - p.673-678.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p.673-678
Mots-clés : Neuroleptique Personne âgée Médicament Résumé : Résumé___________________________________________
Contexte : Les troubles du comportement de résidents souffrant de pathologie démentielle sont à la source de prescriptions de neuroleptiques en EHPAD. Les bonnes pratiques gériatriques incitent à en limiter l’usage. C’est une des missions du médecin coordonnateur.
Objectif : Le suivi régulier et argumenté de la prescription et de la consommation des neuroleptiques, la synthèse en équipe et le contact direct avec le médecin traitant peuvent orienter à la baisse les prescriptions de neuroleptiques en EHPAD. Cette étude a pour objectif d’évaluer l’impact d’un tel suivi effectué par le médecin coordonnateur sur le nombre de résidents sous neuroleptiques dans notre établissement.
Méthode : Analyse comparative des prescriptions de neuroleptiques entre 2011 et 2012, avec évaluation dunombre de résidents sous neuroleptiques au Doyenné.
Résultats : Baisse significative de la consommation des neuroleptiques d’une année sur l’autre. Fruit d’un travail constant de l’équipe de coordination. Cependant cette action trouve ses limites dans l’adhésion des médecins libéraux à une démarche pluridisciplinaire, à une formation gériatrique régulièrement mise à jour, à une sensibilité aux problèmes de santé publique. La structure actuelle du système de soins ne parait pas adaptée à la prise en charge des personnes âgées en EHPAD.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84456 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtGérodontologie : effets indésirables bucco-dentaires des médicaments chez le sujet âgé / Isabelle Prêcheur in La revue de gériatrie, Tome 38, n° 9 (Novembre 2013)
[article]
Titre : Gérodontologie : effets indésirables bucco-dentaires des médicaments chez le sujet âgé Type de document : texte imprimé Auteurs : Isabelle Prêcheur, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 705-713 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dénutrition Effet secondaire indésirable des médicaments Médicament Santé Hygiène buccodentaire Vieillissement Personne âgée Soins Bouche Résumé : Les personnes âgées sont souvent polymédiquées. Chez ces personnes fragiles de nombreux médicaments favorisent les dépôts de plaque dans la bouche, les douleurs orales et la dénutrition. D’autres effets indésirables moins connus peuvent gêner les soins d’hygiène de la bouche, empêcher les soins dentaires et provoquer ou aggraver anorexie et dénutrition. En cas de troubles de la déglutition, les médicaments écrasés et mélangés à la nourriture sont une source supplémentaire d’anorexie à cause du goût modifié des aliments.
- La sécheresse buccale entraîne souvent une insalivation insuffisante du bol alimentaire et des difficultés de déglutition, une mauvaise haleine, des douleurs, des candidoses, une intolérance aux prothèses, des caries dentaires (atropiniques/anticholinergiques : antidépresseurs, anxiolytiques, neuroleptiques, antiparkinsoniens, antihistaminiques, et autres ; prise de plus de quatre principes actifs par jour ; bains de bouche antiseptiques).
- Les modifications du goût sont fréquentes (certains antihypertenseurs et anti-infectieux). La sensation de goût métallique (fer, sels d’or) peut faire incriminer à tort des prothèses dentaires.
- Les ulcérations buccales sont très douloureuses (nicorandil et inhibiteurs de l’enzyme de conversion (captopril…) ; anti-inflammatoires ; antirétroviraux ; lithium, fluoxétine…). La douleur des mucites (antimitotiques, immunosuppresseurs) empêche de boire et de s’alimenter par la bouche.
- Les ostéonécroses des maxillaires provoquent une destruction de l’os et des fractures spontanées, douloureuses ou non (bisphosphonates surtout i.v.; anti-angiogéniques : bevacizumab, sunitinib).
- La toxicité musculaire peut affecter les muscles masticatoires et la langue : le patient mange moins, moins longtemps, moins vite par fatigue musculaire précoce (hypocholestérolémiants: statines, fibrates ; amphétamines).
- La toux et le hoquet peuvent être attribués par erreur à des prothèses dentaires (corticoïdes, benzodiazépines, antibiotiques, nicotine à mâcher, inhibiteurs de l’enzyme de conversion…).
- Des nausées et des vomissements gênent le nettoyage de la bouche ; ils peuvent être imputés à tort aux prothèses dentaires (anticancéreux, antiparkinsoniens anticholinergiques, opiacés, divers psychotropes, antirétroviraux).
- Les effets extrapyramidaux provoquent torticolis, grimaces, dysphagie et dysphonie (neuroleptiques, antidépresseurs, métoclopramide…). Les soins de bouche sont impossibles. Le trismus provoque des douleurs des articulations temporo-mandibulaires et abrase les dents.
- Des saignements spontanés des gencives peuvent être provoqués par la prise de médicaments antithrombotiques (héparines, rivaroxaban, apixaban, dabigatran, et antivitamines K : acénocoumarol, warfarine, fluindione)et plus rarement par des antiagrégants plaquettaires (aspirine, clopidogrel, ticlopidine, prasugrel, ticagrelor).Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84457
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 705-713[article] Gérodontologie : effets indésirables bucco-dentaires des médicaments chez le sujet âgé [texte imprimé] / Isabelle Prêcheur, Auteur ; et al., Auteur . - 2013 . - p. 705-713.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 705-713
Mots-clés : Dénutrition Effet secondaire indésirable des médicaments Médicament Santé Hygiène buccodentaire Vieillissement Personne âgée Soins Bouche Résumé : Les personnes âgées sont souvent polymédiquées. Chez ces personnes fragiles de nombreux médicaments favorisent les dépôts de plaque dans la bouche, les douleurs orales et la dénutrition. D’autres effets indésirables moins connus peuvent gêner les soins d’hygiène de la bouche, empêcher les soins dentaires et provoquer ou aggraver anorexie et dénutrition. En cas de troubles de la déglutition, les médicaments écrasés et mélangés à la nourriture sont une source supplémentaire d’anorexie à cause du goût modifié des aliments.
- La sécheresse buccale entraîne souvent une insalivation insuffisante du bol alimentaire et des difficultés de déglutition, une mauvaise haleine, des douleurs, des candidoses, une intolérance aux prothèses, des caries dentaires (atropiniques/anticholinergiques : antidépresseurs, anxiolytiques, neuroleptiques, antiparkinsoniens, antihistaminiques, et autres ; prise de plus de quatre principes actifs par jour ; bains de bouche antiseptiques).
- Les modifications du goût sont fréquentes (certains antihypertenseurs et anti-infectieux). La sensation de goût métallique (fer, sels d’or) peut faire incriminer à tort des prothèses dentaires.
- Les ulcérations buccales sont très douloureuses (nicorandil et inhibiteurs de l’enzyme de conversion (captopril…) ; anti-inflammatoires ; antirétroviraux ; lithium, fluoxétine…). La douleur des mucites (antimitotiques, immunosuppresseurs) empêche de boire et de s’alimenter par la bouche.
- Les ostéonécroses des maxillaires provoquent une destruction de l’os et des fractures spontanées, douloureuses ou non (bisphosphonates surtout i.v.; anti-angiogéniques : bevacizumab, sunitinib).
- La toxicité musculaire peut affecter les muscles masticatoires et la langue : le patient mange moins, moins longtemps, moins vite par fatigue musculaire précoce (hypocholestérolémiants: statines, fibrates ; amphétamines).
- La toux et le hoquet peuvent être attribués par erreur à des prothèses dentaires (corticoïdes, benzodiazépines, antibiotiques, nicotine à mâcher, inhibiteurs de l’enzyme de conversion…).
- Des nausées et des vomissements gênent le nettoyage de la bouche ; ils peuvent être imputés à tort aux prothèses dentaires (anticancéreux, antiparkinsoniens anticholinergiques, opiacés, divers psychotropes, antirétroviraux).
- Les effets extrapyramidaux provoquent torticolis, grimaces, dysphagie et dysphonie (neuroleptiques, antidépresseurs, métoclopramide…). Les soins de bouche sont impossibles. Le trismus provoque des douleurs des articulations temporo-mandibulaires et abrase les dents.
- Des saignements spontanés des gencives peuvent être provoqués par la prise de médicaments antithrombotiques (héparines, rivaroxaban, apixaban, dabigatran, et antivitamines K : acénocoumarol, warfarine, fluindione)et plus rarement par des antiagrégants plaquettaires (aspirine, clopidogrel, ticlopidine, prasugrel, ticagrelor).Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84457 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé CePaS - Centre du Patrimoine Santé Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLa dénutrition en EHPAD: impact de la mise en place d'une politique nutritionnelle au sein d'un établissement / Guélove Nolevaux in La revue de gériatrie, Tome 38, n° 9 (Novembre 2013)
[article]
Titre : La dénutrition en EHPAD: impact de la mise en place d'une politique nutritionnelle au sein d'un établissement Type de document : texte imprimé Auteurs : Guélove Nolevaux, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 679-685 Langues : Français (fre) Mots-clés : Dénutrition Indice de masse corporelle Personne âgée Etude scientifique Institution Résumé : Résumé___________________________________________
Contexte : La prise en charge de la dénutrition en EHPAD (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) est devenue une priorité nationale à travers le Plan National Nutrition Santé.
Objectif : Observer l’impact d’une politique nutritionnelle au sein d’une institution gériatrique.
Méthodes : L’ensemble du personnel a bénéficié d’une formation basée sur l’outil Mobiqual afin de le sensibiliser à la fréquence, aux risques et aux conséquences de la dénutrition. Parallèlement, les rations protéiques et caloriques de tous les résidents ont été augmentées et l’enrichissement alimentaire a été instauré. L’état nutritionnel des résidents a été évalué en fonction de l’albuminémie et de l’IMC selon les critères de la HAS.
Résultats : 56 résidents ont été inclus dans l’étude. La prévalence de la dénutrition a diminué, passant de 77 à 45%. L’albuminémie a augmenté pour 75% des résidents avec une augmentation moyenne de 2,83 g/l (p < 0,001). La comparaison des sous-groupes dénutris et non dénutris selon l’albuminémie initiale a retrouvé une réduction de l’écart de 4,7 g/l (p < 0,001). Dans la population GIR 1, on retrouve une baisse non significative du poids et de l’albuminémie.
Discussion : Une politique nutritionnelle efficace repose sur l’augmentation protéique et calorique du repas,et sur la formation des professionnels concernés. Les patients GIR 1 ne semblent pas bénéficier pleinement de cette politique. Du temps humain supplémentaire serait un moyen complémentaire nécessaire pour cette population.
Conclusion : La lutte contre la dénutrition en institution est possible si l’ensemble des facteurs en jeu est pris en compte et si un suivi rigoureux est organisé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84458
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 679-685[article] La dénutrition en EHPAD: impact de la mise en place d'une politique nutritionnelle au sein d'un établissement [texte imprimé] / Guélove Nolevaux, Auteur ; et al., Auteur . - 2013 . - p. 679-685.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 679-685
Mots-clés : Dénutrition Indice de masse corporelle Personne âgée Etude scientifique Institution Résumé : Résumé___________________________________________
Contexte : La prise en charge de la dénutrition en EHPAD (Etablissement d’hébergement pour personnes âgées dépendantes) est devenue une priorité nationale à travers le Plan National Nutrition Santé.
Objectif : Observer l’impact d’une politique nutritionnelle au sein d’une institution gériatrique.
Méthodes : L’ensemble du personnel a bénéficié d’une formation basée sur l’outil Mobiqual afin de le sensibiliser à la fréquence, aux risques et aux conséquences de la dénutrition. Parallèlement, les rations protéiques et caloriques de tous les résidents ont été augmentées et l’enrichissement alimentaire a été instauré. L’état nutritionnel des résidents a été évalué en fonction de l’albuminémie et de l’IMC selon les critères de la HAS.
Résultats : 56 résidents ont été inclus dans l’étude. La prévalence de la dénutrition a diminué, passant de 77 à 45%. L’albuminémie a augmenté pour 75% des résidents avec une augmentation moyenne de 2,83 g/l (p < 0,001). La comparaison des sous-groupes dénutris et non dénutris selon l’albuminémie initiale a retrouvé une réduction de l’écart de 4,7 g/l (p < 0,001). Dans la population GIR 1, on retrouve une baisse non significative du poids et de l’albuminémie.
Discussion : Une politique nutritionnelle efficace repose sur l’augmentation protéique et calorique du repas,et sur la formation des professionnels concernés. Les patients GIR 1 ne semblent pas bénéficier pleinement de cette politique. Du temps humain supplémentaire serait un moyen complémentaire nécessaire pour cette population.
Conclusion : La lutte contre la dénutrition en institution est possible si l’ensemble des facteurs en jeu est pris en compte et si un suivi rigoureux est organisé.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84458 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé CePaS - Centre du Patrimoine Santé Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtLes fugues en EHPAD : L'étude EVADE : Etude sur la surVenue de fugues auprès de 6649 patient Agés institutionnalisés dans le norD de la FrancE / Dominique Huvent - grelle in La revue de gériatrie, Tome 38, n° 9 (Novembre 2013)
[article]
Titre : Les fugues en EHPAD : L'étude EVADE : Etude sur la surVenue de fugues auprès de 6649 patient Agés institutionnalisés dans le norD de la FrancE Type de document : texte imprimé Auteurs : Dominique Huvent - grelle, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 663-666 Langues : Français (fre) Mots-clés : Accident Alzheimer (maladie) Architecture Errance Aménagement de l'espace France Fugue Institution Patient Personne âgée Prévention Sécurité Maison de repos et de soins Résumé : En France, en 2013, on estime à près d’un million le nombre de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée. Les fugues, quoique considérées comme fréquentes dans la maladie d’Alzheimer, ont fait l’objet de peu d’études. Une enquête réalisée en 2008 dans le sud
de la France auprès de 4 896 résidents accueillis dans 240 établissements a mis en évidence que 6,5 % des pensionnaires avaient eu des velléités de fugues au cours de l’étude.
L’étude EVADE (Étude sur la surVenue de fugues auprès de 6 649 patients Âgés institutionnalisés dans le nord de la France) réalisée dans 65 établissements du département du Nord (59), en 2009, a permis de recenser 66 événements fugue concernant 48 personnes âgées (8 résidents sont “récidivistes” pour la fugue). Le fugueur fugue seul. Les fugues ont une durée inférieure à une heure. Dans 55 % des cas, il s’agit d’une “sortie fugue” d’un résident qui souhaite notamment retourner chez lui. Tous les fugueurs ont été retrouvés. Aucun décès n’a été constaté pendant la durée de l’étude. Ces travaux suggèrent que les fugues sont probablement moins fréquentes qu’on ne le croit habituellement et qu’elles se terminent heureusement bien la plupart du temps. Toutefois, la prévention des fugues doit faire l’objet d’une réflexion de la part des établissements accueillant des patients déments : recueil de l’histoire de vie du résident, formation des soignants, mesures architecturales sont nécessaires avec le souci de préserver les libertés et la qualité de vie des résidents et de leurs proches tout autant que leur sécuritéPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84459
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 663-666[article] Les fugues en EHPAD : L'étude EVADE : Etude sur la surVenue de fugues auprès de 6649 patient Agés institutionnalisés dans le norD de la FrancE [texte imprimé] / Dominique Huvent - grelle, Auteur . - 2013 . - p. 663-666.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 663-666
Mots-clés : Accident Alzheimer (maladie) Architecture Errance Aménagement de l'espace France Fugue Institution Patient Personne âgée Prévention Sécurité Maison de repos et de soins Résumé : En France, en 2013, on estime à près d’un million le nombre de personnes touchées par la maladie d’Alzheimer ou une maladie apparentée. Les fugues, quoique considérées comme fréquentes dans la maladie d’Alzheimer, ont fait l’objet de peu d’études. Une enquête réalisée en 2008 dans le sud
de la France auprès de 4 896 résidents accueillis dans 240 établissements a mis en évidence que 6,5 % des pensionnaires avaient eu des velléités de fugues au cours de l’étude.
L’étude EVADE (Étude sur la surVenue de fugues auprès de 6 649 patients Âgés institutionnalisés dans le nord de la France) réalisée dans 65 établissements du département du Nord (59), en 2009, a permis de recenser 66 événements fugue concernant 48 personnes âgées (8 résidents sont “récidivistes” pour la fugue). Le fugueur fugue seul. Les fugues ont une durée inférieure à une heure. Dans 55 % des cas, il s’agit d’une “sortie fugue” d’un résident qui souhaite notamment retourner chez lui. Tous les fugueurs ont été retrouvés. Aucun décès n’a été constaté pendant la durée de l’étude. Ces travaux suggèrent que les fugues sont probablement moins fréquentes qu’on ne le croit habituellement et qu’elles se terminent heureusement bien la plupart du temps. Toutefois, la prévention des fugues doit faire l’objet d’une réflexion de la part des établissements accueillant des patients déments : recueil de l’histoire de vie du résident, formation des soignants, mesures architecturales sont nécessaires avec le souci de préserver les libertés et la qualité de vie des résidents et de leurs proches tout autant que leur sécuritéPermalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84459 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé CePaS - Centre du Patrimoine Santé Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtPrise en charge non médicamenteuse des patients atteints de maladie d'Alzheimer : formation -accompagnement des aidants naturels / Carole Pelix in La revue de gériatrie, Tome 38, n° 9 (Novembre 2013)
[article]
Titre : Prise en charge non médicamenteuse des patients atteints de maladie d'Alzheimer : formation -accompagnement des aidants naturels Type de document : texte imprimé Auteurs : Carole Pelix, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 647-654 Langues : Français (fre) Mots-clés : Alzheimer (maladie) Aidant Programme Formation Accompagnement Qualité de vie Patient Résumé : Résumé___________________________________________
La prise en charge des malades d’Alzheimer constitue un défi pour notre société actuelle. L’entourage est affecté par la maladie et les bouleversements cognitifs, psycho comportementaux et sociaux qu’elle entraîne.
La majorité des patients sont pris en charge à domicile par les aidants naturels. Ces dernières années, des programmes d’intervention non médicamenteuse ont vu le jour, parallèlement aux solutions pharmacologiques.
Au Centre Hospitalier du Val d’Ariège, nous proposons un programme de formation-accompagnement des aidants naturels de patients vivant à domicile, qui découle d’une démarche basée sur les méthodologies d’éducation thérapeutique. Il associe deux journées de formation
en groupe à trois entretiens individuels (un entretien initial de diagnostic éducatif et deux entretiens de suivi).
Cette formation a pour objectif de renforcer les connaissances et compétences d’adaptation des aidants, afin d’améliorer la prise en charge globale et la qualité de vie des patients. Pour cela, nous travaillons autour de trois axes : bio-médical (connaitre la maladie d’Alzheimer, ses symptômes, ses répercussions dans la vie quotidienne et savoir s’y adapter), psychologique (prendre soin de soi en tant qu’aidant) et social (avoir connaissance des aides sociales disponibles dans le département et les activer si besoin). Nous évaluons le fardeau de l’aidant (échelle du fardeau de Zarit) ainsi que le retentissement subjectif de la maladie sur son état psychologique, physique, et ses relations sociales au moyen d’échelles visuelles analogiques.
Concernant le patient, nous évaluons sa qualité de vie (échelle de Logsdon) et son autonomie pour les activités simples de la vie quotidienne (échelle Activity of Daily Living). Après trois ans d’activité, la satisfaction des participants apparaît très positive, nous encourageant dans notre démarche.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84460
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 647-654[article] Prise en charge non médicamenteuse des patients atteints de maladie d'Alzheimer : formation -accompagnement des aidants naturels [texte imprimé] / Carole Pelix, Auteur ; et al., Auteur . - 2013 . - p. 647-654.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 647-654
Mots-clés : Alzheimer (maladie) Aidant Programme Formation Accompagnement Qualité de vie Patient Résumé : Résumé___________________________________________
La prise en charge des malades d’Alzheimer constitue un défi pour notre société actuelle. L’entourage est affecté par la maladie et les bouleversements cognitifs, psycho comportementaux et sociaux qu’elle entraîne.
La majorité des patients sont pris en charge à domicile par les aidants naturels. Ces dernières années, des programmes d’intervention non médicamenteuse ont vu le jour, parallèlement aux solutions pharmacologiques.
Au Centre Hospitalier du Val d’Ariège, nous proposons un programme de formation-accompagnement des aidants naturels de patients vivant à domicile, qui découle d’une démarche basée sur les méthodologies d’éducation thérapeutique. Il associe deux journées de formation
en groupe à trois entretiens individuels (un entretien initial de diagnostic éducatif et deux entretiens de suivi).
Cette formation a pour objectif de renforcer les connaissances et compétences d’adaptation des aidants, afin d’améliorer la prise en charge globale et la qualité de vie des patients. Pour cela, nous travaillons autour de trois axes : bio-médical (connaitre la maladie d’Alzheimer, ses symptômes, ses répercussions dans la vie quotidienne et savoir s’y adapter), psychologique (prendre soin de soi en tant qu’aidant) et social (avoir connaissance des aides sociales disponibles dans le département et les activer si besoin). Nous évaluons le fardeau de l’aidant (échelle du fardeau de Zarit) ainsi que le retentissement subjectif de la maladie sur son état psychologique, physique, et ses relations sociales au moyen d’échelles visuelles analogiques.
Concernant le patient, nous évaluons sa qualité de vie (échelle de Logsdon) et son autonomie pour les activités simples de la vie quotidienne (échelle Activity of Daily Living). Après trois ans d’activité, la satisfaction des participants apparaît très positive, nous encourageant dans notre démarche.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84460 Exemplaires (1)
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Exclu du prêtRôle de l'orthophoniste dans la maladie d'Alzheimer : du Centre d'Evaluation Gériatrique au suivi libéral / Cannelle Delieutraz in La revue de gériatrie, Tome 38, n° 9 (Novembre 2013)
[article]
Titre : Rôle de l'orthophoniste dans la maladie d'Alzheimer : du Centre d'Evaluation Gériatrique au suivi libéral Type de document : texte imprimé Auteurs : Cannelle Delieutraz, Auteur ; et al., Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 667-672 Langues : Français (fre) Mots-clés : Orthophoniste Langage Handicap Communication Alzheimer (maladie) Personne âgée Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84461
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 667-672[article] Rôle de l'orthophoniste dans la maladie d'Alzheimer : du Centre d'Evaluation Gériatrique au suivi libéral [texte imprimé] / Cannelle Delieutraz, Auteur ; et al., Auteur . - 2013 . - p. 667-672.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 667-672
Mots-clés : Orthophoniste Langage Handicap Communication Alzheimer (maladie) Personne âgée Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84461 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue CePaS - Centre du Patrimoine Santé CePaS - Centre du Patrimoine Santé Consultable sur demande auprès des documentalistes
Exclu du prêtVitamine D chez la personne âgée : prévalence de la carence et évaluation du protocle d'apport de la vitamine D / Nouredine Sadeg in La revue de gériatrie, Tome 38, n° 9 (Novembre 2013)
[article]
Titre : Vitamine D chez la personne âgée : prévalence de la carence et évaluation du protocle d'apport de la vitamine D Type de document : texte imprimé Auteurs : Nouredine Sadeg, Auteur Année de publication : 2013 Article en page(s) : p. 655-661 Langues : Français (fre) Mots-clés : Vitamine D Personne âgée Fragilité Etude scientifique Résumé : Résumé___________________________________________
Le déficit en vitamine D chez le sujet âgé est associé à l’ostéomalacie et à la fragilité osseuse avec élévation des risques de fracture et de la perte d’autonomie observée dans cette population. L’objectif de cette étude est de déterminer le statut vitaminique D dans une population
de personnes âgées de plus de 65 ans avant et après supplémentation en vitamine D. Cette étude prospectiveréalisée en deux étapes entre février 2011 et février 2012 dans la région de Val d’Oise concernait initialement le dosage de la vitamine D chez 791 patients dont 167 ont poursuivi la deuxième étape, qui consistait à déterminer la concentration en parathormone (PTH), préalable à
la supplémentation en vitamine D, puis à contrôler le statut en cette vitamine à la fin de l’étude. Les sujets ont été recrutés en ambulatoire ou lors d’une hospitalisation.
Ont été exclus les sujets présentant une pathologie maligne, une insuffisance rénale ou hépatique sévère, un syndrome de malabsorption ou ayant reçu une supplémentation en vitamine D dans les 6 mois précédents. Le dosage de 25(OH)D a été obtenu par technique automatisée de chimiluminescence.
Résultats : Les taux moyens de 25(OH)D étaient de 11,02 + 5,19 ng/ml dans la population générale âgée de 81,7 + 7,5 ans. La quasi-totalité de la population (790/791) était en carence vitaminique (<30 ng/ml) et 43,2 % présentaient un déficit sévère (<10 ng/ml). Les analyses statistiques montraient (i) d’une part qu’il n’y avait pas de différence significative de concentration de vitamine D selon le sexe chez les sujets âgés de 75 ans et plus (hommes : 11,26 + 5,45 ng/ml versus femmes :
10,67 + 5,04 ng/ml, p est non significatif); (ii) et d’autre part que les hommes de moins de 75 ans avaient un taux significativement plus élevé en vitamine D que les femmes du même âge (hommes : 12,33 + 2,64 ng/ml versus femmes : 10,90 + 4,29 ng/ml, p=0,01). Enfin, chez les sujets ayant bénéficié d’un second dosage 1 à 3 mois plus tard, il est retrouvé que même après supplémentation
recommandée, le seuil de 30 ng/ml de 25(OH) D n’est atteint que dans 30 % des cas.
Conclusion : Cette étude a montré une prévalence importante de la carence en vitamine D dans la population âgée. De plus, la correction en vitamine D proposée selon les recommandations actuelles ne semble pas avoir été suffisante.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84462
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 655-661[article] Vitamine D chez la personne âgée : prévalence de la carence et évaluation du protocle d'apport de la vitamine D [texte imprimé] / Nouredine Sadeg, Auteur . - 2013 . - p. 655-661.
Langues : Français (fre)
in La revue de gériatrie > Tome 38, n° 9 (Novembre 2013) . - p. 655-661
Mots-clés : Vitamine D Personne âgée Fragilité Etude scientifique Résumé : Résumé___________________________________________
Le déficit en vitamine D chez le sujet âgé est associé à l’ostéomalacie et à la fragilité osseuse avec élévation des risques de fracture et de la perte d’autonomie observée dans cette population. L’objectif de cette étude est de déterminer le statut vitaminique D dans une population
de personnes âgées de plus de 65 ans avant et après supplémentation en vitamine D. Cette étude prospectiveréalisée en deux étapes entre février 2011 et février 2012 dans la région de Val d’Oise concernait initialement le dosage de la vitamine D chez 791 patients dont 167 ont poursuivi la deuxième étape, qui consistait à déterminer la concentration en parathormone (PTH), préalable à
la supplémentation en vitamine D, puis à contrôler le statut en cette vitamine à la fin de l’étude. Les sujets ont été recrutés en ambulatoire ou lors d’une hospitalisation.
Ont été exclus les sujets présentant une pathologie maligne, une insuffisance rénale ou hépatique sévère, un syndrome de malabsorption ou ayant reçu une supplémentation en vitamine D dans les 6 mois précédents. Le dosage de 25(OH)D a été obtenu par technique automatisée de chimiluminescence.
Résultats : Les taux moyens de 25(OH)D étaient de 11,02 + 5,19 ng/ml dans la population générale âgée de 81,7 + 7,5 ans. La quasi-totalité de la population (790/791) était en carence vitaminique (<30 ng/ml) et 43,2 % présentaient un déficit sévère (<10 ng/ml). Les analyses statistiques montraient (i) d’une part qu’il n’y avait pas de différence significative de concentration de vitamine D selon le sexe chez les sujets âgés de 75 ans et plus (hommes : 11,26 + 5,45 ng/ml versus femmes :
10,67 + 5,04 ng/ml, p est non significatif); (ii) et d’autre part que les hommes de moins de 75 ans avaient un taux significativement plus élevé en vitamine D que les femmes du même âge (hommes : 12,33 + 2,64 ng/ml versus femmes : 10,90 + 4,29 ng/ml, p=0,01). Enfin, chez les sujets ayant bénéficié d’un second dosage 1 à 3 mois plus tard, il est retrouvé que même après supplémentation
recommandée, le seuil de 30 ng/ml de 25(OH) D n’est atteint que dans 30 % des cas.
Conclusion : Cette étude a montré une prévalence importante de la carence en vitamine D dans la population âgée. De plus, la correction en vitamine D proposée selon les recommandations actuelles ne semble pas avoir été suffisante.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=84462 Exemplaires (1)
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