Centre de Documentation Gilly / CePaS-Centre du Patrimoine Santé
HORAIRE
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Lu : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Ma : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Me : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Je : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h30
Ve : 8h15 à 12h00 - 12h30 à 16h15
Bienvenue sur le catalogue du
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Centre de documentation de la HELHa-Gilly
et du CePaS - Centre du Patrimoine Santé
Bulletin N°Vol. 16, n°7 |
Exemplaires
Cote | Support | Localisation | Section | Disponibilité |
---|---|---|---|---|
aucun exemplaire |
Dépouillements


Amitriptyline et topiramate : pas de plus-value versus placebo en prévention de la migraine chez l’enfant et l’adolescent / P. Chevalier in Minerva, Vol. 16, n°7 (Septembre 2017)
![]()
[article]
Titre : Amitriptyline et topiramate : pas de plus-value versus placebo en prévention de la migraine chez l’enfant et l’adolescent Type de document : document électronique Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 163-166 Langues : Français (fre) Mots-clés : Adolescent Effets secondaires indésirables des médicaments Migraine Placebo Prévention Amitriptyline Résumé : Les médicaments disponibles pour traiter la crise de migraine et prévenir ces crises sont moins bien évalués chez les enfants et les adolescents que chez les personnes adultes.
Les GPC (1) mentionnent, comme traitement prophylactique de la migraine, chez l’adulte, le métoprolol, le propranolol, la flunarizine, l’acide valproïque et le topiramate en première intention, l’amitriptyline, le naproxène et le bisoprolol en deuxième intention. Chez l’enfant, les études sont beaucoup plus rares et concernent la flunarizine, le propranolol et le topiramate (2), également le pizotifène (3). Pour ces 4 médicaments, l’efficacité est jugée inconnue par Clinical Evidence (3). L’amitriptyline, bien mal évaluée dans cette indication, est également largement utilisée en prévention de la migraine en pédiatrie (4,5). Une évaluation correcte de l’efficacité/sécurité du topiramate, de l’amitriptyline et d’un placebo dans le traitement préventif de la migraine restait la bienvenue.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2125 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58015
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 163-166[article] Amitriptyline et topiramate : pas de plus-value versus placebo en prévention de la migraine chez l’enfant et l’adolescent [document électronique] / P. Chevalier . - 2017 . - p. 163-166.
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 163-166
Mots-clés : Adolescent Effets secondaires indésirables des médicaments Migraine Placebo Prévention Amitriptyline Résumé : Les médicaments disponibles pour traiter la crise de migraine et prévenir ces crises sont moins bien évalués chez les enfants et les adolescents que chez les personnes adultes.
Les GPC (1) mentionnent, comme traitement prophylactique de la migraine, chez l’adulte, le métoprolol, le propranolol, la flunarizine, l’acide valproïque et le topiramate en première intention, l’amitriptyline, le naproxène et le bisoprolol en deuxième intention. Chez l’enfant, les études sont beaucoup plus rares et concernent la flunarizine, le propranolol et le topiramate (2), également le pizotifène (3). Pour ces 4 médicaments, l’efficacité est jugée inconnue par Clinical Evidence (3). L’amitriptyline, bien mal évaluée dans cette indication, est également largement utilisée en prévention de la migraine en pédiatrie (4,5). Une évaluation correcte de l’efficacité/sécurité du topiramate, de l’amitriptyline et d’un placebo dans le traitement préventif de la migraine restait la bienvenue.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2125 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58015 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Efficacité d’une alimentation par gastrostomie sur la qualité de vie des patients et des aidants ? / A. Crismer in Minerva, Vol. 16, n°7 (Septembre 2017)
![]()
[article]
Titre : Efficacité d’une alimentation par gastrostomie sur la qualité de vie des patients et des aidants ? Type de document : document électronique Auteurs : A. Crismer Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 176-179 Langues : Français (fre) Mots-clés : Aidants Démarche qualité Efficacité gastronomie Patient Qualité de vie Régime alimentaire Résumé : Les gastrostomies sont largement pratiquées pour fournir une alimentation parentérale aux patients qui ont des troubles neurologiques affectant la déglutition ou qui ont un néoplasie oropharyngée (1). Les bénéfices de cette intervention en termes de qualité de vie sont incertains pour les patients et leurs aidants et une étude sur ce sujet est la bienvenue. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2128 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58069
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 176-179[article] Efficacité d’une alimentation par gastrostomie sur la qualité de vie des patients et des aidants ? [document électronique] / A. Crismer . - 2017 . - p. 176-179.
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 176-179
Mots-clés : Aidants Démarche qualité Efficacité gastronomie Patient Qualité de vie Régime alimentaire Résumé : Les gastrostomies sont largement pratiquées pour fournir une alimentation parentérale aux patients qui ont des troubles neurologiques affectant la déglutition ou qui ont un néoplasie oropharyngée (1). Les bénéfices de cette intervention en termes de qualité de vie sont incertains pour les patients et leurs aidants et une étude sur ce sujet est la bienvenue. En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2128 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58069 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Efficacité de l’administration en continu d’oxygène à long terme chez le patient BPCO stable avec une hypoxémie modérée ? / A. Van Meerhaeghe in Minerva, Vol. 16, n°7 (Septembre 2017)
![]()
[article]
Titre : Efficacité de l’administration en continu d’oxygène à long terme chez le patient BPCO stable avec une hypoxémie modérée ? Type de document : document électronique Auteurs : A. Van Meerhaeghe Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 171-175 Langues : Français (fre) Mots-clés : Anoxemie Bronchopneumopathie chronique obstructive Hospitalisation Mortalité Observance de la prescription Oxygene Qualité de vie Temps Exacerbation Test de la fonction respiratoire Résumé : La réduction de la mortalité induite par l’oxygénothérapie continue (> 15 heures/jour) chez les patients BPCO souffrant d’hypoxémie sévère est à la fois statistiquement significative et pertinente du point de vue clinique (1,2). Par contre, l’efficacité d’une telle approche thérapeutique chez les BPCO stables souffrant d’une hypoxémie modérée au repos ou à l’effort est inconnue. Un effet bénéfique sur la survie n’avait pas été montré dans 2 RCTs de petite taille réalisées dans les années 1990 incluant des patients BPCO avec une hypoxémie diurne modérée et recevant soit une oxygénothérapie uniquement nocturne (PaO2) 56-69 mmHg ; n = 76) (3) ou une oxygénation à long terme (PaO2 56- 65 mmHg ; n = 135) dont la durée moyenne était de 13,5 (+ 4,4) heures (4).
Cependant, le critère primaire de jugement était l’effet sur la pression artérielle pulmonaire pour la première de ces études (3) et pour la seconde (4) où le critère primaire était le taux de survie, aucun calcul de puissance statistique n’avait été effectué afin de connaître le nombre de patients à inclure pour un niveau d’erreur de type II (erreur β) accepté. Une nouvelle étude ciblant les patients BPCO présentant une hypoxémie modérée, mieux menée du point de vue méthodologique et incluant d’autres critères de jugement, était la bienvenue.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2127 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58070
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 171-175[article] Efficacité de l’administration en continu d’oxygène à long terme chez le patient BPCO stable avec une hypoxémie modérée ? [document électronique] / A. Van Meerhaeghe . - 2017 . - p. 171-175.
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 171-175
Mots-clés : Anoxemie Bronchopneumopathie chronique obstructive Hospitalisation Mortalité Observance de la prescription Oxygene Qualité de vie Temps Exacerbation Test de la fonction respiratoire Résumé : La réduction de la mortalité induite par l’oxygénothérapie continue (> 15 heures/jour) chez les patients BPCO souffrant d’hypoxémie sévère est à la fois statistiquement significative et pertinente du point de vue clinique (1,2). Par contre, l’efficacité d’une telle approche thérapeutique chez les BPCO stables souffrant d’une hypoxémie modérée au repos ou à l’effort est inconnue. Un effet bénéfique sur la survie n’avait pas été montré dans 2 RCTs de petite taille réalisées dans les années 1990 incluant des patients BPCO avec une hypoxémie diurne modérée et recevant soit une oxygénothérapie uniquement nocturne (PaO2) 56-69 mmHg ; n = 76) (3) ou une oxygénation à long terme (PaO2 56- 65 mmHg ; n = 135) dont la durée moyenne était de 13,5 (+ 4,4) heures (4).
Cependant, le critère primaire de jugement était l’effet sur la pression artérielle pulmonaire pour la première de ces études (3) et pour la seconde (4) où le critère primaire était le taux de survie, aucun calcul de puissance statistique n’avait été effectué afin de connaître le nombre de patients à inclure pour un niveau d’erreur de type II (erreur β) accepté. Une nouvelle étude ciblant les patients BPCO présentant une hypoxémie modérée, mieux menée du point de vue méthodologique et incluant d’autres critères de jugement, était la bienvenue.En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2127 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58070 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quel suivi après traitement chirurgical d’un cancer colorectal non métastatique ? / J.-P. Sculier in Minerva, Vol. 16, n°7 (Septembre 2017)
![]()
[article]
Titre : Quel suivi après traitement chirurgical d’un cancer colorectal non métastatique ? Type de document : document électronique Auteurs : J.-P. Sculier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 180-183 Langues : Français (fre) Mots-clés : Mortalité Qualité de vie Récidive Survivants Tumeurs colorectales Survie sans rechute Thérapie de rattrapage Résumé : Le cancer colorectal est un problème majeur de santé publique. En Belgique, le registre du cancer rapporte une prévalence en 5 ans de 26846 cas (3ème cancer le plus fréquent). Avec une survie à 5 ans de l’ordre de 60% selon les dernières données du registre belge du cancer (2012), il représente une des principales causes de mort par cancer. On considère que deux tiers des cancers colorectaux se présentent initialement avec une tumeur résécable et que 50 à 60% vont rechuter avec une maladie métastatique (1). La détection précoce des rechutes apparaît donc fort importante. La Cochrane Collaboration avait réalisé en 2007 une synthèse méthodique sur l’organisation du suivi après traitement d’un cancer colorectal non métastatique (2) et avait conclu à l’utilité de programmes intensifs sur la survie globale. Des données nouvelles ont conduit à une mise à jour de cette revue, revenant sur ses conclusions En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2129 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58158
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 180-183[article] Quel suivi après traitement chirurgical d’un cancer colorectal non métastatique ? [document électronique] / J.-P. Sculier . - 2017 . - p. 180-183.
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 180-183
Mots-clés : Mortalité Qualité de vie Récidive Survivants Tumeurs colorectales Survie sans rechute Thérapie de rattrapage Résumé : Le cancer colorectal est un problème majeur de santé publique. En Belgique, le registre du cancer rapporte une prévalence en 5 ans de 26846 cas (3ème cancer le plus fréquent). Avec une survie à 5 ans de l’ordre de 60% selon les dernières données du registre belge du cancer (2012), il représente une des principales causes de mort par cancer. On considère que deux tiers des cancers colorectaux se présentent initialement avec une tumeur résécable et que 50 à 60% vont rechuter avec une maladie métastatique (1). La détection précoce des rechutes apparaît donc fort importante. La Cochrane Collaboration avait réalisé en 2007 une synthèse méthodique sur l’organisation du suivi après traitement d’un cancer colorectal non métastatique (2) et avait conclu à l’utilité de programmes intensifs sur la survie globale. Des données nouvelles ont conduit à une mise à jour de cette revue, revenant sur ses conclusions En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2129 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58158 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire Quelle durée pour un traitement antibiotique d’une OMA chez des enfants âgés de 6 à 23 mois ? / P. Chevalier in Minerva, Vol. 16, n°7 (Septembre 2017)
![]()
[article]
Titre : Quelle durée pour un traitement antibiotique d’une OMA chez des enfants âgés de 6 à 23 mois ? Type de document : document électronique Auteurs : P. Chevalier Année de publication : 2017 Article en page(s) : p. 167-170 Langues : Français (fre) Mots-clés : Antibiotique Interactions médicamenteuses Otite Placebo Récidive Résistance microbienne aux médicaments Association médicamenteuse Résumé : En dehors du débat concernant les indications validées de prescrire un antibiotique en cas d’otite moyenne aiguë chez l’enfant (1,2), une autre question se pose pour les praticiens : quelle doit être la durée d’un tel traitement en prenant en compte l’efficacité, la tolérance, les effets indésirables, y compris la survenue de germes résistants ? En 2001, la RBP de la BAPCOC (3) recommandait de limiter le traitement à 5 jours, sauf en cas de mauvaise évolution clinique, sur base d’un constat dans les études d’une éradication bactérienne rapide (moins de 4 jours), d’une efficacité d’un traitement limité à 5 jours (4,5), du risque accru d’apparition d’une résistance (portage de pneumocoques résistants) en cas de traitement par antibiotique bêta-lactame au-delà de 5 jours (6) et des conditionnements d’antibiotiques disponibles pour les enfants. Sur cette base et en prenant également en compte une méta-analyse publiée en 2010 par la Cochrane Collaboration (7), la BAPCOC recommandait en 2012 dans la mise à jour de son guide (8) un traitement de 5 à 7 jours.
Sur base de la même méta-analyse (7) précédemment analysée dans la revue Minerva (9), le jury du Consensus de l’INAMI (10) conclut en 2016 qu’«il semble plus judicieux de traiter au moins 7 jours pour éviter les rechutes endéans le mois excepté chez les patients immunocompromis qui nécessitent un traitement plus long (GRADE A - B, faible recommandation) ». Une RCT publiée en 2016 apporte-t-elle de nouveaux éléments, du moins pour les enfants âgés de 6 à 23 mois ?En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2126 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58161
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 167-170[article] Quelle durée pour un traitement antibiotique d’une OMA chez des enfants âgés de 6 à 23 mois ? [document électronique] / P. Chevalier . - 2017 . - p. 167-170.
Langues : Français (fre)
in Minerva > Vol. 16, n°7 (Septembre 2017) . - p. 167-170
Mots-clés : Antibiotique Interactions médicamenteuses Otite Placebo Récidive Résistance microbienne aux médicaments Association médicamenteuse Résumé : En dehors du débat concernant les indications validées de prescrire un antibiotique en cas d’otite moyenne aiguë chez l’enfant (1,2), une autre question se pose pour les praticiens : quelle doit être la durée d’un tel traitement en prenant en compte l’efficacité, la tolérance, les effets indésirables, y compris la survenue de germes résistants ? En 2001, la RBP de la BAPCOC (3) recommandait de limiter le traitement à 5 jours, sauf en cas de mauvaise évolution clinique, sur base d’un constat dans les études d’une éradication bactérienne rapide (moins de 4 jours), d’une efficacité d’un traitement limité à 5 jours (4,5), du risque accru d’apparition d’une résistance (portage de pneumocoques résistants) en cas de traitement par antibiotique bêta-lactame au-delà de 5 jours (6) et des conditionnements d’antibiotiques disponibles pour les enfants. Sur cette base et en prenant également en compte une méta-analyse publiée en 2010 par la Cochrane Collaboration (7), la BAPCOC recommandait en 2012 dans la mise à jour de son guide (8) un traitement de 5 à 7 jours.
Sur base de la même méta-analyse (7) précédemment analysée dans la revue Minerva (9), le jury du Consensus de l’INAMI (10) conclut en 2016 qu’«il semble plus judicieux de traiter au moins 7 jours pour éviter les rechutes endéans le mois excepté chez les patients immunocompromis qui nécessitent un traitement plus long (GRADE A - B, faible recommandation) ». Une RCT publiée en 2016 apporte-t-elle de nouveaux éléments, du moins pour les enfants âgés de 6 à 23 mois ?En ligne : http://www.minerva-ebm.be/FR/Article/2126 Permalink : http://cdocs.helha.be/pmbgilly/opac_css/index.php?lvl=notice_display&id=58161 Exemplaires
Cote Support Localisation Section Disponibilité aucun exemplaire