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Anesthésie & Réanimation . Vol. 8, n° 3VentilationMention de date : Mars 2022 Paru le : 01/06/2022 |
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Revues | Revue | Centre de documentation HELHa paramédical Gilly | Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets | Exclu du prêt |
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[article]
Titre : Prise en charge des traumatismes graves de l’adulte admis en réanimation polyvalente du centre hospitalier universitaire de Brazzaville Type de document : texte imprimé Auteurs : Marie Elombila Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 221-229 Note générale : https://doir.org/10.1016/1.anrea.2022.01.018 Langues : Français (fre) Mots-clés : Prise en charge Traumatisé grave Réanimation Brazzaville Résumé : Objectif
Décrire la prise en charge (PEC) des traumatisés graves (TG) de l’adulte admis en réanimation polyvalente du centre hospitalier universitaire de Brazzaville (CHU-B).
Matériels et méthodes
L’étude était transversale et rétrospective sur 30 mois en réanimation du CHU-B. Étaient inclus tout TG d’au moins 18 ans, pris en charge pendant au moins 6 heures. Les variables sociodémographiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives étaient analysées sur Excel 2016 et Epi-info 7.
Résultats
Au total, 70 patients étaient retenus (âge moyen : 39±15 ans ; sex ratio : 4,8). Cinquante pour cent des patients provenaient des urgences. Les accidents de la voie publique (84,3 %) étaient la principale circonstance traumatique. Les patients présentaient un traumatisme crânien grave (47,2 %) parmi lesquels 27,1 % étaient isolés des détresses respiratoires (38,6 %) et hémodynamiques (14,6 %). Le ramassage et le transport des patients n’étaient pas médicalisés. La PEC avait consisté en un remplissage vasculaire avec des cristalloïdes et des colloïdes, une oxygénothérapie (84,3 %), une transfusion sanguine (30 %), un recours aux amines vasopressives (34,3 %), et une osmothérapie (10 %). Le drainage thoracique était réalisé chez 9,9 % des patients. Les patients étaient intubés et sédatés dans 40 % des cas. La PEC chirurgicale concernait 21,4 % des TG. L’antibiothérapie était administrée chez 74,7 % des patients. La mortalité globale était de 41,4 %.
Conclusion
Les TG sont un motif fréquent en réanimation. Ils touchent surtout la population juvénile masculine et sont consécutifs aux accidents de la voie publique. Leur PEC codifiée demeure insuffisante du fait de la mortalité élevée qui leur est imputable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75238
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 221-229[article] Prise en charge des traumatismes graves de l’adulte admis en réanimation polyvalente du centre hospitalier universitaire de Brazzaville [texte imprimé] / Marie Elombila . - 2022 . - p. 221-229.
https://doir.org/10.1016/1.anrea.2022.01.018
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 221-229
Mots-clés : Prise en charge Traumatisé grave Réanimation Brazzaville Résumé : Objectif
Décrire la prise en charge (PEC) des traumatisés graves (TG) de l’adulte admis en réanimation polyvalente du centre hospitalier universitaire de Brazzaville (CHU-B).
Matériels et méthodes
L’étude était transversale et rétrospective sur 30 mois en réanimation du CHU-B. Étaient inclus tout TG d’au moins 18 ans, pris en charge pendant au moins 6 heures. Les variables sociodémographiques, cliniques, thérapeutiques et évolutives étaient analysées sur Excel 2016 et Epi-info 7.
Résultats
Au total, 70 patients étaient retenus (âge moyen : 39±15 ans ; sex ratio : 4,8). Cinquante pour cent des patients provenaient des urgences. Les accidents de la voie publique (84,3 %) étaient la principale circonstance traumatique. Les patients présentaient un traumatisme crânien grave (47,2 %) parmi lesquels 27,1 % étaient isolés des détresses respiratoires (38,6 %) et hémodynamiques (14,6 %). Le ramassage et le transport des patients n’étaient pas médicalisés. La PEC avait consisté en un remplissage vasculaire avec des cristalloïdes et des colloïdes, une oxygénothérapie (84,3 %), une transfusion sanguine (30 %), un recours aux amines vasopressives (34,3 %), et une osmothérapie (10 %). Le drainage thoracique était réalisé chez 9,9 % des patients. Les patients étaient intubés et sédatés dans 40 % des cas. La PEC chirurgicale concernait 21,4 % des TG. L’antibiothérapie était administrée chez 74,7 % des patients. La mortalité globale était de 41,4 %.
Conclusion
Les TG sont un motif fréquent en réanimation. Ils touchent surtout la population juvénile masculine et sont consécutifs aux accidents de la voie publique. Leur PEC codifiée demeure insuffisante du fait de la mortalité élevée qui leur est imputable.Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75238 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Perspectives post-COVID-19 : le point de vue des pneumologues / Damien Basille in Anesthésie & Réanimation, Vol. 8, n° 3 (Mars 2022)
[article]
Titre : Perspectives post-COVID-19 : le point de vue des pneumologues Type de document : texte imprimé Auteurs : Damien Basille ; V. Jounieaux ; Claire Andrejack Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 236-240 Langues : Français (fre) Mots-clés : DLCO Fibrose Déconditionnement Hyperventilation Dyspnée Résumé : Plus de 5 millions de personnes en France ont présenté une infection par le SARS-CoV-2. Lors des précédentes épidémies de coronavirus (SARS-CoV, Mers-CoV), les patients ont développé des séquelles pulmonaires avec une dyspnée, une diminution de la capacité de diffusion du monoxyde de carbone et/ou des lésions de fibrose. Le but de cette revue était d’évaluer les séquelles respiratoires et de faire une synthèse des principaux symptômes respiratoires après une infection au COVID-19 et de leurs étiologies. Les quatre principales causes de dyspnée sont les séquelles respiratoires, le déconditionnement, l’hyperventilation et les causes classiques de dyspnée. Les principales séquelles respiratoires étaient l’altération de la capacité de diffusion du monoxyde de carbone et le schéma de fibrose. La prévalence de ces séquelles respiratoires est actuellement inconnue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75239
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 236-240[article] Perspectives post-COVID-19 : le point de vue des pneumologues [texte imprimé] / Damien Basille ; V. Jounieaux ; Claire Andrejack . - 2022 . - p. 236-240.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 236-240
Mots-clés : DLCO Fibrose Déconditionnement Hyperventilation Dyspnée Résumé : Plus de 5 millions de personnes en France ont présenté une infection par le SARS-CoV-2. Lors des précédentes épidémies de coronavirus (SARS-CoV, Mers-CoV), les patients ont développé des séquelles pulmonaires avec une dyspnée, une diminution de la capacité de diffusion du monoxyde de carbone et/ou des lésions de fibrose. Le but de cette revue était d’évaluer les séquelles respiratoires et de faire une synthèse des principaux symptômes respiratoires après une infection au COVID-19 et de leurs étiologies. Les quatre principales causes de dyspnée sont les séquelles respiratoires, le déconditionnement, l’hyperventilation et les causes classiques de dyspnée. Les principales séquelles respiratoires étaient l’altération de la capacité de diffusion du monoxyde de carbone et le schéma de fibrose. La prévalence de ces séquelles respiratoires est actuellement inconnue. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75239 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Ventilation du patient avec obésité / Audrey De Jong in Anesthésie & Réanimation, Vol. 8, n° 3 (Mars 2022)
[article]
Titre : Ventilation du patient avec obésité Type de document : texte imprimé Auteurs : Audrey De Jong ; Chahir Laatar ; Maha Touaibia Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 241-247 Langues : Français (fre) Mots-clés : Obésité Ventilation Intubation Voies aériennes Résumé : L’obésité est un facteur de risque important de complications majeures, de morbidité et de mortalité liées à la procédure d’intubation et de ventilation en réanimation. La chute de la capacité résiduelle fonctionnelle entraîne une fermeture des voies aériennes et la formation d’atélectasies. Pour optimiser la prise en charge des voies aériennes ainsi que la ventilation, qu’elle soit non invasive ou invasive, la position semi-assise ou en Trendelenburg inversé est conseillée. La préoxygénation par pression positive avant la procédure d’intubation est la méthode de référence, pouvant s’associer à une oxygénation apnéique pendant la laryngoscopie. Pour l’intubation, la vidéolaryngoscopie peut avoir un intérêt quand elle est réalisée par des opérateurs entraînés, surtout chez les patients qui ont plusieurs facteurs de risque d’intubation difficile. Concernant la ventilation mécanique chez les patients avec et sans syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), sont conseillés : un volume courant bas (6mL/kg de poids prédit), une pression expiratoire positive (PEP) modérée à élevée en cas de présence d’un SDRA, si possible titrée de manière décrémentielle après une manœuvre de recrutement. Le décubitus ventral est un traitement de choix chez les patients avec obésité en SDRA sévère. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75240
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 241-247[article] Ventilation du patient avec obésité [texte imprimé] / Audrey De Jong ; Chahir Laatar ; Maha Touaibia . - 2022 . - p. 241-247.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 241-247
Mots-clés : Obésité Ventilation Intubation Voies aériennes Résumé : L’obésité est un facteur de risque important de complications majeures, de morbidité et de mortalité liées à la procédure d’intubation et de ventilation en réanimation. La chute de la capacité résiduelle fonctionnelle entraîne une fermeture des voies aériennes et la formation d’atélectasies. Pour optimiser la prise en charge des voies aériennes ainsi que la ventilation, qu’elle soit non invasive ou invasive, la position semi-assise ou en Trendelenburg inversé est conseillée. La préoxygénation par pression positive avant la procédure d’intubation est la méthode de référence, pouvant s’associer à une oxygénation apnéique pendant la laryngoscopie. Pour l’intubation, la vidéolaryngoscopie peut avoir un intérêt quand elle est réalisée par des opérateurs entraînés, surtout chez les patients qui ont plusieurs facteurs de risque d’intubation difficile. Concernant la ventilation mécanique chez les patients avec et sans syndrome de détresse respiratoire aiguë (SDRA), sont conseillés : un volume courant bas (6mL/kg de poids prédit), une pression expiratoire positive (PEP) modérée à élevée en cas de présence d’un SDRA, si possible titrée de manière décrémentielle après une manœuvre de recrutement. Le décubitus ventral est un traitement de choix chez les patients avec obésité en SDRA sévère. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75240 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Prise en charge anesthésique périopératoire du patient BPCO / Laurent Zieleskiewicz in Anesthésie & Réanimation, Vol. 8, n° 3 (Mars 2022)
[article]
Titre : Prise en charge anesthésique périopératoire du patient BPCO Type de document : texte imprimé Auteurs : Laurent Zieleskiewicz ; Karine Bezulier ; Mattieu Bernat Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 257-268 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anesthésie Complications pulmonaires Insuffisance respiratoire chronique Insuffisance respiratoire aiguë Kinésithérapie respiratoire Ventilation non invasive Résumé : À un stade évolué de la maladie, l’anesthésie de l’insuffisant respiratoire chronique est identique à celle d’un patient porteur d’une bronchopneumopathie obstructive (BPCO). Même si la morbidité périopératoire des patients porteurs de BPCO a considérablement diminué ces dernières décennies, il persiste un risque accru de complications respiratoires postopératoires et cardiovasculaires. La BPCO est, le plus souvent, une pathologie non connue par le patient au stade initial. Une prise en charge précoce, basée sur l’éviction des facteurs favorisant l’inflammation chronique bronchopulmonaire et l’instauration de bronchodilatateur au long cours permettent le plus souvent de stabiliser l’évolution de la BPCO. L’évaluation clinique préopératoire, permettant de recueillir des informations fonctionnelles essentielles sur le patient, représente un enjeu majeur pour le médecin anesthésiste-réanimateur et permet de stratifier le risque préopératoire. La préparation du patient repose sur l’arrêt du tabagisme, la mise en place d’un traitement bronchodilatateur associé, si besoin, et la kinésithérapie respiratoire. L’anesthésie générale ne pose pas de problèmes spécifiques, mais il faut, cependant prêter attention à limiter autant que possible l’hyperinflation pulmonaire chez le patient classé comme obstructif sévère. L’anesthésie locorégionale devra être privilégiée même si son avantage, par rapport à l’anesthésie générale, n’est pas clairement documenté. La kinésithérapie postopératoire sera reprise le plus rapidement possible et sera associée à une analgésie optimale. Enfin, la ventilation non invasive, avec une pression expiratoire positive et une aide inspiratoire, tient désormais une place incontournable dans la prévention et le traitement de la décompensation respiratoire postopératoire du patient insuffisant respiratoire chronique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75241
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 257-268[article] Prise en charge anesthésique périopératoire du patient BPCO [texte imprimé] / Laurent Zieleskiewicz ; Karine Bezulier ; Mattieu Bernat . - 2022 . - p. 257-268.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 257-268
Mots-clés : Anesthésie Complications pulmonaires Insuffisance respiratoire chronique Insuffisance respiratoire aiguë Kinésithérapie respiratoire Ventilation non invasive Résumé : À un stade évolué de la maladie, l’anesthésie de l’insuffisant respiratoire chronique est identique à celle d’un patient porteur d’une bronchopneumopathie obstructive (BPCO). Même si la morbidité périopératoire des patients porteurs de BPCO a considérablement diminué ces dernières décennies, il persiste un risque accru de complications respiratoires postopératoires et cardiovasculaires. La BPCO est, le plus souvent, une pathologie non connue par le patient au stade initial. Une prise en charge précoce, basée sur l’éviction des facteurs favorisant l’inflammation chronique bronchopulmonaire et l’instauration de bronchodilatateur au long cours permettent le plus souvent de stabiliser l’évolution de la BPCO. L’évaluation clinique préopératoire, permettant de recueillir des informations fonctionnelles essentielles sur le patient, représente un enjeu majeur pour le médecin anesthésiste-réanimateur et permet de stratifier le risque préopératoire. La préparation du patient repose sur l’arrêt du tabagisme, la mise en place d’un traitement bronchodilatateur associé, si besoin, et la kinésithérapie respiratoire. L’anesthésie générale ne pose pas de problèmes spécifiques, mais il faut, cependant prêter attention à limiter autant que possible l’hyperinflation pulmonaire chez le patient classé comme obstructif sévère. L’anesthésie locorégionale devra être privilégiée même si son avantage, par rapport à l’anesthésie générale, n’est pas clairement documenté. La kinésithérapie postopératoire sera reprise le plus rapidement possible et sera associée à une analgésie optimale. Enfin, la ventilation non invasive, avec une pression expiratoire positive et une aide inspiratoire, tient désormais une place incontournable dans la prévention et le traitement de la décompensation respiratoire postopératoire du patient insuffisant respiratoire chronique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75241 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Intubation en réanimation en 2022 : quoi de neuf ? / Thomas Godet in Anesthésie & Réanimation, Vol. 8, n° 3 (Mars 2022)
[article]
Titre : Intubation en réanimation en 2022 : quoi de neuf ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Thomas Godet ; Audrey De Jong ; Gérald Chanques Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 269-277 Langues : Français (fre) Mots-clés : Intubation Oxygénation Réanimation Voies aériennes Complications Résumé : Cette mise au point décrit les différentes stratégies qui peuvent être mises en place pour sécuriser l’intubation en réanimation : optimisation de la préoxygénation, de la gestion des voies aériennes et de l’intubation endotrachéale chez des patients en état critique. Ces propositions se basent aussi bien sur les dernières recommandations françaises et internationales, mais également sur la littérature la plus récente sur le sujet. Elles mettent l’accent sur la nécessité d’une anticipation et d’une préparation optimales de cette période à risque important de complications. Elles soulignent également la prise en compte des facteurs humains, plutôt que la simple introduction de nouveaux dispositifs ou l’amélioration des compétences techniques. Elles soulignent le rôle de l’équipe chargée de la gestion des voies aériennes et de la communication, tout en s’appuyant sur des protocoles validés et des aides cognitives immédiatement disponibles. La gestion optimale est présentée dans un algorithme. L’importance de limiter les tentatives, de reconnaître rapidement l’échec et de passer à l’étape suivante de l’algorithme sont mises en avant. Elles recommandent l’utilisation précoce d’un vidéolaryngoscope (si possible avec un écran déporté visible par tous), et des dispositifs supraglottiques pour oxygéner le patient en cas d’échec. En cas de sauvetage, la procédure de cricothyroïdotomie au scalpel, au doigt et au mandrin est suggérée. Des propositions supplémentaires sont faites concernant la gestion de l’hémodynamique et de la ventilation mécanique péri-intubation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75242
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 269-277[article] Intubation en réanimation en 2022 : quoi de neuf ? [texte imprimé] / Thomas Godet ; Audrey De Jong ; Gérald Chanques . - 2022 . - p. 269-277.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 269-277
Mots-clés : Intubation Oxygénation Réanimation Voies aériennes Complications Résumé : Cette mise au point décrit les différentes stratégies qui peuvent être mises en place pour sécuriser l’intubation en réanimation : optimisation de la préoxygénation, de la gestion des voies aériennes et de l’intubation endotrachéale chez des patients en état critique. Ces propositions se basent aussi bien sur les dernières recommandations françaises et internationales, mais également sur la littérature la plus récente sur le sujet. Elles mettent l’accent sur la nécessité d’une anticipation et d’une préparation optimales de cette période à risque important de complications. Elles soulignent également la prise en compte des facteurs humains, plutôt que la simple introduction de nouveaux dispositifs ou l’amélioration des compétences techniques. Elles soulignent le rôle de l’équipe chargée de la gestion des voies aériennes et de la communication, tout en s’appuyant sur des protocoles validés et des aides cognitives immédiatement disponibles. La gestion optimale est présentée dans un algorithme. L’importance de limiter les tentatives, de reconnaître rapidement l’échec et de passer à l’étape suivante de l’algorithme sont mises en avant. Elles recommandent l’utilisation précoce d’un vidéolaryngoscope (si possible avec un écran déporté visible par tous), et des dispositifs supraglottiques pour oxygéner le patient en cas d’échec. En cas de sauvetage, la procédure de cricothyroïdotomie au scalpel, au doigt et au mandrin est suggérée. Des propositions supplémentaires sont faites concernant la gestion de l’hémodynamique et de la ventilation mécanique péri-intubation. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75242 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt L’oxygénation extra corporelle veino-veineuse dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë / B. Repusseau in Anesthésie & Réanimation, Vol. 8, n° 3 (Mars 2022)
[article]
Titre : L’oxygénation extra corporelle veino-veineuse dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë Type de document : texte imprimé Auteurs : B. Repusseau ; H. Rozé Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 278-284 Langues : Français (fre) Mots-clés : Assistance respiratoire Circulation extracorporelle ECMO Résumé : Les patients souffrant de SDRA ont besoin d’une ECMO pour une assistance respiratoire à court terme en tant qu’option thérapeutique susceptible de restaurer l’oxygénation lorsque le traitement habituel optimisé échoue. Une utilisation plus étendue indiquerait l’ECMO comme une alternative totale ou partielle à la ventilation mécanique pour minimiser les lésions pulmonaires induites par le ventilateur. En fonction du débit sanguin et gazeux, l’assistance extracorporelle peut remplacer complètement les poumons et assurer toute l’hématose (ECMO-VV à haut débit) ou réduire la nécessité d’une ventilation mécanique. Dans le présent article, nous décrirons les aspects techniques et physiologiques de base en tant qu’assistance circulatoire pour l’hypoxémie réfractaire aux traitements standards. Nous discuterons des prises en charge actuelles des patients en SDRA sous ECMO-VV. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75243
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 278-284[article] L’oxygénation extra corporelle veino-veineuse dans le syndrome de détresse respiratoire aiguë [texte imprimé] / B. Repusseau ; H. Rozé . - 2022 . - p. 278-284.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 278-284
Mots-clés : Assistance respiratoire Circulation extracorporelle ECMO Résumé : Les patients souffrant de SDRA ont besoin d’une ECMO pour une assistance respiratoire à court terme en tant qu’option thérapeutique susceptible de restaurer l’oxygénation lorsque le traitement habituel optimisé échoue. Une utilisation plus étendue indiquerait l’ECMO comme une alternative totale ou partielle à la ventilation mécanique pour minimiser les lésions pulmonaires induites par le ventilateur. En fonction du débit sanguin et gazeux, l’assistance extracorporelle peut remplacer complètement les poumons et assurer toute l’hématose (ECMO-VV à haut débit) ou réduire la nécessité d’une ventilation mécanique. Dans le présent article, nous décrirons les aspects techniques et physiologiques de base en tant qu’assistance circulatoire pour l’hypoxémie réfractaire aux traitements standards. Nous discuterons des prises en charge actuelles des patients en SDRA sous ECMO-VV. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75243 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Échographie gastrique pour évaluation du contenu gastrique des patients en urgence / Lionel Bouvet in Anesthésie & Réanimation, Vol. 8, n° 3 (Mars 2022)
[article]
Titre : Échographie gastrique pour évaluation du contenu gastrique des patients en urgence Type de document : texte imprimé Auteurs : Lionel Bouvet Année de publication : 2022 Article en page(s) : p. 285-289 Langues : Français (fre) Mots-clés : Échographie gastrique Inhalation pulmonaire Anesthésie générale Évaluation préopératoire Résumé : Le cas d’une patiente admise pour une chirurgie gynécologique urgente est présenté. Malgré un jeûne préopératoire prolongé faisant suggérer initialement la réalisation d’une séquence d’induction classique, l’échographie gastrique a mis en évidence la présence d’un contenu gastrique solide ou épais faisant poser finalement l’indication d’une induction en séquence rapide afin de limiter le risque d’inhalation pulmonaire du contenu gastrique. Ce cas illustre donc une situation à laquelle sont fréquemment confrontés les anesthésistes-réanimateurs, celle de l’urgence et de la difficulté à évaluer le risque d’estomac « plein » et d’inhalation pulmonaire dans ce contexte. L’échographie gastrique est une technique qui permet de déterminer le contenu gastrique, et ainsi d’individualiser la stratégie anesthésique en contexte d’urgence, en chirurgie programmée lorsque le jeûne préopératoire n’a pas été respecté, ou chez les patients qui présentent un retard pathologique à la vidange gastrique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75244
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 285-289[article] Échographie gastrique pour évaluation du contenu gastrique des patients en urgence [texte imprimé] / Lionel Bouvet . - 2022 . - p. 285-289.
Langues : Français (fre)
in Anesthésie & Réanimation > Vol. 8, n° 3 (Mars 2022) . - p. 285-289
Mots-clés : Échographie gastrique Inhalation pulmonaire Anesthésie générale Évaluation préopératoire Résumé : Le cas d’une patiente admise pour une chirurgie gynécologique urgente est présenté. Malgré un jeûne préopératoire prolongé faisant suggérer initialement la réalisation d’une séquence d’induction classique, l’échographie gastrique a mis en évidence la présence d’un contenu gastrique solide ou épais faisant poser finalement l’indication d’une induction en séquence rapide afin de limiter le risque d’inhalation pulmonaire du contenu gastrique. Ce cas illustre donc une situation à laquelle sont fréquemment confrontés les anesthésistes-réanimateurs, celle de l’urgence et de la difficulté à évaluer le risque d’estomac « plein » et d’inhalation pulmonaire dans ce contexte. L’échographie gastrique est une technique qui permet de déterminer le contenu gastrique, et ainsi d’individualiser la stratégie anesthésique en contexte d’urgence, en chirurgie programmée lorsque le jeûne préopératoire n’a pas été respecté, ou chez les patients qui présentent un retard pathologique à la vidange gastrique. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=75244 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité Revues Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt