Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Minerva . Vol. 18, n° 7Bulletin N°Vol. 18, n° 7Mention de date : Septembre 2019 Paru le : 01/09/2019 |
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Ajouter le résultat dans votre panierPlaintes vulvovaginales liées à la ménopause : un traitement local plus efficace qu’un autre ? / P. Chevalier in Minerva, Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Plaintes vulvovaginales liées à la ménopause : un traitement local plus efficace qu’un autre ? Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 81-84 Note générale : DOI: 10.1001/jamainternmed.2018.0116 Langues : Français (fre) Mots-clés : Crèmes, mousses et gels vaginaux Effets indésirables Maladies du vagin Menopause Placebo Signes et symptômes Estradiol Résumé : Une enquête réalisée aux USA et en Europe a montré que 40 à 55% (selon le pays) des femmes en post ménopause, âgées de 40 à 75 ans selon le pays, se plaignaient de symptômes « liés à une atrophie vulvovaginale », la moitié d’entre elles déclarant que ces symptômes étaient modérés à sévères, avec, dans ce cas, un impact sur leur qualité de vie comparable à celui d’affections chroniques sérieuses (arthrose, BPCO, asthme, côlon irritable). Si utiliser les termes de syndrome génito-urinaire de la ménopause est sans doute moins stigmatisant pour les patientes, ces termes sont confondants dans l’évaluation des plaintes précises et de l’efficacité des traitements. Il nous semble donc plus opportun de les utiliser dans le dialogue avec la patiente mais non dans une évaluation scientifique d’un traitement. Les symptômes vulvovaginaux les plus fréquents sont une sensation de sécheresse, une dyspareunie et une irritation. Le traitement recommandé est l’administration d’estriol par voie vaginale. En pratique, seul 7% des femmes ménopausées étatsuniennes ayant des plaintes vaginales utilisent ce médicament, 25% d’entre elles ayant recours à un lubrifiant ou à une crème vaginale hydratante, produits disponibles en vente libre. Comparer l’efficacité relative (et versus placebo) de ces traitements était donc utile. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2192 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67589
in Minerva > Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019) . - p. 81-84[article] Plaintes vulvovaginales liées à la ménopause : un traitement local plus efficace qu’un autre ? [] / P. Chevalier . - 2019 . - p. 81-84.
DOI: 10.1001/jamainternmed.2018.0116
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019) . - p. 81-84
Mots-clés : Crèmes, mousses et gels vaginaux Effets indésirables Maladies du vagin Menopause Placebo Signes et symptômes Estradiol Résumé : Une enquête réalisée aux USA et en Europe a montré que 40 à 55% (selon le pays) des femmes en post ménopause, âgées de 40 à 75 ans selon le pays, se plaignaient de symptômes « liés à une atrophie vulvovaginale », la moitié d’entre elles déclarant que ces symptômes étaient modérés à sévères, avec, dans ce cas, un impact sur leur qualité de vie comparable à celui d’affections chroniques sérieuses (arthrose, BPCO, asthme, côlon irritable). Si utiliser les termes de syndrome génito-urinaire de la ménopause est sans doute moins stigmatisant pour les patientes, ces termes sont confondants dans l’évaluation des plaintes précises et de l’efficacité des traitements. Il nous semble donc plus opportun de les utiliser dans le dialogue avec la patiente mais non dans une évaluation scientifique d’un traitement. Les symptômes vulvovaginaux les plus fréquents sont une sensation de sécheresse, une dyspareunie et une irritation. Le traitement recommandé est l’administration d’estriol par voie vaginale. En pratique, seul 7% des femmes ménopausées étatsuniennes ayant des plaintes vaginales utilisent ce médicament, 25% d’entre elles ayant recours à un lubrifiant ou à une crème vaginale hydratante, produits disponibles en vente libre. Comparer l’efficacité relative (et versus placebo) de ces traitements était donc utile. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2192 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67589 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Psychothérapie cognitivo-comportementale dans la douleur chronique : regrouper les patients et simplifier le message ? / G. Henrard in Minerva, Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019)
[article]
Titre : Psychothérapie cognitivo-comportementale dans la douleur chronique : regrouper les patients et simplifier le message ? Auteurs : G. Henrard Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 77-80 Note générale : DOI: 10.7326/M17-0972 Langues : Français (fre) Mots-clés : Douleur chronique Education thérapeutique Psychothérapie Thérapie cognitive THERAPIE DE GROUPE Prise en charge de la douleur Résumé : Les recommandations actuelles pour la prise en charge de la douleur chronique en première ligne de soins mettent l’accent sur l’approche non médicamenteuse, notamment la thérapie cognitive comportementale. Malheureusement, ces thérapies restent globalement peu accessibles, tant matériellement que culturellement, particulièrement pour les patients les plus défavorisés économiquement et/ou possédant un plus faible niveau de littératie en santé. Pour rappel, la littératie en santé, notion apparentée à celle d’alphabétisation, est définie comme la capacité à trouver, comprendre et utiliser l’information dans le domaine de la santé. L’idée de tester auprès d’un public à bas niveau de littératie en santé l’efficacité d’une version simplifiée (dite « pro-littératie ») de TCC, qui plus est dispensée en groupe, était donc la bienvenue. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2191 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67590
in Minerva > Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019) . - p. 77-80[article] Psychothérapie cognitivo-comportementale dans la douleur chronique : regrouper les patients et simplifier le message ? [] / G. Henrard . - 2019 . - p. 77-80.
DOI: 10.7326/M17-0972
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 18, n° 7 (Septembre 2019) . - p. 77-80
Mots-clés : Douleur chronique Education thérapeutique Psychothérapie Thérapie cognitive THERAPIE DE GROUPE Prise en charge de la douleur Résumé : Les recommandations actuelles pour la prise en charge de la douleur chronique en première ligne de soins mettent l’accent sur l’approche non médicamenteuse, notamment la thérapie cognitive comportementale. Malheureusement, ces thérapies restent globalement peu accessibles, tant matériellement que culturellement, particulièrement pour les patients les plus défavorisés économiquement et/ou possédant un plus faible niveau de littératie en santé. Pour rappel, la littératie en santé, notion apparentée à celle d’alphabétisation, est définie comme la capacité à trouver, comprendre et utiliser l’information dans le domaine de la santé. L’idée de tester auprès d’un public à bas niveau de littératie en santé l’efficacité d’une version simplifiée (dite « pro-littératie ») de TCC, qui plus est dispensée en groupe, était donc la bienvenue. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2191 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67590 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire