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Revue médicale suisse . 664Médecine ambulatoire : l'autorship, une forme utile d'apprentissage du leadership médicalMention de date : 25 Septembre 2019 Paru le : 25/09/2019 |
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664 - 25 Septembre 2019 - Médecine ambulatoire : l'autorship, une forme utile d'apprentissage du leadership médical [texte imprimé] . - 2019. Langues : Français (fre)
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Ajouter le résultat dans votre panierL’authorship, une forme utile d’apprentissage du leadership médical / Idris Guessous in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1691-1692
Titre : L’authorship, une forme utile d’apprentissage du leadership médical Type de document : texte imprimé Auteurs : Idris Guessous ; Silvia Stringhini ; D. Lidsky Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1691-1692 Langues : Français (fre) Résumé : Ce numéro de la Revue Médicale Suisse (RMS) s’adresse principalement aux jeunes médecins pour les aider à rédiger des articles de qualité destinés à l’ensemble de la communauté des internistes généralistes. Depuis plusieurs décennies maintenant, la RMS est un journal de référence pour la formation continue des médecins, notamment en médecine interne générale. La qualité de ses articles est donc fondamentale. C’est très souvent des jeunes médecins (internes ou assistant·e·s, chef·fe·s de cliniques) qui les rédigent, la préparation d’un article pour la RMS étant parfois l’un des premiers exercices de rédaction scientifique réalisé dans le but d’une reconnaissance FMH. Comme d’autres services, le Service de médecine de premier recours (SMPR) des Hôpitaux universitaires de Genève est en charge d’un des numéros annuels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65743 [article] L’authorship, une forme utile d’apprentissage du leadership médical [texte imprimé] / Idris Guessous ; Silvia Stringhini ; D. Lidsky . - 2019 . - p. 1691-1692.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1691-1692
Résumé : Ce numéro de la Revue Médicale Suisse (RMS) s’adresse principalement aux jeunes médecins pour les aider à rédiger des articles de qualité destinés à l’ensemble de la communauté des internistes généralistes. Depuis plusieurs décennies maintenant, la RMS est un journal de référence pour la formation continue des médecins, notamment en médecine interne générale. La qualité de ses articles est donc fondamentale. C’est très souvent des jeunes médecins (internes ou assistant·e·s, chef·fe·s de cliniques) qui les rédigent, la préparation d’un article pour la RMS étant parfois l’un des premiers exercices de rédaction scientifique réalisé dans le but d’une reconnaissance FMH. Comme d’autres services, le Service de médecine de premier recours (SMPR) des Hôpitaux universitaires de Genève est en charge d’un des numéros annuels. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65743 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Comment rédiger un article scientifique de type revue narrative de la littérature ? / Chiara Saracci in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1694-1698
Titre : Comment rédiger un article scientifique de type revue narrative de la littérature ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Chiara Saracci ; Maryam Mahamat ; Frédérique Jacquerioz Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1694-1698 Langues : Français (fre) Résumé : Les revues de littérature scientifique de type narratif contribuent à la mise à jour et à la critique des connaissances médicales. Indirectement, elles aident à l’élaboration de nouveaux projets de recherche basés sur la synthèse et l’interprétation des résultats d’une sélection non systématique de publications scientifiques. Afin d’en optimiser la lecture et la synthèse, il nous paraît utile de proposer une méthode standardisée des différentes étapes de préparation et de rédaction d’une revue de littérature de type narratif.
Avant-proposLes revues de la littérature font partie des travaux spécifiques qui s’inscrivent dans les grands types de publications scientifiques. Elles permettent d’abord de rassembler les études publiées au moyen de moteurs de recherche de données bibliographiques dans les domaines de la médecine et de la santé publique. Leur but est non seulement d’organiser et de synthétiser la littérature mais également d’en identifier les limites et de recommander de nouveaux sujets de recherche. En ce sens, les revues sont souvent une première étape pour mieux cerner un nouveau thème de recherche. Par ailleurs, elles peuvent constituer un document autonome ou se présenter sous la forme d’une analyse théorique ou d’une justification synthétique pour une thèse, un mémoire, un projet de recherche ou une demande de fond.1-3Il existe deux principaux types de revues de la littérature utilisées en particulier dans le domaine de la recherche clinique1 (tableau 1 et 2): Les revues systématiques (RS...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65744 [article] Comment rédiger un article scientifique de type revue narrative de la littérature ? [texte imprimé] / Chiara Saracci ; Maryam Mahamat ; Frédérique Jacquerioz . - 2019 . - p. 1694-1698.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1694-1698
Résumé : Les revues de littérature scientifique de type narratif contribuent à la mise à jour et à la critique des connaissances médicales. Indirectement, elles aident à l’élaboration de nouveaux projets de recherche basés sur la synthèse et l’interprétation des résultats d’une sélection non systématique de publications scientifiques. Afin d’en optimiser la lecture et la synthèse, il nous paraît utile de proposer une méthode standardisée des différentes étapes de préparation et de rédaction d’une revue de littérature de type narratif.
Avant-proposLes revues de la littérature font partie des travaux spécifiques qui s’inscrivent dans les grands types de publications scientifiques. Elles permettent d’abord de rassembler les études publiées au moyen de moteurs de recherche de données bibliographiques dans les domaines de la médecine et de la santé publique. Leur but est non seulement d’organiser et de synthétiser la littérature mais également d’en identifier les limites et de recommander de nouveaux sujets de recherche. En ce sens, les revues sont souvent une première étape pour mieux cerner un nouveau thème de recherche. Par ailleurs, elles peuvent constituer un document autonome ou se présenter sous la forme d’une analyse théorique ou d’une justification synthétique pour une thèse, un mémoire, un projet de recherche ou une demande de fond.1-3Il existe deux principaux types de revues de la littérature utilisées en particulier dans le domaine de la recherche clinique1 (tableau 1 et 2): Les revues systématiques (RS...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65744 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Comment rédiger un case report ? / M. Kuster in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1699-1702
Titre : Comment rédiger un case report ? Type de document : texte imprimé Auteurs : M. Kuster ; Aliénor De Tonnac ; Sonia Papa Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1699-1702 Langues : Français (fre) Résumé : Les case reports (études de cas), utilisés traditionnellement dans différentes spécialités médicales, permettent de transmettre des informations cliniques importantes pour l’optimisation de la prise en charge médicale des patients. Il s’agit de décrire des observations médicales parfois méconnues et pouvant être absentes des études cliniques. Cet article a pour but de résumer les étapes clés pour la rédaction d’un case report de qualité afin d’optimiser sa contribution au développement des connaissances médicales. Nous reverrons l’utilité de ce type de publications, leur but et leurs limitations. Nous vous présenterons la guideline CARE, rédigée par un consensus d’auteurs en 2013 dans le but d’uniformiser l’écriture d’un case report et permettre une comparaison qualitative de ces articles sur des bases objectives.
IntroductionLa médecine basée sur l’évidence est hiérarchisée en fonction du type de publication (figure 1) allant des méta-analyses d’essais randomisés et contrôlés (le niveau le plus haut) aux case reports (CR) et séries de cas, tout en bas. Cependant, les CR sont encore rédigés, publiés et lus dans des dizaines de journaux médicaux. Il existe même des journaux ne publiant que des CR,1 permettant ainsi une meilleure visibilité et accessibilité à ces articles. Le rôle du CR est d’exposer un cas clinique rare ou complexe pouvant parfois ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques ou amener à des études de plus grande envergure. Il est également utilisé pour éclaircir le mécanisme physiopathologique d’une maladie mal comprise ou pour décrire une réaction secondaire inattendue à un médicament.2 Ainsi, même si le CR est en bas de la hiérarchie des évidences, il constitue toujours une partie importante de l’information médicale. Par exemple, en 1934, un CR paraît dans le Lancet3 à propo...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65745 [article] Comment rédiger un case report ? [texte imprimé] / M. Kuster ; Aliénor De Tonnac ; Sonia Papa . - 2019 . - p. 1699-1702.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1699-1702
Résumé : Les case reports (études de cas), utilisés traditionnellement dans différentes spécialités médicales, permettent de transmettre des informations cliniques importantes pour l’optimisation de la prise en charge médicale des patients. Il s’agit de décrire des observations médicales parfois méconnues et pouvant être absentes des études cliniques. Cet article a pour but de résumer les étapes clés pour la rédaction d’un case report de qualité afin d’optimiser sa contribution au développement des connaissances médicales. Nous reverrons l’utilité de ce type de publications, leur but et leurs limitations. Nous vous présenterons la guideline CARE, rédigée par un consensus d’auteurs en 2013 dans le but d’uniformiser l’écriture d’un case report et permettre une comparaison qualitative de ces articles sur des bases objectives.
IntroductionLa médecine basée sur l’évidence est hiérarchisée en fonction du type de publication (figure 1) allant des méta-analyses d’essais randomisés et contrôlés (le niveau le plus haut) aux case reports (CR) et séries de cas, tout en bas. Cependant, les CR sont encore rédigés, publiés et lus dans des dizaines de journaux médicaux. Il existe même des journaux ne publiant que des CR,1 permettant ainsi une meilleure visibilité et accessibilité à ces articles. Le rôle du CR est d’exposer un cas clinique rare ou complexe pouvant parfois ouvrir de nouvelles pistes thérapeutiques ou amener à des études de plus grande envergure. Il est également utilisé pour éclaircir le mécanisme physiopathologique d’une maladie mal comprise ou pour décrire une réaction secondaire inattendue à un médicament.2 Ainsi, même si le CR est en bas de la hiérarchie des évidences, il constitue toujours une partie importante de l’information médicale. Par exemple, en 1934, un CR paraît dans le Lancet3 à propo...Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65745 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Comment rédiger un abstract scientifique ? / Alexia Padayachy in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1703-1706
Titre : Comment rédiger un abstract scientifique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alexia Padayachy ; Gaspar Rodrigues ; Aurélie Tahar Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1703-1706 Langues : Français (fre) Résumé : L’abstract scientifique est une partie essentielle d’un article. Il doit le résumer en quelques lignes de façon claire et synthétique tout en captivant le lecteur. Etant la première partie de l’article, et parfois la seule partie lue, elle se doit de refléter au mieux le papier, afin que cette dernière soit lue en entier s’il correspond au sujet recherché. Il est également le seul texte soumis pour accéder aux congrès, et il représente un élément essentiel dans l’évaluation des dossiers pour obtenir des bourses ou des financements de recherche. Dans cet article, nous vous proposons un guide pratique pour vous aider à rédiger un abstract scientifique, afin qu’il soit structuré et précis. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65746 [article] Comment rédiger un abstract scientifique ? [texte imprimé] / Alexia Padayachy ; Gaspar Rodrigues ; Aurélie Tahar . - 2019 . - p. 1703-1706.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1703-1706
Résumé : L’abstract scientifique est une partie essentielle d’un article. Il doit le résumer en quelques lignes de façon claire et synthétique tout en captivant le lecteur. Etant la première partie de l’article, et parfois la seule partie lue, elle se doit de refléter au mieux le papier, afin que cette dernière soit lue en entier s’il correspond au sujet recherché. Il est également le seul texte soumis pour accéder aux congrès, et il représente un élément essentiel dans l’évaluation des dossiers pour obtenir des bourses ou des financements de recherche. Dans cet article, nous vous proposons un guide pratique pour vous aider à rédiger un abstract scientifique, afin qu’il soit structuré et précis. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65746 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Comment réaliser un poster scientifique? / Barbora Kralikova in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1707-1710
Titre : Comment réaliser un poster scientifique? Type de document : texte imprimé Auteurs : Barbora Kralikova ; Aline Leutwyler ; Thomas Pernin Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1707-1710 Langues : Français (fre) Résumé : Le poster académique, résumé illustré d’un travail, constitue avec les présentations orales le moyen le plus utilisé par les scientifiques pour faire part de l’avancée de leurs travaux. Il est souvent la première opportunité pour un étudiant en médecine ou un médecin junior de présenter une initiative clinique, de santé publique ou un travail de recherche. Afin de pouvoir aider à la réalisation de ce format, nous proposons un guide pratique comprenant les outils de préparation nécessaires en abordant le contenu, l’apparence, les pièges à éviter, ainsi que les aspects pratiques à connaître. Le but de cet article est de pouvoir permettre la réalisation d’un poster attractif visuellement, structuré et concis permettant de favoriser la discussion autour du sujet présenté et d’éventuellement permettre de futures collaborations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65747 [article] Comment réaliser un poster scientifique? [texte imprimé] / Barbora Kralikova ; Aline Leutwyler ; Thomas Pernin . - 2019 . - p. 1707-1710.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1707-1710
Résumé : Le poster académique, résumé illustré d’un travail, constitue avec les présentations orales le moyen le plus utilisé par les scientifiques pour faire part de l’avancée de leurs travaux. Il est souvent la première opportunité pour un étudiant en médecine ou un médecin junior de présenter une initiative clinique, de santé publique ou un travail de recherche. Afin de pouvoir aider à la réalisation de ce format, nous proposons un guide pratique comprenant les outils de préparation nécessaires en abordant le contenu, l’apparence, les pièges à éviter, ainsi que les aspects pratiques à connaître. Le but de cet article est de pouvoir permettre la réalisation d’un poster attractif visuellement, structuré et concis permettant de favoriser la discussion autour du sujet présenté et d’éventuellement permettre de futures collaborations. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65747 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Comment se préparer à une présentation orale? / Stéphane Bernard in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1711-1713
Titre : Comment se préparer à une présentation orale? Type de document : texte imprimé Auteurs : Stéphane Bernard ; Bruno Herrera ; Jennifer Socquet Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1711-1713 Langues : Français (fre) Résumé : Les présentations orales sont un moyen important de transmission du savoir. Une bonne préparation est essentielle pour réussir cet exercice. Certaines étapes sont nécessaires, comme définir l’objectif principal, s’intéresser à son audience, gérer le temps, choisir les premiers et derniers mots ou encore anticiper les questions du public, le tout en utilisant de manière adaptée les supports visuels. Cet article a pour objectif d’accompagner les jeunes médecins dans le processus de création d’une présentation orale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65748 [article] Comment se préparer à une présentation orale? [texte imprimé] / Stéphane Bernard ; Bruno Herrera ; Jennifer Socquet . - 2019 . - p. 1711-1713.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1711-1713
Résumé : Les présentations orales sont un moyen important de transmission du savoir. Une bonne préparation est essentielle pour réussir cet exercice. Certaines étapes sont nécessaires, comme définir l’objectif principal, s’intéresser à son audience, gérer le temps, choisir les premiers et derniers mots ou encore anticiper les questions du public, le tout en utilisant de manière adaptée les supports visuels. Cet article a pour objectif d’accompagner les jeunes médecins dans le processus de création d’une présentation orale. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65748 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Comment effectuer une présentation orale scientifique ? / Flavie Furrer in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1716-1719
Titre : Comment effectuer une présentation orale scientifique ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Flavie Furrer ; Julie Clot ; Dagmar Haller Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1716-1719 Langues : Français (fre) Résumé : Nous avons bénéficié d’une éducation scientifique, avons appris à nous baser sur des faits, des chiffres et des contenus. Nous sommes toutefois peu formés sur le contenant, sur la manière de présenter oralement des informations médicales ou un travail de recherche de façon attrayante. Cet article a pour but de donner à nos collègues médecins-internes, chefs de cliniques ou étudiants, des clés pratiques pour mettre en valeur le fruit de leurs recherches et faire une présentation orale réussie. Une présentation orale bien faite est tout aussi importante que le contenu délivré, afin de garantir que le message transmis soit retenu par l’auditoire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65749 [article] Comment effectuer une présentation orale scientifique ? [texte imprimé] / Flavie Furrer ; Julie Clot ; Dagmar Haller . - 2019 . - p. 1716-1719.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1716-1719
Résumé : Nous avons bénéficié d’une éducation scientifique, avons appris à nous baser sur des faits, des chiffres et des contenus. Nous sommes toutefois peu formés sur le contenant, sur la manière de présenter oralement des informations médicales ou un travail de recherche de façon attrayante. Cet article a pour but de donner à nos collègues médecins-internes, chefs de cliniques ou étudiants, des clés pratiques pour mettre en valeur le fruit de leurs recherches et faire une présentation orale réussie. Une présentation orale bien faite est tout aussi importante que le contenu délivré, afin de garantir que le message transmis soit retenu par l’auditoire. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65749 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Maladies transmises par les tiques en 2019 : entre fausses croyances et bonnes pratiques / Robin Chenal in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1721-1725
Titre : Maladies transmises par les tiques en 2019 : entre fausses croyances et bonnes pratiques Type de document : texte imprimé Auteurs : Robin Chenal ; Bernard Favrat ; Serge De Vallière Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1721-1725 Langues : Français (fre) Résumé : Ces dernières années nous avons assisté à une campagne de désinformation scientifique menée par des associations de défense des malades, soutenue par certains « experts » du domaine, qui réclament une reconnaissance de leurs problèmes de santé attribués à la maladie de Lyme. Cette polémique a conduit plusieurs sociétés savantes et revues scientifiques de référence en Europe et aux Etats-Unis à réaffirmer leur position et mettre à jour leurs recommandations. Les morsures de tiques étant fréquentes dans nos régions, le médecin doit envisager leurs potentielles conséquences, répondre aux inquiétudes des patients et se confronter à ses propres doutes et incertitudes. Cet article a pour objectif de faire un point de situation sur les connaissances actuelles des maladies transmises par les tiques en partant d’un certain nombre d’idées reçues. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65750 [article] Maladies transmises par les tiques en 2019 : entre fausses croyances et bonnes pratiques [texte imprimé] / Robin Chenal ; Bernard Favrat ; Serge De Vallière . - 2019 . - p. 1721-1725.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1721-1725
Résumé : Ces dernières années nous avons assisté à une campagne de désinformation scientifique menée par des associations de défense des malades, soutenue par certains « experts » du domaine, qui réclament une reconnaissance de leurs problèmes de santé attribués à la maladie de Lyme. Cette polémique a conduit plusieurs sociétés savantes et revues scientifiques de référence en Europe et aux Etats-Unis à réaffirmer leur position et mettre à jour leurs recommandations. Les morsures de tiques étant fréquentes dans nos régions, le médecin doit envisager leurs potentielles conséquences, répondre aux inquiétudes des patients et se confronter à ses propres doutes et incertitudes. Cet article a pour objectif de faire un point de situation sur les connaissances actuelles des maladies transmises par les tiques en partant d’un certain nombre d’idées reçues. Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65750 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Perturbateurs endocriniens : une équation à inconnues multiples (1) / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1726-1727
Titre : Perturbateurs endocriniens : une équation à inconnues multiples (1) Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1726-1727 Langues : Français (fre) Résumé : C’est une équation sanitaire grossissante comportant d’innombrables inconnues : bisphénols, phtalates, parabènes, éthers de glycol, retardateurs de flammes bromés et autres composés perfluorés… « Polluants du quotidien », les perturbateurs endocriniens sont des substances a priori inquiétantes mais on peine, en cette fin d’année 2019, à situer la place qui doit leur être accordée dans le champ médical comme dans celui, politique, de la réduction des risques. Quand et comment y verra-t-on plus clair ? De nouvelles données viennent ici d’être fournies avec la publication,1 pour la première fois en France, d’une étude évaluant la présence de ces polluants dans l’organisme des enfants et des adultes – et ce auprès d’un large échantillon de la population. Où l’on découvre que ces substances « sont présentes dans l’organisme de tous les Français ».« Les effets de substances perturbatrices du système endocrinien sur la santé ont été suspectés à partir des années 1960 aux États-Unis, rapp... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65751 [article] Perturbateurs endocriniens : une équation à inconnues multiples (1) [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2019 . - p. 1726-1727.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1726-1727
Résumé : C’est une équation sanitaire grossissante comportant d’innombrables inconnues : bisphénols, phtalates, parabènes, éthers de glycol, retardateurs de flammes bromés et autres composés perfluorés… « Polluants du quotidien », les perturbateurs endocriniens sont des substances a priori inquiétantes mais on peine, en cette fin d’année 2019, à situer la place qui doit leur être accordée dans le champ médical comme dans celui, politique, de la réduction des risques. Quand et comment y verra-t-on plus clair ? De nouvelles données viennent ici d’être fournies avec la publication,1 pour la première fois en France, d’une étude évaluant la présence de ces polluants dans l’organisme des enfants et des adultes – et ce auprès d’un large échantillon de la population. Où l’on découvre que ces substances « sont présentes dans l’organisme de tous les Français ».« Les effets de substances perturbatrices du système endocrinien sur la santé ont été suspectés à partir des années 1960 aux États-Unis, rapp... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65751 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Médicaments anticholinergiques: quelle association avec le risque de démence ? / Alicia Grosjean in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1728
Titre : Médicaments anticholinergiques: quelle association avec le risque de démence ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Alicia Grosjean ; Thierry Fumeaux Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1728 Langues : Français (fre) Résumé : La démence touche probablement plus de 50 millions de personnes dans le monde. Si l’âge en est le principal facteur favorisant, certains facteurs de risque potentiellement modifiables ont également été identifiés: parmi eux, les traitements anticholinergiques, dont les effets sur la mémoire à court terme sont bien décrits, et dont plusieurs études observationnelles ont suggéré une association avec la démence. Le degré d’évidence de cette association étant faible, les auteurs de cette étude cas-contrôle ont cherché à en préciser la force et à démontrer un lien causal. Ils ont identifié au sein de la cohorte populationnelle du Royaume-Uni QResearch database plus de 58 000 patients, de plus de 55 ans, ayant développé une démence au cours d’une période de suivi d’au moins 10 ans. Ils les ont ensuite appariés sur la base de critères épidémiologiques simples à plus de 225 000 patients comparables sans diagnostic de démence. L’exposition à 56 médicaments anticholinergiques (antihistamini... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65752 [article] Médicaments anticholinergiques: quelle association avec le risque de démence ? [texte imprimé] / Alicia Grosjean ; Thierry Fumeaux . - 2019 . - p. 1728.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1728
Résumé : La démence touche probablement plus de 50 millions de personnes dans le monde. Si l’âge en est le principal facteur favorisant, certains facteurs de risque potentiellement modifiables ont également été identifiés: parmi eux, les traitements anticholinergiques, dont les effets sur la mémoire à court terme sont bien décrits, et dont plusieurs études observationnelles ont suggéré une association avec la démence. Le degré d’évidence de cette association étant faible, les auteurs de cette étude cas-contrôle ont cherché à en préciser la force et à démontrer un lien causal. Ils ont identifié au sein de la cohorte populationnelle du Royaume-Uni QResearch database plus de 58 000 patients, de plus de 55 ans, ayant développé une démence au cours d’une période de suivi d’au moins 10 ans. Ils les ont ensuite appariés sur la base de critères épidémiologiques simples à plus de 225 000 patients comparables sans diagnostic de démence. L’exposition à 56 médicaments anticholinergiques (antihistamini... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65752 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Procréation post mortem, une édifiante incohérence française / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1728-1729
Titre : Procréation post mortem, une édifiante incohérence française Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1728-1729 Langues : Français (fre) Résumé : Réviser une loi de bioéthique c’est, parfois, céder aux vertiges du temps qui fuit, de l’éternité qui lentement s’avance. C’est, dans l’instant, entrouvrir des portes longtemps closes, éclairer des incohérences politiques. C’est, sous des cieux démocratiques, alimenter des polémiques philosophiques parfois absconses, parfois édifiantes. De ce point de vue, la situation française ne manque pas, aujourd’hui, de piquant. Derniers chapitres en date: la procréation médicalement assistée (PMA) post mortem.Ici l’incohérence politique française n’est pas mince. Alors que le gouvernement clame haut et fort sa volonté « d’ouvrir la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules » (« PMA pour toutes »), il défend tout aussi haut et tout aussi fort, dans le même temps, sa volonté d’interdire l’usage de la même technique au bénéfice de femmes dont le conjoint vient de mourir. Comment comprendre ?En France, aujourd’hui, la loi dispose que pour avoir accès aux techniques de PMA, « l’homme et la... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65753 [article] Procréation post mortem, une édifiante incohérence française [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2019 . - p. 1728-1729.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1728-1729
Résumé : Réviser une loi de bioéthique c’est, parfois, céder aux vertiges du temps qui fuit, de l’éternité qui lentement s’avance. C’est, dans l’instant, entrouvrir des portes longtemps closes, éclairer des incohérences politiques. C’est, sous des cieux démocratiques, alimenter des polémiques philosophiques parfois absconses, parfois édifiantes. De ce point de vue, la situation française ne manque pas, aujourd’hui, de piquant. Derniers chapitres en date: la procréation médicalement assistée (PMA) post mortem.Ici l’incohérence politique française n’est pas mince. Alors que le gouvernement clame haut et fort sa volonté « d’ouvrir la PMA aux couples de femmes et aux femmes seules » (« PMA pour toutes »), il défend tout aussi haut et tout aussi fort, dans le même temps, sa volonté d’interdire l’usage de la même technique au bénéfice de femmes dont le conjoint vient de mourir. Comment comprendre ?En France, aujourd’hui, la loi dispose que pour avoir accès aux techniques de PMA, « l’homme et la... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65753 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Miscellanées financières et rénales, virales et ennuyeuses / Jean-Yves Nau in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1730-1731
Titre : Miscellanées financières et rénales, virales et ennuyeuses Type de document : texte imprimé Auteurs : Jean-Yves Nau Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1730-1731 Langues : Français (fre) Résumé : Quel est le prix d’un rein français prélevé sur un donneur non consentant ?Le 8 novembre 2004, à la veille de donner son rein gauche à son frère en attente de greffe, un homme est « saisi par le doute » dans sa chambre du CHU d’Angers. Puis, son hésitation (exprimée au corps médical et à son épouse jointe par téléphone) « s’évanouit devant l’urgence de la situation ». Opéré le lendemain, « sans vérification de son consentement » (comme devait ensuite établir l’enquête), cet homme (assistant ingénieur d’une quarantaine d’années au moment des faits) saisira par la suite la justice. Il obtient une première réparation du tribunal administratif (septembre 2015). Une réparation portée à 36 000 € en appel (octobre 2017).Le temps passe. Souffrant de douleurs abdominales récurrentes et d’un syndrome d’anxiété (bientôt aggravé par le rejet de la greffe pratiquée sur son frère), il saisit le Conseil d’État sur la base d’un élément nouveau justifiant la réouverture du dossier : sa mise à la r... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65754 [article] Miscellanées financières et rénales, virales et ennuyeuses [texte imprimé] / Jean-Yves Nau . - 2019 . - p. 1730-1731.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1730-1731
Résumé : Quel est le prix d’un rein français prélevé sur un donneur non consentant ?Le 8 novembre 2004, à la veille de donner son rein gauche à son frère en attente de greffe, un homme est « saisi par le doute » dans sa chambre du CHU d’Angers. Puis, son hésitation (exprimée au corps médical et à son épouse jointe par téléphone) « s’évanouit devant l’urgence de la situation ». Opéré le lendemain, « sans vérification de son consentement » (comme devait ensuite établir l’enquête), cet homme (assistant ingénieur d’une quarantaine d’années au moment des faits) saisira par la suite la justice. Il obtient une première réparation du tribunal administratif (septembre 2015). Une réparation portée à 36 000 € en appel (octobre 2017).Le temps passe. Souffrant de douleurs abdominales récurrentes et d’un syndrome d’anxiété (bientôt aggravé par le rejet de la greffe pratiquée sur son frère), il saisit le Conseil d’État sur la base d’un élément nouveau justifiant la réouverture du dossier : sa mise à la r... Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65754 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt Le médecin (homme) et l’infirmière (femme) ? / Marc-André Raetzo in Revue médicale suisse, 664 (25 Septembre 2019)
[article]
inRevue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1732
Titre : Le médecin (homme) et l’infirmière (femme) ? Type de document : texte imprimé Auteurs : Marc-André Raetzo Année de publication : 2019 Article en page(s) : p. 1732 Langues : Français (fre) Résumé :
Les infirmières de pratique avancée (IPA) existent depuis les années 60 en Amérique du Nord. En France, les premières formations ont commencé en 2018, et dès 2000 à Bâle. La différence avec les infirmières spécialisées, c’est la possibilité de leur confier des tâches habituellement réservées aux médecins.1 Sans grande surprise, la chose est plus ou moins bien accueillie par le corps médical.
Traditionnellement, le médecin est un homme (qui commande) et l’infirmière une femme (qui obéit). Les choses changent… On l’a vu avec la grande manifestation des femmes en juin dernier, mais aussi sur les bancs de la faculté de médecine, avec déjà aujourd’hui une majorité de femmes.
Les médecins ont l’obligation de décider en prenant des risques
Mais alors quelle est la différence entre les IPA et les médecins ?
La durée de formation n’est pas très différente (5 ans pour les IPA, 6 pour les médecins/3 ans de stage pour les IPA et 5 pour les médecins). Les deux professions appliquent des guides de pratique et suivent des clinical pathways qui sont bien définis dans la littérature, et qui permettent de formaliser la prise en charge d’un diagnostic précis.
Pas de différence donc ? Pour répondre à cette question, il est intéressant de mieux comprendre comment fonctionne un médecin. La plupart des experts considèrent qu’ils basent leur décisions sur des scripts qu’ils ont construits au cours de leur pratique clinique.2 Ces scripts représentent une série d’informations plus ou moins bien identifiées qui leur permettent d’évaluer de manière intuitive la probabilité d’un diagnostic. On peut déconstruire cette intuition, par exemple avec les scores de Genève pour l’évaluation de la probabilité d’une embolie pulmonaire, mais dans la réalité clinique, il existe encore peu de situations de ce genre. Il est frappant de voir les médecins qui commencent leurs stages en médecine ambulatoire s’inquiéter de laisser partir un patient à la fin d’une consultation, alors qu’ils n’ont pas de diagnostic de certitude, et qu’ils doivent accepter un certain degré d’incertitude. Une petite étude a montré qu’un contexte de probabilité et d’incertitude se rencontre dans plus de 70 % des consultations ambulatoires.3 Les médecins ont ainsi l’obligation de décider en prenant des risques. C’est par la répétition de l’exposition à ces situations que les médecins construisent leurs scripts. La même étude montre cependant que 48 % des consultations utilisent des clinical pathways ou des protocoles, ce qui permettrait aux deux professions d’en prendre la responsabilité. C’est d’ailleurs dans ce champ d’activité que travaillent actuellement les IPA, l’éducation thérapeutique, le suivi des hypertendus, des diabétiques ou des cancéreux par exemple.
On voit donc que la grande différence, c’est la gestion des probabilités et la capacité de prendre des décisions dans l’incertitude. La recherche sur le raisonnement clinique et l’analyse décisionnelle permettront peut-être un jour de formaliser de manière stricte la prise en charge des patients dans toutes les situations et d’éliminer ces incertitudes, mais on en est loin. Les IPA pourraient aussi se former à cette compétence, mais alors, à mon avis, on pourrait dire que ce sont des médecins, et il n’y aurait plus de différence…Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65755 [article] Le médecin (homme) et l’infirmière (femme) ? [texte imprimé] / Marc-André Raetzo . - 2019 . - p. 1732.
Langues : Français (fre)
in Revue médicale suisse > 664 (25 Septembre 2019) . - p. 1732
Résumé :
Les infirmières de pratique avancée (IPA) existent depuis les années 60 en Amérique du Nord. En France, les premières formations ont commencé en 2018, et dès 2000 à Bâle. La différence avec les infirmières spécialisées, c’est la possibilité de leur confier des tâches habituellement réservées aux médecins.1 Sans grande surprise, la chose est plus ou moins bien accueillie par le corps médical.
Traditionnellement, le médecin est un homme (qui commande) et l’infirmière une femme (qui obéit). Les choses changent… On l’a vu avec la grande manifestation des femmes en juin dernier, mais aussi sur les bancs de la faculté de médecine, avec déjà aujourd’hui une majorité de femmes.
Les médecins ont l’obligation de décider en prenant des risques
Mais alors quelle est la différence entre les IPA et les médecins ?
La durée de formation n’est pas très différente (5 ans pour les IPA, 6 pour les médecins/3 ans de stage pour les IPA et 5 pour les médecins). Les deux professions appliquent des guides de pratique et suivent des clinical pathways qui sont bien définis dans la littérature, et qui permettent de formaliser la prise en charge d’un diagnostic précis.
Pas de différence donc ? Pour répondre à cette question, il est intéressant de mieux comprendre comment fonctionne un médecin. La plupart des experts considèrent qu’ils basent leur décisions sur des scripts qu’ils ont construits au cours de leur pratique clinique.2 Ces scripts représentent une série d’informations plus ou moins bien identifiées qui leur permettent d’évaluer de manière intuitive la probabilité d’un diagnostic. On peut déconstruire cette intuition, par exemple avec les scores de Genève pour l’évaluation de la probabilité d’une embolie pulmonaire, mais dans la réalité clinique, il existe encore peu de situations de ce genre. Il est frappant de voir les médecins qui commencent leurs stages en médecine ambulatoire s’inquiéter de laisser partir un patient à la fin d’une consultation, alors qu’ils n’ont pas de diagnostic de certitude, et qu’ils doivent accepter un certain degré d’incertitude. Une petite étude a montré qu’un contexte de probabilité et d’incertitude se rencontre dans plus de 70 % des consultations ambulatoires.3 Les médecins ont ainsi l’obligation de décider en prenant des risques. C’est par la répétition de l’exposition à ces situations que les médecins construisent leurs scripts. La même étude montre cependant que 48 % des consultations utilisent des clinical pathways ou des protocoles, ce qui permettrait aux deux professions d’en prendre la responsabilité. C’est d’ailleurs dans ce champ d’activité que travaillent actuellement les IPA, l’éducation thérapeutique, le suivi des hypertendus, des diabétiques ou des cancéreux par exemple.
On voit donc que la grande différence, c’est la gestion des probabilités et la capacité de prendre des décisions dans l’incertitude. La recherche sur le raisonnement clinique et l’analyse décisionnelle permettront peut-être un jour de formaliser de manière stricte la prise en charge des patients dans toutes les situations et d’éliminer ces incertitudes, mais on en est loin. Les IPA pourraient aussi se former à cette compétence, mais alors, à mon avis, on pourrait dire que ce sont des médecins, et il n’y aurait plus de différence…Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=65755 Exemplaires (1)
Cote Support Localisation Section Disponibilité REVUES Revue Centre de documentation HELHa paramédical Gilly Salle de lecture - Rez de chaussée - Armoire à volets Exclu du prêt