Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
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Minerva . Vol. 18, n° 8Bulletin N°Vol. 18, n° 8Mention de date : Octobre 2019 Paru le : 01/10/2019 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
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aucun exemplaire |
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Ajouter le résultat dans votre panierDropéridol en cas d’agressivité ou d’agitation induite par la psychose / F. Desplenter in Minerva, Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Dropéridol en cas d’agressivité ou d’agitation induite par la psychose Auteurs : F. Desplenter ; C. Bervoets ; G. Laekeman Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 94-97 Note générale : DOI: 10.1002/14651858.CD002830.pub3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Psychose Traitement médicamenteux Sédation Santé mentale Troubles psychotiques Résumé : Les soignants confrontés à un patient psychotique agité ou agressif doivent avant tout essayer de créer un environnement de soins sécurisant à l’aide de techniques verbales de désescalade. Il n’est toutefois pas toujours possible de calmer le patient en lui parlant, et il peut alors être nécessaire d’administrer un calmant efficace à action rapide par voie intramusculaire ou intraveineuse. Différents médicaments entrent en ligne de compte à cet effet, comme le dropéridol, qui bloque les récepteurs dopaminergiques. Cette molécule n’est cependant plus utilisée parce que l’on redoute le risque d’allongement de l’intervalle QT. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2194 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67574
in Minerva > Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019) . - p. 94-97[article] Dropéridol en cas d’agressivité ou d’agitation induite par la psychose [] / F. Desplenter ; C. Bervoets ; G. Laekeman . - 2019 . - p. 94-97.
DOI: 10.1002/14651858.CD002830.pub3
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019) . - p. 94-97
Mots-clés : Psychose Traitement médicamenteux Sédation Santé mentale Troubles psychotiques Résumé : Les soignants confrontés à un patient psychotique agité ou agressif doivent avant tout essayer de créer un environnement de soins sécurisant à l’aide de techniques verbales de désescalade. Il n’est toutefois pas toujours possible de calmer le patient en lui parlant, et il peut alors être nécessaire d’administrer un calmant efficace à action rapide par voie intramusculaire ou intraveineuse. Différents médicaments entrent en ligne de compte à cet effet, comme le dropéridol, qui bloque les récepteurs dopaminergiques. Cette molécule n’est cependant plus utilisée parce que l’on redoute le risque d’allongement de l’intervalle QT. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2194 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67574 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Que penser de la pharmacothérapie contre la phobie sociale ? / Bernard Sabbe in Minerva, Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019)
[article]
Titre : Que penser de la pharmacothérapie contre la phobie sociale ? Auteurs : Bernard Sabbe ; V. Verhoeven Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 89-93 Note générale : DOI: 10.1002/14651858.CD001206.pub3 Langues : Français (fre) Mots-clés : Traitement médicamenteux Phobie sociale Résumé : La phobie sociale se caractérise par une angoisse intense, avec comportement d’évitement correspondant, se manifestant dans des situations sociales (manger ou boire en public, avoir affaire à des représentants de l’autorité ou à des personnes étrangères, parler ou faire une prestation devant un auditoire, se sentir observé pendant le travail, se trouver dans des rassemblements). Une étude épidémiologique montre que la phobie sociale est une affection très fréquente, dont la prévalence sur la durée de vie est estimée à 3 à 16%. L’affection est cause d’une souffrance personnelle et peut avoir d’importantes répercussions sur les capacités fonctionnelles dans un contexte large – professionnel, relationnel et social. Bien que la physiopathologie de la phobie sociale ne soit pas encore parfaitement comprise, il existe toutefois des éléments probants de plus en plus nombreux qui montrent que différents neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, la noradrénaline, la dopamine, le GABA et le glutamate, jouent un rôle important dans la pathogenèse. L’effet de différents médicaments, comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRIs) et les benzodiazépines, dans le traitement de la phobie sociale a déjà été étudié à plusieurs reprises, mais on ne connaît pas leur place par rapport à la psychothérapie, on ne sait pas quelles sont les classes pharmacologiques qui ont le plus d’effet ni quelles sont la dose optimale et la durée optimale du traitement et quels facteurs prédisent la réponse au traitement.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67593
in Minerva > Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019) . - p. 89-93[article] Que penser de la pharmacothérapie contre la phobie sociale ? [] / Bernard Sabbe ; V. Verhoeven . - 2019 . - p. 89-93.
DOI: 10.1002/14651858.CD001206.pub3
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 18, n° 8 (Octobre 2019) . - p. 89-93
Mots-clés : Traitement médicamenteux Phobie sociale Résumé : La phobie sociale se caractérise par une angoisse intense, avec comportement d’évitement correspondant, se manifestant dans des situations sociales (manger ou boire en public, avoir affaire à des représentants de l’autorité ou à des personnes étrangères, parler ou faire une prestation devant un auditoire, se sentir observé pendant le travail, se trouver dans des rassemblements). Une étude épidémiologique montre que la phobie sociale est une affection très fréquente, dont la prévalence sur la durée de vie est estimée à 3 à 16%. L’affection est cause d’une souffrance personnelle et peut avoir d’importantes répercussions sur les capacités fonctionnelles dans un contexte large – professionnel, relationnel et social. Bien que la physiopathologie de la phobie sociale ne soit pas encore parfaitement comprise, il existe toutefois des éléments probants de plus en plus nombreux qui montrent que différents neurotransmetteurs, tels que la sérotonine, la noradrénaline, la dopamine, le GABA et le glutamate, jouent un rôle important dans la pathogenèse. L’effet de différents médicaments, comme les inhibiteurs sélectifs de la recapture de la sérotonine (SSRIs) et les benzodiazépines, dans le traitement de la phobie sociale a déjà été étudié à plusieurs reprises, mais on ne connaît pas leur place par rapport à la psychothérapie, on ne sait pas quelles sont les classes pharmacologiques qui ont le plus d’effet ni quelles sont la dose optimale et la durée optimale du traitement et quels facteurs prédisent la réponse au traitement.
Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=67593 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire